1813 Couverture souple Paris, imprimerie de A. Belin, 1813. Petit in-8, cartonnage d'attente, taches brunes sur les plats, manque à la pièce de titre au dos. Feuillet de titre, 98 pages, feuillet d'errata. Ces discours se composent de deux rapports concernant les finances publiques, et d'adresses et de réponses devant le corps législatif. Né en 1764, Pierre de Montesquiou-Fezensac fut élu député au corps législatif le 2 vendémiaire an XIV. Il occupa ensuite différentes fonctions durant l'empire. Notre exemplaire contient notamment son adresse à l'Empereur, au lendemain de son mariage avec Marie-Louise d'Autriche. Rare, bon état intérieur.
Bon
P., Sirey, 1936, gr. in-8°, 158 pp, biblio, broché, état correct
In-8, broché (sasn couverture), 8 p. Paris, Imprimerie nationale, 1791.
Edition originale. Sur l'organisation du "trésor public" et de son administration. (Martin & Walter, III, 24964). Bon exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
In-8, broché, couverture de papier fort, 20 p. Paris, Baudouin, [1790].
Edition originale. Le "Plan" historique, présenté le 2 janvier 1790, qui fixe les attributions du Comité des Finances, jette les bases du programme des budgets à venir et décrète les premières mesures d'urgence en matière budgétaires. Suivi du projet de décret en 8 articles, tel qu'il fut adopté.(Goldsmiths, 14462.50. Martin & Walter, 24967. Stourm, p. 163. Manque à Kress et Einaudi).Bon exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Imprimerie Nationale, (1792) in-8, 7 pp.
Général commandant l'Armée du Midi, Montesquiou-Fézensac occupe la Savoie en septembre 1792 mettant en déroute les troupes sardes. Dans cette lettre destinée au ministre de la guerre, rendue publique à des fins de propagande, Monstesquiou-Fézensac s'énorgueillit de ce qu'il nomme « un triomphe ». - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
(S.l., s.n.). Avril 1793. 8°. 82 p. Sans reliure.
Barth 3574. - Général en chef de l'armée des Alpes, il reçoit l'ordre de la Convention nationale d'entrer dans Genève, mais les Genevois ont appelé à l'aide les cantons de Berne et de Zurich, et le marquis de Montesquiou-Fézensac préfère négocier, ce qui lui vaut son rappel par la Convention. Dubois-Crancé appuie le 9 novembre 1792 un décret d'accusation contre lui, pour avoir compromis la dignité de la République en traitant, sans mandat, avec les magistrats de Genève, l'éloignement des troupes suisses. Prévenu à temps, Montesquiou se réfugie en Suisse, à Bremgarten, dans le canton de Zurich. (Wikipedia).
A Paris, chez Du Pont, an IV in-8, 334 pp., dérelié, tranches marbrées. Qqs rousseurs.
Général, député de Paris à la Constituante, le marquis de Montesquiou-Fezensac (1741-1798) s'occupa surtout des questions de finances. Au point de vue militaire, il prit le commandement de l'Armée du Midi, mit fin aux troubles d'Avignon puis soumit la Savoie en Septembre 1792. Destitué par la Convention, il fut accusé le 9 novembre d'avoir compromis la dignité de la République dans une négociation avec les magistrats de Genève, relative à l'éloignement des troupes suisses. Il se retira alors dans le canton de Zurich et y demeura jusqu'au 9 thermidor. En 1795, il demanda et obtint de la Convention d'être rayé de la liste des émigrés.Martin et Walter, 24947. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Marseille, Jean Mossy, 1792 in-8, 4 pp.
Datée de Bourgoin, le 19 juillet 1792. Montesquiou-Fézensac, alors général de l'Armée du Midi, défend l'un de ses proches, M. d'Anselme, lieutenant-général chargé de la défense du Var, en poste à Grasse et attaqué par la Société des Amis de la Constitution d'Antibes.Manque à Martin et Walter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (1792) in-8, 8 pp. broché.
Montesquiou-Fézensac, alors général de l'Armée du Midi, évoque une affaire de désertion mettant en porte-à-faux les autorités locales, compréhensives envers certains soldats récalcitrants, avec le pouvoir central, bien moins conciliant. Le général rappelle la sujétion juridique des municipalités à l'ordre républicain.Martin et Walter, III, 24954. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, 1790 in-8, 29 pp., sous ficelle. Cet exemplaire contient une coquille typographique sur la page de faux-titre (le 15 mars au lieu du 12 mars). La page de titre rétablit ensuite la date exacte de la séance.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Après une présentation des quatre principales parties du mémoire de Necker (besoins de l'année et moyens d'y satisfaire, question des billets-monnaie mis en circulation, Comité de Trésorerie, situation des affaires en 1791 et le remplacement des impôts), Montesquiou émet quelques réserves sur la méthode du ministre. Piqué, Necker ne tarde d'ailleurs pas à répondre aux objections du Comité. Ce texte illustre les tensions à l'œuvre sur les questions économiques dès le début de la Révolution.Martin & Walter, 24971. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie nationale, s.d. (1791); in-8, 7 pp., dérelié. Petit trou de ver dans la marge supérieure sans atteinte au texte.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante et en devient président en 1791. Cette même année, la Municipalité de Paris demande une avance au trésor public de 3 millions de livres. Montesquiou y est favorable et appuie le décret autorisant le versement des fonds par la caisse de l'extraordinaire en faisant l'inventaire de toutes les dépenses de la ville depuis 1789 : démolition de la Bastille, fêtes de la Fédération, frais du nouveau casernement, habillement et armement de la garde nationale etc.Martin & Walter, III, 24975. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie nationale, (1791) in-8, 7 pp., tableaux dépl., cousu. Qqs salissures dans les marges.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante et en devient président en 1791. Cette même année, la Municipalité de Paris demande une avance au trésor public de 3 millions de livres. Montesquiou y est favorable et appuie le décret autorisant le versement des fonds par la caisse de l'extraordinaire en faisant l'inventaire de toutes les dépenses de la ville depuis 1789 : démolition de la Bastille, fêtes de la Fédération, frais du nouveau casernement, habillement et armement de la garde nationale etc.Martin & Walter, III, 24975. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, 1790 in-4, 28 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Après une présentation des quatre principales parties du mémoire de Necker (besoins de l'année et moyens d'y satisfaire, question des billets-monnaie mis en circulation, Comité de Trésorerie, situation des affaires en 1791 et le remplacement des impôts), Montesquiou émet quelques réserves sur la méthode du ministre. Piqué, Necker ne tarde d'ailleurs pas à répondre aux objections du Comité. Ce texte illustre les tensions à l'œuvre sur les questions économiques dès le début de la Révolution.Martin & Walter, 24971. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, De l'Imprimerie Nationale, s.d. (1790) in-8, 11 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Toujours soucieux de la bonne tenue des deniers publics, Montesquiou souhaite décréter une réduction provisoire de 60 millions sur le montant des dépenses du trésor.Martin et Walter, III, 24970. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, 1790 in-8, 30 pp., dérelié. Qqs feuillets brunis.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Après une présentation des quatre principales parties du mémoire de Necker (besoins de l'année et moyens d'y satisfaire, question des billets-monnaie mis en circulation, Comité de Trésorerie, situation des affaires en 1791 et le remplacement des impôts), Montesquiou émet quelques réserves sur la méthode du ministre. Piqué, Necker ne tarde d'ailleurs pas à répondre aux objections du Comité. Ce texte illustre les tensions à l'œuvre sur les questions économiques dès le début de la Révolution.Martin & Walter, 24971. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, Chez Baudouin, 1790. In-4 broché, 28 pp. Edition originale.
Montesquiou, chargé des rapports généraux de l'ensemble des budgets dans les premiers temps de la Constituante, détailla minutieusement les rapports et comptes de Necker. Cette "Réponse", fait suite à la discussion engagée entre eux, sur l'état des rentrées probables, sur les impôts, et, les emprunts. Bruni, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
[sans lieu], [sans nom], 1792 [et] 1793. In-12 de 54-[2] et 82 pages, demi-basane brune à coins, dos lisse orné de filets dorés, armoiries du canton de Genève dorées aux centres des plats. Ex-libris Charles Bastard.
Rare. Le premier texte contient une lettre du général au président de la Convention Nationale, où il défend sa conduite dans l'affaire de Genève et son mémoire justificatif, en réponse au rapport de M. Rovère, fait à la Convention Nationale le 9 novembre 1792. Rivoire, I, 3604 et II, 3898.
À Paris, Chez Baudouin, (1789) in-8, 24 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Avant de s'opposer à Necker dans les mois qui suivent, il soutient encore ici le bilan du ministre des Finances.Martin et Walter, 24969. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
À Versailles, Chez Baudouin, (1789); in-8, 24 pp. broché sous couverture papier bleu postérieur
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, rallié au Tiers état, Montesquiou devient rapidement rapporteur du Comité des Finances à la Constituante, puis président de ce même comité en 1791. Avant de s'opposer à Necker dans les mois qui suivent, il soutient encore ici le bilan du ministre des Finances.Martin et Walter, 24969. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Baudouin, 1790 , 9 pp., tableaux in-t., broché.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). Ce texte, envisagé comme un abrégé, a pour but de présenter aux citoyens un vaste rapport de réformes des dépenses publiques.Inconnu au Martin & Walter. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[ORGANISATION ADMINISTRATIVE] MONTESQUIOU-FEZENSAC (Anne-Pierre de)
Reference : 140557
Paris, Baudouin, s.d. (1790) in-8, 20 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). Il dévoile ici de vastes réformes pour les finances publiques : dépense de la liste civile, Maison des Princes, frères du roi, administration des trois grands départements (affaires étrangères, guerre, marine et colonies), pensions, administration de la justice, administration intérieure, administration des finances, dettes.Martin et Walter, 24967. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, 1791 in-8, 12 pp., dérelié.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). Martin & Walter, III, 24960. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, (1790) in-8, 32 pp., broché.
Député élu par la noblesse de Paris en 1789, vite rallié au Tiers état, Montesquiou est rapporteur du Comité des Finances à la Constituante (il en devient président en 1791). Il se déclare ici en faveur de la vente de biens de l'Eglise et de l'émission des assignats : la rapidité de leur écoulement surpassera leur production. Les assignats seront utiles à la pénurie d'espèces et à la relance du commerce.Martin & Walter, III, 24963. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], De l'Imprimerie de Du Pont, s.d. (1792) in-8, 32 pp., sous ficelle.
INED, 3259 : "Montesquiou indique le projet de Clavière destiné à rétablir un taux de change favorable et à supprimer l'agiotage sur les assignats."Martin et Walter, III, 24952. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT