Fasquelle, Paris 1908, 19,5x25,5cm, relié.
Edition de luxe illustrée d'une centaine de dessins de Pierre Bonnard parsemant les marges des feuillets, un des 200 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, seul tirage après 25 japon. Bel exemplaire. Reliure en demi veau marron, dos lisse orné de doubles filets noirs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins. Envoi autographe signé de Pierre Bonnard à Xavier Roux : "... à son compatriote dauphinois et ami..." enrichi d'un envoi autographe signé d'Octave Mirbeau au même. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Charpentier et Fasquelle 1908 In-4° (240 x 186 mm.), pp. XX, 416, oltre 120 composizioni in nero di Pierre Bonnard n.t., legatura in mezzo marocchino e angoli color bruno, dorso liscio e tiolo in oro, taglio superiore dorato, brossura editoriale illustrata conservata all'interno. Ex libri di Raymond Gevers al piatto interno superiore. Edizione di lusso numerata su 'papier vélin d'Arches' di 200 esemplari, il nostro è il n. 40. Splendido esemplare in barbe ed assai fresco.
1908 1 in-4 3 pages in-4 signées et monogrammées, montées en tête de l'ouvrage d'Octave Mirbeau. Paris, Charpentier et Fasquelle, 1908, in-4, demi-maroquin fauve à coins, dos lisse à encadrement de fleurs et feuillages mosaïqués Art nouveau, titre et tête dorés, couverture illustrée rempliée conservée, XX pages, 416 pages. (Reliure René Aussourd).
Manuscrit autographe d'Octave Mirbeau (Trévières 1848 - 1917 Paris) de 3 pages, signé et monogrammé O. M. , "Une heure chez Rodin", publié in Le Journal, le 8 juillet 1900. Ces pages manuscrites sont suivies par l'ouvrage d'Octave Mirbeau "La 628-E8", orné d'illustrations de Bonnard (Fontenay-aux-Roses 1867-1947 Cannet). Édition de luxe illustrée de croquis dans les marges. Un des 200 exemplaires sur vélin dArches. Légères marques et usures. Mirbeau fidèle ami et grand admirateur de Rodin, malgré des divergences idéologiques, a longtemps soutenu son ami et lui a permis de recevoir de nombreuses commandes. Le texte est dithyrambique, manifestement exalté, très imagé, capital pour la compréhension de l'uvre de Rodin. Mirbeau vient de visiter les sculptures de Rodin : « Ici cest comme un jardin qui serait rempli de bien des fleurs je les respire.. je me grise de leurs odeurs je me sens moi-même devenir un ( ) et ces femmes et ces visages et ces formes me font comprendre des choses. Je comprends la beauté des fleuves, des mers, des forêts, des grands ciels où passent les nuageset des montagnes rondes comme des seins Et voici que s'ouvrent devant mes yeux éblouis toutes les portes et tous les palais et tous les jardins de la vieDésormais je ne pourrais plus voir dautres sculptures que celle-là ».