1790 Sans lieu, ni nom, ni date ( 1790); in-8°, demi-percaline rouge à la bradel, titre doré au dos sur longue étiquette brune; 38pp. Reliure postérieure du début XXème, exemplaire non rogné, quelques piqûres.
Ce 1er numéro, sur les 3 parus, a aussi paru sous le titre suivant : Première lanterne magique nationale revue et corrigée par un zélé patriote. ( cf. BNF). (CO1)
Londres, , 1792. In-12 de (2)-244-(5) pp., demi-vélin ivoire, dos lisse, pièce de titre noire (reliure du XIXe siècle).
Deuxième édition publiée sous le voile de l'anonyme onze ans après la première.« L'auteur présumé de ce tableau des moeurs faciles au XVIIIe siècle, dont on vanta longtemps les détails libres, la manière singulière et la tonalité galante, est le vicomte de Mirabeau, non pas le célèbre orateur révolutionnaire, mais son frère cadet plus connu sous le sobriquet de Mirabeau-Tonneau, lequel sous le nom de chevalier de Bar*** (Barville) raconte ses bonnes fortunes amoureuses. Cela nous vaut une cinquantaine de chapitres lestement troussés, et la description par le menu des habitudes des femmes de son temps » (Dictionnaire des oeuvres érotiques).Exemplaire sans les huit figures qui manquent le plus souvent. Ex-libris manuscrit ancien gratté sur le premier contreplat ; quelques feuillets légèrement roussis. Dutel, A-736 ; Pia, 507 ; Gay, III, 277 : Le Chevalier de Barville n'est autre que le vicomte de Mirabeau, frère cadet de l'illustre orateur, surnommé Mirabeau-Tonneau.
Paris, Chez Vincent, An VIII (1799-1800). "9 x 13, 120 pp., reliure d'époque, dos lisse entièrement décoré, plats encadrés d'un filet doré, chants décorés, pages de garde papier marbré, tranches de couleur jaune, bon état (quasi pas de rousseurs, page de garde avant (bleue) découpée; reliure état d'usage)."