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MONTPENSIER. (ANNE-MARIE-LOUISE D'ORLEANS, DUCHESSE DE. 1627-1693).
Reference : 2932
(1673)
LES AMOURS DE MADEMOISELLE AVEC MR LE COMTE DE LAUZUN. AUGMENTE D’UNE LETTRE DU ROY, & QUELQUES VERS SUR CE SUJET. SUIVANT L’ORIGINAL DE PARIS.
A COLOGNE. CHEZ MICHEL BAUR. SANS DATE (1673). PETIT IN-12 (7,5 X 12 X 1 CENTIMETRES ENVIRON) DE 118 PAGES, RELIURE POSTERIEURE 1/2 VEAU BLOND, DOS A QUATRE NERFS ORNE DE FILETS DORES, TITRE DORE. RARE EDITION A LA SPHERE, PARUE PEU DE TEMPS APRES L’ORIGINALE DE CE COURT ROMAN CONTANT LES AMOUR DE MADAME DE MONTPENSIER ET DU COMTE DE LAUZUN. PETITS DEFAUTS EXTERIEURS, DONT CHARNIERE DU PLAT SUPERIEUR, UN PAPIER DE GARDE EN PARTIE DETACHE, SINON BON EXEMPLAIRE.
MONTPENSIER, Mlle. (Anne Marie Louise d'Orleans, duchesse de) (1627-1693)
Reference : 132932aaf
Mémoires de Mademoiselle de Montpensier. (Connue comme La Grande Mademoiselle). En 7 volumes complet.
A Londres, (Paris) M.DCC.XLVI., (1746), pt. in-8vo, 400 + 448 + 350 + 345 + 378 + 457 + 417 p. reliures en veau, dos orné or. tranches marbrées. (Tome 1 & 2 avec traces d’usage et charnières fendus, mais ferme).
Brunet, tome 3, col. 1871, (un des 2 réimpressions plus complètes que celles qui les ont précédées). image disp
(SLACES, NVVA)
Phone number : 41 (0)26 3223808
MONTPENSIER (Anne Marie Louise d’Orléans), duchesse de Montpensier, plus connue sous le nom de « Grande Mademoiselle », fille de Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII et de Marie de Bourbon Montpensier (1627-1693)
Reference : 107C20
Pièce signée sur vélin, « Anne Marie Louise d’Orléans ». Paris, février 1667. Cachet de cire rouge. 1 p. in-folio oblong. Encadrement sous verre.
Très belle pièce signée par la petite fille du roi Henri IV, accordant le droit de patronage à la cure de Goustranville, à la demande du sieur Onfray, écuyer secrétaire du roi, de ses finances, maison et couronne de France. Au cours de la Fronde, après de longues hésitations, et afin de pallier à l’intervention de son père Gaston d’Orléans, qui ne souhaitait pas se positionner, elle se rangea du côté des révoltés, monta à cheval, prit la tête de l’armée des princes et s’empara de la ville d’Orléans, enfin décida le prince de Condé à livrer le combat de Bléneau. De retour à Paris, la Grande Mademoiselle y jouit d’une popularité considérable. Lors de la bataille du Faubourg Saint-Antoine, elle se rendit à la Bastille et fit tirer le canon sur les troupes royales pour protéger la retraite de Condé…
