Paris, (1788), 2 ouvrages en 1 vol. in-8, 15 pp. et 51 pp., bradel papier marbré (reliure moderne).
Le "Mémoire de Princes", rédigé à la veille des Etats-Généraux par Auget, baron de Montyon, tente d'avertir Louis XVI des dangers qui planent sur la couronne face aux prétentions du tiers-état. L'avertissement est clair : "L'état est en péril".Le projet de réponse est rédigé, au nom du roi, par l'abbé Morellet. Il est, dans son contenu, tout à fait révolutionnaire ; en effet, la question du "désordre des finances" qui doit être réglée par les Etats-Généraux, ne peut l'être que par une "Assemblée vraiment nationale". Le gouvernement monarchique est le fait d'une grande nation "mais une Nation peut n'avoir point de Noblesse, et la Noblesse et le Clergé peuvent n'y pas former des Ordres ... ils peuvent être représentés dans une Assemblée Nationale". Il n'hésite pas non plus à dénoncer les abus faits de certains droits féodaux comme le droit de chasse, la mainmorte ou diverses corvées seigneuriales.Le projet de réponse démonte point par point le "Mémoire des Princes" et l'on sent l'ulcération qu'à pu ressentir Louis XVI à sa lecture. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1789) in-8, 68 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé.
Le Mémoire des Princes est une supplique rédigée en 1788 par Auget de Montyon, pour mettre en garde Louis XVI, de la part des membres de la famille de Bourbon, contre les concessions au Tiers. Elle portait les signatures du comte d'Artois, du prince de Condé et du prince de Conti. Dès qu'il fut connu, il suscita évidemment nombre de réponses et réfutations indignées de la part des publicistes du Tiers : celle-ci, demeurée anonyme, existe en plusieurs sorties différentes.Absent de Martin & Walter, Anonymes. Cf. MW 25095 (pour le Mémoire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (1789) in-8, [2]-37 pp., broché sous couverture d'attente de papier de l'époque.
Le Mémoire des Princes est une supplique rédigée en 1788 par Auget de Montyon, pour mettre en garde Louis XVI, de la part des membres de la famille de Bourbon, contre les concessions au Tiers. Elle portait les signatures du comte d'Artois, du prince de Condé et du prince de Conti. Dès qu'il fut connu, il suscita évidemment nombre de reponses et réfutations indignées de la part des publicistes du Tiers : celle-ci, demeurée anonyme, existe en plusieurs sorties différentes.Absent de Martin & Walter, Anonymes. Cf. MW 25095 (pour le Mémoire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1789 in-8, 74 pp., dérelié. Coupure à la page de titre autour d'une note manuscrite.
Le Mémoire des Princes est une supplique rédigée en 1788 par Auget de Montyon, pour mettre en garde Louis XVI, de la part des membres de la famille de Bourbon, contre les concessions au Tiers. Elle portait les signatures du comte d'Artois, du prince de Condé et du prince de Conti. Dès qu'il fut connu, il suscita évidemment nombre de reponses et réfutations indignées de la part des publicistes du Tiers : celle-ci, demeurée anonyme, existe en plusieurs sorties différentes.Absent de Martin & Walter, Anonymes. Cf. MW 25095 (pour le Mémoire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (1789) in-8, [2]-37 pp., broché sous couverture d'attente de papier fantaisie. Pages tachées.
Le Mémoire des Princes est une supplique rédigée en 1788 par Auget de Montyon, pour mettre en garde Louis XVI, de la part des membres de la famille de Bourbon, contre les concessions au Tiers. Elle portait les signatures du comte d'Artois, du prince de Condé et du prince de Conti. Dès qu'il fut connu, il suscita évidemment nombre de reponses et réfutations indignées de la part des publicistes du Tiers : celle-ci, demeurée anonyme, existe en plusieurs sorties différentes.Absent de Martin & Walter, Anonymes. Cf. MW 25095 (pour le Mémoire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (1789) in-8, 68 pp., broché, couv. papier postérieur. Mouillure claire au fond des cahiers.
Le Mémoire des Princes est une supplique rédigée en 1788 par Auget de Montyon, pour mettre en garde Louis XVI, de la part des membres de la famille de Bourbon, contre les concessions au Tiers. Elle portait les signatures du comte d'Artois, du prince de Condé et du prince de Conti. Dès qu'il fut connu, il suscita évidemment nombre de reponses et réfutations indignées de la part des publicistes du Tiers : celle-ci, demeurée anonyme, existe en plusieurs sorties différentes.Absent de Martin & Walter, Anonymes. Cf. MW 25095 (pour le Mémoire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., (1789) in-8, 37 pp., broché, couv. papier époque.
Défense du tiers-état contre le Mémoire des Princes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT