MADEMOISELLE DE MONTPENSIER, DITE « LA GRANDE MADEMOISELLE » / MME DE LA FAYETTE / MME DE SEVIGNE / LA ROCHEFOUCAULD, ETC…
Reference : LCS-17847
Unique exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle. Paris, Charles de Sercy et Claude Barbin, 1659.2 volumes in-8 de : I/ (16) ff. dont 1 frontispice, 452 pp. mal chiffrées 454 (la pagination saute de 16 à 25, de 40 à 31, de 258 à 257, de 355 à 362) ; pp. 455-916 mal chiffrée 912 (la pagination saute de 758 à 755), 3 pp. pour la Clef des noms des portraits qui sont abregez dans la galerie de peintures. Veau brun granité, filet à froid encadrant les plats, dos à quatre nerfs ornés à la grotesque, filet doré sur les coupes, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 166 x 102 mm.
Edition originale mythique du siècle des Précieuses, la seconde très augmentée, et l’un des livres les plus rares de la littérature française du XVIIe siècle, ayant fait l’objet de nombreuses rééditions et études commentées aux XXe et XXIe siècles. (Réédition B.n.F - Hachette le 1er juin 2012, réédition Hermann le 16 mai 2013, etc…).Rahir, Bibliothèque de l’amateur, p. 607 ; Tchemerzine, IV, p 938 ; Lachèvre, Bibliographie des recueils collectifs, II, pp. 106-112 : 103 portraits dont 82 nouveaux. Edition b, à pagination unique décrite par Denise Mayer in Bulletin du Bibliophile, 1970, pp. 140-142.La même année fut publié à Caen un volume proche de format in-4 sous le titre « Divers Portraits ». Il ne contenait que 59 portraits.Ce recueil présente 103 portraits dont 82 nouveaux avec les deux les plus célèbres : - celui de Madame de Sévigné écrit par Madame de La Fayette ici en édition originale. Ce portrait constitue le premier texte imprimé de Madame de La Fayette.- celui de La Rochefoucauld par lui-même, premier texte imprimé de l’auteur des « Maximes ».Le recueil présente par ailleurs 16 portraits écrits par la Grande Mademoiselle (1627‑1693).Ces deux volumes sont ornés d’un superbe frontispice, véritable galerie de portraits, portant les armoiries de la Duchesse de Montpensier.Il fallut attendre l’étude approfondie de Denise Mayer consacrée à ce livre si important au siècle des Précieuses, le premier de la littérature française décrivant exclusivement des portraits et caractères, précédant de quelques années les La Bruyère, La Rochefoucauld et autres, pour déceler dans cette édition en 912 pages une véritable originale différente des Divers Portraits publiés à Caen la même année.Ce Recueil est d’une très grande rareté.Brunet ne cite qu’un exemplaire, celui de La Vente Libri en 1857 (II, 770).Tchemerzine (IV, 938) en mentionne deux dont l’exemplaire Rahir aux armes de La Grande Mademoiselle porté au prix colossal de 18 000 Fr Or sur le catalogue Fontaine de 1879.Un livre de bibliophilie se négociait alors à compter de 10 F Or , 1 800 fois moins.Le présent exemplaire en reliure de l’époque est le seul passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle en cette condition.Jacques Guérin mettait Les Divers Portraits à l’honneur de sa célèbre vente de 1984 et plaçait le titre de ce volume orné des armoiries de la Grande Mademoiselle « en frontispice de son catalogue ». Ce célèbre texte a fait l’objet de très nombreuses études récentes reproduites très partiellement ci-après : « Le Recueil des Portraits marque une date dans l'histoire littéraire entre la Clélie et les Caractères, entre Montaigne et la Princesse de Clèves : il suffit, pour s'en convaincre, de lire des portraits comme ceux, en prose, de Condé par Mademoiselle de Montpensier ou de l'abbesse de Caen par elle-même.Le Recueil des Portraits publié en 1659 par les soins de Mademoiselle de Montpensier est, selon le mot de Rebelliau, un « trésor des portraits », paru à l'heure où la mode du portrait, vieille de deux ou trois ans, est déjà sur son déclin.» (J. D. Lafond – xviiè Congrès de l’Association, Tours, le 29 juillet 1965).En 1659, Charles de Sercy écrivait : « Cet ouvrage qui est un ‘Recueil des Portraits de Leurs Majestez, de Vostre Altesse royale, & de tout ce qu'il y a de plus illustre dans nostre Cour, paroistra sans doute d'autant plus éclatant & plus merveilleux, qu'il n'a pour Artisans & pour Peintres que de grandes Princesses, ou Duchesses, & toutes les plus galantes Dames du Royaume, qui ont pris plaisir ou à se peindre elles-mesmes, ou à représenter leurs Amies d'une manière tout à fait tendre, délicate, & spirituelle’. »En février 2013, le professeur Leah Chang (Georges Washington Library) louait la nouvelle analyse des « Divers Portraits » réalisée par Sara Harvey.« La force du livre de [Sara] Harvey se trouve dans la relation qu'elle décrit entre le contexte historique durant lesquels les Divers portraits ont été produits, l'esthétisme du portrait littéraire et les caractéristiques physiques du livre lui-même. ( ... ) [Sara] Harvey nous prouve avec succès que la richesse apparente des Divers portraits n'était pas seulement un effet de style du portrait littéraire mais plutôt un instrument nécessaire dans les efforts de Mademoiselle de Montpensier pour clamer et promouvoir son statut de personnage central dans un cercle d'élites à l’influence culturelle et politique. » (Leah Chang, H-France Review volume 14-2014.)Le 16 mai 2013 sortait en librairie l’étude et édition critique des « Divers portraits » de Sara Harvey présentée ainsi par l’éditeur :« Cet ouvrage à une double vocation : il présente en première partie une lecture des Divers portraits de Mademoiselle de Montpensier et fournit, dans un second temps, la première édition critique complète de ce recueil de portraits littéraires publié à un tirage limité en 1659. L'étude proposée repose sur l'ambiguïté fondatrice des Divers portraits : œuvre de circonstance témoin d'une mode du portrait littéraire qui dura moins de trois ans (1656-1659) et livre d'apparat à prétention historique et mémorielle dédié à la gloire d'Anne-Marie-Louise de Montpensier.De la genèse des Divers portraits jusqu'à l'histoire de sa réception (xviiè-xxè siècle), les enjeux du recueil sont évalués sous l'angle de ce double statut de production mondaine et d'archive aristocratique. Afin de retracer les lignes de forces qui accusent de la singularité des Divers portraits, l'enquête fait dialoguer l'histoire littéraire et l'histoire du livre. Aussi accorde‑t‑elle une place centrale à l'histoire de la représentation de Mademoiselle de Montpensier dont la place est déterminante dans la constitution du recueil.L'édition critique des Divers portraits complète la lecture de cette galerie de portraits à plus d'un titre. Les nombreuses notes historiques, littéraires et linguistiques ancrent l'ouvrage dans son contexte social et culturel, alors que les notices annexées à chaque portrait, fournissent non seulement un éclairage biographique sur la communauté représentée dans le volume, mais apportent également des précisions sur l'architecture et la cohérence symbolique de l'œuvre collective. »En l’année 2005, Lucie Desjardins (Université de Montréal) écrit : « Dans les cercles précieux qui se réunissent autour de Mademoiselle de Montpensier et à la faveur de l'influence exercée par les romans de Madeleine de Scudéry, le portrait mondain devient un véritable divertissement de société dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Mais alors que le portrait romanesque s'élabore souvent sous la forme d'éloges hyperboliques adressés aux contemporains sous le couvert de personnages à clés, le portrait mondain, du moins si l'on en juge par le recueil de 1659, décrit généralement des êtres réels sans employer de pseudonyme et recourt à une technique assez fixe. Les auteurs proposent la représentation d'un modèle ou d'eux-mêmes en commençant généralement par une énumération des traits physiques à laquelle ils ajoutent une description de traits moraux. On retrouve, dans ce recueil, une majorité de modèles féminins, mais aussi plusieurs femmes portraitistes qui s'appliquent à décrire tantôt leurs propres qualités, tantôt celles des autres.En même temps, le portrait littéraire entretient des liens étroits avec l'art pictural, auquel il emprunte son vocabulaire (portraire, dessiner, peindre) et sa théorie qui, comme l’a montré Édouard Pommier est hantée, depuis la Renaissance, par le problème de la ressemblance.Par la mise en scène du moi, les portraits qui figurent dans les Divers portraits se trouvent à la fois à remplir les conditions de la mode en respectant ses règles, ses formules banales et convenues qui sont le fondement même de ce divertissement de société, mais aussi, paradoxalement, à introduire une distance critique entre le jeu et la réalité sociale. En effet, le portrait mondain se veut plus qu'un simple divertissement ; il invite à interroger non seulement sa représentation ou celle de l'autre, mais aussi l'importance et la valeur qui sous-tendent la représentation individuelle dans une société qui refuse de reconnaître la singularité de l'être. En ce sens, il témoigne peut-être d'abord et avant tout de la volonté et de la conscience qu'avaient les portraitistes de présenter une image de soi digne d'être offerte à la postérité et d'assurer une permanence de soi sur la scène d'un théâtre du monde où le fugitif l'emporte sur le durable.Enfin, ces différentes stratégies ne sont pas sans rappeler la posture d'un Montaigne décrivant le projet de se peindre dans l'avis au lecteur des Essais :C'est ici un livre de bonne foi, lecteur [...]. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis […]. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voit en ma façon simple, naturelle, ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve autant que la révérence publique me l'a permis. »(Lucie Desjardins, 2005, Université de Montréal)Rappelons enfin que la critique récente la plus exhaustive parait en Février 2013, œuvre de Leah Chang (George Washington University) :« In this first critical edition of Mademoiselle de Montpensier's Divers portraits (1659), Sara Harvey makes available to scholars a lesser-known work by Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier. Known as "La Grande Mademoiselle", Mademoiselle de Montpensier is most famous for her proximity to the throne during the reign of her cousin, Louis xiv, for her role in the Fronde, and for her Mémoires (first published in the eighteenth century). The Divers portraits are particularly distinctive as a collaborative work, for the 1659 volume contained literary portraits and self-portraits authored by both the duchess and those in her circle during the years 1653‑1657. In an extensive introductory study that precedes the critical edition, Harvey immediately lays out the interpretive question that underpins an analysis of both the material volume and the historical circle that generated it. Why, she asks, was the book published as an ornate, limited edition livre d'apparat (akin to a highly decorative vanity publication) when the vogue for this kind of literary portrait would last only about three years in mid-century? And what is the scholarly interest for such a book today?As Harvey outlines, the critical approaches to the Divers Portraits have generally taken two forms. On the one hand, literary historians have been interested in the Divers portraits principally as representative of the genre and form of the literary portrait it elaborates, its production among a circle of mondain participants, and its reception among a narrowly defined and elite audience. On the other hand, historians of the book have approached the Divers portraits as a "patrimonial object" whose historical value is largely found in its memorializing objectives. Harvey situates her presentation of the Divers portraits between these two critical perspectives. How, she asks, does the collection walk the line as witness both to an aristocratic, memorial endeavor and to the fleeting mondain tasse for the literary portrait?At the heart of the Divers portraits, Harvey argues, is Mademoiselle de Montpensier herself. When she was born in 1627, the birth of the future Louis xiv was still nine years away. As the only child of Louis xiii’s younger brother, Gaston d’Orléans, and Marie de Bourbon, Mademoiselle de Montpensier was, as a young child, the scion of the Bourbon dynasty. Her prominent identity as the “first child of France” earned her international visibility, an exceptional education, and an enviable position as both object and patron of countless writers and artists. It was in this culturally dynamic milieu during her early years, Harvey shows, that Mademoiselle first became the object of numerous visual and literary portraits, which worked to celebrate the young duchess as the flower of French nobility within a genealogical narrative of royal dynasty, inheritance, and female heroic power. After the Fronde (1648-1653), the duchess’s interest in the literary portrait took on a different dimension. During her period of exile, beginning in 1653, the composition of portraits served to entertain the duchess, but also to explore and construct the centrality of her own royal identity. By assembling the Divers portraits and printing the volume in limited edition with careful attention to its aesthetic design, Mademoiselle de Montpensier marked the creation and publication of the literary portrait as an exclusive affair in which she was the central and directive figure. In its material production, then, the volume of the Divers portraits became both the medium and the material incarnation of the duchess’s self-promotion. Harvey divides her book into two distinct sections : an extensive, three-part introduction, followed by a critical edition of the 1659 text. The introduction is particularly notable and exhaustive in its detail. The three parts trace the production of the Divers portraits from its first publication to its reception post-facto through the nineteenth century. Part One covers the origins of the literary portrait, the intersections of the development of the genre as it was intertwined with Mademoiselle’s personal history, the moral and political uses of the portrait, and the ways in which the duchess used the portrait to develop a personal mythology. Part Two analyzes aspects of the material production of the book, including paratextual material, frontispieces, the uses of titles and ornaments, the arrangements of the portraits within the collection, and dedications. The third and final part examines the reception of the Divers portraits from the seventeenth century onward. Harvey closely compares the Divers portraits to the Recüeil de portraits et éloges, another portrait collection also published in 1659, with which the Divers portraits is often confused (the publication in the same year of both collections testifies to the popularity, if ephemeral, of the genre). This comparison highlights the précieux backdrop that informed the composition and publication of literary portraits, and shows how the two collections followed two distinct modes: while Mademoiselle’s Divers portraits was indeed inspired by the literary pastimes of the aristocracy, it also sought politically to glorify and memorialize that elite, while the Recueil belonged more properly to the mode of “gallant literature.” After a discussion of seventeenth-century commentaries on the portrait, Harvey concludes the introduction by tracing the nineteenth-century reception of the Divers portraits, emphasizing in particular the ways in which its material form—as livre d’apparat—ensured its continued attention by historians of the book and paved the way for its historical reception as a memorializing endeavor, as distinct from the category of littérature mondaine in which the literary portrait could otherwise be inscribed... » (Leah Chang – George Washington University).Remarquable exemplaire de ce livre célèbre a grandes marges (hauteur 166 mm), le seul conservé dans sa reliure strictement d’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle.Il est complet de la clef imprimée à l’époque, « que nous n’avons vue nulle part » dit Rochebilière (Cat. I, 1882, n°713).Des bibliothèques Louis de Monmerqué (1780-1860), avec note autographe, et Jacques Dennery, avec ex-libris.
[Prisons] – CLÉRY (Jean-Baptiste), Louis Antoine Philippe d'Orléans, duc de MONTPENSIER, Honoré RIOUFFE.
Reference : 32699
(1864)
Firmin-Didot, 1864, in-12, 473 pp, éclaircissements historiques et pièces officielles, broché, état correct (Bibliothèque des mémoires relatifs à l'histoire de France pendant le 18e siècle)
Réunion des mémoires de captivité de Cléry, Montpensier et Riouffe avec avant-propos et notes de François Barrière. Du plus grand intérêt sur les prisons de la Révolution. Les Mémoires de Cléry, le valet de chambre du roi, et d'Edgeworth de Firmont, le confesseur du roi, sur la captivité de la famille royale au Temple (pp. 17-239), ceux du duc de Montpensier, fils cadet du duc d'Orléans et frère de Louis-Philippe, sur son arrestation et sa captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon (pp. 243-370). "Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps" (Fierro, 1070), et ceux de Riouffe : Mémoires d'un détenu pour servir à l'histoire de la tyrannie de Robespierre (pp. 373-464). "Homme de lettres, partisan des Girondins, Riouffe raconte son arrestation en octobre 1793 et sa détention jusqu'à la fin de la Terreur." (Fierro, 1259)
Deux textes en une mème reliure.Choiseul: Relation du départ de Louis XVI. Paris.Baudouin.1822.237 p. Montpensier: Paris.Baudouin.1824.Portrait et 207 p.Demi-reliure avec pièces de titre.Tranches marbrées.Bon état avec qques rousseurs.
P., Imprimerie Royale, 1837, gr. in-8°, xv-231 pp, un autoportrait dessiné par l'auteur et gravé par Dupont tiré sur papier de Chine en frontispice, une notice biographique non signée en tête, reliure demi-veau glacé havane à coins, dos lisse orné en long, pièce de titre chagrin noir, filets dorés sur les plats, tranches jaspées (rel. de l'époque), dos très lég. frotté, un mors fendu, bon état
Ce texte parut pour la première fois sous le titre : « Relation de la captivité de S.A.S. Mgr le duc de Montpensier...» , tiré de l'imprimerie particulière de Twickenham en 1816. Il fut souvent réimprimé par la suite sous ce titre de « Mémoires...». Le frère de Louis-Philippe y raconte en effet ses 43 mois de captivité d'avril 1793 au 5 novembre 1796 dans les prisons de Marseille. « Fils cadet du duc d'Orléans (Philippe Egalité), frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des mœurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps. » (Fierro, 1070). Le récit s'achève par l'embarquement pour l'Amérique (novembre 1796). - Cette édition — qui, sortie de l'Imprimerie royale, a un caractère officiel — est d'une typographie soignée et tirée sur grand papier.
Pierre Lafitte, 1912; 179 pages, grand in-8, reliure éditeur pleine percaline ocre, premier plat orné d'un tigre, 136 photographies hors texte de André Wentzel. Préface de Jean Richepin. fortes rousseurs éparses, titre au dos frotté, très bon état par ailleurs.
with 136 photographs of hunting scenery and inhabitants & views. H.calf with marbled boards and flyleaves. *Some foxing in the text. Thieband 667. Ferdinand d'Orleans, Duc de Montpensier was a grandson of Louis-Philippe.
Paris, Imprimeire Royale, 1837. In-8, rel. de l'ép. demi chagrin poli noir, dos à nerfs rehaussés d'1 roulette dorée, caissons dorés fleuris de petits fers dorés, tr. mouchetées, XV-231 pp, portrait du duc de Montpensier au front. dessiné par lui-même et gravé par Dupont, tiré sur papier chine contrecollé, appendice. Ex. imprimé sur papier vergé.
Coiffes et mors frottés en tête et en queue, manque de papier en bordure du plat sup. suite à une ancienne mouillure que l'on retrouve en marge des 20 premières pp., qq. pâles rousseurs éparses, bon ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Paris Imprimerie royale 1837 In-4° (258 x 206 mm), XV pp. - [1] p. bl. - 201 pp. - [3] pp. bl. et [1] f. de pl., veau brun à coins, dos lisse orné, plats de papier marbré muticolore avec encadrement d'un filet, gardes et tranches du même (reliure de l'époque)
Exemplaire réimposé in-4 sur grand papier vélin Un des rares exemplaires réimposé in-4° tiré sur papier vélin fort de cette édition privée illustrée d'un très beau portrait tiré sur papier de Chine dessiné par le duc lui-même et gravé par Dupont. Il s'agit d'une nouvelle édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807) publiées pour la première fois en 1816 sur les presses de l'imprimerie particulière du duc d'Orléans à Twickenham. Les Orléans publièrent au XIXe siècle plusieurs textes à compte d'auteurs qui ne furent pas mis dans le commerce, cette publication qui s'inscrit dedans fut probablement ordonnée par Louis-Philippe en mémoire de son frère. Ces mémoires sur la période révolutionnaire, du fils cadet du régicide Philippe-Egalité, sont importants. Ils couvrent la période qui va de 1793, date de l'arrestation du duc pendant la terreur, à son arrivée en 1797 à Philadelphie, soit la seule où les deux frères, qui entretenaient une profonde affection, furent séparés. Le récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux évènements du temps. Antoine-Philippe d'Orléans (Paris,1775 - Salt Hill,1807), duc de Montpensier, prince du sang français membre de la maison d'Orléans, est adjudant général à l'armée du Var lorsqu'il est arrêté, en même temps que tous les Bourbons, en avril 1793 et incarcéré au fort Saint-Jean à Marseille. Il sera rejoint durant sa longue captivité par le prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Il y contracte la tuberculose qui finira par l'emporter en 1807. Le 13 fructidor an IV (30 août 1796), le Directoire décide enfin son élargissement et ordonne qu'il soit transféré à Philadelphie où le chargé d'affaire de la République française aux États-Unis doit lui verser une pension annuelle de 15 000 francs. Il s'embarque le 5 novembre 1796. C'est alors qu'est conçu son fils naturel, Jean-Antoine-Philippe Dentend (1797-1858), qui deviendra le notaire de la maison d'Orléans (à ce titre, il sera chargé de rédiger l'acte de donation des biens personnels de Louis-Philippe à ses enfants juste avant son accession au trône en 1830). En février 1797, accompagné de son frère puîné le comte de Beaujolais, il rejoint son frère aîné à Philadelphie. La pagination est différente de celle de l'in-8° qui présente 231 pp. Fierro - 1070 ; quelques frottements notamment au dos à l'emplacement du titre ainsi qu'aux coins, petit manque sur le plat supérieur, rares rousseurs plus présentes à quelques feuillets notamment au titre.
Amsterdam, chez Jean-Frederic Bernard,1730, un volume In huit, 226 pp, 222 pp, reliure d'époque en plein veau ,dos à cinq nerfs orné, pièce de titre manquante , petits manques aux coiffes et mors fendus, mais état convenable,
Deux tomes par volume, seulement les tomes III et IV,de ce volume II.
Montpensier, Anne-Marie-Louise-Henriette d'Orléans, duchesse de ; CHéRUEL, Adolphe
Reference : 128364
(1868)
Paris, Charpentier, Libraire-éditeur 1868 4 volumes. In-12 18,5 x 11 cm. Reliures demi-chagrin noir, dos à nerfs, XI-465-560-635-724 pp., notes en bas de page, appendices, tables des chapitres, table alphabétique des matières.
Témoignage important et, somme toute, unique de la vie d'une femme au XVIIe siècle, prisonnière de son éducation et de son rang : là où les autres mémorialistes disent ce qu'ils ont vécu, la duchesse de Montpensier (1627-1693), dite la Grande Mademoiselle, dit ce qu'elle a ressenti. Bon état d’occasion
Paris, Baudoin frères, coll. « Collection des Mémoires relatifs à la Révolution française », n° 24 1824 In-8 20,5 x 12,5 cm. Reliure de l’époque basane havane racinée, dos à nerfs encadrés de fers dorés, plats encadrés de roulette dorée, portrait de l’auteur en frontispice, 304 pp., table des matières. Ex-libris d’Edward-Smith Stanley 13e comte de Derby 1775-1851. Rousseurs éparses.
Bon état d’occasion
Paris, Imprimerie Royale, 1837.
Superbe exemplaire sur grand papier et luxueusement relié. "Fils cadet du duc d'Orléans, frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des murs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps." Fierro, Bibliographie critique des Mémoires sur la Révolution, 1070. Autoportrait de l'auteur, gravé par Dupont en frontispice. Des rousseurs sur les premiers feuillets, qui disparaissent sur les feuillets suivants, menus défauts à la reliure. /// grand in-8 de XV, 231 pp. Maroquin rouge, dos orné en long, filets et dentelles d'encadrements à froid et dorés sur les plats, avec un grand fleuron en losange au centre, tranches dorées, gardes en soie moirée bleue. (Reliure de l'époque.) //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
Paris, Charpentier, 1858. 4 vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de xi - 485 pp. ; 2 ff. n.fol. et 560 pp. ; 2 ff. n.fol. et 635 pp. ; 2 ff. n.fol. et 726 pp. Reliures uniformes de l'époque de demi-chagrin maroquiné et glacé cerise, dos à nerfs ornés de filets gras et maigres à froid, filet en pointillés dorés sur les nerfs, fleurons dorés, titre doré, tomaison dorée, tranches mouchetées.
Ensemble complet de ses 4 volumes ; sous agréables reliures du temps. ''Les Mémoires d’Anne-Marie-Louise d’Orléans, duchesse de Montpen sier, dite Mademoiselle sont aux carrefours de la vie aristocratique et mondaine du Grand Siècle.'' On y retrouve les hauts lieux de la sociabilité du XVIIe siècle, les Tuileries, où elle grandi, le Palais-Royal, Le Louvre, le palais du Luxembourg, Versailles, et, en Province, Blois ou Fontaine bleau.'' (Anne Cousson in Récit de la sociabilité et récit de soi : Les Mémoires de Mademoiselle de Montpensier). ''Mêlée avec panache à la Fronde, participant à la vie de cour jusqu’à sa mort, Mademoiselle est un témoin actif d’une histoire dont elle connaît tous les acteurs. La Princesse confie l’histoire de sa vie, mais autant pour « se dire » que pour témoigner de son temps, dans la logique d’un abandon à la mémoire qui laisse la part large à une mythologie personnelle, comme à une grandissante introspection. À l’école de Corneille, lu et scruté une vie entière, et forte d’une conscience de soi fabuleuse, Mademoiselle nous offre l’odyssée d’une liberté féminine au grand siècle, sous un règne pourtant écrasant. Ce faisant, et bien avant Rousseau, elle nous livre un des premiers exemples de la moderne autobiographie.'' (Jean Garpaon). Angles et coupes élimés. Quelques marques sombres aux dos. Quelques claires rousseurs dans le texte. Infime manque angulaire en marge des trois derniers feuillets du premier volume. Du reste, bonne condition.
Amsterdam, chez Jean-Frederic Bernard,1730, Deux tomes en un volume In huit, 221 pp, 266 pp, reliure d'époque en plein veau ,dos à cinq nerfs orné, pièce de titre manquante , petits manques aux coiffes et mors fendus, mais état convenable,
Deux tomes par volume, seulement les tomes V et VI,de ce volume III.
Montpensier, Anne-Marie-Louise-Henriette d'Orléans, duchesse de
Reference : 115814
(1659)
Paris, chez Charles de Sercy et Claude Barbin 1659 In-12 18,5 x 10,5 cm. Reliure de l’époque basane havane, dos à nerfs encadrés de fers dorés, [26]-454 pp., mal chiffrées, la pagination saute de 16 à 25, de 40 à 31, de 258 à 257, de 355 à 362, frontispice gravé portant les armoiries de la Duchesse de Montpensier, bandeaux, lettrines, culs-de-lampe. Ex-libris autographes. Reliure frottée, coins émoussés et frottés, coiffe de pied arrachée, marges avec rousseurs, certaines avec mouillures, intérieur correct.
édition originale d’un ouvrage mythique du siècle des Précieuses, et l’un des moins communs de la littérature française du XVIIe siècle. Bon état d’occasion
Charpentier 12 x 19 Paris 1857 Quatre volumes in-12, 1857-1859, reliure demi-maroquin bleu nuit moderne à coins, dos à cinq nerfs, pièces de titre de maroquin rouge, auteur, titre et tomaison dorés, plats et gardes marbrés, têtes dorées, XI-465-4, 560, 635, 726 pp. Appendices, table des chapitres, table alphabétique des matières. Couvertures conservées. Mémoires dAnne-Marie-Louise dOrléans (1627-1693), duchesse de Montpensier, dite "la Grande Mademoiselle" fille de Gaston d'Orléans, frère de Louis XIII, Roi de France. Ses mémoires couvrent la période de 1627 à 1688. Bonnre reliure, intérieur frais, Très bon exemplaire.(B39) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Paris, Baudouin Frères, 1824. In-8°, demi-veau, dos à nerfs richement orné (reliure de l'époque). 288 pp.
Deuxième édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807), frère de Louis-Philippe ; la première avait été publiée hors commerce pour un petit cercle de proches. Ces mémoires couvrent la période qui va de 1793, date de l'arrestation du duc, à son arrivée en 1797 à Philadelphie. Il est enterré à Londres, dans l'abbaye de Westminster. (Fierro, n° 1070).Portrait du duc de Montpensier, dessiné par lui-même, en frontispice.Charnières un peu fragiles. Légères rousseurs sinon bel exemplaire.
Nouvelle édition. 8 Bände. Maestricht, E. Dufour, 1776. 8°. Halblederbände der Zeit.
Brunet III, 1875. - Spätere Ausgabe der im 18. Jahrhunder häufig gedruckten Tagebücher der französischen Herzogin von Montpensier (1627-1693). Erschienen nach ihrem Tode erstmals 1729 in Amsterdam. Lebte den grössten Teil ihres Lebens im Exil, da sie sich politisch gegen den französichen König wendete. - Die ersten und letzten Seiten zum Teil leimschattig. Einbände etwas berieben. Rücken von Band VI am Fuss und Rücken von Band VII mit Fehlstellen.
1824 Paris, Baudouin frères, 1824, in 8 de XV-207 pp., 1 portrait gravé de l'auteur en front. dessiné par lui-même, rel. moderne de belle facture, demi-veau glacé brun sombre, dos à nerfs, date en pied, bel ex.
2e édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807), frère de Louis-Philippe. L'éd. orig. a paru hors commerce, à très peu d'exemplaire.
1858 Paris, Charpentier, 1858. Quatre volumes in-12 demi chagrin rouge, dos à nerfs, titre doré, 465, 560, 635 et 726 pages. Ex-libris de la bibliothèque Le Chartier de Sedouy en page de garde. Rousseurs éparses, légère insolation des plats, néanmoins bel ensemble.
Provenance: Alain Le Chartier, Marquis de Sedouy.In Archives départementales de la Manche, Chartrier de la famille Le Chartier de Sédouy, par Henry Compant la Fontaine sous la direction de Julie Laplanche, Saint-Lô, 2012: "La famille Le Chartier, aux multiples branches, semble originaire de Saint-Martin-des-Besaces (canton du Bény-Bocage, Calvados) au XVe siècle. Elle sest maintenue sur cette paroisse et dans les paroisses limitrophes de Saint-Denis-de-Maisoncelles (Calvados) et La Ferrière-Harang (Calvados) jusquau XVIIIe siècle ; elle émigre alors de plusieurs kilomètres, atteignant Torigni-sur-Vire (Manche), Guilberville (Manche), Domjean (Manche), Beuvrigny (Manche). Une tradition rapporte que cette famille descend de la même souche que celle qui a produit au XIVe siècle Alain Chartier, notaire et secrétaire des rois Charles VI et Charles VII, et ses deux frères, Guillaume Chartier, évêque de Paris, et Jean Chartier, moine de Saint-Denis". Alain Le Chartier, marquis de Sédouy (1840 - 1892) sétablit à Beuvrigny. Son ex-libris reprend le tronc dolivier figurant sur les armes de la famille«dazur, à une fasce alésée dor, accompagnées en chef de deux perdrix de même, et, en pointe, dun tronc dolivier, feuillé de chaque côté de trois feuilles, aussi dor.» La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
3ème édition revue et corrigée. P. Baudouin, 1824. In-8, 304 pages. Demi basane (modeste), dos lisse. Reliure fin XIXème.
Portrait en frontispice de Montpensier, dessiné par lui-même.
Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-8 de XV-200-(1) pp. 3 pp.bl., demi-veau taupe, dos fleurdelisé à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, tranches dorées (reliure moderne).
Tirage in-quarto sur papier fort de l'Imprimerie royale dont la pagination est différente de l'in-octavo sorti la même année des mêmes presses. L'édition originale a paru en 1824 dans la Collection des mémoires relatifs à la Révolution française. Mémoires importants, sur la période révolutionnaire, du Duc de Montpensier fils cadet de Philippe-Égalité le régicide, et donc le frère du Roi Louis-Philippe. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps. Portrait de l'auteur en frontispice "dessiné par lui-même" gravé par Dupont. Fierro, 1070. Rousseurs éparses.
Paris, Baudouin Frères, 1824. In-8°, demi-basane, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). 288 pp.
Deuxième édition des mémoires du duc de Montpensier (1775-1807), frère de Louis-Philippe ; la première avait été publiée hors commerce pour un petit cercle de proches. Ces mémoires couvrent la période qui va de 1793, date de l'arrestation du duc, à son arrivée en 1797 à Philadelphie. Il est enterré à Londres, dans l'abbaye de Westminster. (Fierro, 1070).Portrait du duc de Montpensier, dessiné par lui-même, en frontispice.Accroc à la coiffe supérieure. Intérieur très frais.
MONTPENSIER, Anne-Marie-Louise-Henriette d'Orléans (duchesse de)
Reference : 20865
(1735)
Amsterdam J. WETSTEIN & G. SMITH 1735 in-12 plein-veau 8 tomes reliés en 4 volumes, reliure plein veau brun moucheté in-douze (binding full calfskin duodecimo), dos 5 nerfs (spine with raised bands) entre-nerfs à fleuron au fer évidé dans un encadrement à double filets "or" , titre et tomaison frappés "or", pièce de titre sur fond bordeaux avec double filets "or" en encadrement et pièce de tomaison sur fond havane avec roulette et double filets "or" en encadrement, roulette "or" en place des nerfs avec filet à froid de part et d'autre des nerfs, double filets "or" en tête et en pied, manque de cuir en tête et en pied (1 cm2 + 1 cm2) et coiffes manquantes au Tome I + coiffes manquantes au Tome II , plats orné d'un filet à froid en encadrement, plats avec trés léger manque de cuir au Tome I, roulettes sur les coupes (fillets on the cuts)avec manque de dorure (blurred gilding), toutes tranches lisses jaspées rouges (red edges), texte à manchette (marginal note), titre en rouge et noir, EX-LIBRIS du Comte de SOYECOURT imprimé en doré au dos de la page de garde de tous les 4 volumes, orné d'un portrait en frontispice gravé en noir par P. Tanjé, (XXI + 1 p. + 246) + (307) + (247) + ( 251) + (264) + (285) + (229) + (348 + [65] p. de Tables) Pages, 1735 à Amsterdam Chez J. WETSTEIN & G. SMITH Editeurs,
Autre(s) auteur(s) : Bernard, Jean-Frédéric...Les Mémoires couvrent la période 1627 à 1688. "Les renseignements fournis sont très précieux : la peinture de la cour de France au milieu du XVIIe est faite par une personne qui la connaissait bien pour y avoir passé une grande partie de sa vie" (Sources de l'histoire de France, n° 801). (Brunet, III, 1871)...Beaux Exemplaires..........RARES........en bon état général malgré les petits défauts signalés (good condition in spite of the smalls defects indicated). bon état
À Twickenham, de l’Imprimerie de G. White, À Twickenham, de l’Imprimerie de G. White1816 ; in-8, veau fauve marbré. (Reliure de l’époque). 144 pp., 1 f. de tableÉDITION ORIGINALE RARE, imprimée sur les presses particulières de la famille d’Orléans durant son exil en Angleterre. “Fils cadet du duc d’Orléans, frère de Louis-Philippe, le duc de Montpensier raconte sa longue captivité à Marseille en compagnie du prince de Conti et de la duchesse de Bourbon. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps. La première édition à Twickenham, tirée à l’imprimerie particulière du duc d’Orléans durant son exil en Angleterre, est particulièrement rare.” dit Fierro 1070.Bel exemplaire, grand à marges, en pleine reliure de l’époque, exécutée en Angleterre. Une charnière fendue.
Paris Librairie de Firmin Didot frères, fils et Cie / Bibliothèque des mémoires relatifs à l'histoire de France pendant le 18e siècle (N° 9) 1864 un volume in-12°, 473 (2) pp. Reliure en demi-chagrin noir, dos à nerfs orné du titre doré, couvertures conservées (reliure ancienne). (présence de quelques rousseurs sur les tranches et sur la gouttière).