1891 (1891). 1 volume in-8, plein chagrin vert, double encadrement doré sur les plats ornés de 4 roses dorées aux angles, dos à nerfs orné, tranches dorées, dentelle intérieure dorée. 86 pp.
Ouvrage posthume édité, en très petit nombre, par sa famille en souvenir de son auteur pour qu’on y retrouve « sa gaieté, sa jeunesse d’âme, son bon sens, son esprit original et fin, son imagination si vive... »Le texte, écrit au recto seul, laisse place au lecteur pour d’éventuelles notes au verso, en hommage à Mme Maubernard qui « avait l’habitude de lire la plume à la main… bien souvent sa pensée s’ajoutait à celle d’autrui et presque à son insu, elle devenait auteur. »Elégant recueil de courtes pensées néanmoins spirituelles, certaines quelque peu dépassées ! :« Les plaisirs sont comme les aliments : les plus simples sont ceux dont on se dégoute le moins. »« Sois maitre de ta volonté, esclave de ta conscience. »« Consentir ou vouloir, convaincre ou persuader, que de différences ! »« Les femmes sont nées pour la dépendance, il est sage de le redire aux jeunes filles et de les y accoutumer ».Ex-dono "Souvenir affectueux. Ve Paillet".