Dentu 1861 1 vol. relié fort vol. in-8, demi-chagrin havane, dos lisse, 717 et 16 pp. Edition originale de cette compilation d'articles parus dans l' "Echo des Instituteurs", premier périodique syndical de la profession, créé par Louis-Arsène Meunier (1801-1887), instituteur, pédagogue et propagandiste républicain et socialiste. Cet "organe de leurs sentiments et de leurs intérêts" dénonce la misère matérielle des instituteurs, leur situation de "domestiques" à la solde des curés de village, etc. Mors et coupes très légèrement frottés, sinon bonne condition.
1861 P., Dentu, 1861, 2 textes en 1 fort vol. in-8° (205 x 136 mm) reliure de lépoque œ basane fauve, dos lisse, pièce de titre en maroquin marron, plats de papier marbré marron, de (2) ff. (faux-titre et titre) - 717 pp. - (1) f. (table) ; 16 pp.Haut des mors fendu, rousseurs assez prononcées.
Rarissime édition originale de cette compilation darticles parus dans lEcho des Instituteurs, premier journal syndical de la profession, créé et rédigé par Louis-Arsène Meunier en 1845.Louvrage est découpé en 4 parties : Principe clérical - Principe laïque aristocratique - Principe laïque démocratique - Crise de 1850, ou lutte de ces divers principes dans la sphère politique.Il a été relié in-fine une intéressante lettre au Ministre de lInstruction Publique.Louis-Arsène Meunier (1801-1887), Instituteur, pédagogue et propagandiste républicain et socialiste, né à Nogent-le-Rotrou (le collège actuel de cette ville porte son nom). Pour de plus amples informations sur cet instituteur hors norme, nous vous invitons à consulter limportant article de Maitron, Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier.
Paris Imprimerie de L. Tinterlin 1855 in-16 broché sous couverture verte imprimée
2 ff.n.ch., pp. 5-70. Un seul exemplaire au CCF (BnF). Unique édition, peu commune, de cet opuscule émanant d'un instituteur très engagé dans la discussion des questions scolaires sous la Monarchie de juillet : ancien saint-simonien, Louis-Arsène Meunier (1801-1887) évolua vers les idées socialistes, puis, en sa fin de vie, républicaines modérées. En grande partie autodidacte, directeur de l’École normale d’instituteurs de l’Eure de 1832 à 1842, il fonda cette dernière année une école professionnelle libre, au Palais-Royal, n° 173. Cette école dura jusqu’en 1850. En même temps, il publia des manuels scolaires, ceux dont il avait besoin et dont les autres se serviront pour une espèce d’enseignement technique aux multiples orientations et assorti d’enseignement général. Le tout avait un aspect très démocratique