L.S., Paris, 1er février 1951, œp in-4. Il répond au journaliste André Calas qu'il a pour principe de ne jamais accepter d'interviews sur son père François Mauriac et sa mère. On joint deux copies de courriers envoyés par Calas, l'un avant cette lettre réclamant une réponse de Claude Mauriac, l'autre à François Mauriac dans laquelle il déforme la réponse de Claude, le disant « débordé de travail » et il lui demande si un autre de ses enfants pourrait répondre. Calas est alors en train de faire des interviews d'enfants d'écrivains (Valéry, Péguy, Gide, Claudel, Colette, etc.) Les trois lettres sont déchirées en haut à gauche, en marge.