Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., 31 mars 1878, 1p in-8. A Arthur Mangin. Il lui envoie le petit rapport qui à fait à l'Académie des Sciences morales et politiques sur Henri Dameth (1812-1884), disciple de Fourier, enseignant d'économie politique. Mangin peut le raccourcir s'il le trouve trop long mais Chevalier ne veut pas qu'il le modifie. Le manuscrit doit ensuite être envoyé à M. Vergé. [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., 11 avril 1878, 2p in-8. A Arthur Mangin. Lettre de reproches à Mangin qui n'a pas utilisé son manuscrit pour le compte-rendu de la séance du 31 mars et qui n'a pas renvoyé le manuscrit à M. Vergé comme Chevalier lui a demandé. [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. P.A., [10 mai 1873], 1p in-8 oblong. Note autographe : « Présentation du travail de M. Jules Delarbre, conseiller d'Etat, Directeur de la comptabilité général de la marne - sur l'organisation du conseil d'Etat ». Provient des papiers d'Arthur Mangin, probablement utilisé par ce dernier lors de la rédaction d'un compte-rendu de l'Académie des Sciences morales et politiques. [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., 6 mars 1877, 1p in-8. A Arthur Mangin. Il envoie la carte actuelle de M. Broch, qui a été conseiller d'Etat et ministre de la Marine. Il doit s'agir du norvégien Ole Jacob Broch (1818-1889). [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., 29 avril 1877, 2p in-8. A Arthur Mangin. Lettre de critiques car Mangin a changé des mots d'un article sur les mines. « Cela s'appelle des corrections à rebours ». [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., 19 novembre 1877, 1pœ in-8. A Arthur Mangin. Il lui réclame « une réclamation pour papier timbré au préfet de la Seine » et « un numéro de la Gazette des tribunaux » que Mangin devait lui renvoyer. [299-2]
Michel Chevalier (1806-1879), économiste, homme politique. L.A.S., Paris, 29 juillet 1855, 2p in-4. Au directeur des Douanes, Théodore Gréterin (1794-1861). Il lui demande d'intervenir dans une affaire particulière dans laquelle un « petit moulin » est surtaxé. Joli courrier, peu commun. [297]