Gaston Maugras (1850-1927) historien carte autographe signée à Émile Aucante recto-verso, 2 p., sans lieu ni date Gaston Maugras (1850-1927) envoie à Émile Aucante ses voeux pour la nouvelle année. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien carte autographe signée à Émile Aucante recto-verso, 2 p., 29 Décembre 1900 Gaston Maugras (1850-1927) envoie à Émile Aucante ses voeux pour la nouvelle année. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien lettre autographe signée à Émile Aucante 1 double f., 2 p., 19 janvier 1903 Gaston Maugras (1850-1927) envoie à Émile Aucante le second volume de son livre consacré au duc et à la duchesse de Choiseul. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien lettre autographe signée à Émile Aucante 1 double f., 2 p., 29 décembre 1902 Gaston Maugras (1850-1927) envoie ses voeux à Émile Aucante, lui souhaitant une meilleure santé en 1903, et lui promet de lui envoyer le second volume de son livre consacré au duc et à la duchesse de Choiseul. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien carte autographe signée à Émile Aucante recto-verso., 2 p., 28 décembre 1901 Gaston Maugras (1850-1927) regrette qu'Émile Aucante ne puisse venir le voir. Aux beaux jours, il lui rendra visite à Montmorency. Il lui apporte sa compassion et son soutien suite aux soucis de santé que son épouse et lui ont éprouvé. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien carte autographe signée à Émile Aucante recto-verso., 2 p., 28 décembre 1901 Gaston Maugras (1850-1927) envoie ses voeux à Aucante et regrette de ne pas le voir plus souvent. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien lettre autographe signée à Émile Aucante 1 double f., 4 p., Paris, 12 décembre 1889 Gaston Maugras (1850-1927) est en train de terminer son nouveau livre Les Demoiselles de Verrières (Paris, Calmann Lévy, 1890) et demande conseil à Émile Aucante, directeur de la publication chez l'éditeur, mais surtout son approbation et celle de M. Calmann Lévy pour conserver le contenu de son ouvrage à l'identique tout en réduisant le nombre de pages en jouant sur les marges des pages. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Gaston Maugras (1850-1927) historien lettre autographe signée à Émile Aucante 1 double f., 1 p., Paris, 17 janvier 1886 + enveloppe Monsieur Aucante / 3 rue Auber / Paris Gaston Maugras (1850-1927) informe Émile Aucante qu'il a vu Calmann Lévy et qu'un accord a été trouvé, probablement pour la publication de son Voltaire et J.-J. Rousseau. Querelles de philosophes. Bel autographe. * ** Émile Aucante est né à La Châtre le 16 août 1822. Il est mort à Montmorency le 15 février 1909. Fils naturel de Gertrude Aucante, clerc de notaire chez un avoué, attaché à G. Sand dont il partageait les idées avancées, fut pendant plusieurs années secretaire et homme d'affaires de l'écrivain. En 1857, il s'installa à Paris, s'occupant d'assurances-incendie avant d'entrer chez l'éditeur Michel Lévy où il dirigea la collection des "Bons romans" et assura la gérance de la revue L'Univers illustré. * ** Gaston Maugras a été l'un des premiers historiens du dernier quart du xixe siècle à travailler sur la société lettrée de la fin de l’Ancien Régime. Il a consacré des années d’étude exclusive ou continue à cette époque. Maugras s'est d'abord intéressé au duc et à la duchesse de Choiseul, puis au duc de Lauzun, dont il a suivi le parcours à la cour de Louis XV et de Marie-Antoinette. Après s’être consacré aux demoiselles de Verrières et à la comtesse de Genlis, il s’est intéressé à Voltaire et Rousseau, avant de publier, en collaboration avec Lucien Perey, quatre volumes consacrés à l’abbé Galiani, à la jeunesse et aux dernières années de Louise d'Épinay, enfin à la vie intime de Voltaire aux Délices et à Ferney. Il a publié deux volumes sur la cour de Lunéville au dix-huitième siècle et sur les dernières années du roi Stanislas. Il écrit ensuite un ouvrage sur la marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, puis, en collaboration avec le comte Pierre de Croze-Lemercier, un volume sur Delphine de Sabran, comtesse de Custine. Dans la nécrologie publiée par Hubert Morant en novembre 1927 dans le Journal des débats politiques et littéraires, le rédacteur insiste sur la clarté et le soin apporté à la rédaction des ouvrages de Maugras, lequel utilisait beaucoup de citations et d'extraits de correspondances d'époque pour, selon la nécrologie, faire entendre les protagonistes de l'histoire eux-mêmes. Envoi soigné.
Calmann-Lévy, 1882, in-8°, xxxii-544 pp, un portrait gravé de Madame d'Epinay en frontispice, reliure demi-chagrin noir à coins, dos à 5 nerfs filetés, titres dorés, doubles filets dorés sur les plats (rel. de l'époque), un mors faible, bon état (Prix Marcelin Guérin
Louise Florence Pétronille Tardieu d’Esclavelles de La Live, marquise d'Epinay (1726-1783). — "MM. Lucien Perey et Gaston Maugras ont eu la chance de retrouver aux Archives un manuscrit des Mémoires de Mme d'Épinay. On n'ignore pas que, dans ces Mémoires, où les noms eux-mêmes des personnes sont déguisés, le roman se mêle souvent à la réalité. L'obligeance d'un descendant de Mme d'Épinay, qui s'est empressé de mettre à la disposition de MM. Lucien Perey et Gaston Maugras tout ce qu'il possédait encore de lettres ou de papiers de son arrière-grand'mère, leur a permis de contrôler les récits des Mémoires et de contredire ou de confirmer par les pièces authentiques le témoignage de Mme d'Épinay. La connaissance qu'ils ont du XVIIIe siècle leur rendait la tâche facile. C'est tout un petit monde, – charmant et haïssable à la fois, – qu'ils font revivre. On leur saura gré surtout de la discrétion, aujourd'hui si rare, avec laquelle ils ont usé des documens qu'ils avaient entre les mains. Ils pouvaient faire une édition, ils ont mieux aimé faire un livre. Les amateurs de lettres inédites n'y trouveront pas moins leur compte. Nous leur recommanderons particulièrement un oncle maternel de Mme d'Épinay, M. de Preux, à qui, si ses lettres étaient seulement plus nombreuses, il faudrait faire non pas peut-être une place, mais un coin, à tout le moins, dans la littérature épistolaire de son siècle. Ce volume ne va que jusqu'en 1757 et Mme d'Épinay n'est morte qu'en 1783. C'est donc toute une moitié de sa vie qui nous manque. MM. Lucien Perey et Gaston Maugras préparent un second volume sur la vieillesse de Madame d'Epinay." (F. Brunetière, Revue des Deux Mondes, 1882)
P., Colas, 1808, un volume in 8 relié en demi-basane, dos orné de fers et filets dorés (reliure de l'époque), (plats frottés), 20pp., 180pp.
---- Seconde édition AUGMENTEE de quelques remarques sur LE JUGEMENT PORTE PAR LES JOURNALISTES ---- Jean-Baptiste MAUGRAS, philosophe français (1762-1830) obtint la première place au concours de l'agrégation pour la philosophie. Il suppléa l'abbé Royou au Collège Louis-Le-Grand et fut nommé en 1789 professeur de philosophie au collège de Montaigu.... En réponse à une question posée par l'Académie des sciences de BERLIN, MAUGRAS mit au jour une DISSERTATION SUR L'ANALYSE EN PHILOSOPHIE....". (Hoefer tome 34 page 353-354) ---- Définition et division de l'analyse - Objet de l'analyse - Usage de l'analyse - Analyse en physique - Analyse en mathématiques - Principes analytiques sur la théodicée - Analyse en philosophie morale - Remarques sur le jugement des journalistes - etc**35890/3589/P2
Calmann-Lévy, 1887. In-8 relié demi-basane bleu marine, tête dorée. 493 pages. Edition originale agrémentée d'un envoi autographe signé de Gaston Maugras au faux-titre.- 880g.C. - Marges jaunies, bon état
1896 London: Osgood, McIlvaine & Co. 1896Very Good. 8vo. 523 pages.,pleine toile verte editeur,dos lisse titré
Paris, Plon-Nourrit, Collection La fin d'une société,1913,IN 8 broché,550 pages.
manques au dos et coins couvertures,texte bon
Calmann-Lévy, 1884-1885, 2 vol. in-8°, xxxii-544 et xi-607 pp, un portrait en frontispice du 1er volume, reliures demi-maroquin noir à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), rousseurs éparses, bon état
Louise Florence Pétronille Tardieu d’Esclavelles de La Live, marquise d'Epinay (1726-1783). — "MM. Lucien Perey et Gaston Maugras ont eu la chance de retrouver aux Archives un manuscrit des Mémoires de Mme d'Épinay. On n'ignore pas que, dans ces Mémoires, où les noms eux-mêmes des personnes sont déguisés, le roman se mêle souvent à la réalité. L'obligeance d'un descendant de Mme d'Épinay, qui s'est empressé de mettre à la disposition de MM. Lucien Perey et Gaston Maugras tout ce qu'il possédait encore de lettres ou de papiers de son arrière-grand'mère, leur a permis de contrôler les récits des Mémoires et de contredire ou de confirmer par les pièces authentiques le témoignage de Mme d'Épinay. La connaissance qu'ils ont du XVIIIe siècle leur rendait la tâche facile. C'est tout un petit monde, – charmant et haïssable à la fois, – qu'ils font revivre. On leur saura gré surtout de la discrétion, aujourd'hui si rare, avec laquelle ils ont usé des documens qu'ils avaient entre les mains. Ils pouvaient faire une édition, ils ont mieux aimé faire un livre. Les amateurs de lettres inédites n'y trouveront pas moins leur compte. Nous leur recommanderons particulièrement un oncle maternel de Mme d'Épinay, M. de Preux, à qui, si ses lettres étaient seulement plus nombreuses, il faudrait faire non pas peut-être une place, mais un coin, à tout le moins, dans la littérature épistolaire de son siècle..." (F. Brunetière, Revue des Deux Mondes, 1882)
PLON s.d(vers 1930)
-pt.IN8 1/2 toile ed.-316p.-8 ht.
Paris, Plon Bibliothèque Historique Plon s.d., 1 vol. in 12 relié demi-percaline, dos lisse orné (reliure éditeur), 316 pp. - Journal d'un étudiant monté de province à Paris, véritable tableau de la société bourgeoise et des petits faits de tous les jours pendant la Révolution.
etiquette bibliothéque collée au dos,trace de colle sur le 1er plat,
Paris, Calmann-Levy, 1886. Un volume fort in-8, 607 pp. Demi-percaline à la Bradel, dos lisse, pièce de titre, 607 pp.
Rousseurs éparses néanmoins bon exemplaire. Photos sur demande.
[Paris], Gillé, s.d. (1814) in-4, titre, 27 pp., dérelié.
Une des éditions de ce programme qui remonte au moins à 1812 d'après les exemplaires conservés. La date de l'exercice de soutenance était prévue au 18 août 1814, et à la fin figure une liste d'élèves admis à concourir.Prêtre, professeur agrégé en 1787, puis suppléant au collège Louis-le-Grand où il remplace l’abbé Thomas-Henri Royou (1787-1789), Jean-Baptiste Maugras (1762-1830) devint par la suite professeur de philosophie au collège Montaigu (1789), situé sur la montagne Sainte-Geneviève, au quartier Latin. En 1800, il reprit ses cours en philosophie, dans plusieurs établissements privés : l’institution Dubois-Loiseau, le collège Sainte-Barbe, l’Académie de législation. Enfin, il se vit attribuer la chaire de philosophie du collège Louis-le-Grand (de 1808 à 1825) au moment de la création des enseignements de philosophie dans les lycées. Seulement deux exemplaires de cette année au CCF (Laval et Ulm). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
# AUTEUR: Maugras Gaston # ÉDITEUR: Plon - Paris # ANNÉE ÉDITION: 1925 # COUVERTURE: 1/2 chagrin rouge - dos à nerfs - fleuron et croix de Lorraine dorés en pied - liserés et titre dorés # DÉTAILS: 2 volumes in 8° reliés: T1- 7ff.(faux titre, Frontispice, pdt, avant-propos, avertissement) + 473pp.+ 1ff. Les marquises de Boufflers et du Chatelet, Voltaire, Devau, Saint-Lambert, etc. 19eme édition. T2- 3ff.(ft, frontispice, pdt) + VII (avertissement) + 461pp.+ 1ff. Mme de Boufflers ses enfants et ses amis. 14eme édition. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: Bon état, plats conservés
Paris Plon 1902 1 vol. relié in-8, demi-chagrin noir, dos à nerfs, fleuron aux armes en queue, VIII + 473 pp., portrait-frontispice en héliogravure, planches hors-texte. Très bon exemplaire.
Paris Plon 1904 1 vol. relié in-8, demi-chagrin rouge, dos à nerfs, (10) + 473 pp., portrait-frontispice en héliogravure. 3e édition. Très bon exemplaire.
Paris, A. Égron, 1825. 29 pages. 1 feuillet blanc. (19x12,5 Cm). Dérelié. Discours de fin de l'année au nom de la Religion et de la Philosophie par Maugras, Docteur en Droit.
Paris Plon-Nourrit Et Cie 1907 1907.
1907 1907. Lorraine 1907 Gaston Maugras LA MARQUISE DE BOUFFLERS
Paris, Calmann Lévy 1885 In-8 22 x 13 cm. Reliure demi-basane bleu-marine, dos à nerfs encadrés de petits fers dorés, III-546 pp., notes en bas de page, appendice, table. Exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion