Pocket 2000 10 8cm x 17 7cm x 1 8cm. 2000. broché. 434 pages. "Des grives aux loups" le premier tome du grand roman de Claude Michelet qui se poursuit dans le volume que voici a connu un retentissement profond et durable dans le public français. Il est la juste récompense d'une oeuvre qui parle au coeur où tout - personnages et situations - est vrai et où la France entière celle des villes comme celle des champs se reconnaît et retrouve ses sources vives... Nous avons laissé la famille Vialhe et le village de Saint-Libéral au lendemain de la Grande Guerre ; dans le bourg qui se réveille la nouvelle génération affronte un monde nouveau Etat Correct
Robert laffont 1990 in8. 1990. Broché. 448 pages. Après Des grives aux loups et Les palombes ne passeront plus la grande suite familiale de Claude Michelet - dans laquelle trois millions de Français se sont reconnus - s'achève avec ce nouveau roman : L'appel des engoulevents._BR_Trois générations un même esprit et un même cœur : les Vialhe ne sont pas près de disparaître de la surface de la terre Bon Etat
Robert laffont 1990 in8. 1990. Broché. 448 pages. Après Des grives aux loups et Les palombes ne passeront plus la grande suite familiale de Claude Michelet - dans laquelle trois millions de Français se sont reconnus - s'achève avec ce nouveau roman : L'appel des engoulevents._BR_Trois générations un même esprit et un même cœur : les Vialhe ne sont pas près de disparaître de la surface de la terre Bon Etat
Paris, 1855. 8vo. Very nice contemporary diced half calf with gilt spine. Cracks to upper and lower hinges, and inner front hinge weak, but overall a very nice copy. A bit of brwning and soiling to first and last leaves and dampstaining to inner margin of first ab. 20 leaves. (10), CLX, 334 pp
First edition of this seminal work - the third in Michelet's series of ""The History of France"" - in which he coins the term ""Renaissance"" and uses it for the period of the sixteenth century as an historical period in its own right.The humanists of the period that we now call the Renaissance had a strong sense of being and doing something that was very different from that of the centuries before them"" they clearly thought of themselves as living in and creating a new epoch, re-inventing and re-using the classical Greek and Roman values. Once again they gave birth to the humanistic arts, literature, philosophy, painting, sculpting, etc. It is not a new invention of later times to view this historical epoch as something new and still something different, something worthy of the term ""Re-birth"", acknowledging both the source from which inspiration was drawn as well as the achievements of the new era.Thus, Michelet is not the first to understand what went on in this period, but still he changed our concept of it for ever - he invented the term which has not only determined this perioed ever since, but which has also been used to explain and understand all that went on in this most crucial period for modern man. It is in the present work by Michelet that he uses for the first time the noun ""Renaissance"" for this epoch and lets it refer to the discovery of world and of man in the 16th century. He not only lets the term refer to the artistic or scholarly part of the period, he lets it refer to the entire complex of changes that were taking place in this period, and he thus gives birth to the period as that of the mind and spirit of man, instead of just that of painting and learning. Michelet's work appeared at a time that allowed for it to exercise the greatest of influence. From the end of the 16th century until the middle of the 18th century, the history of the Renaissance was a field that barely existed. Only with Voltaire was some focus put on this period that we ever since Michelet have called the ""Renaissance"". Only with Michelet are we given the vocabulary to sum up this period and to describe it properly and in detail. When he publishes his work in 1855, historians and thinkers are ready to view this period as something in itself and as something worth noticing. That which Michelet thus began is that which Burchardt takes up in his ""Cultur der Renaissance in Italien"" (1860), in which ""Renaissance"" is finally characterized as the birth of modern humanity. Both Michelet and Burckhardt believed that modern, secular man is a product of the ""Renaissance"".""The terms ""restauratio"" or ""resttitutio"" had been applied by fourteenth-century Italian humanists to the revival of ancient languages and literatures, that of ""rinascita"" by Ghiberti and Vasari to the new blossoming art and architecture. In the eighteenth century Voltaire and Gibbon first saw the Italian civilization of the fourteenth to sixteenth centuries as an entity and as a determining factor in the whole course of European history. Michelet (324) in 1855 first used the term ""renaissance"" for this period as an historical epoch in its own right. Burckhardt, an admirer of both Voltaire and Gibbon, supplied the final synthesis."" (Printing and the Mind of Man, p. 211)
Editions Beauchesne 1987 1987. dans la collection Politiques et Chrétiens ouvrage broché de 294 pages; édition originale en TRES BON ETAT; complet et solide sans déchirures ni annotations intérieur propre quasiment pas de pliures sur la couverture Edmond. Michelet par la richesse de sa personnalité par son rayonnement . par le rôle clé quil a joué pendant un quart de siècle dans. lhistoire de la France méritait douvrir une collection appelée «. Politiques et Chrétiens qui veut présenter des personnalités. contemporaines dont lengagement et laction ont été déterminés. par leur foi chrétienne. A un moment où les hommes politiques. apparaissent si souvent fabriqués par largent et les techniques. médiatiques que signifie la vie honnête et droite sans complexe aux. idées fortes et simples ? A un moment où le spirituel et le temporel. ont tant de mal à se reconnaître et à coexister que signifie. laction de ce chrétien qui a tenté de vivre dans son engagement au. service de la cité les exigences des Béatitudes ? Mais cest. peut-être précisément parce que notre époque dans son trouble même . se cherche confusément un supplément dâme quEdmond Michelet semble à. nouveau proche de nous. Jean. Charbonnel agrégé de lUniversité Député-Maire de Brive ancien. Ministre a bien connu Michelet. Il peut donc écrire à la fin de la. biographie fondée sur des recherches darchives quil lui consacre : «. Telle fut la vie dEdmond Michelet. Elle nous a révélé un homme . un chrétien un homme politique chrétien. Les textes de Michelet . présentés ensuite illustrent les grandes préoccupations qui ont. dominé sa vie : la foi lespérance la charité et lEglise dune. part ; la liberté la patrie la démocratie chrétienne et le. gaullisme dautre part. Dans son témoignage Etienne borne en. retraçant une amitié de trente-cinq années rappelle ce qui a été le. fil directeur de la pensée et de laction dEdmond Michelet « de. Péguy à de Gaulle
Très bon état
Seuil, s.d. (1988), pt in-8°, 249 pp, un plan, broché, bon état
"La « rue de la liberté » est, par dérision, l'allée centrale du camp de Dachau, où E. M. fut détenu près de vingt et un mois, du 15 septembre 1943 au 27 mai 1945. Proclamant, après tant d'autres, « tristement la vie triste », E. M. assure : « Ni sains, ni saufs. Décourageante formule et vraie ... une certaine candeur nous est à tout jamais interdite ». Il écrit un livre attachant dont on n'oublie aisément ni le ton, ni le témoignage, ni, finalement, la sérénité." (Revue française de science politique, 1961) — "Si, après dix ans écoulés, Edmond Michelet prend la décision de livrer au public ses souvenirs de résistance et de déportation, ce n'est pas, dit-il, pour combler une lacune : il se réfère souvent à des ouvrages qui, selon lui, ont donné le ton juste de l'expérience concentrationnaire. II répond à une question posée par ses compagnons de route : Comment se sont comportés les chrétiens dans les camps ? Comment un chrétien a-t-il pu garder l'intégrité de sa foi au sein de l'enfer ? Edmond Michelet brosse la fresque de ses souvenirs de prison et de camp en retraçant le cadre dans lequel il les a vécus, en faisant revivre toutes les phases de l'existence du concentrationnaire, mais en insistant surtout sur les personnalités rencontrées, croyantes ou incroyantes, qui ont su préserver en elles « l'humain » et le respecter chez les autres. II trace ainsi d'émouvants portraits de disparus : le jeune juif agnostique qui récitait du Claudel, le jeune poète, chef incontesté du petit groupe de Dachau que Michelet appelle « les intellectuels délirants », ou tous ces « gens bien élevés » aujourd'hui entrés dans la légende de la Résistance, le général Delestraint, Jacques Renouvin, l'instituteur Georges Lapierre. II évoque tous ces « gens bien élevés », les incroyants, les prêtres, ceux qui restaient des hommes, ceux qui, communistes, athées, aidèrent les catholiques fervents à professer leur foi à Dachau, ceux qui, étrangers ou même Allemands antinazis, pleuraient de joie à la libération de Paris. Michelet trace un nouvel atlas des nationalités dans les camps; mais, avec une impartialité non dépourvue d'humour, il insiste sur les individualités rencontrées, car, pour lui, le caractère individuel, quand il est bien affirmé, prime le caractère national, ce qui n'empêchait pas un antifasciste espagnol et un antifasciste italien de se jeter à la tête les réalisations de leur dictateur respectif en revendiquant pour chacune d'elles la superiorité. Un des aspects importants de la Rue de la Liberté, c'est l'évocation dans le camp des brassages de races, de nationalités, de religions, d'appartenances politiques, d'horizons philosophiques et, primant le tout, la multiplicité des circonstances qui avaient conduit les deportés au camp..." (Olga Wormser, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, 1956) — "On n'a pas assez dit que le livre tiré par Edmond Michelet de ses notes de Dachau constitue un des documents les plus vivants et les plus honnêtes sur l'aventure concentrationnaire. Les défauts propres à ce genre d'ouvrages, la dispersion de l'attention sur des anecdotes, l'abus du pathétique et des superlatifs d'horreur sont parfaitement évités : avec une objectivité remarquable, Michelet décrit ce que fut la vie d'un résistant français qui a dû et pu tenir près de vingt mois dans un block de Dachau; il analyse les conflits qui surgissaient entre classes de détenus – politiques et « droit commun » –allemands, latins et slaves ; il démonte la curieuse machine politique qui avait fini par s'organiser, l'équilibre des pouvoirs dans une cité d'esclaves hantés par la mort et qui, pourtant, ne cessaient de regarder vers la vie. Une galerie de beaux portraits psychologiques alterne avec des scènes dramatiques et de larges fresques, comme l'épidémie de typhus de l'hiver 44-45 et la pagaïe ubuesque d'une libération de fantômes. Le témoignage du chrétien, qui dit ce qu'il a tiré de force de sa foi, est porté sans ostentation et avec noblesse. Et il n'était pas possible de faire ressortir plus honnêtement l'ambiguïté d'une aventure où l'homme a révélé les pires côtés de sa nature dans la cruauté des bourreaux et dans la déchéance des faibles, mais aussi ses virtualités héroïques et son irrépressible spiritualité, dans la vertu de ceux qui ont préservé au fond de cet abîme la puissance de leur volonté, les élans de la charité et la fraîcheur de l'espérance. " (Pierre-Henri Simon)
Flammarion, 1971, fort gr. in-8°, 637 pp, reliure simili-cuir acajou de l'éditeur, dos lisse avec titres et éditeur dorés, bon état
"Rééditer Michelet au moment où s'effondre l'ordre positiviste qui l'avait exclu, c'est parier que la culture romantique, dont il nous a légué l'épopée, peut éclairer encore les esprits libres... Le premier volume comprend donc les œuvres de jeunesse de Michelet, jusqu'en 1827 ; ce sont, par ordre chronologique : Examen des "Vies des hommes illustres" de Plutarque, De percipienda infinitate secundum Lockium (la Perception de l'infinité selon Locke), Tableau chronologique de l'histoire moderne, Tableaux synchroniques de l'histoire moderne, Discours sur l'unité de la science, œuvres choisies de Vico, Articles de la "Biographie universelle" de Michaud." (Le Monde, 17 sept. 1971) — "Après son étude capitale sur Michelet et le Peuple – c'est-à-dire l'histoire (“La Voie royale. Essai sur l'idée de Peuple dans l'œuvre de Michelet”, Flammarion, 1971), Paul Viallaneix, en republiant le premier volume (thèses sur Plutarque et Locke, tableaux de l'histoire moderne, discours sur l'unité de la science, etc.) des œuvres complètes de Michelet, a droit à la gratitude des historiens." (Annales ESC, 1971)
Editions Fleurus 2004 16x20x3cm. 2004. Cartonné. 30 pages. Bon Etat intérieur propre
Robert Laffont 1999 15x24x3cm. 1999. Broché. 304 pages. Très bon état
Famot 1977 in12. 1977. reliure editeur. 303 pages. Bon Etat intérieur propre
Honoré Champion 1999 16x22x5cm. 1999. Broché. 925 pages. Très bon état
Alpina 1966 in8. 1966. Cartonné jaquette rhodoid. 305 pages. Bon Etat
Hachette / paulin 1855 in12. 1855. Reliure demi-basane. 340 pages. Bon Etat rousseurs en intérieur
Club des amis du livre in8. Sans date. Reliure pleine toile sous rhodoid. 283 pages. LIVRE D'OCCASION -veuillez lire la description complète de nos annonces avec leur état . Envois en suivi pour la France et l'étranger Bon Etat exemplaire numéroté
LAFFONT/ grand livre du mois 1996 in8. 1996. Broché. 301 pages. Bon Etat intérieur propre
Librairie garnier 1936 in12. 1936. broché. 397 pages. Bon Etat intérieur propre
Calmann-Lévy 1876 12x18. 1876. reliure demi-basane. 404 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs une coiffe est légèrement frottée
Levy frères 1875 12x18. 1875. reliure demi-basane. 428 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs couverture légèrement frottée sur ses bords
Levy frères 1875 12x18. 1875. reliure demi-basane. 320 pages. Bon Etat intérieur propre et sans rousseurs
Succès du livre éditions 1998 15x23x2cm. 1998. Reliure editeur avec sa jaquette. 222 pages. Très Bon Etat de l'ensemble