Paris, Ollendorff, 1902. In-8 de XX-404 pp., demi-chagrin rouge, dos orné à nerfs, couverture restaurée conservée (reliure moderne).
Édition originale. Émigré en 1791, le comte de Moriolles se rendit auprès de l’armée de Condé, puis en Allemagne, en Pologne, enfin en Russie. De 1797 à 1810, il vit à la cour du prince Branicki. Il livre un un témoignage intéressant sur le grand duc Constantin dont il fut l’un des familiers. Fierro, 1078 ; Tulard, 1067 : « A noter les propos de Constantin sur Napoléon ». Bel exemplaire.