1 volume in-8° reliure pastiche XVIIIe. Très bel état.
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Un document petit in-4° broché, VIII, 44 p., 1 f. nchf, petites salissures avec état d'usage, grignotage en partie supérieure sans gravité. Bon état.
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1 volume in-8° relié pleine basane marron d'époque marbrée, dos à nerfs, caissons décorés, pièce de titre disparue, coin supérieur gauche de la coiffe supérieure abîmé, épidermures, 5 f. + 180 p. et XVII f. + 5 f. + 252 p. hormis défauts signalés très bon état.
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1 fascicule petit in-4° broché. Couverture spéciale avec étiquette d'époque contrecollée sur le plat supérieur. 44 p. Très bon état.
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"9 p. (8f.) Très bon état. Document cumulant les informations d'intérêt tant sur les salaires et traitements des officiers que sur la marine et les spécificités appliquées dans les ""Isles du vent de l'Amérique""."
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THIERS Adolphe (Marseille 1797 - St Germain-en-Laye 1877), Journaliste, historien, Homme politique : ministre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet, député sous la IIe République et pendant le Second Empire, premier président de la Troisième République (1871-1873). - . - Membre de l'Académie française (élu en 1833).
Reference : 11255
Au sujet d'un contrat , au journal Le Constitutionnel, 3 pages in 8° de 1846 , lettre dans laquelle Thiers vient recommander à un collègue, “Mr. Mennaux qui est un excellent homme plein d'honnêteté et de talent et que nous avons chargé de tous… pour l'affaire du Constitutionnel, je crois qu'il est temps d'en finir…“ . (déchirure avec infime sans gène pour la lecture). En 1844, le Journal qui appartenait à 15 actionnaires fut vendu à Louis Véron, Adolphe Thiers en resta rédacteur en chef. En 1848, il sert l'élection de Louis-Napoléon Bonaparte, et est un organe gouvernemental sous le Second Empire.
Au sujet des Elections de 1863. Lettre de 3 pages 1/2 in-12° du 25 mai 1863, une semaine avant les élections législatives, sur les élections Thiers insite son correspondant à la lutte“ puisque nous avons accepté le combat tachons d'en sortir victorieux ce sera chose ardue…“. Il évoque Persigny, Dufaure pour Bordeaux , Odillon Barrot peut-être pour Strasbourg…Il demande à son correspondant s'il rejoindra sa commune “ c'est dans les communes rurales que l'action est indispensable…“ . Pour les élections législatives des 31 mai et 14 juin 1863 (suffrage universel masculin), à Paris, les directeurs de journaux “indépendants“ et républicains s'entendirent pour former une liste unique où figuraient Émile Ollivier, Jules Simon et Adolphe Thiers. ( ClBe1)