Musica films. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 4 pages augmentées de partitions en noir et blanc.Saxo alto, accordéon, saxo ténor, tromlpette, clarientte. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Paroles de Derossi et Christabell. Classification Dewey : 780.26-Partitions
MAPPEMONDE.. 1961. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Partitions d'Orchestre (piano, accordeon...).. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
P 103 M / P 102 M. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Paris H. Piazza 1946 in-8 broché Paris, H. Piazza, 1946. 20,5 x 14 cm, in-8, 151 pp., une illustration en couleurs à pleine page et nombreux ornements en couleurs dans le texte par Marty, broché, couverture blanche rempliée illustrée en couleurs, étui muet de l'éditeur.
Tirage de luxe justifié à 250 exemplaires. Celui-ci l'un des 200 exemplaires sur "crèvecoeur" des papeteries du Marais, deuxième papier après 50 sur Hollande Van Gelder et avant les nombreux exemplaires ordinaires sur vélin Boucher (n° 133). Rare en grand papier. Bel exemplaire. (MONOD, 5294) Très bon
Paris XAVIER HAVERMANS. 1 in-8 Paris, Xavier Havermans, 1926 in-8, couverture rempliée, titrée, 28 pages.
Jean de La Fontaine (Château-Thierry 1621- Paris 1695) est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes licencieux. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Paul Valéry (Sète 1871-Oaris 1945) est un écrivain, poète et philosophe français. Sa poésie de cette époque s'inscrit dans la mouvance symboliste. André Édouard Marty (Paris 1882-1974) est un artiste français et parisien, dessinateur, illustrateur de livres et de revues, dont le style est typique de la période Art déco.Livre contenant en première partie "Daphnis et Alcimadure" par Jean de la Fontaine, et en deuxième partie "Oraison funèbre d'une fable" par Paul Valéry. 14 Illustrations à l'eau-forte de André E. Marty.
Paris HACHETTE 1952 1 Imagée par A.-E. Marty et racontée par Paul de Pitray. Paris, Hachette, 1938, in-4, broché, couverture illustrée en couleurs représentant l'Annonciation, sous sa jaquette illustrée, 32 pages.
26 compositions en couleurs d'André-Edouard Marty (Paris 1882 - 1974 Limeil) dont un hors-texte à double page de la Nativité, nuit de Noël et les couvertures. Ouvrage à succès, édité en 1938, 1943 et 1952, d'Adam et Eve à la Crucifixion. Imprimatur de l'Archevêché de Paris. Usures à la couverture, infimes taches et marques. Rarissime jaquette.
FORT Paul & DRUART René & JAMOT Paul & TOUNY-LERYS & VERANE Léon & WILLETTE Adolphe & DELAW Georges & MAUBLANC René & VAILLAND Roger & MUSELLI Vincent DELAW Georges & WILLETTE Adolphe & LEPERE Auguste & WALBAUM Marcel & MARTY André-Edouard
Reference : 75420
(1922)
Le Pampre, Reims 1922-1926, 16,5x20,5cm, broché.
Collection complète en 24 numéros et 18 fascicules de cette revue littétaire animée par de nombreux poètes. Contributions de Paul Fort, Léon Vérane, Paul Jamot, Gaston Foubert, Germaine Lepage, René Duart, René Maublanc, Mercutio, Roger Vailland, Vincent Muselli, Georges Delaw, Touny-Léris, Paul Neveux, Max Buffenoir, Adolphe Willette, A.M. Gossez, Marcel Sézanne, Emile Sedeyn, Roger Lecomte, Théotime... Illustrations de Georges Delaw, Auguste Lepère, André-Edouard Marty, Adolphe Willette, Léon Bellot, Maurice Louvet, Edmond Chauvet, Eugène Bourgouin, Robert Coutin, Claude Renard, Pierre Subtil, Denise Hubrecht-Petitjean, Bel et rare ensemble bien complet du N°10-11 entièrement consacré au Haïkaï français. Nous joignons une carte de visite de René Druart sur laquelle il a ajouté quelques mots manuscrits ainsi qu'une lettre autographe signée et datée du 4 Janvier 1924 à en-tête de la revue "Le Pampre" également de René Druart. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
HAVERMANS (Xavier). AURIOL (Georges), BOUTET DE MONVEL (Bernard), BOFA (Gus), , BONFILS (Robert), CARLEGLE (Charles-Émile Egli, dit), DROUART (Raphaël), HERMANN-PAUL (René-Georges), MARTY (André-Édouard), VUILLARD (Édouard)...
Reference : 9084
Paris HAVERMANS 1 Paris, Xavier Havermans, 1921, in-8 broché.
Bel ouvrage réunissant 35 ex libris d'artistes talentueux de l'époque dont George Auriol, Gus Bofa, Robert Bonfils, Bernard Boutet de Monvel, Carlègle, Daragnès, Drouart (Raphaël), Hermann Paul, Marty, Vuillard ... Superbe travail mettant en avant l'esthétique de l'ex libris. Éditon limitée et numérotée. Préface de Georges Lambert.
Paris, L'Edition d'art H. Piazza, 1946, in-8, broché sous couverture rempliée et étui, 151 pages. Bel exemplaire très frais. Un des 200 ex. sur Crèvecoeur après 50 ex. sur Hollande. Celui-ci numéroté à la main N° LXXIX. Frontispice en couleurs, bandeaux et culs-de-lampe (pochoir) par A.E. Marty sous jaquette imprimée. Ex-dono.
[Librairie Centrale des Beaux-Arts] - Collectif ; VOGEL, Lucien ; LEPAPE, Georges ; BRISSAUD, Pierre ; MARTY, André ; BOULET DE MONVEL, Bernard ; MERAS, Paul ; CARLEGLE ; GOSE, Javier ; DRESA
Reference : 61528
(1912)
1 vol. in-8 en feuillets sous chemise, Librairie Centrale des Beaux-Arts, Paris, 1912, 2 ff. (titre général pour l'année 1912-1913), 4 ff. (paginées I-VI puis 2 ff. non paginés, pour la table des matières de l'année et la table des planches), IV pp. (publicités), 2 ff. (prospectus pour la Gazette du Bon Ton), 28 pp. [manque les pages 29-32 ], avec 9 planches hors texte en couleurs (sur 10)
Tout premier numéro de cette très remarquable revue de grand luxe, essentielle pour la connaissance de la mode, et à laquelle collaborèrent les tous meilleurs artistes de l'époque. Les illustrations en couleurs, dans le texte ou hors-texte, sont toujours magnifiques et d'un coloris très vif, restituant avec éclat les plus belles créations de Poiret, Doucet, Redfern, Worth, etc... Etat très satisfaisant (manquent 4 feuillets - les pages 29-32 - et la planche 5, bon état par ailleurs) pour ce tout premier numéro en partie incomplet mais contenant les tables générales des années 1912-1913, ainsi que la page de titre générale de la même période, et le prospectus général annonçant la revue ! Colas, 1202
RENE REMOND-JACQUES DUQUESNE-FRANCIS JEANSON-JEAN DE FABREGUES-ROBERT DE MONTVALON-ETIENNE BORNE-ROGER GARAUDY-PAUL RICOEURJEAN LOUIS MONNERON-ANDRE MANDOUZE-VINCENT MERLE-BRIGITTE MAUREL-PATRICKVIVERET-PIERRE LIEGE-PHILIPPE D'HARCOURT-JEAN BRUN-PIERRE GRELOT-ANDRE BRIEN-SERGE BONNET-ETIENNE FOUILLOUX-FRANCIS ET GERMAINE DE BAECQUE-WINOC DE BROUCKER-FRANCOIS MARTY-ANDRE ASTIER-HENRI DENIS-RENE PUCHEU-PHILIPPE ROQUEPLO
Reference : ABE-1558558457394
(1971)
DESCLEE DE BROUWER 1971 Soft Cover Fine
COLLECTION RECHERCHES ET DEBATS N°73-SEMAINE DES INTELLECTUELS CATHOLIQUES (10-16 MARS 1971)-234 PAGES-14,5 CM X 19,5 CM-ETAT PROCHE DU NEUF-(22D)