Mollien accuse réception de la lettre de Courtin (en date du 5 juillet) mais ne peut donner suite à sa demande dune importante réduction dimpôtsen faveur du Sieur Asselin. Il ne lui a pas été possible …dadmettre un aussi fort atermoiement parcequil entraînerait de trop longs délais. Tout ce que jai pu faire par égard pour votre recommandation a été de restreindre à 15,000 F. les payements à faire par le Sr Asselin au 1er Janvier de chaque année…Fait comte dEmpire en 1808, Nicolas Mollien est destitué de son poste dans ladministration des Domaines et de lEnregistrement sous la Terreur. Il quitte la France pour lAngleterre où il étudie les institutions financières britanniques. Il est nommé Ministre du Trésor en 1806 et gagne la confiance de lEmpereur. Il devient son conseiller financier privé.
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, demi-chagrin brun, dos à nerfs, filets dorés (reliure de l'époque).
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire." (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision sont de tout premier ordre.Bon exemplaire offert M. Ducrey A mon ami Mr Faré, conseiller d'Etat, Directeur Général des Forêts. Souvenir reconnaissant et affectueux.Il a été écrit en dessous : Cet exemplaire a été donné par Madame la Comtesse Mollien, à mon oncle, Mr Lafaurie, Conseiller maître à la Cour des Comptes.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Je prends beaucoup de part, Madame la Baronne, a lindisposition de Monsieur le Baron Bignon..; Mollien promet une visite à son ami dès que la santé de celui-ci le lui permettra. Il doit ...passer encore quatre ou cinq jours a paris jespere que ce delai suffira pour que son etat le rende acceptable pour moi, et pour calmer mon inquiétude à son égard... Baron Louis Edouard Bignon (1771-1841). Diplomate. Chargé de ladministration des domaines conquis par Napoléon, notamment la Prusse.
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, demi-basane aubergine, dos lisse orné (reliure de l'époque). Dos passé, coins usés, coiffe supérieure du tome 1 usée. Rousseurs.
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire." (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision sont de tout premier ordre.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Fournier, 1845 4 vol. in-8, env. 480 pp. par vol., 9 tableaux dépl. (budget des années 1806 à 1813 et situation du Trésor), demi-veau fauve, dos ornés à nerfs soulignés d'un double filet doré, palettes etfilets dorés, petits fleurons à froid, pièces de titre et de tomaison de maroquin vert (rel. de l'époque). Dos un peu frottés (coiffes parfois plus marquées), discrètes griffures, rousseurs, néanmoins exemplaire convenable.
"Mémoires rédigés à partir de 1817 pour se justifier (cf. l'introduction de la deuxième partie). Tableau de la situation financière de la France à l'avènement de Bonaparte, entretiens et correspondance avec Napoléon, principes financiers suivis par le ministre, étude des budgets, effets du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts, toutes ces questions sont abordées. L'ouvrage s'achève sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des "prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814". Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire" (Tulard).Fermier-général à la veille de la Révolution, Mollien renoue avec sa carrière de fonctionnaire des finances sous le Consulat pour rapidement prendre la tête de ce ministère. Son action y fut capitale, créant notamment la Cour des Comptes (1807).Ses mémoires, souvent techniques, toujours soucieux de précision, sont de tout premier ordre.Tulard, 1034. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, tableaux dépliants, broché.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, XIX-561 pp., 611 pp. et 485 pp., 9 tableaux dépl., qqs tableaux in-t., demi-chagrin noir, dos à nerfs (rel. postérieure). Bon exemplaire.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, tableaux dépliants, broché. Dos fragiles (tomes 2 et 3), couv. remontée et contrecollée au tome 1.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Guillaumin, 1898 3 vol. in-8, tableaux dépliants, broché. Dos abîmés aux tomes 2 et 3.
Nouvelle édition, avec une importante introduction par Charles Gomel, spécialiste de l'histoire économique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A PARIS. DE L'IMPRIMERIE IMPERIALE. NOVEMBRE 1808. IN-4 BROCHE (23,5 X 31 X 2 CENTIMETRES ENVIRON) DE VI + 126 PAGES, COUVERTURE PAPIER MARBRE D'ORIGINE. TITRE ILLUSTRE D'UNE VIGNETTE DE TITRE AUX GRANDES ARMES IMPERIALES. PETIT MANQUE DE PAPIER AU DOS, INFIME TRAVAIL DE VER EN MARGE INTERIEURE SUR QUELQUES PAGES, SINON BON EXEMPLAIRE, "DANS SON JUS", TEL QUE PARU.
1845 1845 Paris Fournier 1845 4 in -8 Reliure Demi-Chagrin Vert à nerfs Edition originale des mémoires de François-Nicolas Mollien (1758-1850), Ministre du Trésor du 27 janvier 1806 au 1er avril 1814 et du 20 mars au 22 juin 1815
Bien conservé. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
P., Guillaumin, 1898, in-8°, 485 pp, un tableau dépliant hors texte, pièces annexes, broché, couv. défraîchie, traces de scotch sur la page de faux-titre et le dernier feuillet de table, bon état
Tome 3 seul (sur 3) : de 1811 à 1815 — Nouvelle édition des mémoires de François-Nicolas Mollien (1758-1850), ministre du trésor public de 1806 à 1814, puis durant les cent-jours, rédigés à partir de 1817 afin de se justifier : tableau de la situation financière de la France à l'avénement de Bonaparte, entretiens et correspondances avec Napoléon, principes financiers qu'il a suivi, études des budgets, effet du système continental, financement des guerres, attitude de l'opinion devant les impôts. L'ouvrage se termine sur la situation de la caisse générale du Trésor impérial et la réfutation des « prétendues malversations du gouvernement impérial dénoncées en juillet 1814 ». — "Remarquables mémoires dont la consultation est indispensable pour l'histoire intérieure de l'Empire." (Tulard, 1034)