Chez la Veuve d'Houry, 1760, 1 volume de 100x170 mm environ, xij-324 pages, plein veau marbré fauve, dos à 5 nerfs portant titres dorés sur pièce de titre bordeaux, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, gardes marbrées, tranches rouges, avec un ex-libris gravé sur le premier contreplat, enrichi d'un frontispice. Infimes et rares rousseurs, petites épidermures, sinon bon état.
Louis-François-Henri de Menon, marquis de Turbilly, (1717, Fontenailles - 25 février 1776, Paris), est un agronome français. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1760 Paris, Chez la Veuve d'Houry, 1760, in-12 de XII-324 pp., frontispice gravé sur bois montrant des instruments aratoires, broché non rogné, tel que paru, la couverture muette anciennement réparé au dos, infime galerie de ver à la fin de l'ouvrage, ne nuisant pas à la compréhension du texte.
Louis-François-Henri de Menon, marquis de Turbilly, (1717, Fontenailles - 25 février 1776, Paris), était agronome.
Amsterdam Chez Marc-Michel Rey 1762 in 12 (16x10) 1 volume reliure plein veau fauve marbré de l'époque, dos lisse orné de caissons dorés, pièce de titre de cuir beige, VIII et 264 pages, avec une planche gravée dépliante in fine (folded engraved plate). Louis-Francois-Henri, marquis de Menon de Turbilly, 1717-1776. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Paris, veuve d'Houry, 1761 in-12, 178 pp., avec une planche en frontispice, broché sous couverture d'attente de papier bleu, non coupé.
Les deux premières éditions sont de 1760. Il s'agit d'un extrait de la première partie du "Mémoire sur les défrichemens" (Paris, Houry, 1760, in-8 de 324 pp.) par le même auteur.Ces différents textes proviennent tous de l'expérience personnelle de l'auteur : ayant hérité de son père en 1737 un domaine situé dans le Baugeois, d'environ 1000 hectares, dont la plus grande partie était inculte, le marquis de Turbilly (1717-1776) s'employa à l'améliorer par des défrichements et des drainages et en fit une propriété modèle. Ses défrichements des bruyères qui couvraient la plus grande partie de la commune de Villiers, permirent de tracer des chemins, de peupler de troupeaux des terres jusque-là improductives. Quarante ans plus tard, ce petit territoire était l'un des plus riches de la province du Maine, et fut visité par Arthur Young lors de ses voyages en France (en 1787, après la mort de Turbilly).Quérard VI, 45 (pour la quatrième édition de 1811). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT