Montalivet informe Labinsi de son départ pour Ostende …Ne pouvant plus dormir à partir de 4h, jai pris le parti de partir quelques heures plus tôt que je ne lavais dabord projeté. Cest le train de 7h qui va me conduire à Ostende… Il sempresse de le prévenir pour lui éviter …une peine inutile, dans le cas où vous auriez donné suite à votre aimable pensée dhier au soir…Dans la seconde lettre, il envoie à Labenski …un billet p[ou]r la séance de demain…
Camille Bachasson, comte de Montalivet (1801-1880), homme d'état, pair de France, ami de Louis-Philippe, ministre, intendant général de la Liste Civile pendant le règne de Louis-Philippe.
Reference : 010791
Camille Bachasson, comte de Montalivet (1801-1880), homme d'état, pair de France, ami de Louis-Philippe, ministre, intendant général de la Liste Civile pendant le règne de Louis-Philippe. L.A.S., Paris, 25 décembre 1844, 1p in-4. Il écrit à un député et questeur à propos de billets qu'il devait lui envoyer et qu'il n'a pas reçus. [162b]
P., Michel Lévy, 1850; in-12, broché. 108 pp. Couverture imprimée. Exemplaire non rogné, dos présentant des déchirures et des manques, couverture salie, intérieur frais.
EDITION ORIGINALE enrichie dun envoi autographe signé Montalivet «à Monsieur le Comte Jaubert, hommage dancienne et sincère amitié».Les comtes de Montalivet (1801-1865) et Hippolyte François Jaubert (1798-1874) occupèrent à quelques années dintervalle la charge de Président de la Société de géographie, en 1834-35 pour le premier et 1840-41 pour le second; ils siégèrent ensemble au Conseil Général du Cher quils présidèrent aussi tour à tour.Montalivet, pair de France, plusieurs fois ministre de lIntérieur sous la monarchie de Juillet, fut intendant à la liste civile jusquau 24 février 1848, et surtout lami et exécuteur testamentaire de Louis-Philippe quil accompagna à sa sortie de Paris. Dans le présent ouvrage quil écrit juste après sa mort, il défend vigoureusement sa mémoire. (La liste civile est la somme allouée au chef de l'Etat pour les dépenses qu'occasionnent sa fonction).
Paris, Michel Lévy frères, 1850. In-12 de 108 pp.CHENU (Adolphe). Les Conspirateurs par A. Chenu ex-capitaine des gardes du citoyen Caussidière. Les Sociétés secrètes. La Préfecture de Police sous Caussidière. Les Corps-Francs. Paris, Garnier Frères, 1850. In-12 de (4)-223 pp.LA FARELLE (François-Félix de). Plan d'une réorganisation disciplinaire des classes industrielles en France, précédé et suivi d'études historiques sur les formes anciennes et modernes du Travail humain. Paris, Guilhaumin, 1842. In-12 de (4)-246 pp.Mémoire à consulter et consultation par MM. de Vatimesnil, Berryer, Odilon Barrot, Dufaure, Paillet, sur les décrets du 22 Janvier 1852 relatifs aux biens de la Famille d'Orléans. Paris, chez tous les libraires, 1852. In-12 de 47-(1) pp. 4 pièces reliées en 1 vol. in-12, demi-basane bleue, dos lisse orné de fers romantiques (reliure de l'époque).
1. Édition originale. Défense de la mémoire de Louis-Philippe. Le comte de Montalivet fut intendant de la Liste Civile jusqu'au 24 Février 1848. Il accompagna le roi à sa sortie de Paris, puis s'occupa de soutenir auprès du gouvernement provisoire les intérêts de la famille d'Orléans.2. Édition originale. Capitaine de montagnards en 1848, sûrement agent provocateur pendant l'insurrection de Juin, Chenu fut mêlé aux affaires politiques de la Monarchie de Juillet sous l'inspiration de la police. Après 1848, il publia plusieurs libelles diffamatoires contre les membres des sociétés secrètes sous Louis-Philippe et contre les révolutionnaires de 1848. Cet ouvrage est une attaque contre Caussidière. Maitron I, 409.3. Édition originale rare. La Farelle (1800-1871) magistrat jusqu' à la révolution de Juillet 1830, se démit de ses fonctions et se consacra à l'étude des questions économiques et sociales. Elu en 1842 membre de la Chambre des députés par l'Arrondissement d'Alais, il le resta jusqu'en 1848, il fit parti de la commission chargée de préparer une loi sur le régime pénitenciaire. Cet ouvrage a obtenu le prix Montyon à l'Académie française. Dans son Plan de réorganisation, il regrette les anciennes corporations, maîtrises et jurandes, et se montre partisan de l'établissement d'une organisation analogue.4. Édition originale. Défense des biens de la Maison d'Orléans face aux décrets du 22 Janvier 1852 sur l'aliénation d'une partie de ceux-ci. Cachet sur le titre.
1851 Paris, Michel Lévy frères, 1851, in-8 broché de 401 pp., portrait frontispice, fac-similé dépliant, plan dépliant du chateau de Neuilly placé à la fin de l'ouvrage, dos fendu avec manque de papier, sinon bonétat intérieur.
2e édition, plus complète que la précédente qui ne comprenait que 108 pages.