[MOURGUE (Pierre) - BRISSAUD (Pierre) - BENITO - MARTY (André E.) - BARBIER (George) - THAYAHT] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14282
(1922)
1922 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1922, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées XXIX à XXXII) (sommaire, publicités, explication des planches) - 34 pp. (texte, numéroté de 229 à 252) - 8 planches coloriées au pochoir - 1 f."Lettre de la Gazette du Bon Ton" annonçant une baisse du prix de vente.Dos légèrement insolé, manque les pages de croquis annoncées dans la table, bon exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
8 planches hors texte (pl. 56 à 63), coloriées au pochoir, de Pierre Mourgue, Pierre Brissaud, Benito, André E. Marty (2), George Barbier (2) et Thayaht, pour des créations de Larsen, Jeanne Lanvin, Worth, Beer, Paul Poiret, Martial et Armand, Lus et Befve.Articles illustrés en couleurs: Les Statues d'Or (texte de Georges Armand Masson, dessins de Bénito) - La poudre et les bals (Célio - Mario Simon) - Les Fichus (Siki - Mourgue) - La femme triomphante (Cécil - Martin) - Le Lamé et le Velours (Vaudreuil - Barbier) - Pour Cendrillon (dessin de La Gazette) - Nemrod ou le Départ pour la chasse (Pierre Mourgue)."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
[LEPAPE (Georges) - MARTIN (Charles) - MARTY (André E.) - MOURGUE (Pierre) - BARBIER (George) - THAYAHT] - LABUSQUIERE (Jean), directeur.
Reference : 14288
(1924)
1924 P., Rue de Seine, n°10, 1924, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées de XXXIII à XXXVI) (sommaire, publicités, explication des planches) - 36 pp. (numérotées de 329 à 364) (texte) - 6 planches coloriées au pochoir.Dos légèrement insolé, épidermure en bas de la planche 52 (voir dernière photo), très bel exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
6 planches hors texte (pl. 47 à 52), coloriées au pochoir, de Georges Lepape, Charles Martin, André E. Marty (c'est celle-ci qui est épidermée), Pierre Mourgue, Thayaht et George Barbier, pour des créations de Jeanne Lanvin, Max-A. Leroy, Paul Poiret, Madeleine Vionnet, Worth. Articles illustrés en couleurs : Muguet de Mai par Franc-Nohain - Ida Rubinstein (texte de George Barbier, Dessins d'André Marty) - Coup d'oeil sur les choses d'ici-bas (Faure-Biguet, Pierre Mourgue) - Wonderland (Masson, Jacques Demachy) - Auto, quand tu nous tiens... (James de Coquet, Mourgue) - Opéras d'autrefois (Cecil, Pierre Brissaud) - La Chronique de Paris (avec illustrations en couleurs à pleine page de Roger Chastel, Maurice Van Moppès et en noir par Jacques Demachy). Numéro bien complet."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
[LEPAPE (Georges) - BRISSAUD (Pierre) - MARTY (André) - BARBIER (George) - MOURGUE (Pierre) - MARTIN (Charles) - BENITO] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14274
(1921)
1921 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1921, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (2) ff. (sommaire, publicités, explication des planches) - 32 pp. (numérotées de 193 à 224) (texte) - (2) ff. (publicités) - 8 planches coloriées au pochoir. Dos sensiblement insolé, très bel exemplaire, rare dans cet état.
8 planches hors texte (pl. 49 à 56), coloriées au pochoir, de Pierre Mourgue, Georges Lepape, Charles Martin, Pierre Brissaud (2), André Marty, George Barbier et Bénito, pour des créations de Jeanne Lanvin, Worth, Beer, Paul Poiret, Doeuillet. Articles illustrés en couleurs: L'ile d'Amour de Marcel Astruc, dessins de Pierre Brissaud - Le retour au Sire de Vergy, de Louis-Léon Martin, dessins de Pierre Mourgue - La Vallée aux Loups, de Gérard Bauër, dessins d'André Marty - Modes Romantiques de G.-A. Masson, dessins de Mario Simon - Dentelles à la Maréchale, de Caylus, dessins de L'Hom - Au fil de l'eau, de Roger Allard, dessins de J.-E. Laboureur - Mil neuf cent, de Denise van Moppès, dessins de Benito. Numéro bien complet."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
[MOURGUE (Pierre) - BRISSAUD (Pierre) - MARTY (André) - BARBIER (George) - ERIKSON - FLOREZ (Llano) - ZENKER] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14278
(1922)
1922 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1922, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (sommaire, publicités, explication des planches) - 32 pp. (texte) - 8 planches coloriées au pochoir et 8 Croquis H.T. coloriés au pochoir. Très bel exemplaire, rare dans cet état.
8 planches hors texte (pl. 1 à 8), coloriées au pochoir, de Pierre Mourgue (2), Erikson, Llano Florez, Pierre Brissaud, André Marty, George Barbier et Zenker pour des créations de Jeanne Lanvin, Worth, Beer, Paul Poiret, Martial et Armand - 8 Croquis hors texte, coloriés au pochoir, sous le titre "Album des dames, leurs modes et frivolités" (Croquis N°I à VIII). Articles illustrés en couleurs: Ermenonville ou le promeneur solitaire, de Robert Burnand, dessins d'André Marty - La parade de l'accouchée, de Francis de Miomandre, dessins de Bénito - Gestes, de De Vaudreuil, dessins de Pierre Mourgue - Renaissance, d'Emile Henriot, dessins de Pierre Brissaud - Adam ou la bonne volonté, de Marcel Astruc, dessins de Jacques Demachy - La Pluie, de G.-A. Masson, dessins de Georges Lepape - Autres temps, autres moeurs, de George Cecil, dessins de Charles Martin - Album des dames, leur mode, leur frivolité, croquis du Bon Ton - La mode et le Bon Ton, de Jeanne Ramon-Fernandez..Numéro bien complet."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
[ZENKER - CHAS LABORDE - FLOREZ (Llano) - BARBIER (George) - MOURGUE (Pierre) - MARTY (André-Edouard) - BRISSAUD (Pierre)] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14276
(1921)
1921 P., aux éditions Lucien Vogel, 1921, 1 vol. in-8° (250 x 197) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de IV pp. (Sommaire et Publicités illustrées en couleurs, paginés de XXXIII à XXXVI) - 32 pp. (paginées de 265 à 296) - 8 planches hors-texte. Dos sensiblement insolé, très bel exemplaire, rare dans cet état.
8 planches hors texte (pl. 65 à 72), coloriées au pochoir, de Zenker - Chas Laborde - Llano Florez - George Barbier - Pierre Mourgue - André-Edouard Marty (2) - Pierre Brissaud pour des créations de Paul Poiret, Worth, Doeuillet, Beer, Jeanne Lanvin.Articles illustrés en couleurs: - Reflets (texte de Gérad Bauër, dessins de Roger Chastel) - Cloquelle et Cloky, ou le voyage en Chine (Georges-Armand Masson, Bénito) - Doléances d'un Amour de petit chien, touchant le déconcertante variété des bas de jupes de sa maîtresse (Vaudreuil, Zyg-Brunner) - Du Cabaret de la Courtille au bar de la Dernière Chance (Pierre Mac Orlan, Chas Laborde) - XVIIe siècle (Robert Burnand, André Marty) - Vertumne et Pomone, ou l'Amour au Latium mille ans avant J.-C. (Marcel Astruc, Charles Martin) - Armures (Caylus, Mourgue) - Les robes tatouées (Trivulce, Marthe Romme) - Explication des planches. Numéro bien complet."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
[BONFILS (Robert) - SIMEON - LEPAPE (Georges) - MOURGUE (Pierre) - MARTY (André-Edouard) - BRISSAUD (Pierre) - BARBIER (George)] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14277
(1921)
1921 P., aux éditions Lucien Vogel, 1921, 1 vol. in-8° (250 x 197) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de II ff. (faux-titre, titre du 2e semestre 1921) - IV pp. (Sommaire et Publicités illustrées en couleurs, paginés de XXXVII à XL) - 28 pp. (paginées de 297 à 324) - 8 planches hors-texte.ATTENTION : Numéro bien complet des 8 planches coloriées au pochoir mais Il manque les 4 dernières pages (325 à 328), contenant : La mode et le bon ton (Jeanne Ramon-Fernandez) - Explication des planches ; ainsi que les 8 planches de croquis en couleurs sous cahier intitulé "Pour la Riviéra robes garnies de fleurs naturelles, dans la mesure où l'on en a et où l'on ne préfère pas d'employer, moins coûteuses, les fleurs artificielles contenant huit croquis de robes parées et décorées avec des fleurs".Dos très légèrement insolé, quelques taches sur les plats, bel exemplaire par ailleurs.
8 planches hors texte (pl. 73 à 80), coloriées au pochoir, de Robert Bonfils - Siméon - Georges Lepape - Pierre Mourgue - André-Edouard Marty (2) - Pierre Brissaud - George Barbier pour des créations de Paul Poiret, Worth, Doeuillet, Beer, Jeanne Lanvin.Articles illustrés en couleurs: - Promenades et paysages romantiques (texte de Marcel Astruc, dessins de Charles Martin) - Petit panorama (Célio, Pierre Mourgue) - Armorial des écrivains français (Jean de Bonnefon, Gaston Jouvert de Bussy) - Souliers (J.R.F., Grangier) - Vingt ans après (Gérard Bauër, Roger Chastel) - Babys à la mode (Nicolas Bonnechose, M.-M. Barratin) - Qu'est-ce qu'Amour (Georges Cécil, Charles Martin). "La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
[SIMON (Mario) - MOURGUE (Pierre) - SIMEON - MARTY (André-Edouard) - BRISSAUD (Pierre) - MARTIN (Charles) - RZEWUSKI (Alex.) - BARBIER (George) - MAM] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14270
(1921)
1921 P., aux éditions Lucien Vogel, 1921, 1 vol. in-8° (263 x 203) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de IV pp. (Sommaire et Publicités illustrées en couleurs, paginés de I à IV) - 32 pp. (paginées de 1 à 32) - 8 planches hors-texte - cahier renfermant 4 pl. de croquis de MAM avec explication des planches du numéro en dernière page. Dos très légèrement insolé , coiffe supérieur un peu molle, très bel exemplaire à l'intérieur, rare dans cet état.
8 planches hors texte (pl. 1 à 8), coloriées au pochoir, de Mario Simon - Pierre Mourgue - Siméon - André-Edouard Marty - Pierre Brissaud - Charles Martin - Alex Rzewuski - George Barbier, pour des créations de Paul Poiret, Worth, Doeuillet, Beer, Jeanne Lanvin + 4 planches de croquis par MAM sous cahier titré "Intérieurs Modernes". Articles illustrés en couleurs: - La Maison du Bonheur (texte de George-Armand Masson, dessins d'André Marty) - Couleurs de ses dentelles (Gérard Bauër, Marcelle Pichon) - Bonnets de lingerie (Robert Burnand, MM. Barratin) - Boléros (Louis Léon-Martin, Mario Simon) - La Chenille (Marcel Astruc, Mourgue) - Masques (Emile Henriot, Zinoview) - De quelques tissus (Célio, Marcelle Pichon) - Apparences (Hervé Lauwick, Marthe Romme) - Explication des planches. Numéro bien complet.Ex-libris "Serge Barrier" collé au verso de la 1e de couverture."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [...]La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
[MOURGUE (Pierre) - BRISSAUD (Pierre) - BENITO - LEPAPE (Georges) - BARBIER (George) MARTIN (Charles)] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14281
(1922)
1922 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1922, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées XXV à XVXIII) (sommaire, publicités, explication des planches) - 28 pp. (texte, numéroté de 197 à 224) - 7 planches coloriées au pochoir. Couverture légèrement roussie, manque le dernier double feuillet de texte [225-228] et les croquis "Le Manteau court , en fourrure et en cuir", petites taches marginales sur la planche 55, bon exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
7 planches hors texte (pl. 49 à 55), coloriées au pochoir, de Pierre Mourgue (2), Pierre Brissaud, Benito, Georges Lepape, George Barbier et Charles Martin pour des créations de Kriegck, Larsen, Jeanne Lanvin, Worth, Beer, Paul Poiret, Martial et Armand.Articles illustrés en couleurs: Baccara (texte de Gérard Bauër, dessins de Roger Chastel) - Ruisséola Cloky (Célio, Siméon) - Les Nécessaires (Roger Linzeler, Georges Lepape) - Les surprises de l'Opéra (Vicomtesse de Sygognes, Marty) - Petit à-propos en prose sur des étoffes de Bianchini (Vaudreuil, Martin) - Variation sur des ruines : Pompéi (George Barbier, Ch. Martin) - Le bain des enfants (G.-A. Masson, Helen Smith) - La Chasse dans les bois (Mourgue)."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
Paris EDITIONS DU BON TON 1 Paris, Éditions du Bon Ton, 24 planches en couleurs de caricatures de Roger Chastel et Pierre Mourgue, dont une double planche, in-12, en feuilles, sous couverture crème illustrée par Mourgue et Chastel d'un couple dansant, vert et noir.
Ouvrage tiré à 500 exemplaires (N°318), imprimé sur les presses de l'imprimerie Studium et colorié par J. Saudé. Dans les cercles mondains fréquentés par les artistes, les femmes et hommes du monde sont caricaturés de manière féroce. La danse n'est pas vue comme l'expression de la gâce et de la sensualité, mais comme un moyen de déformer les corps, dénaturés ou dépersonnalisés par l'effort. Les couleurs acides renforcent le cynisme de ce rendu. Petites usures et déchirures à la couverture, couverture salie.
1949 1 Aquarelle signée et datée de 1949 dans le coin inférieur droit, 34,3 x 24,8 cm.
Pierre MOURGUE est un illustateur français né vers 1890. Il a beaucoup contribué aux illustrations de la revue de mode "La Gazette du Bon Ton" et lorsque la revue est rachetée en 1920, il amène chez "Vogue", de nombreux illustrateurs de la gazette et y réalise de nombreuses couvertures. Cette très belle aquarelle de MOURGUE est la couverture originale du magazine "Modes et Travaux" paru en 1949. Elle représente une jeune femme blonde aux yeux bleus, sur fond végétal vert pomme, portant une voilette, qui recouvre légèrement son visage, un chapeau noir orné de feuilles de chênes et de glands, une veste noire couvre ses épaules. Elle est de profil se retournant vers nous. Infimes taches.
GAZETTE DU BON TON. ASTRUC (Marcel), BAUER (Gérard), BOUTET de MONVEL (Roger), MAC ORLAN (Pierre), MIOMANDRE (Francis de), VAUDOYER (Jean-Louis) ... BARBIER (George), BENITO, BRISSAUD (Pierre), DEMACHY (Jacques), LEPAPE (Georges), MARTIN (Charles), MARTY (André-Edouard), MOURGUE (Pierre), PREJELAN, SIMEON, THAYAHT...
Reference : 23986
(1922)
Paris VOGEL 1922 1 in-4 Paris, Librairie Centrale des Beaux-Arts, Lucien Vogel Directeur, 1922, petit in-4, 1er semestre 1922 en 5 livraisons, couvertures conservées, demi-chagrin à coins, titre doré sur le dos lisse, tranches mouchetées, reliure éditeur.
Cette revue de mode du début du XXème siècle est considérée comme la plus remarquable et est devenue la plus recherchée. Les couturiers "les plus exquis (...) lui réserveront la primeur de leurs créations" : Les Lanvin, de Beer, Poiret, Camille Roger, Vionnet, Worth... Les auteurs et les chroniqueurs en vue participent à sa rédaction, tels Marcel Astruc, Gérard Bauër, Roger Boutet de Monvel, Roger Burnand, Émile Henriot, Francis de Miomandre, Jean-Louis Vaudoyer .. Leurs rubriques concernent tant la mode, que les spectacles, les chroniques mondaines... Les illustrations, pour beaucoup réalisées au pochoir, sont l'oeuvre des plus grands artistes, tels George Barbier, Pierre Brissaud, Jacques Demachy, Georges Lepape, André-Édouard Marty, Charles Martin, Pierre Mourgue, Préjelan, Siméon, Thayaht ... "A côté de sept planches hors-texte, qui sont des modèles créées par les couturiers, trois planches qui sont des modèles inventés par les artistes". "La plus importante et recherchée des revues de modes contemporaines". "La Gazette du Bon Ton, tant par ses illustrations que par ses articles, constitue la meilleure représentation que nous ayons de la période Art Déco" (in l'introduction "Gazette du Bon Ton"). (In Jeanne Laffitte, 50 revues 1890/1930) ; "Le plus important et le plus intéressant pour les modes contemporaines" (in Carteret IV, 180) ; "Luxueuse revue de mode vestimentaire tout en couleurs dans laquelle les dessinateurs sortent de leur style habituel pour aller vers l'illustration" (in Dico Solo, 332). Usures et épidermures marginales à la couverture restaurée, légères salissures sur quelques planches, quelques restaurations au scotch, déchirures marginales pages 121 à 124 Gazette N°4.
[MOURGUE (Pierre) - BRISSAUD (Pierre) - MARTY (André) - BARBIER (George) - HUGO (Valentine) - SIMEON - THAYAHT - LEPAPE (Georges)]- VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14279
(1922)
1922 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1922, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées IX à XII) (sommaire, publicités, explication des planches) - 28 pp. (texte, numéroté de 69 à 96) - 8 planches coloriées au pochoir. Couverture légèrement roussie, manque le dernier double feuillet de texte [97-100] et les 8 croquis "Le Ruban employé dans la mode et la couture", bon exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
8 planches hors texte (pl. 17 à 24), coloriées au pochoir, de Pierre Mourgue, Pierre Brissaud, André Marty, George Barbier, Valentine Hugo, Siméon, Thayaht et Georges Lepape pour des créations de Jeanne Lanvin, Worth, Beer, Paul Poiret, Martial et Armand, Camille Roger.Articles illustrés en couleurs: Américaines, de Gérard Bauër, dessins de Roger Chastel - Gentil coq'licot, mesdames ! de Nicole Bonnechose, dessins de Pierre Brissaud - Ombrelles et chapeaux, de Vaudreuil, dessins de Georges Lepape - La guerre à Torquate, de Pierre Mac Orlan, dessins de Charles Martin - Symphonie des tissus, de Ramon-Fernandez, dessins d'André Marty - Blouses, de G.-A. Masson, dessins de Mario Simon - Hermaphodite et Salmacis ou les égarements de la passion, de Ovide, dessins de Bénito."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
GAZETTE DU BON TON. BARBIER (George), BRISSAUD (Pierre), BONFILS (Robert), MARTY (André-Édouard), MOURGUE (Pierre), SIMÉON...
Reference : 23412
(1921)
Paris VOGEL 1921 1 in-4 Paris, Librairie Centrale des Beaux-Arts, Lucien Vogel Directeur, 1921, petit in-4, en feuilles, sous couverture éditeur illustrée de petites fleurs bleues.
Cette revue de mode du début du XXème siècle est considérée comme la plus remarquable et est devenue la plus recherchée. Les auteurs en vue participent à sa rédaction. Citons dans ce numéro : Marcel Astruc, Gérard Bauer, Nicolas Bonnechose, Jean de Bonnefon... Leurs rubriques concernent tant la mode ("Les coiffures du soir", "Souliers", "Babys à la mode" ...), que les spectacles, les chroniques mondaines... Les illustrations, pour beaucoup réalisées au pochoir, sont l'oeuvre des plus grands artistes, tels BARBIER, BRISSAUD, BONFILS, LEPAPE, MARTY, MOURGUE, SIMÉON ... Très légères usures à la couverture au dos restauré, infimes salissures. "La plus importante et recherchée des revues de modes contemporaines. La Gazette du Bon Ton, tant par ses illustrations que par ses articles, constitue la meilleure représentation que nous ayons de la période Art Déco" (In Jeanne Laffitte, 50 revues 1890/1930) ; "Le plus important et le plus intéressant pour les modes contemporaines" (in Carteret IV, 180) ; "Luxueuse revue de mode vestimentaire tout en couleurs dans laquelle les dessinateurs sortent de leur style habituel pour aller vers l'illustration" (in Dico Solo, 332).
[BARBIER (George) - MARTY (André) - LEPAPE (Georges) - MOURGUE (Pierre) - RUEG] - VOGEL (Lucien) & LABUSQUIERE (Jean).
Reference : 14295
P., Rue de Seine, N°10, 1924-25, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture illustrée, imprimée en rouge et noir, de IV pp. (numérotées XXV à XXVIII) (sommaire et publicités), 52 pp. (numérotées de 241 à 292), 4 pp. (numérotées de XXIX à XXXII) (publicité) + 6 planches hors texte coloriées au pochoir. Dos légèrement insolé, rousseurs au plat inférieur, très bel exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
6 planches hors texte (pl. 43 à 48), coloriées au pochoir, de André E. Marty (2), Georges Lepape, Pierre Mourgue, George Barbier, Madeleine Rueg, pour des créations de Jeanne Lanvin, Paul Poiret, Madeleine Vionnet, Worth, Pérugia et Marthe Collot. Articles illustrés en couleurs : Les Collections des Grands Couturiers pour l'été 1925 : Jeanne Lanvin, Paul Poiret, Madeleine Vionnet, Worth, par Clergé - Les Créations des fabricants de tissus pour l'été 1925 : Bianchini (dessins de Grangier) - Rodier (Grangier) - Ducharne (Helen Smith) - Coudurier, Fructus (Montbrun) - Chatillon, Mouly, Roussel (Helen Smith) - Textes de Clérgé - La belle traversée (Faure-Biguet, Jacques Demachy) - L'âge du bois (James de Coquet, Grangier) - La Cotte de maille(Clergé, Mario Simon) - Le Caosar (Clergé, Grangier) - Robes perlées (Clergé, Montbrun).Numéro bien complet. La Gazette du bon ton « Art, Goût, Beauté » est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Édouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique. (Sources Wikipédia).
[BARBIER (George) - MARTY (André) - LEPAPE (Georges) - MOURGUE (Pierre) - RUEG (Madeleine) - ZINOVIEW] - VOGEL (Lucien) & LABUSQUIERE (Jean).
Reference : 14296
P., Rue de Seine, N°10, 1924-25, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture illustrée, imprimée en rouge et noir, de IV pp. (numérotées XXXVII à XL) (sommaire et publicités) - 52 pp. (numérotées de 345 à 388) + 6 planches hors texte coloriées au pochoir. Dos légèrement insolé, très pâles rousseurs en couverture, très bel exemplaire complet de ses pochoirs par ailleurs.
6 planches hors texte (pl. 60 à 65), coloriées au pochoir, de Georges Lepape, George Barbier, André E. Marty, Pierre Mourgue, Madeleine Rueg et Zinoview, pour des créations de Jeanne Lanvin, Paul Poiret, Madeleine Vionnet, Worth, Pérugia et Marthe Collot. Articles illustrés en couleurs : - Les Créations des fabricants de tissus pour l'hiver 1925 : Rodier (dessins de Grangier) - Schwenk (Zinoview) - Chatillon, Mouly, Roussel (Montbrun) - Ducharne (Helen Smith) - Coudurier, Fructus (Montbrun), Textes par Alice Baudoin - Premières confidences... Des figures de l'Amour (Barbier, Charles Martin) - Mesures du siècle (Lucien Farnoux-Reynaud, Grangier) - Le chemin des écoliers (Faure-biguet, Demachy) - Paris les eaux ou les nuits de l'exposition (Farnoux-Reynaud, Sunbeam).Numéro bien complet auquel on joint un petit dépliant 4 pp. "Naissance de "La Mode d'Hiver"". La Gazette du bon ton « Art, Goût, Beauté » est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Édouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique. (Sources Wikipédia).
Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur réalisée par Pierre Mourgue, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Planche publicitaire pour des robes de Jeanne Lanvin au verso. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur réalisée par Pierre Mourgue, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Planche publicitaire pour des robes de Jeanne Lanvin au verso. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
GAZETTE DU BON TON. BARBIER (George), CHASTEL (Roger), LEPAPE (Georges), MARTY (André-Edouard), MARTIN (Charles), MOURGUE (Pierre), THAYAHT.
Reference : 23400
(1924)
Paris VOGEL 1924 1 in-4 Paris, Librairie Centrale des Beaux-Arts, Lucien Vogel Directeur, 1924, petit in-4, en feuilles, sous chemise éditeur illustrée.
Cette revue de mode du début du XXème siècle est considérée comme la plus remarquable et est devenue la plus recherchée. Les couturiers "les plus exquis (...) lui réserveront la primeur de leurs créations" : Les Lanvin, Max Leroy, Poiret, Vionnet, Worth... Les auteurs et les chroniqueurs en vue participent à sa rédaction, tels Marcel Astruc, George Celio, Julien Ochsé, James de COQUET, Georges-Armand MASSON, Vaudreuil... Leurs rubriques concernent tant la mode, que les spectacles, les chroniques mondaines... Les illustrations, pour beaucoup réalisées au pochoir, sont l'oeuvre des plus grands artistes, tels George BARBIER, Roger Chastel, Georges LEPAPE, Charles MARTIN, André-Édouard MARTY, Pierre MOURGUE, THAYAHT, VAN MOPPÈS... "A côté de sept planches hors-texte, qui sont des modèles crées par les couturiers, trois planches qui sont des modèles inventés par les artistes". Fines restaurations à la couverture, de très légères usures et jaunissures internes. Les pages 322-323 "Chroniques" sont détachées. "La plus importante et recherchée des revues de modes contemporaines". "La Gazette du Bon Ton, tant par ses illustrations que par ses articles, constitue la meilleure représentation que nous ayons de la période Art Déco" (in l'introduction "Gazette du Bon Ton"). (In Jeanne Laffitte, 50 revues 1890/1930) ; "Le plus important et le plus intéressant pour les modes contemporaines" (in Carteret IV, 180) ; "Luxueuse revue de mode vestimentaire tout en couleurs dans laquelle les dessinateurs sortent de leur style habituel pour aller vers l'illustration" (in Dico Solo, 332).
P., Aux Editions du Bon Ton, vers 1928, In-4, en feuilles, sous chemise illustrée rempliée.
Tirée à 500 exemplaires numérotés sur vergé. Album de 25 compositions en couleurs de Roger Chastel ( entre 1919 et 1925 il réalisa des illustrations et des dessins satiriques vibrants de couleurs caractérisés par leur cubisme) et Pierre Mourgue ( il collabora à la "Gazette du Bon Ton" à "Flirt" et illustra des catalogues publicitaires de grandes maisons ) coloriées au pochoir par J.Saudé et représentant de célèbres couples de l'époque.
[Publications Lucien Vogel, Condé Nast Editeur, Naville et Cie, Rodriguez Giles et Cie, ] - Collectif ; VOGEL, Lucien ; BRISSAUD, Pierre ; MARTY, André ; BARBIER, George ; BENITO ; LEPAPE, Georges ; MARTIN, Ch. ; WOODRUFF ; MOURGUE, Pierre ; MARIO SIMON ; THAYAHT
Reference : 61558
(1922)
1 vol. in-8 en feuillets sous chemise, Publications Lucien Vogel, Condé Nast Editeur, Paris, Naville et Cie, Genève, Rodriguez Giles et Cie, Buenos-Ayres, 1922, pp. XVII-XX (sommaire et publicités), pp. 133-164 avec 8 planches hors texte en couleurs et avec les 8 croquis de "Robes à Danser inspirées des Costumes de Femmes de couleur de l'Afrique Centrale" (8 planches sous chemise portant la table des planches)
Cinquième numéro de l'année 1922 de cette très remarquable revue de grand luxe, essentielle pour la connaissance de la mode, et à laquelle collaborèrent les tous meilleurs artistes de l'époque. Les illustrations en couleurs, dans le texte ou hors-texte, sont toujours magnifiques et d'un coloris très vif, restituant avec éclat les plus belles créations de Cheruit, Paul Poiret, Doucet, Redfern, Worth, Paquin, etc... Parmi les articles de ce numéro : "Don Juan", "Bonnets et Chapeaux", "Robes de Bain", "Manteaux pour tous les Sports", etc... Bon état (rouss. sur chemise, très bon état par ailleurs) pour ce numéro bien complet des 8 superbes planches hors texte. Colas, 1202
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une double page.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte de Caylus "Le bois dans la mode". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une double page.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte "Pour Cendrillon", soulier de femme. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur finement rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -