Traduit par Joseph Dautremer. Illustré par Senseil Eitaku. Tokio, Hasegawa T. (éditeur), Kobunsha, N°2 Minami Sayegicho, in-12, couverture illustrée en couleurs, reliure japonaise traditionnelle (watojihon) dans le style "Yamato Toji" avec cordons, 18 pages en papier crêpe (chirimen-bon).
Ce conte appartient au Folklore et à la culture japonaise. Il dénonce l'avarice et la cupidité de certains hommes. La légende du "moineau à la langue coupée" est le deuxième titre de la collection "Les Contes du vieux Japon" composée de 21 titres. "Publiés du milieu de l'ère Meiji jusqu'au début de l'ère Showa, les chirimen-bon étaient des traductions illustrées d'histoires folkloriques japonaises, visant initialement à accroître l'exposition du peuple japonais aux langues étrangères après le kaikoku (la réouverture du Japon au milieu du XIXe siècle). Toutefois, ils devinrent rapidement des omiyage (petits cadeaux) populaires pour les étrangers. Kobunsha, maison d'édition dirigée par Takejir Hasegawa, commença en 1885 à traduire et à publier Nihon Mukashibanashi (série de fables japonaises), dont Le moineau à la langue coupée est extrait. " (in wdlitem/14461/). Infimes usures et plis, cordons légèrement effilochés.