FLOTTARD PERRIN DE GRANDPRE chanoine de la collégiale de Saint Etienne de Tescou au diocèse de Montauban ( 1600- 1672)
Reference : 2055
(2004)
Sans nom d'éditeur, 2004. In-8 (20.5 x 27.5 cm) reliure cartonnée éditeur, 14 pages et environ 300 pages non numérotées.Tirage unique à 300 exemplaires sur papier speed ivoire. Neuf.
Ecrite au 17ème siècle, contemporaine de "L'histoire de Montauban" de H. Lebret, cette histoire est restée à l'état de manuscrit jusqu'à cette impression. De nombreux historiens et auteurs des siècles passés l'ont consultée et en ont fait usage.
Montauban, J.-P. Croisilhes, s.d. (1825) in-16, 24 pp., broché sous couverture d'attente de papier rose.
Unique édition, peu commune, de ce poème en parler montalbanais. L'auteur serait un certain Rey d'après le catalogue de la bibliothèque de Montauban.Au CCF, exemplaires à la BnF, Toulouse, Montauban et Lourdes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Montauban : Samuel Dubois, 1668 Deux tomes en un volume in-4, (6)-261-382 pages. Vélin de l'époque.
Reliure usée, dos lâche, mouillure. Petit manque de papier sur la page de titre avec atteinte à la gravure des armes de la ville. Ex-libris manuscrit d'O. de Grenier, Caussade, daté 19 janvier 1873. Première édition. Chapitres sur la fondation de la ville, sur les différentes dominations seigneuriales, sur l'histoire de l'Eglise catholique dans la région. Le livre second s'intéresse à la réforme protestante dans la région de Toulouse et du Sud Ouest, et dresse un portrait complet de tous les conflits qui ensanglantèrent la région.O. de Grenier publia notemmant une Complainte sur la mort de F. Rochette et des trois frères de Grenier", d'après un manuscrit trouvé à Saint-Antonin, qui traite des célèbres martyrs protestants executés à Montauban au XVIIIe siècle.
PRINCESSE DE MONTAUBAN, Charlotte de Bautru de Nogent (1641-1725).
Reference : AMO-2048
(1720)
1 page 1/4 (18 lignes). La signature est incluse dans le texte à la fin de la lettre. Datée du jeudi 5 septembre 1720. La Princesse de Montauban, âgée de 79 ans, demande audience au Régent de manière insistante. "Après m'être présentée plus de dix fois dans vos cabinets et m'être fait annoncer à votre Altesse Royale, je n'ai pas pu parvenir à l'honneur de la voir. Ne sachant plus à quel saint me vouer, j'espère que vous trouverez bon Monseigneur que je vous demande par écrit un demi quart d'heure d'audience [...] (à propos de la vente de l'Hôtel de la Chancellerie revendue en avril 1720 au Régent) - confiée entièrement en vos bontés continuez les moy donc je vous supplie Monseigneur j'en n'ay grand besoin et de vos graces étant dans un état des plus violents mon respect ne me permet pas de vous dire davantage de crainte de vos ennuyer [...]". « C'étoit une bossue, tout de travers, fort laide, pleine de blanc, de rouge et de filets bleus pour marquer les veines, de mouches, de parures et d'affiquets, quoique déjà vieille, qu'elle a conservés jusqu'à plus de quatre-vingts ans qu'elle est morte. Rien de si effronté, de si débordé, de si avare, de si étrangement méchant que cette espèce de monstre, avec beaucoup d'esprit et du plus mauvais, et toutefois de l'agrément quand elle vouloit plaire. Elle étoit toujours à Saint-Cloud et au Palais-Royal quand Monsieur y étoit, à qui l'on reprochoit de l'y souffrir, quoique sa cour ne fût pas délicate sur la vertu. Elle n'approchoit point de la cour et personne de quelque sorte de maintien ne lui vouloit parler quand rarement on la rencontroit. Elle passoit sa vie au gros jeu et en débauches, qui lui coûtoient beaucoup d'argent » (Mémoires de Saint-Simon). Elle fut mariée deux fois. Une première fois le 14 décembre 1664 avec Nicolas d'Argouges, Marquis de Rasnes et d'Asnebec, Gouverneur d'Alençon (23 avril 1663), décédé le 13 juin 1678. Mariée avec Jean Baptiste Armand prince de Montbazon de Rohan-Guéméné, Prince de Montauban, décédé avant 1704. A propos de l'affaire même qui occupe la Princesse de Montauban dans ce courrier au Régent, il est établit qu'elle revend au Régent, le 17 avril 1720, l'Hôtel de la Chancellerie, en s'en réservant l'usufruit viager. Elle se fait si souvent solliciteuse que Dubois finit par donner directement à l'une de ses demandes cette réponse plus que discourtoise : —Allez vous faire f...... Mme de Montauban se hâte de s'en plaindre au régent, qui est trop galant homme pour donner tort à une dame, mais qui en passe plus encore à l'ancien cuistre dont il met à profit les talents politiques. — Chère madame, répond-il, que voulez-vous ? Dubois a ses moments d'humeur ; mais c'est, au fond, un homme de bon conseil. BEAU DOCUMENT.
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Montauban. Fontanel. 1807. Edition originale. In-8 (130 x 210mm) dos lisse basane brune, 2ff., XXVIII, 484 pages. Reliure abîmée, taches et défauts en début et en fin d'ouvrage, souvent marginales, fx-titre et titre coupés court sans perte de texte, bon état intérieur. Exemplaire de travail. Edition originale, peu courante.
Duc-Lachapelle, étudia à Paris, les sciences exactes et suivi les leçons de Lalande au Collège de France. Retiré à Montauban au début de la Révolutipn française, il fit installer un bon observatoire, dans lequel il procéda à des observations qui contribuèrent à la connaissance du temps. En 1811 il est maire de Montauban.
Montauban, 31 juillet 1823. 1823 Extrait du Registre du Consistoire de l'Eglise réformée de Montauban, complété à la plume par son président et contresigné par dix pasteurs qui, ayant constaté "ses progrès et la régularité de ses moeurs", donne à Jean René Germain "le droit de Prêcher la Parole de Dieu, de Bénir les Mariages contractés suivant la loi, et d'Administrer les Saints-Sacrements". Beau document imprimé sur vergé avec cachet de l'Eglise réformée de Montauban.
S.l.n.d. (1790) in-8, 8 pp., broché, sous couverture d'attente orange.
Archevêque de Bordeaux, Champion-de-Cicé fut un des premiers députés aux Etats généraux à se joindre au Tiers Etat. Il fut garde de sceaux du 3 août 1789 au 27 novembre 1790, date à laquelle il émigra. Il signa en tant que ministre la Constitution civile du clergé. L'auteur répond à la lettre envoyée par Chapion-de-Cicé à la Municipalité de Bordeaux au sujet des événements sanglants survenus à Montauban, en mai 1790, entre catholiques royalistes et protestants acquis aux idées de la Révolution. Le Ministre se serait fait le complice du maire royaliste de Montauban. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1788 Format (18 x 24 cm)
Texte imprimé en latin surmonté des armes de l'évêque de Montauban Anne-François-Victor Le Tonnelier de Breteuil. Mariage entre Joseph Garrigue et Anne Surian, document signé le 18 août 1746.
Paris Plon 1932 1 vol. broché in-8, broché, VIII + 450 pp. (discrète restauration au dos), 8 gravures hors-texte et 1 carte dépliante. Souvenirs du commandant en chef des troupes françaises de l’expédition de Chine, publiés par son petit-fils le comte de Palikao. Bon exemplaire.
Marcel SEMEZIES - [Montauban 1858 - 1935] - Poète et romancier français
Reference : 34934
1 page in4 - enveloppe - bon état - En tête de la revue "Le Nord" -
"L'Ami du Peuple" lui transmet sa lettre - Il lui assure son modeste concours pour le numéro d'hommage qu'il prépare sur Pierre Loti qu'il a beaucoup connu entre 1880 et 1914 - Il a beaucoup de souvenir sur lui et demande ce qu'il souhaite - Il a une très curieuse lettre de lui, écrite de Nagasaki, inédite, quand il préparait Madame Chrysanthéme et qu'il pourrait encadré d'un commentaire - Il l'a sauvé des eaux car il est un malheureux sinistré du Tarn qui vient de lui enlever 4500 volumes - Je campe sur des ruines - "passons" - Cette lettre a été sauvé par miracle, un carton sur une étagère élevée - "Les eaux ont de ces caprices" -
Montauban, Jean-François Teulières, 1753 in-4, 23 pp., trace de mouillure claire. (H2)
Emile POUVILLON - [Montauban 1840 - Chambery 1906] - Ecrivain français
Reference : GF29754
3 pages in8 - bon tat -
Belle lettre sur la difficulté d'être édité : Il compatit mais n'a aucune influence - "Je ne suis qu'un trés petit monsieur et trés négligeable dans ce monde là ou le crédit se mesure au chiffre du tirage"..Il ne peut faire mieux que Deschamps et Theuriet et ne veut pas lui faire perdre du temps - Il précise qu'habiter Paris rendrait la chose plus facile - "La camaraderie, le hasard d'une relation ou d'une rencontre" sont plus utile que "la manière d'écrire" et "ce sera comme ça aussi longtemps que la centralsation poursuivra son oeuvre néfaste" -
S. l., de l'Imprimerie de Vincent Teulieres, 1790 in-8, 14 pp., dérelié. Qqs piqûres.
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A Lyon, de l'Imprimerie du Roi, 1779 in-4, 4 pp., dérelié.
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Paris, Imprimerie Nationale, 1790 in-8, 8 pp., dérelié.
Projet de décret présenté par M. de Broglie, sur le déplacement du Régiment de Languedoc de la place de Montauban, où il était stationné depuis plus de six ans, et sur l'effervescence locale que cette mesure produisit. L'auteur était député de Colmar.Martin & Walter, 5348. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1871; in-8, 196 pp., carte dépliante en couleurs, demi-basane prune, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Dos passé. Supralibris L. Vignes en pied du dos.
Cousin de Montauban se vit en effet confier le portefeuille de la Guerre, puis prit la direction effective du gouvernement le 9 août 1870, à la demande de l'Impératrice Eugénie. Il dénonce l'état d'abandon où fut laissée l'armée, par suite d'une politique d'économies excessives. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1883 in-8, LI-339 pp., broché. Petit manque de papier sur le second plat. Rousseurs.
Édition originale très rare."La publication de L'Expédition de Chine... cause à son éditeur quelques soucis. L'annonce de la parution provoque en effet l'inquiétude du ministre de la Guerre et de son confrère de l'Intérieur, lequel envoie le préfet de police réveiller Eugène Plon ... Le soir même, veille de la mise en vente, un huissier agissant en vertu d'une autorisation du premier président du tribunal civil de la Seine se présente chez Plon et y saisit, malgré ses protestations, quelque 1200 exemplaires". L'action avait pour but de ménager l'Angleterre qui était attaquée de façon virulente dans l'ouvrage."L'ouvrage paraît malgré tout quelques mois plus tard, en 1883" (P. Sorel. Plon, le sens de l'Histoire, P.U. Rennes, 2016).Le Larousse du XIXe indique lui que le Ministère de la Guerre se porta acquéreur de tous les exemplaires (cf note manuscrite en début d'ouvrage).Cordier, Bibliotheca sinica, 2498. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
montauban secrétariat de l'évêché 1942 1 Un fascicule broché de format in 8° de 16 pp..
Bel état. Peu fréquent. Voir la photographie.
DASSANCE ( L' Abbé ) Chanoine honoraire de Montauban./ Tony JOUHANNEAU / CAVALIER.
Reference : 2125
(1836)
1836 1836 Traduction nouvelle , de l' Abbé Dassance, avec des réflexions tirées des Pères de l' Eglise, et de Bossuet, Fénelon, Massillon et Bourbaloue. illustrée par MM. Tony JOUHANNEAU et CAVALIER. dédiée à Monseigneur l ' Archevêque de Paris. Edité à Paris chez Curmer. 1836. Un volume in 8. Reliure XIXème. 1/2 chagrin maroquiné noir. plats papier marbrés. dos lisse très orné. titre et fleurons dorés; tête dorée. ébarbé. texte encadré d'une large bande ornée allégorique . fx titre + frontispice couleur + titre + viii pp + 2ff.n. ch + 454 pp. nombreuses illustrations hors texte. quelques rares rousseurs.JOLI EXEMPLAIRE. reliure décorative.
PROMOTION FIN D'ANNNE 20% de remise sur le prix marqué. frais de ports en sus.
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013763
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.A.S., 7 janvier 1645, 1p in-4. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de « plusieurs médicamens et autres marchandises » pour les officiers domestiques du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1644 et pour un montant de 4500 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013764
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. P.A.S., 3 janvier 1647, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de médicaments pour les officiers d'écuries du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1646 et pour un montant de 700 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
1 page 1/2 in16 - enveloppe - bon état -
Sa femme et lui ne peuvent se joindre à eux pour leur fête de famille, cause santé -
Livre de 28 pages édité à Montauban en 1941 par l'imprimerie et lithographie G FORESTIE / Bon état mais couverture ayant pris la poussière ou la pollution sur les rebords
Envoi en lettre suivie
suite à exposition du 37 juin au 30 septembre 1969 ---52 pages---Edité par les Ateliers du Moustier à Montauban--- Bon état (couverture rebiquée)
Montant des frais d'envoi : tarif lettre moins de 250 gr