Nîmes, chez l'auteur et chez les concierges des monuments, 1856 in-8, 220 pp., avec des illustrations dans le texte, et 13 planches hors-texte, dont un plan dépliant de la ville et 12 vues gravées, demi-veau havane à coins, dos lisse orné de filets, guirlandes et fleurons dorés, pièce de titre marine, simple filet à froid sur les plats, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Bon exemplaire.
Léon Ménard (1706-1767) succéda à son père dans la place de conseiller au Présidial de Nîmes, puis devint député en 1744. Antiquaire et érudit, il publia la même année avec succès une Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nîmes avec les preuves. Il fut un membre actif de l'Académie des Inscriptions, dès son élection en 1749. Son ouvrage principal, outre les rééditions, fournit, jusqu'à la fin du XIXe siècle, matière à quantité d'abrégés et d'extraits, comme le nôtre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nîmes, chez l'éditeur, février 1838 in-8, viij pp., 150 pp., avec 16 planches hors texte (dont un plan dépliant, 3 lithographies dépliantes, et des vues sous serpentes), demi-chagrin vert, dos à nerfs (rel. de la fin du XIXe). Coiffe supérieure frottée, dos insolé.
Léon Ménard (1706-1767) succéda à son père dans la place de conseiller au Présidial de Nîmes, puis devint député en 1744 et fut un membre actif de l'Académie des Inscriptions, dès son élection en 1749. Son ouvrage principal, Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nismes, paru de 1744 à 1758 en sept volumes in-4, et dont le prospectus parut dès 1744 avec la première mouture du volume I, outre les rééditions, fournit, jusqu'à la fin du XIXe siècle, matière à quantité d'abrégés et d'extraits, dont le nôtre fut le plus répandu (rééditions au moins jusqu'en 1846). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Lacourrière, et chez tous les marchands de nouveautés, janvier 1816 in-8, 16 pp., dérelié.
Parfait inconnu par ailleurs, mais signant la dédicace au Roi, le dénommé Ménard propose de réunir les 700 millions d'indemnité de guerre tout simplement en convertissant en numéraire les boîtes et chaînes en or des montres d'homme ... Le calcul se base sur un quart de la population française possédant une montre de ce type .. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Nîmes, Typographie Clavel-Ballivet, 1873-1875 7 vol. in-8, frontispice pour chacun des volumes, demi-basane rouge, dos lisse orné de larges filets à froid (reliure de l'époque). Usure d'usage. Rares rousseurs.
Léon Ménard (1706-1767) succéda à son père dans la place de conseiller au Présidial de Nîmes, puis devint député en 1744. Antiquaire et érudit, il publia la même année avec succès une Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nîmes avec les preuves. Il fut un membre actif de l'Académie des Inscriptions, dès son élection en 1749. Cette nouvelle édition, parue dans les premières années de la IIIe République, comprend sept tomes : tome I (des origines à 1312), tome II (1313-1377), tome III (1378-1481), tome IV (1482-1565), tome V (1566-1635), tome VI (1636-1755). Le tome VII est intégralement consacré aux antiquités de la ville. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Hugues-Daniel Chaubert, Claude Hérissant, 1759 2 parties en 3 vol. in-4, à pagination multiple, demi-basane brune marbrée, dos à nerfs orné, tranches citron (reliure de l'époque). Début de fente aux mors des tomes 1 et 2, petits manques aux coiffes supérieures des tomes 2 et 3.
Unique édition de cette excellente compilation, que l'on doit à la collaboration du marquis d'Aubais (1686-1777) et de Léon Ménard, l'historien de Nîmes.Bibliophile et collectionneur de manuscrits, le marquis d'Aubais consacra plus de soixante-dix ans de sa longue vie, soit de 1705 à 1777, à la réunion d'une immense bibliothèque de plus de 30 000 volumes, de généalogies, de manuscrits et de cartes géographiques, qui était largement ouverte aux érudits provençaux et languedociens.Ce sont des ouvrages rares ou des relations manuscrites de cet immense ensemble, qui servirent à réunir les pièces de ce recueil, lesquelles gardent leur pagination propre à l'intérieur de chaque volume. Les parties les plus importantes sont les suivantes :1. [CHESNEAU :] Voyage de Gabriel de Luetz à Constantinople, en Perse, en Egypte, & en Palestine (I, 136 pp.). - 2. PERUSSIS (Louis de ) : Histoire des guerres du Comté Venaissin, de Provence, de Languedoc (I, 384 pp.). - 3. JOUAN (Abel) : Voyage de Charles IX en France, suivi d'un itinéraire des Rois de France (I, 165 pp.). - 4. BESONS : Jugements sur la noblesse de Languedoc (II, 352 pp. et III, 214 pp.).Le nom de l'éditeur a été recouvert par une étiquette imprimée Chez Humaire..., 1765.Cioranescu, XVIII, 8649. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
Paris, Hugues-Daniel Chaubert, Claude Hérissant fils, 1750-1758 7 vol. in-4, avec 55 planches et cartes, basane fauve écaille, dos à nerfs cloisonnés et fleuronnés, tranches marbrées (reliure de l'époque). Coiffes et coins usés.
Edition originale (pour les volumes II-VII, le premier formant un retirage modifié) de cette somme d'histoire locale, suscitée en partie par l'intérêt des monuments antiques conservés à Nîmes. Léon Ménard (1706-1767) succéda à son père dans la place de conseiller au Présidial de Nîmes, puis devint député en 1744 et fut un membre actif de l'Académie des Inscriptions, dès son élection en 1749. Son ouvrage principal, dont le prospectus parut dès 1744 avec la première mouture du volume I, outre les rééditions, fournit, jusqu'à la fin du XIXe siècle, matière à quantité d'abrégés et d'extraits.I. [2] ff. n. ch. (titre, dédicace au duc de Richelieu), xvj-468-112-268 pp., avec 3 planches dépliantes (deux vues panoramiques et une grande carte) et 2 planches simples accolées (p. 366). - II. Titre, xiv-328-32-380 pp. - III. Titre, x-272-24-378 pp., un f. n. ch. d'errata. - IV. Titre, viij-412-26-368 pp. - V. Titre, viij- 652-24-404 pp., avec 4 planches, dont 3 en dépliant - VI. Titre, viij-642-212-94 pp. - VII. Titre, xxx-741 pp., [3] pp. n. ch. d'errata, avec 46 planches archéologiques, la plupart en dépliant.Brunet III, 1619. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Nîmes, Typographie Clavel-Ballivet, 1873-1875 7 vol. gr. in-8, frontispice pour chacun des volumes, demi-chagrin brun, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, couvertures conservées (reliure de l'époque). Traces blanches sur quelques volumes. Coins usés. Rousseurs. Premiers feuillets du tome VII sont rongés en marge extérieure sans gravité. Bon exemplaire
Léon Ménard (1706-1767) succéda à son père dans la place de conseiller au Présidial de Nîmes, puis devint député en 1744. Antiquaire et érudit, il publia la même année avec succès une Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nîmes avec les preuves. Il fut un membre actif de l'Académie des Inscriptions, dès son élection en 1749. Cette nouvelle édition, parue dans les premières années de la IIIe République, comprend sept tomes : tome I (des origines à 1312), tome II (1313-1377), tome III (1378-1481), tome IV (1482-1565), tome V (1566-1635), tome VI (1636-1755). Le tome VII est intégralement consacré aux antiquités de la ville.C'est le tome V qui est à la date de 1873. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Hugues-Daniel Chaubert, Claude Hérissant, 1759 2 parties en 3 vol. in-4, à pagination multiple, demi-basane brune marbrée, dos à nerfs orné, tranches citron (reliure de l'époque). Début de fente aux mors des tomes 1 et 2, petits manques aux coiffes supérieures des tomes 2 et 3.
Unique édition de cette excellente compilation, que l'on doit à la collaboration du marquis d'Aubais (1686-1777) et de Léon Ménard, l'historien de Nîmes.Bibliophile et collectionneur de manuscrits, le marquis d'Aubais consacra plus de soixante-dix ans de sa longue vie, soit de 1705 à 1777, à la réunion d'une immense bibliothèque de plus de 30 000 volumes, de généalogies, de manuscrits et de cartes géographiques, qui était largement ouverte aux érudits provençaux et languedociens.Ce sont des ouvrages rares ou des relations manuscrites de cet immense ensemble, qui servirent à réunir les pièces de ce recueil, lesquelles gardent leur pagination propre à l'intérieur de chaque volume. Les parties les plus importantes sont les suivantes :1. [CHESNEAU :] Voyage de Gabriel de Luetz à Constantinople, en Perse, en Egypte, & en Palestine (I, 136 pp.). - 2. PERUSSIS (Louis de ) : Histoire des guerres du Comté Venaissin, de Provence, de Languedoc (I, 384 pp.). - 3. JOUAN (Abel) : Voyage de Charles IX en France, suivi d'un itinéraire des Rois de France (I, 165 pp.). - 4. BESONS : Jugements sur la noblesse de Languedoc (II, 352 pp. et III, 214 pp.).Le nom de l'éditeur a été recouvert par une étiquette imprimée Chez Humaire..., 1765.Cioranescu, XVIII, 8649. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Morel, 1880-1883 4 forts vol. gr. in-8, demi-chagrin rouge, dos lisse orné, tête dorée (rel. de l'époque). Mors légt usés.
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Nîmes, Aury, 1825 in-8, 76 pp., frontispice et 8 planches gravées dépl., broché, couv. papier chamois de l'époque. Manque au dos.
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S.l.n.d. (1768) in-8 carré, paginé 739 à 764, broché, papier marbré moderne. Rousseurs, mouillures.
Extrait des Mémoires de Littérature tirés des registres de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, tome 32, 1768."L'Opinion énoncée dans cette dernière dissertation, et d'après celui qui concerne l'arc de triomphe d'Orange, a été combattue par M. Fortia d'Urban, dans l'Art de vérifier les dates avant JC, à l'art. de l'histoire romaine." Quérard, tome 6, 1834, p.34. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., Bureau de Recherches Archéologiques et Historiques de Mortagne, 1986; in-4, 368 pp., nbses ill., toile bleue, jaquette illustrée (rel. de l'éditeur).
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Paris, Magnin, Blanchard et Cie, 1865 in-12, 335 pp., demi-chagrin brun à coins, dos à nerfs, pièce de titre cerise, coins en toile verte, tête dorée, première couverture conservée (reliure de l'époque). Charnières frottées, légères épidermures au dos.
La première édition est de 1864. C'est le recueil de poésies de l'auteur qui connut le plus franc succès, mais on ne doit pas réduire le talent d'Anaïs Ségalas (1811-1893) à la seule poésie : son oeuvre abondante se déploya aussi dans les genres du roman (dont le roman social) et du théâtre. Elle représente un type très intéressant de féministe catholique, ce qui explique sans doute qu'elle a sombré dans l'oubli après avoir cependant connu une réelle reconnaissance sous la IIIe République.Vicaire VII, 465 (pour l'originale).Exemplaire du comte Gaston Perrot de Thannberg (1840-1906), capitaine de cavalerie, avec vignette ex-libris héraldique contrecollée sur les premières gardes et chiffre doré couronné poussé en queue du dos.Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Typographie de Firmin Didot, 1860. Demi-reliure. 292. pages. 14,5x22,4 cm. Reliure en état d'usage, coiffes de queue et tête avec manques, mors cassés, intérieur quelques rousseur Louis Ménard naît le 19 octobre 1822 à Paris. Condisciple de Baudelaire au lycée Louis-le-Grand, il entre ensuite à l'École normale (promotion 1842 Lettres). Peu après avoir publié en 1843 Prométhée délivré sous le pseudonyme de Louis de Senneville, il quitte soudainement les études littéraires pour se lancer dans la chimie. Il initie son ami Baudelaire à la confiture verte dans le grenier de l'appartement familial des Ménard, expérience qu'ils renouvellent avec d'autres intimes du grenier en participant sous contrôle médical aux réunions du « club des Haschischins »[1]. En 1846, il découvre le collodion. Sa découverte est présentée devant l'Académie des sciences, mais donne plus tard lieu à une méprise avec un Américain nommé Maynard, comme l'explique Jules Verne dans une note du chapitre IX de De la Terre à la Lune : « Dans cette discussion le président Barbicane revendique pour l'un de ses compatriotes l'invention du collodion. C'est une erreur, n'en déplaise au brave J.-T. Maston, et elle vient de la similitude de deux noms. En 1847, Maynard, étudiant en médecine à Boston, a bien eu l'idée d'employer le collodion au traitement des plaies, mais le collodion était connu en 1846. C'est à un Français, un esprit très distingué, un savant tout à la fois peintre, poète, philosophe, helléniste et chimiste, M. Louis Ménard, que revient l'honneur de cette grande découverte. » À l'occasion de la révolution de 1848, qu'il soutient avec ferveur, il publie Prologue d'une révolution, février-juin 1848, qui lui vaut d'être menacé de prison et l'oblige à partir en exil à Londres puis à Bruxelles, exil au cours duquel il rencontre Karl Marx. Cette période le ramène à la poésie et à l'étude de l'Antiquité grecque. Revenu à Paris après l'amnistie de 1852, il publie un premier recueil de poèmes en 1855 dans lequel il essaye, comme son ami Leconte de Lisle, de faire revivre l'Antiquité. Conscient de ses limites, il se consacre à des études extrêmement poussées et sérieuses des sociétés et des religions antiques dont il tire deux importants ouvrages : La Morale avant les philosophes (1860) et Le Polythéisme hellénique (1863). Ces ouvrages sont commentés en particulier par les philosophes appartenant au courant du « nouveau criticisme » (Charles Renouvier et Henneguy notamment). Henneguy reproche à Ménard de sous-estimer les aspects sombres de la civilisation grecque : l'esclavage, l'ostracisme et, dans une moindre mesure, la place limitée accordée aux femmes. Changeant à nouveau d'intérêt, il se fait peintre pendant les années suivantes, et côtoie les peintres de l'École de Barbizon. Ses nouvelles poésies sont cependant publiées dans Le Parnasse contemporain. Bien que se trouvant à Londres en 1871, il n'en défend pas moins avec vigueur la Commune de Paris, sans en être inquiété. En 1876, il publie son livre le plus remarquable, les Rêveries d'un païen mystique, où se mêlent poésie mystique et philosophie, qui a une grande influence sur certains de ses contemporains qui décrivent Ménard comme l'homme le plus passionnément grec qu'on puisse imaginer (Maurice Barrès l'évoque longuement dans le premier chapitre de son Voyage à Sparte). Il devient en 1887 professeur à l'École des Arts décoratifs, et en 1895 professeur d'histoire universelle à l'Hôtel de Ville. Dans ses dernières années il essaye de réformer l'orthographe en la « simplifiant », et republia ses Poèmes et Rèveries d'un paien mistiqe (sic) en 1896. Louis Ménard meurt le 9 février 1901 à Paris.
Département de la Sarthe, 1989, in-8 br. (16 x 24), 427 p., correspondance publiée et annotée par Florence Mirouse, avant-propos de Michel d'Aillières, préface de Jean Favier, 8 planches ill. h.-t., couverture à rabats, manque la page de titre, bien complet et propre par ailleurs, bon état.
Pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française, les Archives départementales de la Sarthe ont choisi de publier les 246 lettres écrites, essentiellement à sa femme, par François Ménard de la Groye de 1789 à 1791. Un important index a été adjoint à l'édition. François-René-Pierre Ménard de la Groye (1742-1813) est élu député du Tiers-État pour le Maine à l’Assemblée nationale et prend part de manière active aux travaux et débats préparatoires à la loi du 22 décembre 1789 qui crée les départements. Membre du tribunal civil du district du Mans, puis du tribunal criminel, François Ménard de la Groye est élu en 1798 représentant de la Sarthe au Conseil des Cinq-Cents. Après le coup d’État de Napoléon Bonaparte, auquel il se rallie, François Ménard de la Groye est nommé en 1800 président de la Cour impériale d’Angers. Il est fait chevalier d’Empire, puis baron. Il décède en 1813 à Angers. Une contribution très instructive aux débats de 1789, observés et rapportés par un témoin direct, personnage attachant, naïf sans doute mais sincère, dont la correspondance non destinée à la publication n'en a que plus de valeur.
1923 Paris, A. Colin, H. Floury, imp. ( Bellegard Impression de Sadag), 1923 ; in-4°, demi-maroquin rouge à larges coins, dos lisse, auteur et titre doré, tête dorée, couverture et dos conservés ( reliure signée ?); 76pp. Illustré dans le texte et à pleine page de reproductions d'oeuvres de Ménard en sépia.
Avec le catalogue chronologique des principales oeuvres de Ménard. René Ménard (1862-1930) est un peintre symboliste. Rousseurs, exemplaire bien relié. (CO2)
P., Champion, 1998. 2 forts vol. in-8 cartonnage éditeur, 1534 pp. en continu, portrait. (Nouv. Bibl. du Moyen Age, 46).
Par les travaux qu'il a accomplis et ceux qu'il a dirigés, Philippe Ménard a puissamment contribué au renouveau des études en ce domaine. Aucun secteur ne lui a été étranger: édition, étude linguistique, travaux critiques, approches socio-littéraires, iconographie, ont simultanément sollicité l'acuité de son jugement. Avec rigueur, avec ce sens suprême de la mesure qui ne lui a jamais fait défaut, Philippe Ménard a donné à plusieurs générations de chercheurs l'exemple de l'exigence, du scrupule philologique et de l'humilité devant les textes. Il est donc légitime que ses collègues, ses disciples et ses amis lui offrent à présent l'hommage d'un recueil de Mélanges. Ce volume, intitulé Miscellanea Mediaevalia, offre un remarquable ensemble de travaux sur les divers aspects de la Littérature médiévale. La diversité des contributions, tant dans leur thématique que dans leur origine géographique, témoigne de l'ampleur du rayonnement intellectuel et humain de Philippe Ménard. Etat de neuf. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Georges Crès and Cie, Paris 1911, 12x19cm,broche Edition définitive en partie originale car augmentee de lettres et de pièces inédites. En frontispice, un portrait de l'auteur par René Ménard.
bon etat Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
1923 Paris, Librairie Armand Colin, 1923, gr. in-4to, 75 p., 72 ill. + 1 planche couleur, brochure originale.Exemplaire portant le n 59 (sur 100 papier de rives).
bon état. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
Paris, Librairie Armand Colin 1925 In-4. En feuillets. Sous portefeuille carton toilé gris clair, premier plat imprimé et orné d’une vignette contrecollée, 75 ff., 66 reproductions dont 1 en couleurs, catalogue chronologique des principales oeuvres de Ménard, table des illustrations. Portefeuille terni avec éraflure sur le premier, rousseurs marginales.
Bon état d’occasion
Paris : Gallimard, Collection "Espoir" (dirigée par Albert Camus), 1959. Broché 19x12 cm, 164 pages, envoi de René Ménard en page avant-titre à l'universitaire Jean Paris (1921-2003), promoteur du concept de "critique générative", ami des poètes et auteur d'une "Anthologie de la poésie contemporaine"/1956 ("A Jean Paris dans l'espoir que ce livre, en Poésie, porte quelque secours à son chagrin, en toute sympathie au sens originel René Ménard") + bristol autographe daté du 2 janvier 1971 où il évoque son dernier recueil de poèmes, "Architecte de la solitude" (1970). Le destinataire est-il toujours Jean Paris ? L'allusion aux États-Unis correspond-elle au travail de Jean Paris avec Noam Chomsky ? [Rousseurs]
Réflexions sur la vocation de la poésie - J'attends de toi - La responsabilité des poètes modernes - La poésie ne connaît pas de confort - Un poète peut-il être matérialiste ? - De la poésie comme exercice spirituel - La pain premier - L'image et la langue de la poésie - Cinq essais pour interpréter René Char ("A une sérénité crispée" - "Lettera Amorosa" - "Recherche de la base et du sommet" suivi de "Pauvreté et Privilège" - Règne et distance de la poésie - Poésie et Nouvelle Alliance)... Dans cet ouvrage, construit autour de réflexions et de propositions adressées aux jeunes poètes, René Ménard (1908-1980) livre sa propre expérience de poète. Ami des plus grands (Camus, Char, Guillevic...), il écrira un peu plus tard, toujours dans cette optique, son "Essai sur l'expérience poétique" aux Cahiers internationaux du symbolisme (1967).
Paris : Léon Fremont. 1895 In-8, (4)-330 pages. Demi-toile de l'époque, dos lisse orné, plats de couverture conservés.
Louis-Nicolas Ménard, né à Paris le 19 octobre 1822 et mort à Paris le 9 février 1901, est un chimiste et homme de lettres français. Condisciple de Baudelaire au lycée Louis-le-Grand, il entre ensuite à l'École normale (promotion 1842 Lettres). Peu après avoir publié en 1843 Prométhée délivré sous le pseudonyme de Louis de Senneville, il quitte soudainement les études littéraires pour se lancer dans la chimie. Il initie son ami Baudelaire à la confiture verte dans le grenier de l'appartement familial des Ménard, expérience qu'ils renouvellent avec d'autres intimes du grenier en participant sous contrôle médical aux réunions du « club des Haschischins ».À l'occasion de la révolution de 1848, qu'il soutient avec ferveur, il publie "Prologue d'une révolution, février-juin 1848", qui lui vaut d'être menacé de prison et l'oblige à partir en exil à Londres puis à Bruxelles, exil au cours duquel il rencontre Karl Marx. Cette période le ramène à la poésie et à l'étude de l'Antiquité grecque. Revenu à Paris après l'amnistie de 1852, il publie un premier recueil de poèmes en 1855 dans lequel il essaye, comme son ami Leconte de Lisle, de faire revivre l'Antiquité. Conscient de ses limites, il se consacre à des études extrêmement poussées et sérieuses des sociétés et des religions antiques dont il tire deux importants ouvrages : La Morale avant les philosophes (1860) et Le Polythéisme hellénique (1863). Ces ouvrages sont commentés en particulier par les philosophes appartenant au courant du « nouveau criticisme » (Charles Renouvier et Henneguy notamment).Il se fait peintre pendant les années suivantes, et côtoie les peintres de l'École de Barbizon. Ses nouvelles poésies sont cependant publiées dans Le Parnasse contemporain. Bien que se trouvant à Londres en 1871, il n'en défend pas moins avec vigueur la Commune de Paris, sans en être inquiété. En 1876, il publie son livre le plus remarquable, les "Rêveries d'un païen mystique", où se mêlent poésie mystique et philosophie, qui a une grande influence sur certains de ses contemporains qui décrivent Ménard comme l'homme le plus passionnément grec qu'on puisse imaginer (Maurice Barrès l'évoque longuement dans le premier chapitre de son Voyage à Sparte). Il devient en 1887 professeur à l'École des Arts décoratifs, et en 1895 professeur d'histoire universelle à l'Hôtel de Ville. Dans ses dernières années il essaye de réformer l'orthographe en la « simplifiant », et republia ses Poèmes et Rèveries d'un paien mistiqe (sic) en 1896.
Paris : Bureau du Peuple. 1849 (i. e. Cahiers de la quinzaine, 1904 ) In-12, XII-284-(1) pages. Demi-basane rouge de l'époque, dos à nerfs orné.
Réédition de l'édition de 1849, avec note de Daniel Halévy en préface. Louis-Nicolas Ménard, né à Paris le 19 octobre 1822 et mort à Paris le 9 février 1901, est un chimiste et homme de lettres français. Condisciple de Baudelaire au lycée Louis-le-Grand, il entre ensuite à l'École normale (promotion 1842 Lettres). Peu après avoir publié en 1843 Prométhée délivré sous le pseudonyme de Louis de Senneville, il quitte soudainement les études littéraires pour se lancer dans la chimie. Il initie son ami Baudelaire à la confiture verte dans le grenier de l'appartement familial des Ménard, expérience qu'ils renouvellent avec d'autres intimes du grenier en participant sous contrôle médical aux réunions du « club des Haschischins ».À l'occasion de la révolution de 1848, qu'il soutient avec ferveur, il publie Prologue d'une révolution, février-juin 1848, qui lui vaut d'être menacé de prison et l'oblige à partir en exil à Londres puis à Bruxelles, exil au cours duquel il rencontre Karl Marx. Cette période le ramène à la poésie et à l'étude de l'Antiquité grecque. Revenu à Paris après l'amnistie de 1852, il publie un premier recueil de poèmes en 1855 dans lequel il essaye, comme son ami Leconte de Lisle, de faire revivre l'Antiquité. Conscient de ses limites, il se consacre à des études extrêmement poussées et sérieuses des sociétés et des religions antiques dont il tire deux importants ouvrages : La Morale avant les philosophes (1860) et Le Polythéisme hellénique (1863). Ces ouvrages sont commentés en particulier par les philosophes appartenant au courant du « nouveau criticisme » (Charles Renouvier et Henneguy notamment).Il se fait peintre pendant les années suivantes, et côtoie les peintres de l'École de Barbizon. Ses nouvelles poésies sont cependant publiées dans Le Parnasse contemporain. Bien que se trouvant à Londres en 1871, il n'en défend pas moins avec vigueur la Commune de Paris, sans en être inquiété. En 1876, il publie son livre le plus remarquable, les Rêveries d'un païen mystique, où se mêlent poésie mystique et philosophie, qui a une grande influence sur certains de ses contemporains qui décrivent Ménard comme l'homme le plus passionnément grec qu'on puisse imaginer (Maurice Barrès l'évoque longuement dans le premier chapitre de son Voyage à Sparte). Il devient en 1887 professeur à l'École des Arts décoratifs, et en 1895 professeur d'histoire universelle à l'Hôtel de Ville. Dans ses dernières années il essaye de réformer l'orthographe en la « simplifiant », et republia ses Poèmes et Rèveries d'un paien mistiqe (sic) en 1896.
1719 Paris, Chez Chéreau au grand St Rémy, sans date (1719), volume in-4 oblong (à l'italienne), reliure demi basane marbrée à coins fin XIXe début XXe, exemplaire particulièrement frais, très bon état Atlas bien complet de la planche de titre gravée, et des 27 cartes dont 5 planches de sphères ou globes non colorées sauf mappemonde, gravées avec les frontières colorées alternant avec 27 pages de texte explicatif pour chaque carte, et suivies de 4 pages de recapitulatif de géographie sacrée contenant " tous les Archevèchez et Evêschez qui sont répendus dans toutes les parties du monde".Coloris d'époque,l'absence de feuillet numéroté 2 semble commune à tous les exemplaires.- L'ouvrage comprend un curieux atlas, destiné à représenter les différents changements géographiques dus aux guerres menées par les souverains européens aux XVIIe et XVIIIe siècles.- Atlas composé d’un titre gravé illustré et de 24 cartes (dont le globe céleste et le globe terrestre en 2 hémisphères) et 3 planches sur les globes et sphères. Les limites des cartes ont été anciennement coloriées, 57 planches gravées; texte + cartes.
One of only two works published by the French cartographer Jacques Chiquet (1673-1721), both published in 1719. As he died only two years later his works are very uncommon. The maps are the world & continents (North & South America), Turkish Empire and the European countrie.The 1711 edition of this map created and engraved by Antoine Menard, also published by Chiquet in 1711. Eight years later, Chiquet republished the atlas, replacing Menard's name with his own. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 100 €
Phone number : 33 04 94 63 34 56
Couverture rigide. Reliure demi-chagrin à nerfs. Plats défraîchis. 309 pages. Pages de titre tachées de décalcomanies.
Livre. CM2 et Cours supérieur. Librairie Vuibert et Nony, 1904.