P., Editions du Cercle d'Art, s.d (1953). In-12 broché, couverture cartonnée,rempliée, illustrée d'une vignette contrecollée, 80 pp n.ch.. Poèmes illustrés de 30 clichés photographiques contrecollés en couleurs d'oeuvres "minuscules" de Max Ernst. Edition Originale. 1 des 1000 ex. num. sur Marais après 100 sur Marais pur fil. La reproduction de ces tableaux intitulés "Microbes" respecte l'échelle réelle des originaux. TB exemplaire.
Europe , Revue littéraire mensuelle, juin-juillet 1984, n°676-677. In-8 broché, 219 pages + pages de catalogue. Illustration de couverture par un dessin original deGERARD GOSSELIN, maquette de F. FERET.
Inédit de 35 lettres de MAX JACOB à JEAN-RICHARD BLOCH (1°partie).Très bon état.
P., Lib. José Corti, 1960. 2 vol. in-8 brochés, 622-573 pp. Couvertures avec traces d'usage sinon TB état.
Thèse.
Centre d'Etudes Occitanes, 1975. In-8 broché, 153 pp. Texte en ancien provençal publié d'après le ms. unique de la Bibliothèque Laurentienne (Florence) avec introduction, notes critiques, étude linguistique et vocabulaire complet . Très rares rousseurs sur la tranche.
P., P.U.F., 1986. In-8 broché, 242 pp. Bon état.
Phaidon, 2008. In-4 relié avec jaquette, 335 pp., illustré en noir et blanc et en couleurs.
Reours sur le passé - Explorations du moi -Images en lutte - L'effet Sander - Etre(s) de quelque part - des grands noms aux sans-grade. Bibliographie et index
Wasington, Air mail society, 1978. In-8 relié toile orange, VI-310 pages. text in english.
[Max Ernst] - ERNST, Max - (Joe Bousquet, René Crevel, Paul Éluard, Dorothea Tanning, Benjamin Péret, Man Ray, Robert Desnos, Nicolas Calas).
Reference : 3170
(1949)
The Copley Galleries. At Eye Level. Paramyths. Max Ernst, 30 years of his work. A survey. Beverly Hills, William N. Copley, 1949. 1 volume in-8, demi-toile bleue à la Bradel, plats illustrés (reliure de l' éditeur). Première édition : tirage limité à 513 exemplaires. Un des 22 exemplaires de tête (nº 5) enrichis d'une gravure originale justifiée 5/22 et signée de Max Ernst, précédée par la photographie iconique du couple Dorothea Tanning et Max Ernst avec sa sculpture Capricorn de 1947 reproduite sur papier jaune. Fameux catalogue incluant l'édition originale de Paramyths, une suite de huit poèmes illustrés de huit collages. Conçu par Max Ernst, l'ouvrage est en fait composé de trois parties : - Max Ernst, 30 years of his work. A survey, catalogue (66 titres) de l'exposition organisée à la galerie Copley du 10 janvier au 10 février 1949. Extraits de textes de André Breton et Piet Mondrian. (8 p.), tiré sur couché bleu et jaune. - At eye level, poèmes, textes ou extraits de textes consacrés à Max Ernst par Joe Bousquet, René Crevel, Paul Éluard, Dorothea Tanning, Benjamin Péret, Man Ray, Robert Desnos, Nicolas Calas. Illustré de reproductions noir et blanc d'oeuvres de Max Ernst. (14 p.), tiré sur couché blanc. - Paramyths. New Poems and Collages. 8 poèmes accompagnant 8 collages de Max Ernst. (18 p.), le premier feuillet sur couché blanc, la suite sur papier fort bleu. La justification porte sur ce dernier élément (Spies / Leppien 30A). --- ENGISH DESCRIPTION: - ONE OF THE 22 COPIES WITH THE ORIGINAL ETCHING NUMBERED 5/22 AND SIGNED BY MAX ERNST. - Cover designed by Max Enst. - An iconic photograph of Max Enst with Dorothea Tanning in reproduction and eight collages. "This illustrated work for which the painter composed both the poems and the collages undoubtedly serves as the single best example of Ernst's combined talent as verbal and graphic artist" (Renee Riese-Hubert, Surrealism and the Book, p. 108). Extremely scarce. Dimensions: livre 25,8 x 19 cm, feuille 25 x 18,4 cm, cuivre 17,4 x 12,7 cm. Références: Spies/Leppien 30, Hugues/Poupard 21, Brusberg/Völker 51. Exemplaire particulièrement bien conservé. Photographies supplémentaires sur demande. More pictures on request. Mots clés : - Catalogue d'exposition - Surréalisme - Livres modernes illustrés - Illustré moderne - Edition originale
Exemplaire particulièrement bien conservé , de plus, conservé dans une boite contemporaine. Photographies supplémentaires sur demande. More pictures on request.
Paris Imprimerie Paul Birault 1911 In-8 Broché Edition originale
EDITION ORIGINALE parue sans nom d'éditeur. En frontispice, dessin de Max Jacob. Exemplaire sur vergé du tirage courant, enrichit d'un ENVOI autographe signé de Max Jacob : " Cher Georges [Hugnet] ce premier fruit de tant de douleurs avec ce fruit : mon cour douloureux Max Jacob le 30 octobre ou 1er novembre 1926 ". €€€ C'est par l'intermédiaire de Marcel Jouhandeau qui habitait le même immeuble, boulevard de Grenelle à Paris, que Georges Hugnet va faire la connaissance de Max Jacob. Ce dernier à qui le jeune homme montre ses premiers poèmes lui présente alors ses amis et l'introduit dans le milieu artistique parisien. Max Jacob sera également en 1928 le premier illustrateur de Georges Hugnet, lui donnant quatre dessins et deux lithographies pour ses 40 POESIES DE STANISLAS BOUTEMER publiées chez Briant. La dédicace que Max Jacob fait à Georges Hugnet en 1926 sur son recueil LA COTE témoigne par son intimité de cette amitié naissante qui liera les deux hommes durant toute leur vie. Très bon exemplaire 0
[Max Charvolen] - Bernard Teulon-Nouailles / Max Charvolen
Reference : DMI-1152
(2021)
SUPERBE LIVRE D'ARTISTE DE BERNARD TEULON-NOUAILLES ET MAX CHARVOLEN EN HOMMAGE À PIERRE SOULAGES TIRAGE À TOUT PETIT NOMBRE Bernard Teulon-Nouailles / Max Charvolen, Le Festin de Pierre, Vallon Pont d’Arc, Éditions du Bourdaric, collection "D'un jardin à l'autre", volume 45, 2021. Édition originale. Un beau volume sous papier crystal, couvertures imprimées à rabats, en feuilles, 6 doubles f., 28x19,7cm. Édité par Renaud Vincent pour les Éditions d'art de la galerie du Bourdaric le 21/05/2021 à Vallon Pont d'Arc, ce poème de Bernard Teulon-Nouailles rend hommage à l'artiste Pierre Soulages pour son centième anniversaire. Il est imprimé ici en édition originale sur vélin B.F.K. Rives 250 g. Il a été tiré de cet ouvrage 21 exemplaires numérotés de 1 à 21, tous enrichis d'une intervention plastique originale de Max Charvolen. Tous les exemplaires sont signés à la mine de plomb par Bernard Teulon-Nouailles et Max Charvolen. Notre exemplaire est le numéro 17. * ** "Contempler, c'est se sentir convié au célèbre festin, qu'évoque le poète en son enfer — que d'autres ont déclaré de pierre. On y injurie la beauté car la vraie ne saurait être q'intérieure. L'éternel rêve de l'humain : se mêler au minéral, se fondre à l'éternité de la roche. Là où se cache la vérité". C'est par le prisme de la célèbre comédie de Molière : Dom Juan ou le festin de Pierre que l'écrivain Bernard Teulon-Nouailles choisit de rendre hommage au grand représentant de l'art informel et de l'outrenoir Pierre Soulages (1919-2022), à l'occasion de ses 100 ans fêtés le 24 décembre 2019. "Peu d'êtres pénètrent les secrets de la pensée. Elle est définitivement "autre". Il suffit pourtant d'ouvrir les yeux. La vraie pensée est ailleurs. Elle s'est réveillé matière. Elle porte le deuil de la toile." Le texte, sous couvert de célébrer l'art de Soulages, ouvre une réflexion sur la place du spectateur dans l'oeuvre et de l'écrivain qui doit mettre des mots sur l'Œuvre. "Écrire en termes de lumière, celle qui émane de la peau, de l'enveloppe corporelle et donne des signes, de temps à autre, de qui se trame à l'intérieur. Tourner autour du sujet, choisir l'instant d'exception, et jouir de l'évidence quand elle se fait danse d'abeilles tout autour de la fleur des ombres. A trop la scruter on finirait par la rendre minérale. Elle s'épaissit, à l'instar du poème, et atteint une stature démesurée. L'humain saisit son coeur de colosse et qui se met à battre." L'intervention peinte originale de l'artiste cannois Max Charvolen, dans le livre, reprend le motif de l'installation "A Vallauris, 14 rue des Tours, escaliers, murs, palier, huisserie, sol" (2021, fragments de tissu, colle et pigment, 383x159cm) que l'on peut admirer sur le site de la galerie Ceysson et Bénétière. Charvolen est connu pour ses installations monumentales résultant des lieux qu'il investit et, pourrait-on dire, cartographie, en passant de deux à trois dimensions. Né en 1946 à Cannes, Max Charvolen participe au groupe INterVENTION (1968-1973) et depuis aux manifestations de l’École de Nice. Co-fondateur du groupe 70 (1970), il a suivi une double formation en art et architecture, achevant cette dernière dans l'agence d'Oscar Niemeyer, à Rio. "Son œuvre se structure selon trois axes problématiques principaux : les éléments de la peinture, l'espace, la représentation. Aux travaux des années 60-70 centrés sur la toile et ses diverses modifications par découpes, pliages, couture, colorations et se servant du format du tableau comme modèle, succèdent, à partir de 1979, les œuvres modelées sur bâtis et objets. Depuis cette date il fragmente la toile par découpe avant de la recomposer sur des objets ou espaces bâtis dont il met ensuite la figure à plat. La coloration devient alors un moyen de différencier et de mettre en regard tel ou tel élément de l'œuvre : processus, volume, périmètre, limites et bords. Une partie de son travail s'intéresse aux variations des mises à plat possibles d'un même volume en recourant au calcul et au dessin numérique.Jean Petitot a pu analyser son projet comme un renversement de la perspective classique : là où la peinture cherchait à donner en deux dimensions l'illusion de la profondeur, Max Charvolen donne à voir, à l'échelle 1, dans la réalité des deux dimensions, le souvenir des trois dimensions. Ce faisant, il "traite de la représentation sans passer par la figuration" et donne de nouveaux formats et de nouvelles raisons à nos espaces symboliques." Magnifique livre d'artiste, alliant compositions poétique et plastique, à l'état de neuf. État de fraicheur irréprochable. Envoi soigné, assuré. Livraison en main propre possible sous condition.
Paris, Cercle des arts, 1953. In-12, cartonnage avec couverture illustrée rempliée.Édition originale de ce recueil de 7 poèmes de Max Ernst, intitulés "Colline, Madeleine, Lumière, Coloradeau, Plantes-sœurs, Éternité, Dix mille peaux-rouges". Ils sont illustrés de 31 reproductions en couleurs (dont la couverture) de tableaux de l'auteur, intitulés “Microbes”, contrecollés et à l’échelle des originaux.Après plus de 10 ans aux États-Unis, Max Ernst vient de rentrer à Paris, et livre ici un tableau surréaliste de l'Amérique.Tirage à 1100 exemplaires. Un des 1000 exemplaires sur Marais pur fil Une fleur.Il est enrichi d’un envoi autographe signé de Max Ernst : “à Inès de Parisot avec les compliments de [Sept microbes] et de Max Ernst.”Petite déchirure en tête du dos restaurée.--------In-12, cardboard with illustrated cover filled.First edition of this collection of 7 poems by Max Ernst, entitled "Hill, Madeleine, Light, Coloradeau, Sister-plants, Eternity, Ten thousand redskins". They are illustrated with 31 colored reproductions (including the cover) of paintings by the author, entitled "Microbes", pasted and scaled to the originals. After more than 10 years in the United States, Max Ernst has just returned to Paris.Edition printed in 1100 copies. One of the 1000 copies on Marais pur fil Une fleur.It is enriched with an autograph signed dedication by Max Ernst: "to Ines de Parisot with the compliments of [Seven microbes] and Max Ernst." Small tear at the head of the spine restored.
Dated ""14.2.29"" (poststamped ""15.02.29""). Postcard depicting Hohenluftort Königsfeld, 763 m ü. M. bad Schwarzwald, with 12 handwritten lines on the verso as well as the address, all in Max Born's hand and signed ""Max Born"".
This lovely postcard written by Max Born at the height of his career, for his grandson, is in German and reads thus: ""Lieber Puzl,/ Ich gratuliere Dir sehr herzlich/ zum Geburtstag und hoffe, dass/ Du recht viel geschenke kriegst./ Grüss Deine Eltern Gustav und/ Gritli, auch alle andern Bärrchen/ und deine Geburtstagsgäste./ Dein Opapa/ Max Born./ Sage Omama Hedi, sie soll mich/ mal gelegentlich hier telephonisch/ ausrufen. Die Nummer ist:/ Königsfeld Nr. 75."" (I.e. Dier Puzl, I congratulate you on your birthday and and hope that you will recieve a lot of presents. Greetings to your parents Gustav and Gritli, and also to all other little bears and to your birthdayguests. Your grandfater Max Born. Tell grandma' Hedi that at some point she should call me by telephone. The number is: Königsfeld 75).This is a warm, lovely, peronal card from the pioneer of quantum mechanics, written at a crucial time in his career.
Leipzig : B. Cassirer, [n.d.],IN8 broché,couverture illustrée,55 p. : ill. ; 26 cm.Oeuvre gravée,livres illustrés,bon etat
Halbleinen d. Zt. mit aufgezogenen illustr. blauen Orig.-Umschlag auf Vorderdeckel (Orig.-Lithographie). Berlin, Bruno Cassirer o. J. [1925]. Darin Textbeitrage von Bruno Cassirer, Max Friedländer (2) und Karl Scheffler, sowie einem Auszug aus der Slevogt-Biographie von Emil Waldmann. Contains articles by Max J. Friedländer and Karl Scheffler.
Max JACOB. Le Nom. 1926, À la Lampe d'Aladdin, À Liège. 1 vol. in-12, broché de de 66 pages, couverture rempliée. Édition originale. Tirage à 396 exemplaires, celui-ci un des 40 sur papier Madagascar. GRAND PAPIER. Cette courte nouvelle fut composée par Max Jacob (1876-1944) au moment où le célèbre romancier, poète et peintre était en pleine crise d'homosexualité platonique. Exemplaire enrichi d'une coupure de presse d'époque sur Max Jacob. Bon
[Max Ernst] - Edition originale Spies, Werner - Ernst, Max (ill.)
Reference : 3407
(1974)
ISBN : 3770106520
Köln M. DuMont Schauberg 1974 in-4 relié sous jaquette Köln, M. DuMont Schauberg, 1974. 33 x 25 cm, fort in-4, 499 pp., 1 lithographie originale en couleurs en frontispice, nombreuses reproductions en noir et en couleurs, cartonnage éditeur imprimé et illustré, jaquette imprimée et illustrée.
Edition originale. Cette première édition, tirée à 2000 exemplaires, est la seule à comporter la belle lithographie originale de Max Ernst, tirée sur vélin d'Arches. Exemplaire enrichi d'un bel ENVOI autographe signé de Werner Spies à l'illustrateur Jean-Michel Folon et à son épouse, la galeriste Paola Folon-Ghiringhelli. L'envoi, enrichi de traits obliques croisés, est fait au crayon "arc-en-ciel". Bel exemplaire d'intéressante provenance (petites taches de peinture blanche à la jaquette). (Prévoir des frais de port pour 4 kg) Très bon
Haley Bill - Ayre Jimmy,Freedman Max C.,Haley Bill,Phillips Mildred,Reichner Bix,de Knight Jimmy,Lattanzi Pep,Bell Freddie,Spickol Max,Russel Al,Pingatore Frank - Larue Jacques,Salvet André,Haley Bill,Lattanzi Pep,Bell Freddie,de Knight Jimmy,Freedman Max C.,Reichner Bix,Phillips Mildred,Ayre Jimmy,Spickol Max,Russel Al,Pingatore Frank
Reference : 90330
(1956)
S.E.M.I 1956
Bon état Grand format Piano
PONS (Max) - Pierre Albert-Birot, Marie Bressou, Louis Emié, Henri-Paul Eydoux, Jean Follain, Pierre Gabriel, Louis Guillaume, Max jacob, Emmanuel Looten, Jean-François Noël, Max Pons, Marie Rouanet - Jean Zimmermann -
Reference : 37478
Saint-Front-sur-Lémance : Cercle de Bonaguil, 1968 - un volume (16,5x21,8 cm) broché sous couverture illustrée par Leopold Survage, 49 pages - illustré de 3 reproductions hors-texte de Chana Orloff, Enrico Prampolini, Pierre Albert-Birot - édition hors commerce réservé au Cercle Culturel et Artisanal de Bonaguil : 1/500 exemplaires sur chiffon de mandeure - bon état -
Pierre Albert-Birot, Marie Bressou, Louis Emié, Henri-Paul Eydoux, Jean Follain, Pierre Gabriel, Louis Guillaume, Max jacob, Emmanuel Looten, Jean-François Noël, Max Pons, Marie Rouanet Jean Zimmermann -
1947 4 ff. anopistographes (27 x 20 cm, environ 36 lignes par page) densément raturés et corrigés, au verso d'un papier à en-tête du journal "Excelsior" + photocopie de la dernière page du texte (27 lignes). Circa 1947.
Première étape de l'article de Hertz sur Max Jacob, qui fut publié dans les Lettres françaises (n° 179, 1947), puis dans Europe (48:489, janv. 1970, pp. 137-41). La bibliothèque de l'Alliance Israëlite Universelle, où furent déposées une grande partie des archives Henri Hertz, dispose d'une étape plus avancée du manuscrit (également 4 ff. sur le même papier à en-tête, AP 5 / 15). Henri Hertz raconte dans cet article sa rencontre avec Max Jacob, chez Apollinaire, avec lequel il entretint des relations amicales, de même qu'avec Picasso. Sa contribution à la Phalange, ainsi que le mysticisme de ce juif converti au catholicisme sont également évoqués. Henri Hertz (1875, Nogent-sur-Seine, 1966, Paris) n'est pas pour rien dans le lancement de la carrière littéraire de Max Jacob, dont il fut très proche. En 1895, il s'installe à Paris et collabore à la Revue Générale Internationale de Louis Gastine. En 1901, il publie les Contes de la Soif dans la Revue des Indépendants puis entre à la Revue Blanche, dirigée par les frères Natanson. Quelques années plus tard, il se lie d'amitié avec Max Jacob et Apollinaire. En 1909, il publie la pièce Des Mécréants, Grasset, et en 1912, les Apartés, Éditions de la Phalange, recueil de vers bien salué par la critique.Max Jacob a dit de lui que "c'est l'un des écrivains les plus singuliers du moment", et "qu'il y a du dadaïsme, gidisme et tout le naturalisme au complet" dans son oeuvre. Apollinaire le cite dans sa conférence sur la Phalange Nouvelle en 1908. Il est un des collaborateurs de sa revue Le Festin d'Esope. Ami de Jean Royère, directeur de la Phalange, il donnera des textes à sa revue. Il collabore activement, avec Apollinaire, Jacob, Royère, Klingsor, Soupault, Reverdy, Fagus, Valéry, Aragon, Canoudo, Viélé-Griffin, Breton... à la Revue les Trois Roses, fondée à Grenoble, en juin 1918, par Justin-Frantz Simon. Henri Hertz reçoit le Prix Mallarmé pour l'ensemble de son oeuvre en 1928. Bel état.
1971 Stuttgart, Belser-Presse, 1971. 39,5 x 30 cm, in-folio, 79 pp. - 3 lithographies en couleurs hors texte, cartonnage et étui de l'éditeur en pleine toile bise, pièces de titre.
Edition originale de cette conférence donnée à l'Académie bavaroise des Beaux-Arts de Munich le 9 juillet 1970. Texte bilingue allemand / anglais. Tirage à 205 exemplaires. Celui-ci l'un des 20 hors commerce, signé au colophon par Max Ernst. Les lithographies ont été tirées par Pierre Chave à Vence. Etui partiellement bruni, quelques infimes rousseurs à la tranche de gouttière.
[Max charvolen] - Bernard Teulon-Nouailles / Max Charvolen
Reference : DMI-1380
(2011)
SUPERBE LIVRE D'ARTISTE DE BERNARD TEULON-NOUAILLES ET MAX CHARVOLEN TIRAGE À TOUT PETIT NOMBRE Bernard Teulon-Nouailles / Max Charvolen, Escalier Porte Fenêtre, Éditions de Rivières, Rivières — La Source — Cannes, 2011. Édition originale. Un beau volume sous papier crystal, couvertures imprimées à rabats, en feuilles, 6 doubles f., 19x13,5cm. XII exemplaires sur Arches, tous signés au colophon par l'auteur et l'artiste. Poème dédié au poète James Sacré, jouant sur la technique même de l'artiste Max Charvolen, connu pour ses installations monumentales résultant des lieux qu'il investit et, pourrait-on dire, cartographie, en passant de deux à trois dimensions. Né en 1946 à Cannes, Max Charvolen participe au groupe INterVENTION (1968-1973) et depuis aux manifestations de l’École de Nice. Co-fondateur du groupe 70 (1970), il a suivi une double formation en art et architecture, achevant cette dernière dans l'agence d'Oscar Niemeyer, à Rio. "Son œuvre se structure selon trois axes problématiques principaux : les éléments de la peinture, l'espace, la représentation. Aux travaux des années 60-70 centrés sur la toile et ses diverses modifications par découpes, pliages, couture, colorations et se servant du format du tableau comme modèle, succèdent, à partir de 1979, les œuvres modelées sur bâtis et objets. Depuis cette date il fragmente la toile par découpe avant de la recomposer sur des objets ou espaces bâtis dont il met ensuite la figure à plat. La coloration devient alors un moyen de différencier et de mettre en regard tel ou tel élément de l'œuvre : processus, volume, périmètre, limites et bords. Une partie de son travail s'intéresse aux variations des mises à plat possibles d'un même volume en recourant au calcul et au dessin numérique.Jean Petitot a pu analyser son projet comme un renversement de la perspective classique : là où la peinture cherchait à donner en deux dimensions l'illusion de la profondeur, Max Charvolen donne à voir, à l'échelle, dans la réalité des deux dimensions, le souvenir des trois dimensions. Ce faisant, il "traite de la représentation sans passer par la figuration" et donne de nouveaux formats et de nouvelles raisons à nos espaces symboliques." Magnifique livre d'artiste, alliant compositions poétique et plastique, à l'état de neuf. État de fraicheur irréprochable. Envoi soigné, assuré. Livraison en main propre possible sous condition.
Editions Vision sur les Arts / Collection " 12 Artistes Contemporains " n° 2 de 1975. In-8 broché, à l'Italienne, non paginé, au format 12,5 x 20,8 cm. Couvertures, rempliées, illustrées par deux lithographies originales de Max Papart tirées sur arches. Dos carré. Plats et intérieur frais, malgré un minuscule manque au bas du 1er plat. Frontispice avec photographie de l'artiste, en noir et blanc. Etude sur Max Papart par Andrée Caraire et Bernard Plasse. Monographie ornée de nombreuses reproductions in et hors-texte, en noir et en couleur, suivie d'une notice bibliographique, et d'une liste des oeuvres et enrichie de deux lithographies originales de Max Papart, hors texte. Un des 200 exemplaires numérotés, hors commerce, sur Périgord ( n°00189), réservé aux souscripteurs. Très bel état général. Rare édition originale bien complète des 4 lithographies ( 2 couvertures + 2 hors texte ).
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
[Marie Laurencin] - Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.
Reference : AMO-4511
(1922)
Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).
Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.
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S.n., s.l. s.d. (circa 1910), 9x14cm, une feuille verso.
Carte postale photographique représentant le grand acteur de cinéma et de théâtre Edouard de Max costumé en Roi de Rome, légèrement de face, l'air songeur, prise dans le studio photographique de Boissonnas. Bel exemplaire. Envoi autographe signé d'Edouard de Max à H. Clerlé encadrant son portrait. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Dover Publications Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1998 Book condition, Etat : Très Bon paperback, editor's white wrappers, illustrated by a portrait of Max Planck in brown In-8 1 vol. - 168 pages
Reprint 1998 of the first English Edition, 1915 "Contents, Chapitres : Preface to the original edition , Berlin, 1909, Translator's Preface, Contents, Introduction by Peter Pesic, xiii, Text, 145 pages - Introduction, Reversibility and irreversibility - Thermodynamic states of equilibrium in dilute solutions - Atomic theory of matter - Equation of a state for a monatomic gas - Heat radiation, electrodynamic theory - Heat radiation, statistical theory - General dynamics, principle of least action - General dynamics, principle of relativity - Max Planck, né Max Karl Ernst Ludwig Planck le 23 avril 1858 à Kiel, dans le duché de Schleswig et mort le 4 octobre 1947 à Göttingen, en Allemagne (pendant l'occupation alliée), est un physicien allemand. Max Planck fut l'un des fondateurs de la mécanique quantique. De ses travaux fut conceptualisée l'ère de Planck, période de l'histoire de l'Univers au cours de laquelle les quatre interactions fondamentales étaient unifiées. Il fut lauréat du prix Nobel de physique de 1918 pour ses travaux en théorie des quanta. Il a reçu la médaille Lorentz en 1927, et le prix Goethe en 1945. - En 1900, Max Planck découvre la loi spectrale du rayonnement d'un corps noir (publiée en 1901) en essayant de réconcilier la loi de Rayleigh-Jeans qui fonctionne aux grandes longueurs d'onde (basses fréquences) et la loi de Wien qui fonctionne aux petites longueurs d'onde (hautes fréquences). Il estime que sa propre fonction correspondait remarquablement bien aux données pour toutes les longueurs d'onde. La correction de la loi de Rayleigh-Jeans est particulièrement importante, car elle est construite sur une base théorique forte : la thermodynamique telle qu'elle était connue à l'époque ; mais souffre d'un défaut majeur aux longueurs d'onde courtes : la catastrophe ultraviolette. Ce point suggère que la thermodynamique est fausse. Planck essaye donc de produire une nouvelle théorie fondamentale destinée à remplacer la thermodynamique. Planck déduit sa loi de façon empirique. Il la justifie en postulant que l'énergie émise ou absorbée par les oscillateurs ne se fait que par petits paquets d'énergie E. Ces paquets seraient directement reliés à la fréquence des oscillations selon la formule qu'il expose le 14 décembre 1900 : E = hv où h est la constante de Planck ; et v est la fréquence du rayonnement électromagnétique. Cette hypothèse permet de limiter l'excitation des oscillateurs aux courtes longueurs d'onde, puisqu'ils ne peuvent absorber qu'une énergie au moins égale à hv. Bien qu'il soit facile maintenant d'interpréter cela en termes de quantification de la lumière en photons, Planck ne propose pas cette quantification. Cela apparaît clairement dans son article de 1901, dans les références qu'il y donne sur le travail qu'il a effectué sur le sujet, ainsi que dans ses Vorlesungen über die Theorie der Wärmestrahlung (Cours sur la théorie du rayonnement thermique, éditées en 1906 à Leipzig) où il explique que sa constante concerne les oscillateurs. À l'époque, cette relation n'est considérée que comme un artifice de calcul mathématique. L'idée de quantification est développée par d'autres, notamment Einstein qui, en étudiant l'effet photoélectrique, propose un modèle et une équation dans lesquels la lumière est non seulement émise mais aussi absorbée par paquets ou photons. C'est l'introduction de la nature corpusculaire de la lumière." fine copy, no markings - Dover Edition