S.n., s.l. 1888, 24,5x31,5cm, relié.
Manuscrit autographe complet, de la main d'Ephraïm Mikhael, de 28 feuillets numérotés de papier cartonné souple. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Notre manuscrit, dans sa majorité écrit de la main d'Ephraïm Mikhaël comporte des ratures, des ajouts de Mikhaël sur des placards encollés. Il présente également des ajouts à la plume et au crayon de la main du coauteur de la pièce, Bernard Lazare. On distingue la signature partielle «B Lazare» dans le coin supérieur gauche de la page de titre. Quelques petits manques de texte en raison de la fragilité du papier. A notre connaissance, aucun autre manuscrit de cette uvre n'a été conservé. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 Manuscrit autographe complet d'une des toutes premières pièces de théâtre symbolistes, écrite par Ephraïm Mikhael et Bernard Lazare, s'inspirant d'une légende antique auréolée de mystère, à la croisée du paganisme et du mysticisme chrétien. Composée en 1887 alors qu'Ephraïm Mikhaël était déjà rongé par la tuberculose, cette «légende dramatique» en trois actes ne sera pas créée au théâtre de son vivant. Ce manuscrit constitue un authentique témoin du travail coordonné des deux hommes, qui se considéraient comme cousins tant leurs affinités littéraires étaient grandes. Les pages du manuscrit retracent les nombreuses étapes d'écriture à travers les innombrables parties encollées dévoilant ou masquant les états antérieurs du texte abandonnés et réécrits par Mikhaël. On y rencontre çà et là les ajouts de Bernard Lazare, qui se charge en majorité des didascalies, et dont l'écriture serrée se distingue aisément de l'ample plume de son acolyte. S'inspirant d'un récit du Livre des Merveilles de Phlégon, auteur du IIe siècle de notre ère, la pièce conte le destin de deux amants païens, Apollonia et Manticlès, réunis dans la mort après avoir été séparés par Bénénikè, mère de la jeune fille récemment convertie au christianisme. Ephraïm Mikhaël corrigea systématiquement le nom de «Bérénice» en «Bérénikè», s'éloignant de la référence cornélienne pour donner une couleur plus antique au récit. En tous points fidèle à l'esthétique symboliste, telle qu'énoncée un an plus tôt dans le fameux manifeste du mouvement, la pièce est traversée par le motif de la revenante d'outre-tombe et de la tension religieuse : «Je voudrais que les Euménides nous reçoivent tous deux au seuil de l'Hadès, comme des amants fugitifs dans un bois sacré»(Acte I, scène IV); à la fin de la pièce, la fiancée morte de chagrin dans un couvent revient sous la forme de spectre entraîner son amant dans une union éternelle : « Le glorieux Erôs m'a prêté sa force divine pour lever les pierres de la tombe; la nuit funèbre n'a pu fermer mes yeux qui te cherchaient au loin» (Acte III, scène VI). La pièce marque également la filiation d'Ephraïm Mikhaël avec le romantisme, le mythe ayant déjà été traité par une ballade éponyme de Goethe puis dans un poème d'Anatole France, intitulé Noces corinthiennes paru en 1876. Le caractère énigmatique de la pièce a mené à de nombreuses interprétations: rejet du divin ou au contraire syncrétisme païen et chrétien imprégné de mysticisme? On peut considérer la pièce comme une tentative de réconciliation entre les intérêts respectifs de leurs auteurs: d'un côté Ephraïm Mikhaël, jeune chartiste épris de Grèce antique, et de l'autre son ami Bernard Lazare «fasciné par les périodes de transition culturelle, les moments dans l'histoire où les civilisations et les religions se rencontrent et se confrontent» (Nelly Wilson, Bernard-Lazare, Cambridge University Press, 1978). Cette uvre signale la présence d'un fait religieux universel, une aspiration vers l'au-delà et l'invisible que le Verbe dévoile par des symboles. D'aucuns ont vu dans la Fiancée de Corinthe un manifeste anti-chrétien, du fait de l'origine juive des deux auteurs, souffrant sans doute de l'antisémitisme de la société française à la veille de l'affaire Dreyfus. Ainsi Félix Fénéon accueille la publication de la pièce en ces termes: «on comprendra, sans doute, pourquoi deux Sémites, mécontents de Goethe et de M. France, sont venus nous dire leur sentiment de l'introduction du christianisme dans la société païenne» (La revue indépendante, tome IX, octobre-décembre 1888). Malgré les dissensions qui ont prévenu sa création au théâtre, La Fiancée de Corinthe fut bien reçue par la critique après sa publication l'année suivante; les deux écrivains furent notamment félicités par leur maître Mallarmé, et leurs amis du journal Pléiade. La pièce est par ailleurs dédiée à leur ami le poète Catulle Mendès, qui fera du premier acte un livret d'opéra avec Ephraïm Mikhaël. Unique témoignage autographe d'un drame aux accents prophétiques ; l'auteur partagea moins de deux ans plus le destin des jeunes amants de cette pièce, trouvant selon ses dires la délivrance dans la mort: «bientôt ils se perdent dans la nuit resplendissante de surnaturelles clartés» (Acte III, scène VII). - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Camille Dalou, Paris 1888, 20x27,5cm, relié.
Edition originale, un des rares exemplaires sur Japon. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Bel et rare exemplaire. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Tresse & Stock, Paris 1889, 13x18,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Petits manques en marges de certains feuillets, un infime manque en tête du premier plat. Crée au Théâtre Libre le 10 décembre 1888, Le Cor fleuri marque les débuts du jeune poète au théâtre. Cette "féerie en un acte" conte le ravissement amoureux d'une fée métamorphosée en femme, et fit l'objet d'une adaptation musicale posthume par son ami le poète Ferdinand Herold sur une musique de Fernand Halphren, élève de Gabriel Fauré. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 - Photos sur www.Edition-originale.com -
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[# ILLUSTRATEUR: Paul Gervais] - # AUTEUR: Ephraïm Mikhaël.(Ephraïm-Georges Michel.)
Reference : 0382
(1904)
# AUTEUR: Ephraïm Mikhaël.(Ephraïm-Georges Michel.) # ILLUSTRATEUR: Paul Gervais # ÉDITEUR: Société du livre d'art Paris # ANNÉE ÉDITION: 1904 # ENVOI, BEAUX PAPIERS: vélin d'Arches # COUVERTURE: Bradel 1/2 basane à coins -dos lisse janséniste -tête dorée. # DÉTAILS: In 4° relié 5ff + 30pp+ 2ff +27 planches (suites). 13 eaux-fortes en couleurs, double suite in fine (dont une gravure en trois états) soit 27 planches. No 77 des 15 exemplaires offerts aux collaborateurs, celui-ci à Mr Xavier Maccard graveur des eaux-fortes (tampon sur le 1er plat).Tirage total:100 exemplaires. L'illustration de cet ouvrage a été confié à Paul Gervais, les eaux-fortes en couleurs ont été gravées par Xavier Maccard et tirées par planches repérées et à la poupée par Henri Geny-gros, le papier à été fabriqué spécialement aux usines d'arches par la maison Perrigot-Masure. Ephraïm- Georges Michel est un poète symboliste né à Toulouse en 1866, mort à Paris en 1890, il fréquente les ”mardis de Mallarmé” et regroupe autour de lui des jeunes poètes (groupe de la Pléiade) comme Rodolphe Darzens, Saint-Pol Roux, P.Quillard, René Ghil. Rémy de Gourmond frappé par ce décès prématuré, affirme qu'on entend dans ses poèmes ”l'ennui des prédestinés qui sentent obscurément comme l'eau glacée d'un fleuve gonflé, monter le long de leurs membres les vagues de la mort”.(wipikedia) # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: très bon,couvertures et dos conservés, non rogné.
Paris Société du Livre d'Art 1904 1 vol. broché in-4, broché, couverture illustrée, (4) + 30 + (4) pp. Rare édition de ce poème en prose d'Ephraïm Mikhael (1866-1890), poète symboliste disparu prématurément, illustrée de 13 eaux-fortes en couleurs de Paul Gervais gravées par Xavier Maccard (dont 1 hors-texte). Tirage unique limité à 100 exemplaires numérotés sur papier d'Arches, celui-ci l'un 15 offerts aux collaborateurs (n° 90) enrichi d'une suite en noir des gravures en un, deux ou quatre états (soit 27 planches brochées en fin de volume). Très bon exemplaire.
Paris Alphonse Lemerre, Editeur 1890 in 16 (16x10) 1 volume reliure demi chagrin foncé à coins de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets dorés (lettres FP dorées sur le haut du plat supérieur), portrait gravé en frontispice, IV et 275 pages [1]. Ephraiïm-Georges Michel, dit Ephraïm Mikhaël, Toulouse 1866 - Paris 1890, poète symboliste français. Rare. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Paris Alphonse Lemerre 1890 18 x 12 cm br. 4 ff. n.ch., IVpp., 275pp., Exemplaire sur Chine (N° 1/10, paraphé au crayon bleu par A. Lemerre); portrait en double état. Seul grand papier avec 10 ex. sur Hollande.Rousseurs affectant certains cahiers.
Edition en grande partie originale. Est-ce l'exemplaire d'Alphonse Lemerre ?Talvart & Place XV-124.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Enoch & Cie 1900 1 vol. broché partition, plaquette grand in-4, en feuilles, sous couverture illustrée, 5 pages de musique notée et 16 pages réglées vierges. Dos fendu, sinon bon état.
Editions à l'écart, Reims 1992, 15x21cm, broché.
Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur vélin d'arches, tirage de tête Bel et rare exemplaire. Préface de Jean-Denis Bredin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Société du livre d'art, 1904. In-4,, 30 pp., broché, couverture originale illustrée et dorée (taches et rousseurs à la couverture et aux gardes).
Édition illustrée des eaux-fortes en couleurs de Paul Gervais, tirées par planches repérées et à la poupée. Un des 75 exemplaires tirés sur papier d'Arches, celui-ci l'exemplaire nominatif de Charles Vuille, comprenant une suite en noir. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Société du Livre d'art, 1904. In-4, maroquin brun janséniste, dos à nerfs, large dentelle intérieure, couverture conservée, 31 pp.. 13 eaux-fortes en couleurs in ou hors texte, dont 11 en trois états reliés en regard, vignette de titre en double état, et une planche en quadruple état. Tirage à 100 exemplaires sur vélin d'Arches filigrané, un des 75 premiers exemplaires réservés aux membres de la Société du Livre d’art, n° 30 (imprimé pour la duchesse de Bisaccia).
L'illustration de cet ouvrage a été confié à Paul Gervais, les eaux-fortes en couleurs ont été gravées par Xavier Maccard et tirées par planches repérées et à la poupée par Henri Geny-Gros, le texte a été imprimé par Philippe Renouard et le papier a été fabriqué spécialement aux usines d'Aches par la maison Perrigot-Masure. Maroquin très noirci et taché, mais intérieur en parfait état. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Alphonse Lemerre, Paris 1890, 9,5x16cm, relié.
Edition originale sur papier courant. Reliure en plein maroquin rouge, dos lisse orné de motifs typographiques dorés en tête et en queue, quelques frottements en pieds des mors, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement de triples filets dorés sur les plats, monogramme métallique et en relief apposé en tête du premier plat, gardes et contreplats de papier marbré, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, toutes tranches dorées, élégante reliure de l'époque non signée. Plats légèrement eclaircis en pieds, sinon agréable exemplaire. Ouvrage illustré, en frontispice, d'un portrait de l'auteur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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MIKHAEL (Ephraïm), GERVAIS (Paul), MACCARD (Xavier), RENOUARD (Philippe)
Reference : 7584
Paris, Société du livre d'art (impr. Renouard), 1904. In-8, broché, 32 p. et (30) ff. (petites taches en haut des pages).
Illustré d'eaux-fortes en couleurs de Paul Gervais gravées par Xavier Maccard. Tirage limité à 100 exemplaires sur Arches, exemplaire nominatif de l'imprimeur Philippe Renouard, enrichi d'une double suite des illustrations en noir (premier état et état définitif). * Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
L'âge d'Homme Paris, L'âge d'Homme, 1995. In-8 broché, couverture à rabats de 309 pages. Tome 1 seul. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette.
Reference : 79375
(1888)
Paris, Alphonse Lemerre, 1888, in-8, demi-chagrin marron, caissons décorés, 409, 467, 413, 473p. Ouvrage présentant une notice et un choix de pièces pour chaque poète. Intérieur de toute fraîcheur, sans rousseurs, tant pour le texte que pour les gravures. Légers frottements sans gravité aux reliures hormis une épidermure plus prononcée en pied du tome 4. (voir photo). T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette. Portraits à l'eau forte en hors texte sur papier fort de : M. Desbordes-Valmore, Lamartine, A. de Vigny, V. Hugo, Brizeux, A. de Musset, Soulary, Leconte de Lisle, C. Baudelaire, A. Lemoyne, L. Bouilhet, T. de Banville, G. Theuriet, Sully-Prudhomme, L. Daudet, F. Coppée, P. Arène, A. France, M. Rollinat, J. Richepin, Mme A. Daudet, P.Bourget, J. Lemaître, A. Dorchain, Mlle J. Loiseau, R. Darzens, G. Rodenbach, A. Ribaux. Figurent 2 inédits en édition originale d'Arthur Rimbaud.
Ephraim Mikhael - [Toulouse 1866 - Paris 1890] - Poète symboliste français
Reference : 33254
(1890)
1890 Paris - Lemerre - 1890 - 1 volume in12 de IV - 275 pages - Reliure demi maroquin bleu à coins [Canape] - [et pour l'autographe] - 1 page in8 - Très bon état de l'ensemble -
Bel exemplaire de cet ouvrage auquel est joint un très rare billet autographe signé : Il envoie la nouvelle perdue - "Ne me faites pas attendre trop longtemps, n'est ce pas ?"-
"André Salmon Max Jacob Louis Latourrette Gabriel Arbouin Ephraïm Mikhaël Claudien B.Crémieux Roger Allard Aurel Paul Lombard Paul Castiaux H. De Maublanc Tancrède de Visan André Dupont"
Reference : 11290
(1914)
"1914. Paris Edition des Ecrits Français 5 mai 1914 - Broché 15 5 cm x 24 cm 96 pages - Textes et poèmes de André Salmon Louis Latourrette Max Jacob Gabriel Arbouin Ephraïm Mikhaël Claudien B.Crémieux Roger Allard Aurel Paul Lombard Paul Castiaux H. De Maublanc Tancrède de Visan André Dupont- Dos restauré sinon bon état dernier numéro paru"
Ephraim Mikhael - [Toulouse 1866 - Paris 1890] - Poète symboliste français
Reference : 33276
1 page in16 - Très bon état -
Très rare billet autographe signé : Sa nouvelle a paru dans la Grande Revue - "Vous pouvez donc maintenant l'insèrer quand il vous plaira" - "Le plus tôt possible, n'est ce pas?" -
(RODIN) - COLLECTIF : Michel-Ange - Baudelaire - Dante - Hofmannsthal - Ephraïm Mikhaël - Rilke - Michèle Van de Roer (illustrations)
Reference : 14521
(1996)
1996 Paris, Les éditions Fischbacher, collection "Les Images qui accompagnent", 1996. Avec 34 photographies en noir et blanc pleine page, par Michèle Van de Roer, accompagnées de textes de divers auteurs, en version bilingue le cas échéant. In-8 broché, format à l'italienne, environ 130 pp. non numérotées. Couverture à peine usagée, intérieur en bon état.