1855 Bordeaux, Sauvat, 1855 (Imprimerie de Mad. V.N. Duviella); in-32 de 64pp.; pleine percaline jaune, titre doré en long sur le dos, couverture bleu-vert illustrée au 1er plat conservée. La liste des titres initialement prévus dans la collection des Petits-Bordeaux (11 titres en préparation), figure au 2e plat. On a collé sur la 1ère garde de papier jaune une notice descriptive d'un exemplaire broché de l'ouvrage. Edition originale, provenant de la bibliothèque de Auguste Poulet -Malassis, avec son ex-libris gravé à ses initiales et illustré à l'intérieur du 1er plat.
Vicaire indique - tome V, p. 1035 - "petite monographie anonyme écrite par M. Ch. Monselet pendant u séjour de six mois qu'il fit à Bordeaux, en l'an 1854. L'éditeur-imprimeur A. Picot ( successeur de Mad. Duviella), ayant craint de soulever certaines susceptibilités, l'édition fut mise au pilon. Il n'en a été sauvegardé qu'un petit nombre d'exemplaires, qui n'ont jamais paru dans le commerce…". Contrairement à ce qu'écrit Vicaire, la consultation du fonds patrimonial de la Bibliothèque de Bordeaux, montre que deux autres titres, au moins, parurent également en 1855 chez Sauvat, "Bordeaux-Médecin et Bordeaux-Lovelace". Monselet dénonce de façon piquante les travers de quelques célébrités bordelaises de l'époque. Précieux exemplaire de Poulet-Malassis, percaline un peu brunie, sinon très bon état.( Reu-Bur)
Paris, A la Librairie Ilustrée,sans date (1888) ; grand in-18°,demi- percaline mauve à la bradel, titre doré sur étiquette de maroquin brun, couverture jaune imprimée ne noir conservée ( reliure vers 1900) ; 2ff.,273pp.,1f.Dos de la reliure passé au bleu ciel avec quelques piqûres. Intérieur en bon état ( petite tache rousse en marge de 5 feuillets).
Exemplaire de l' édition originale ( cf. Vicaire V. 1060). Roman se déroulant à Bordeaux, ville où Monselet collabora au Courrier de la Gironde quelques années avant son installation à Paris.Charles Monselet était né à Nantes en 1825.(S2)
MONSELET, Charles. Nantes 1825 - Paris 1888, journaliste, romancier, poète .
Reference : c6933
Billet a. s. ainsi libellé : “ Reçu de Monsieur Arthur Ponroy la somme de Trente francs, à compte sur mon article : Laurent “.
Arthur Ponroy, né à Issoudun en 1816, mort en 1876, fut critique littéraire, auteur dramatique, journaliste. La Revue dans laquelle serait paru l'article "Laurent" de Monselet , n'a pas été identifiée : peut-être le “Portefeuille “ ?.(Cl Gr4)
Bachelin-Deflorenne Paris 1885 In-8 ( 255 X 160 mm ), IV + 306 pages pleine toile noisette à la bradel, couvertures décorées en couleurs conservées. Exemplaire sur beau velin. ( vicaire 5,1039 ) - ( l'éditeur avait annoncé en 1884 une éd. complète des uvres de Monselet en 8 ou 10 vol. - celui-ci est le seul paru ). Bel exemplaire.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, broché, couverture beige imprimée 2 ff. (faux-titre, titre en rouge et noir), 268 pp., 1 f. table, 1 f. avec la marque au caducée). - Frontispice. - [Imprimé à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1500 exemplaires, plus 10 exemplaires sur Hollande (dont Launay ne parle pas).Ce recueil de 14 chroniques et pantomines mettant en scène des personnalités (grandes et petites) du Tout-Paris littéraire de l’époque est sans doute le plus représentatif du grand talent de Monselet. Il y jette, pour reprendre les éloges de Sainte-Beuve - “d’heureux dons, de l’imagination, de la fantaisie, de l’esprit sans jargon, de la malice souvent fort leste, mais sans fiel” (Nouveaux lundis X, 70-89).Dans une lettre adressée à Malassis le 12 août 1859 Monselet mettait au point le titre définitif de ce livre et lui donnait quelques précisions pour le frontispice de Bracquemond : “Mais surtout, oh! surtout point de Monselet, ni en paillase ni en grand d’Espagne. Je veux bien être directeur de trétaux, mais à la condition de ne point monter dessus. Attendons ma mort pour ces plaisantes pourtraictures, mâles et femelles, des serpents de mer, des kilo, des alcides, des amours, des banderolles, etc. Ce sera bien. Laissez faire Bracquemond, donnez-lui carte blanche, croyez-moi...”Cette planche de Bracquemond qui fut à l’origine gravée sur le même cuivre que celle du frontispice des Amis de La Nature de Champfleury marque les vrais débuts d la collaboration du graveur et de Poulet-Malassis. Ce dernier n’avait pas rencontré Bracquemond en 1857 au moment du frontispice des Odes funambulesques. Tout le monde fut satisfait : Monselet qui dans une lettre du 1er novembre 1859 complimentait l’artiste et Malassis qui lui adressait à la fin de l’année sa conclusion : “Le suffrage de Monselet est d’autant plus à considérer qu’il s’entend à peu près en art autant qu’en cuisine, je veux dire pas du tout. Mais le fait est que votre eau-forte et très spirituelle. Il n’y a qu’une voix là-dessus. Ajoutez donc une feuille de laurier de plus à un de vos ragoûts” (cité par J.P. Bouillon p. 221).“Pour Bracquemond - précise ce dernier - l’oeuvre est importante dans la mesure où elle marque le retour à une forme “d’art industrielle” cette fois librement assumé. Dans le sujet particulier des Tréteaux... il faut sans doute voir aussi une version personnelle du thème de l’artiste “clown” dont Bracquemond avait pu prendre connaissance dans les deux poèmes-manifestes des Odes funambulesques de Banville. La présence, sur la toile de fond, d’un cannar (sic) étonnant” pourrait faire référence à un des motifs favoris de l’oeuvre du graveur et indiquer la part qu’il prend lui-même à cette exhibition devant le public bourgeois, soigneusement groupé dans le registre “inférieur”. L’eau-forte de Bracquemond se trouve en noir, en bistre et en sanguine.Bouillon 221 - Béraldi 373 - Fonds français 123.Si Monselet se déclara satisfait du graveur, il le fut moins des prestations de Malassis. Dans une lettre du 19 novembre 1859 il lui dit : “... Voici pourquoi le titre de mon dernier volume ne m’a satisfait qu’à moitié:1° parce qu’il est intitulé : Les Tréteaux de Charles Monselet, et que j’aurais désiré un M (Monsieur)2° parce que vous avez oublié le sous-titre : farces et dialogues3° parce qu’on a écrit Trétaux sur le dos du livre.Mais comme typographie, c’est charmant (avec toutefois pas mal de fautes à l’intérieur...)Le titre Tréteaux, correctement orthographié sur la page de titre et le plat de la couverture est, en effet, orthographié Trétaux au dos. Peu après la publications des Tréteaux un accrochage “financier” faillit brouiller Monselet et son éditeur.2 feuillets de cet ouvrage sont des cartons. Il s’agit des pages 131-132 et 133-134. Nous n’avons pu découvrir les raisons de cette particularité car tous les exemplaires que nous avons consultés possédaient ces cartons et la correspondance Monselet-Malassis n’en parle pas.Launay 93 - A. Monselet 33 - Talvart et Place 23 - Vicaire V 1041 - Clouzot 120 - Carteret II 176.Bel exemplaire broché avec le frontispice en bistre sur papier mince; à la fin Catalogue Malassis du 15 octobre 1859; 12 pp. n. ch.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, demi-chagrin vert, coins, filets dorés aux bords, dos à nerfs, filets et fleurons dorés, tête dorée, non rogné (reliure de l’époque) 2 ff. (faux-titre, titre en rouge et noir), 268 pp., 1 f. table, 1 f. avec la marque au caducée). - Frontispice. - [Imprimé à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1500 exemplaires, plus 10 exemplaires sur Hollande (dont Launay ne parle pas).Ce recueil de 14 chroniques et pantomines mettant en scène des personnalités (grandes et petites) du Tout-Paris littéraire de l’époque est sans doute le plus représentatif du grand talent de Monselet. Il y jette, pour reprendre les éloges de Sainte-Beuve - “d’heureux dons, de l’imagination, de la fantaisie, de l’esprit sans jargon, de la malice souvent fort leste, mais sans fiel” (Nouveaux lundis X, 70-89).Dans une lettre adressée à Malassis le 12 août 1859 Monselet mettait au point le titre définitif de ce livre et lui donnait quelques précisions pour le frontispice de Bracquemond : “Mais surtout, oh! surtout point de Monselet, ni en paillase ni en grand d’Espagne. Je veux bien être directeur de trétaux, mais à la condition de ne point monter dessus. Attendons ma mort pour ces plaisantes pourtraictures, mâles et femelles, des serpents de mer, des kilo, des alcides, des amours, des banderolles, etc. Ce sera bien. Laissez faire Bracquemond, donnez-lui carte blanche, croyez-moi...”Cette planche de Bracquemond qui fut à l’origine gravée sur le même cuivre que celle du frontispice des Amis de La Nature de Champfleury marque les vrais débuts d la collaboration du graveur et de Poulet-Malassis. Ce dernier n’avait pas rencontré Bracquemond en 1857 au moment du frontispice des Odes funambulesques. Tout le monde fut satisfait : Monselet qui dans une lettre du 1er novembre 1859 complimentait l’artiste et Malassis qui lui adressait à la fin de l’année sa conclusion : “Le suffrage de Monselet est d’autant plus à considérer qu’il s’entend à peu près en art autant qu’en cuisine, je veux dire pas du tout. Mais le fait est que votre eau-forte et très spirituelle. Il n’y a qu’une voix là-dessus. Ajoutez donc une feuille de laurier de plus à un de vos ragoûts” (cité par J.P. Bouillon p. 221).“Pour Bracquemond - précise ce dernier - l’oeuvre est importante dans la mesure où elle marque le retour à une forme “d’art industrielle” cette fois librement assumé. Dans le sujet particulier des Tréteaux... il faut sans doute voir aussi une version personnelle du thème de l’artiste “clown” dont Bracquemond avait pu prendre connaissance dans les deux poèmes-manifestes des Odes funambulesques de Banville. La présence, sur la toile de fond, d’un cannar (sic) étonnant” pourrait faire référence à un des motifs favoris de l’oeuvre du graveur et indiquer la part qu’il prend lui-même à cette exhibition devant le public bourgeois, soigneusement groupé dans le registre “inférieur”. L’eau-forte de Bracquemond se trouve en noir, en bistre et en sanguine.Bouillon 221 - Béraldi 373 - Fonds français 123.Si Monselet se déclara satisfait du graveur, il le fut moins des prestations de Malassis. Dans une lettre du 19 novembre 1859 il lui dit : “... Voici pourquoi le titre de mon dernier volume ne m’a satisfait qu’à moitié:1° parce qu’il est intitulé : Les Tréteaux de Charles Monselet, et que j’aurais désiré un M (Monsieur)2° parce que vous avez oublié le sous-titre : farces et dialogues3° parce qu’on a écrit Trétaux sur le dos du livre.Mais comme typographie, c’est charmant (avec toutefois pas mal de fautes à l’intérieur...)Le titre Tréteaux, correctement orthographié sur la page de titre et le plat de la couverture est, en effet, orthographié Trétaux au dos. Peu après la publications des Tréteaux un accrochage “financier” faillit brouiller Monselet et son éditeur.2 feuillets de cet ouvrage sont des cartons. Il s’agit des pages 131-132 et 133-134. Nous n’avons pu découvrir les raisons de cette particularité car tous les exemplaires que nous avons consultés possédaient ces cartons et la correspondance Monselet-Malassis n’en parle pas.Frontispice en bistre sur vélin.Ex-libris illustré (rats dévorants des livres dans une mansarde), avec un quatrain.Launay 93 - A. Monselet 33 - Talvart et Place 23 - Vicaire V 1041 - Clouzot 120 - Carteret II 176.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12, broché. 2 ff. (faux-titre, titre en rouge et noir), 268 pp., 1 f. table, 1 f. avec la marque au caducée). - Frontispice. - [Imprimé à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1500 exemplaires, plus 10 exemplaires sur Hollande (dont Launay ne parle pas).Ce recueil de 14 chroniques et pantomines mettant en scène des personnalités (grandes et petites) du Tout-Paris littéraire de l’époque est sans doute le plus représentatif du grand talent de Monselet. Il y jette, pour reprendre les éloges de Sainte-Beuve - “d’heureux dons, de l’imagination, de la fantaisie, de l’esprit sans jargon, de la malice souvent fort leste, mais sans fiel” (Nouveaux lundis X, 70-89).Dans une lettre adressée à Malassis le 12 août 1859 Monselet mettait au point le titre définitif de ce livre et lui donnait quelques précisions pour le frontispice de Bracquemond : “Mais surtout, oh! surtout point de Monselet, ni en paillase ni en grand d’Espagne. Je veux bien être directeur de trétaux, mais à la condition de ne point monter dessus. Attendons ma mort pour ces plaisantes pourtraictures, mâles et femelles, des serpents de mer, des kilo, des alcides, des amours, des banderolles, etc. Ce sera bien. Laissez faire Bracquemond, donnez-lui carte blanche, croyez-moi...”Cette planche de Bracquemond qui fut à l’origine gravée sur le même cuivre que celle du frontispice des Amis de La Nature de Champfleury marque les vrais débuts d la collaboration du graveur et de Poulet-Malassis. Ce dernier n’avait pas rencontré Bracquemond en 1857 au moment du frontispice des Odes funambulesques. Tout le monde fut satisfait : Monselet qui dans une lettre du 1er novembre 1859 complimentait l’artiste et Malassis qui lui adressait à la fin de l’année sa conclusion : “Le suffrage de Monselet est d’autant plus à considérer qu’il s’entend à peu près en art autant qu’en cuisine, je veux dire pas du tout. Mais le fait est que votre eau-forte et très spirituelle. Il n’y a qu’une voix là-dessus. Ajoutez donc une feuille de laurier de plus à un de vos ragoûts” (cité par J.P. Bouillon p. 221).“Pour Bracquemond - précise ce dernier - l’oeuvre est importante dans la mesure où elle marque le retour à une forme “d’art industrielle” cette fois librement assumé. Dans le sujet particulier des Tréteaux... il faut sans doute voir aussi une version personnelle du thème de l’artiste “clown” dont Bracquemond avait pu prendre connaissance dans les deux poèmes-manifestes des Odes funambulesques de Banville. La présence, sur la toile de fond, d’un cannar (sic) étonnant” pourrait faire référence à un des motifs favoris de l’oeuvre du graveur et indiquer la part qu’il prend lui-même à cette exhibition devant le public bourgeois, soigneusement groupé dans le registre “inférieur”. L’eau-forte de Bracquemond se trouve en noir, en bistre et en sanguine.Bouillon 221 - Béraldi 373 - Fonds français 123.Si Monselet se déclara satisfait du graveur, il le fut moins des prestations de Malassis. Dans une lettre du 19 novembre 1859 il lui dit : “... Voici pourquoi le titre de mon dernier volume ne m’a satisfait qu’à moitié:1° parce qu’il est intitulé : Les Tréteaux de Charles Monselet, et que j’aurais désiré un M (Monsieur)2° parce que vous avez oublié le sous-titre : farces et dialogues3° parce qu’on a écrit Trétaux sur le dos du livre.Mais comme typographie, c’est charmant (avec toutefois pas mal de fautes à l’intérieur...)Le titre Tréteaux, correctement orthographié sur la page de titre et le plat de la couverture est, en effet, orthographié Trétaux au dos. Peu après la publications des Tréteaux un accrochage “financier” faillit brouiller Monselet et son éditeur.2 feuillets de cet ouvrage sont des cartons. Il s’agit des pages 131-132 et 133-134. Nous n’avons pu découvrir les raisons de cette particularité car tous les exemplaires que nous avons consultés possédaient ces cartons et la correspondance Monselet-Malassis n’en parle pas.Ici le carton 131-132 est broché deux fois, donc incomplet du feuillet 133-134, défaut fréquent. Le frontispice est ici en 2 états : bistre sur papier mince, et noir sur vélin un peu plus fort.Launay 93 - A. Monselet 33 - Talvart et Place 23 - Vicaire V 1041 - Clouzot 120 - Carteret II 176.
Michel Lévy Frères, Editeurs Paris 1873 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 236 pages, broché sous couverture imprimée. Couverture légèrement effrangée, bon exemplaire.
Librairie Ancienne Et Moderne Bachelin-Deflorenne Paris 1877 La Revue sans Titre - Revue de l'année 1876 en deux actes et trois tableaux. Représentée pour la première fois à Paris, sur le Théâtre des Variétés, le 8 décembre 1876.Petit in-12 ( 165 X 105 mm ) de 130 pages, broché sous couverture de vélin illustrée d'une vignette velin. Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Agréable exemplaire.
3 vol. in-32 reliure postérieure plein chagrin maroquiné sous étui commun bordé, dos à 5 nerfs, tête dorée, couvertures et dos conservés, Sauvat, Bordeaux, 1855, 64 ; 74 ; 68 pp.
Exceptionnelle réunion, de toute rareté, des 3 titres publiés de la collection des "Petits-Bordeaux", en belles reliures uniformes. Georges Vicaire ignorait l'existence de "Bordeaux-Médecin" et de "Bordeaux-Lovelace" ; citant le catalogue de la bibliothèque de Charles Monselet, il parle à propos de "Bordeaux-Artiste" d'une "petite monographie anonyme, écrite par Ch. Monselet pendant un séjour de six mois qu'il fit à Bordeaux. L'éditeur ayant craint de soulever certaines susceptibilités de clocher, l'édition fut mise au pilon. Il n'en a été sauvé qu'un nombre infime d'exemplaires, qui n'ont jamais paru dans le commerce. Bordeaux-artiste devait inaugurer une série de Petits-Bordeaux : Bordeaux-négociant, Bordeaux-grisette, Bordeaux-boursier, etc. Cette publication est restée à l'état de projet. Le petit livre anonyme de Monselet abonde en révélations piquantes sur les célébrités bordelaises de tout genre : Félix Solar, Rosa Bonheur, A. Scholl, Diaz... et Charles Monselet". Dans sa notice consacrée à Charles Monselet dans la partie "Biographie" de la Statistique Générale du Département de la Gironde, Bordes de Fortage est plus optimiste en en évoquant le "début d'une série dont 3 ou 4 vol. ont seuls parus". Labadie répertorie ces 3 seuls titres, que nos recherches paraissent bien confirmer comme les seuls parus. Dans le second volume, consacré à "Bordeaux Médecin", Charles Monselet évoque les trois catégories de médecin : à quatre roues, à deux roues et à pied ! Il s'y livre à une longue critique pleine d'esprit d'Hahnemann et de l'homéopathie (tout en se réservant quelques piques contre l'allopathie !), évoquant longuement l'important "Congrès homéopathique de Bordeaux" qui s'y réunit en 1854. Rarissime ensemble en bel état (ex-libris au chiffre ACR). Labadie, 733 ; Féret, Biographie, 461 ; Vicaire, V, 1035
Charles MONSELET Les Tréteaux de Charles Monselet. Avec un frontispice dessiné et gravé par Bracquemond. 1859, Poulet-Malassis et de Broise, Paris. 1 vol. in-12 relié de 268 pages. Reliure demi maroquin à coins vert, dos à 5 nerfs orné de fleurons, titre, et date en pied, frappés à l'or fin. Tête dorée. ÉDITION ORIGINALE tirée à 1500 exemplaires. Bon état, intérieur propre mise à part de petits brunissements aux angles supérieurs de la page de titre. Bel exemplaire. Bon
Edouard Montagne (1830-1899), écrivain ; Charles Monselet (1825-1888), écrivain.
Reference : 015118
Edouard Montagne (1830-1899), écrivain ; Charles Monselet (1825-1888), écrivain. L.A.S., Paris, 19 avril 1888, 1p in-8. Lettre de Montagne à Monselet afin de lui réclamer un quatrain inédit sur son exemplaire des poésies. « il sera pour moi, et pour la postérité, d'un prix inestimable ». Ajout autographe de Monselet : « avec joie. Ch. Monselet ». Sympathique document, un mois avant la mort de Monselet. [370]
Paris: Emile Testard, 1892 in-8, ix-314 pages, 18 gravures. Demi reliure maroquin rouge, dos à 5 nerfs, orné de caissons dorés, petites épidermures, tête dorée, couvertures conservées (défraichies). Un des 600 ex sur papier Vélin teinté. L'ouvrage se termine par une bibliographie de 105 numéros et une iconographie de 71 numéros. On joint une lettre autographe signée de Charles Monselet à Charles Asselineau.
Charles Monselet, sa vie, son oeuvre. Préface par Jules Claretie. [joint AUTOGRAPHE de Charles MONSELET à Charles ASSELINEAU]. (Paris: Emile Testard, 1892). [M.C.: littérature, biographie, histoire littéraire]
Paris, Pagès, L'Heureux et Cie, s.d. [1872]. Un fort vol. au format in-folio (423 x 303 mm) non paginé. Plein cartonnage cerise d'édition, filets gras et maigres à froid encadrant les plats, fleurons angulaires à froid, titre doré, dos lisse orné de filets dorés, roulettes dorées, fleurons dorés, titre doré.
Rare publication s'ouvrant sur une jolie page de titre allégorique signée de Brévière. Lui succède un texte de Charles Monselet intitulé Tablettes d'un amateur de spectacles puis Les Féeries Viennent ensuite : Souvenirs, portraits et anecdotes par Gaston Robert de Salles - Diorama - Essais sur l'art dramatique (du même). Une partition de Jules Massenet : Sérénade d'automne. Une exhaustive description de chacun des théâtre de Paris (avec reproductions et prix des places) - Une notice sur l'ouverture de Baden-Baden - etc. ''Destiné à ne paraître que dans les salons du grand monde, dans les cercles aristocratiques, dans les hôtels somptueux, caravansérails du monde entier, nous avons voulu que cet Album fût digne de cette haute appropriation et l'avons illustré de la gravure des maîtres, auxquels Charles Monselet a bien voulu ajouter ses appréciations aussi saines que spirituelles et élégantes''. (in Avant-propos). L'ensemble s'agrémente de nombreuses gravures in et hors-texte signées par Cramert, La Charlerie, Pannemaker, Sargent, etc. En outre, le présent Album est occupé par de nombreuses publicités du temps, constituant ''un défilé artistique et industriel de noms de toutes les maisons, qui, à un titre ou à un autre, ont su créer des titres de noblesse dans leur spécialité''. Le tout formant ''un magnifique recueil en même temps qu'un spécimen complet de ce que l'art de Gutemberg a produit de plus parfait, plaçant ici en première ligne l'Imprimerie Edouard Blot et Fils aîné, dont les nombreux caractères typographiques de fantaisie proviennent pour la plupart de la fonderie G. Mayeur. Absent de Vicaire. Plats à l'éclat altéré, présentant une décoloration (principalement marquée en marge).Quelques rousseurs éparses dans le texte. Nonobstant, belle condition. Rare.
Paris, E. Dentu Libraire de la Société des gens de lettres, Paris, E. Dentu Libraire de la Société des gens de lettres1880 ; in-12, broché, couverture imprimée en rouge et noir datée de 1881 au dos. 2 ff., 318 pp., 1 f. blanc (titre en rouge et noir).PREMIERE EDITION COLLECTIVE. Le joli frontispice montre une scène de pique-nique amoureux avec, en médaillon, le portrait en buste du charmant Monselet. L’amour que ce merveilleux personnage portait aux nourritures terrestres apparaît dans de nombreux poèmes : Le Médoc, l’Ode à l’ivresse, le dîner que je veux faire, les sonnets gastronomiques, Bourgogne et Bordeaux, etc.Personne n’a mieux résumé Monselet qu’il ne le fit lui-même dans l’auto-portrait en vers qui sert de préface au receuil....”Le principal étant de vivre,Fidèle au : tel père, tel fils,Ma ressource devint le livreMon père en vendait, - moi, j’en fis.Ma verve fut vite étoufféeSous le journal, rude fardeau;La servante chassa la fée;L’article tua le rondeau.Quinze ans d’un pareil exerciceNe m’ont laissé que - la malice.Je suis par la prose envahi;D’autres disent: - et par l’Aï... (etc.)Une seconde édition définitive de ce recueil paraîtra chez Dentu en 1889.A. Monselet 81 (qui date l’édition de 1881) - Talvart et Place 70 A - Vicaire V 1058 - Oberlé Fritsch 536.UN DES 100 EXEMPLAIRES SUR HOLLANDE avec le frontispice en 2 états, sur Japon et sur Chine. Il est en outre enrichi d’une épreuve sur Chine du frontispice de Benassit pour les Créanciers de Monselet, publié par Pincebourde en 1870.
P., Émile Testard, 1892, gr. et fort in-8, bradel cart. marbré, pièce d'auteur et de titre en cuir havane, couv. cons. (reliure postérieure de Loutrel), portrait sur la couv. et la page de titre, IX-314 pp., bibliographie. (DG11)
18 gravures, portrait-frontispice et dessins par Étienne Carjat, Fernand Desmoulin, Disderi, André Gill, H. Mailly, Mariani, Gaston Vuillier, etc. Préface par Jules Claretie.Un des 600 ex. numérotés sur vélin teinté, troisième grand papier. Bien relié.
1874 PARIS, Charpentier & Cie libraire éditeurs, 1874 - In-12 - Reliure demi-chagrin rouge - Dos à 5 nerfs - titre frappé doré - Plats & gardes marbrés - Couverture conservée tachée - 396 pages - seconde édition - bon exemplaire - Réf. 17283
Charles Monselet (1825 - 1888) est un poète français né à Nantes, journaliste, romancier, chroniqueur, gastronome, qui procède de Rabelais, de Molière et de Balzac. Instantanés littéraires, nouvelles folâtres et romans d'amour, sa bibliographie compte une quarantaine de volumes pleins de couleur, de gaieté et de nature. Vicaire col. 606 signale que le chapitre VI est entièrement consacré à Grimod de la Reynière dont Monselet s'est fait l'historien dans les "Oubliés et les Dédaignésî en 1861. Oberlé en notice 220 précise qu'il est "un des plus charmants livres du 19è sur les joies de la table. Outre les poèmes gastronomiques qui chantent la semoule, la truite, le cochon... on y trouve de nombreuses anecdotes historiques (le déjeuner de Molière et de Louis XIV, le duel au cochon de lait), des récits de tables, des souvenirs de restaurant, et de nombreuses recettes extraordinaires : noix de boeuf au suif, potage à la jambe de bois, pâté de cygne... - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Libraires-Editeurs, 9, rue des Beaux-Arts, 1859, 1 volume in-12 197x130 mm environ, 2ff.blancs, faux-titre, frontispice, titre en rouge et noir avec vignette à la devise de l'imprimeur (Concordiae Fructus), 268 pages, 2ff. (table, vignette à la devise de l'imprimeur), 2ff.blancs, demi chagrin rouge à coins, dos lisse portant titres et date dorés, feuillets non rognés. Bon état. Avec un frontispice dessiné et gravé par Braquemond.
Charles Monselet, né à Nantes le 30 avril 1825, et mort à Paris (9ème) le 19 mai 1888, est un écrivain épicurien, journaliste, romancier, poète et auteur dramatique français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Libraires-Editeurs, 1859, 2 tomes reliés en 1 volume de 12x18.5 cm environ, 1f.blanc, faux-titre, titre en rouge et noir avec vignette à la marque de l'imprimeur, vii-320pages-2ff. (table, marque de l'imprimeur)-295 pages-2ff.(table, marque de l'imprimeur), 1f.blanc, demi chagrin vert et cartonnage marbré, dos à 4 nerfs portant titres et fleurons dorés, tranches finement mouchetées, gardes marbrées. Frottements sur le cuir et le cartonnage, bon état intérieur.
Charles Monselet, né à Nantes le 30 avril 1825, et mort à Paris le 19 mai 1888, est un écrivain épicurien, journaliste, romancier, poète et auteur dramatique français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1857 ; in-12 carré, broché. 2 ff., XVIII pp., 240 pp. - [Imprimé à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1500 exemplaires et 30 exemplaires sur Hollande.La Lorgnette fit grand bruit, déjà au cours de sa publication “pré-originale” dans la Gazette de Paris. D’ailleurs Monselet et Malassis retranchèrent un certain nombre de notices pour la publication en volume. Saluons ici le courage de Malassis, car le manuscrit avait été refusé par Bourdilliat (Librairie nouvelle) qui l’avait trouvé trop audacieux. “Monselet offrit alors son livre-épouvantail à un éditeur, son ancien ami, M. Poulet-Malassis, homme qui se distinguait essentiellement de Panurge par un goût immodéré du risque” (notice dans le Complément de la Lorgnette publié par Pincebourde en 1870). Malassis avait proposé un autre titre pour cette galerie : La Fosse commune, dictionnaire des grands et petits auteurs de mon temps. Sur plusieurs publications de Malassis l’ouvrage fut ainsi annoncé.Dans ses Lettres satiriques et critiques, Babou a fort heureusement décrit l’esprit et la nouveauté qui règnent ici : “Il manquait sans doute, à la presse du XIX° siècle quelque chose de ce que Théodore de Banville laissa pailleter dans ses vers, lorsqu’en un jour de gaité il emmancha sa plume dans une batte d’Arlequin.Après la poèsie-bouffe et les odes funambulesques, il était bien naturel de s’attendre à de la prose funambulesque, à la critique-bouffe, à de l’esthétique mêlée de soufflets, gambades, ruades et pirouettes. Cette prose, cette critique, cette esthétique, vous avez jovialement tenté de nous la donner, dans votre Abecedario littéraire”.Launay 35 - A. Monselet 27 - Talvart et Place 18 A 1 - Vicaire V 1039 - Clouzot 120 - Carteret II 175Exemplaire sur papier d’édition. La couverture imprimée en beige porte en quatrième des publicités et des annonces de livres en préparation. Quelques rousseurs.
Paris, chez René Pincebourde, Paris, chez René Pincebourde1864 ; in-12 carré, broché, couverture papier peigné, avec étiquette imprimée. 2 ff., 138 pp., 1 f. de table, 1 f. de publicité pour la “Petite Revue”. - Frontispice dessiné et gravé à l’eau-forte par E. MORINEDITION ORIGINALE tirée sur papier vergé. Il existe 2 exemplaires sur peau de vélin, 10 exemplaires sur Chine et 10 exemplaires sur papier chamois.Comme Rétif, Fréron “ce vaincu du XVIII° siècle” a inspiré à Monselet une étude spéciale, publiée en dehors du recueil des Oubliés et dédaignés. L’idée de ce travail lui est venue lors d’un voyage à Quimper, ville natale du critique honni par Voltaire, en mai 1863. Pendant 8 jours Monselet plongea dans les 300 volumes de Fréron dormant sur les rayons de la bibliothèque municipale et ressentit peu à peu une réelle sympathie pour cet homme qui avait alors tant besoin d’être défendu. Voir à ce sujet Desfeuilles p 90 à 98 - A. Monselet 39 - Talvart et Place 28 - Vicaire V 1045
Paris, Bachelin-Deflorenne, 1885 in-8, broché sous couverture illustrée en couleurs de décors géométriques [Oeuvres de Charles Monselet]. Petites usures au papier.
Édition qui ne reprend qu'une partie des figures évoquées dans l'édition originale de 1857, parue en deux volumes, parce que l'ouvrage devait faire partie d'une collective des Oeuvres de l'auteur, dont ce fut le seul volume paru. Pourtant ce texte, premier ouvrage de Monselet d'ailleurs à avoir été publié chez Malassis, est des plus intéressants : il s'agit d'une monographie sur une série d'auteurs dits "mineurs", dont la mémoire avait généralement sombré avec le néo-classicisme de l'Empire, mais que le milieu du XIXe siècle aima à redécouvrir. Le critique gastronome inaugurait ainsi la série des "redécouvertes" littéraires, dont le train ne cessa jusqu'à nos jours, et qui permet effectivement de tirer de l'oubli des écrivains qui n'ont démérité que par rapport au goût trop étroit d'une époque donnée.Vicaire V, 1039. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lyon s.d. [ca 1850], 10,5x13cm, une page sur un double feuillet.
Billet autographe signé de Charles Monselet, 10 lignes à l'encre noire sur un double feuillet. Une tache claire en haut de la troisième et quatre pages du double feuillet. Se sentant triste, Charles Monselet fuit Lyon pour se réfugier à Marseille : "Je verrai votre frère à mon retour de Marseille, où je vais dissiper mes chagrins..." Afin de tempérer la tristesse de ses propos, le poète souhaite le meilleur pour son correspondant : "Dieu vous tienne en joie, mon cher ami..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
DE BOISGOBEY, CLARETIE, COPPÉE, ÉTINCELLE, MARY, MONSELET, MORTIER, RICHARD, VILLIERS DE L'ISLE-ADAM. [MYRBACH].
Reference : 000312
(1885)
DE BOISGOBEY, CLARETIE, COPPÉE, ÉTINCELLE, MARY, MONSELET, MORTIER, RICHARD, VILLIERS DE L'ISLE-ADAM. [MYRBACH]. CONTES DE FIGARO. Illustrations de Myrbach. 1885, Ed. Monnier, collection Monnier, Paris. 1 vol. in-8 relié de 130, 12 ff. n.ch. pages. Reliure à la Bradel demi-maroquin bleu canard à coins exécutée et signée par CARAYON, dos lisse orné d'une fleur, du titre, et de la date en queue, frappés à l'or fin. Couverture et dos d'origine conservés. Bon état, intérieur frais, quelques infimes frottements. Belle édition illustrée de ces 9 contes rédigés par des collaborateurs du journal le Figaro. Titre et 18 compositions in-texte par Félician MYRBACH, ainsi qu'une belle couverture en couleurs, avec rehauts d'or. UN DES 30 EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS SUR PAPIER JAPON, seul grand papier, numéroté et signé par l'éditeur. Vicaire, II, 856. Bel exemplaire, très rare en grand papier. Très bon