Paris, Editions du Chêne, 1948, 1 volume, in-12, broché, 329 p.. De la collection "Domaines étrangers". Première édition française avec achevé d'imprimé au 5 avril 1948. Petites rousseurs sur la couverture. Joint, prospectus publicitaire pour "Max et les phagocytes".
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Editions du Chêne, 1947, 1 volume, in-12, broché, 3361 p.. De la collection "Domaines étrangers". Première édition française avec achevé d'imprimé au 10 janvier 1947. Nouvelles traduites de l'américain par Jean-Claude Lefaure. Petites rousseurs sur le haut du premier plat de couverture.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Gallimard 1957, 1 volume, in-8, couverture souple éditeur, 431 p.. De la collection "Du monde entier", traduit par Jean Rosenthal. Papier légèrement jauni.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Hallier / PJ Oswald, 1976, in-8, broché, 143p. Très bon état.
Pacific Palisades 1976-1978, 23 pages A4.
Superbe ensemble complet des 17 lettres autographes signées d'Henry Miller et adressées à l'écrivain Béatrice Commengé, auteur notamment de Henry Miller, ange, clown, voyou et traductrice de nombreuses oeuvres d'Anaïs Nin. On joint une enveloppe autographe adressée par Henry Miller à Béatrice Commengé et une lettre autographe signée d'Anaïs Nin à Béatrice Commengé. En 1976, Béatrice Commengé, alors jeune étudiante en lettres, entreprend la rédaction d'une thèse consacrée à Anaïs Nin et Henry Miller. Depuis son village périgourdin, elle écrit à l'une et à l'autre. Nin, très souffrante, regrette de ne pouvoir l'aider. Miller, par contre, se laisse d'abord séduire par l'idée d'échanger avec une habitante de Domme, village dont il avait autrefois célébré la beauté dans Le Colosse de Maroussi. Très rapidement, impressionné par la perspicacité et le style de l'étudiante, il engage avec elle une correspondance qu'ils entretiendront jusqu'à ce que, deux ans avant sa mort, la vue d'Henry Miller se dégrade définitivement et l'empêche de lire et d'écrire. À cette époque, Miller, âgé de quatre-vingt-cinq ans, vit presque reclus à Pacific Palisades en Californie, rejetant l'American Way of Life et ses illusions, redoutant les trop fréquentes sollicitations. Mais le vieil écrivain est très vite charmé par le regard que porte Commengé sur son oeuvre : « You are a gem ! One of the very few ''fanas'' to understand me. Merci ! Merci mille fois ! », écrit-il dès la seconde lettre. Une véritable amitié épistolaire se noue alors entre le vieil écrivain et la jeune muse : « I think of you as some sort of terrestrial angel » ; « what a delight to get a letter from you » ; « Keep writing me, please ! » Dans des lettres passionnées rédigées dans tous les sens, où l'anglais se mêle au français, les mots sont soulignés, les parenthèses et les exclamations abondent et les post-scriptum sont ajoutés dans les marges, Miller se penche sur ses souvenirs et sur son oeuvre. Refusant une correspondance purement universitaire, « To be honest with you, I don't think either A.N. or I, who are naturally very truthful persons, really succeeded with truth as it is conventionally thought of. We are both confirmed ''fabulators''. » Miller recommande à la jeune femme ses nouvelles lectures et ses vieux amis, « [Lawrence] Durrell is the friend to talk to about me, [...] he knows me inside out » ; « [he] is wonderful when you get to know him. éblouissant même » ; « that great master of the french language - Joseph Delteil » ; « Delteil is almost a saint. But a lively one. » ; « Alf[red Perlès] is the clown, the buffoon, who made me laugh every day ». Puis il la félicite d'abandonner son projet didactique au profit d'un « imaginary book about me » et engage une correspondance bien plus intime. Il lui confie ainsi ses étonnements : « Did you read about the french prostitutes protesting and demonstrating in Paris against my receving [the legion of honor] ? They say I did not treat them well in my books. And I thougth I had ! ! ». Il partage ses gouts littéraires : « I prefer the Welsh. They are the last of the poets. » Il met également en garde la future traductrice d'Anaïs Nin, contre la dualité de son ancienne maîtresse : « She is or was a complete enigma, absolutely dual. [...] Actually, I suppose there is always this dichotomy between the person and the writer », lui confiant ses secrets : « she is slowly dyin (of cancer) she refuses to admit it. (This is entre nous !) » et révélant ses nouveaux amours : « I am in love with a very beautiful chinese actress [...]. I seem to go from one to another, never totally defeated, never wholly satisfied. But this is near ''eternal'' love as I've never been. » En effet, malgré son grand âge, l'auteur de Sexus n'a rien perdu de sa passion pour le beau sexe et celui de sa correspondante n'échappe pas à ce Don Juan : « On est curieux - êtes-vous belle etc., je crois que oui. En tout cas je vous prie de m'envoyer une photo, S.V.P. » Dès la première année de leur correspondance, c'est dans la langue de Molière - et de Sade - que Miller interroge sa « chère Béatrice » : « Est-ce que vous avez vu le film ''L'Empire de [sic] Sens'' qu'on montre en France, mais pas au Japon, ni ici en Amérique. Les Français prétendent qu'il est un film érotique, mais à mon avis c'est de la pornographie pure ! Il faut m'arrêter - j'attends quelqu'une pour le diner. Une belle ! », puis dans la lettre suivante : « If you have another photo do please send it to me. » Dans les dernières lettres pourtant, le ton s'assombrit avec la santé déclinante de l'écrivain et celle du 25 janvier 1978 est un superbe mais terrible témoignage d'un artiste devenu trop faible pour son art, portant un regard acerbe sur sa condition comme sur celle de l'humanité : « Some days, I bang out a few memorable lines or have great ideas (never realized) for future books » ; « c'est la grand foutaise, if that's the right word » ; « we are about to relive the last day's of Rome. There is no hope - only to rejoice in the end. It needs another order of mankind or replace Homo Sapiens. [...] I prefer the life and culture of the Pygmies... » Mais Henry Miller conserve toutefois son humour jusqu'à la dernière lettre qu'il achève abruptement, comme à son habitude, d'un sarcastique et phonétique : « Enof ! » Superbe ensemble complet d'une des ultimes correspondances d'Henry Miller, révélant l'affinité élective entre le vieil écrivain au crépuscule de sa vie et une jeune romancière naissante, à travers un échange plein de séduction sur les passions toujours ardentes de Miller : la littérature, les amis et les femmes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Berkeley Bern Porter by the Packard Press 0 In-8 Cartonnage éditeur
Edition originale de cet hommage à Henry Miller, imprimée sur papier couché de différentes couleurs. En frontispice, portrait de Miller par Abraham Rattner et trois hors texte d'Hélion, Zadkine et Portner. Textes de Lawrence Durrell, Emil Schnellock, Wambly Bald, R.G. Osborn, Michael Fraenkel, Alfred Perlès, T.R. Gilbert, Paul Rosenfeld, Abraham Rattner, Knud Merild, Henry Miller, Gilbert Neiman, W.C. Williams, Philip Lamantia, George Leite, Wallace Fowlie, Bern Porter, Osbert Sitwell, H.F. West, Parker Tyler, James Laughlin, Roy Finch, Hugo Manning, Claude Houghton, Frederick Carter, Kenneth Patchen, Rudolph Gilbert, Paul Weiss, Reginald Moore, Nicholas Moore. Bio-bibliographie in fine. -- Tirage à 3 000 exemplaires dont 750 distribués en 1945 et 2 250 diffusés en 1947. Un de ces derniers, celui-ci portant un ENVOI autographe signé et daté de Miller à son éditeur français : « For Guy Tosi, who would undoubtedly compile a much better collection y testimonials from the Jallies spirits alone. Devotedly. 1/6/48 » Très bon 0
Catalogue d'exposition. Textes de Brassai, Henry Lawrence Miller, Durrell, Bissière.
Reference : 8459
(1962)
Henry Miller. Nouvelles traduites de l'américain par Jean-Claude Lefaure.
Reference : 83972
Paris, Editions du Chêne. Domaines étrangers, 10 janvier 1947, in-12, broché, 360 pages. Edition originale sur papier d'édition. Nom de l'ancien propriétaire sur la page de garde, le journaliste Pierre-Laurent Darnar. Bon exemplaire.
Paris, Editions du Chêne, Domaines Etrangers, 5 avril 1948, in-12, broché, 329 pages Edition originale sur papier d'édition. Exemplaire du service de presse. Bon état. Catalogue de l'éditeur en fin d'ouvrage.
Paris, The Obelisk Press / 16 plave Vendôme, january 1939/ Fith printing, 14,5x19cm, broché, 317p. Fith printing. Wear and tear.
Paris, Julliard, 1978, in-4, relié-jaquette éditeur, 206 pages. Bon état.
Paris, Julliard, 1980, in-4, relié-jaquette éditeur, 222 pages. Bon état.
R. P. du Poisin, Cotton Mather, Benjamin Franklin, John Paul Jones, Saint John de Crèvecoeur, Washington Irvin, Edgar Poe, Walt Whitmann, William H. Herndon, Emily Dinkinson, Vachel Lindsay, James Weldon Johnson, Hart Crane, John Peale Bishop, Langston Hughes, Robinson Jeffers, Archibald Macleish, Henry Miller, Marianne Moore, John dos Passos, John Crowe Ransom, Wallace Stevens, Allen Tate, William Carlos Williams.
Reference : 78781
(1939)
Paris, José Corti, 1939, 185x23mm, broché, 382p. Bel exemplaire.
Paris, Chêne Stock, 1976, in-8, Broché, 166 pages. Bon état. Envoi sur la page de faux-titre.
Paris, Buchet / Chastel, 1968, in-8, broché, 666 pages. Plis de lecture au dos. Bon état. EXEMPLAIRE DU SERVICE DE PRESSE.
Paris, Chêne Stock, 1976, in-8, Broché, 166 pages. Bon état.
Paris, Ed. Hallier. P.J. Oswald, 1976, in-12, Broché, 183 pages. Bon état.
Henry Miller. Nouvelles traduites de l'américain par Jean-Claude Lefaure.
Reference : 25697
(1947)
Paris, Editions du Chêne. Domaines étrangers, 1947, in-12,, Broché, 360 pages. Bon état.
Paris, Stock / Chêne, 1972, in-8, Broché, 322 pages. Pliures au dos. Bon exemplaire