Paris, Hachette, Collection Chefs-d'oeuvre de l'Art, Grands Peintres, N° 22, 1966. In-4, (26,5 x 35,5 cm), broché, couverture glacée illustrée en couleurs et à rabats.
167planches en couleurs hors texte et en noir dans le texte, une bibliographie, des notes, des informations par de grands spécialistes et critiques de notre temps. ETAT NEUF. Photos sur demande.
Munich, Lucas Straub pour Johann Wagner, 1658. 1658 1 vol in-4° (193 x 154 mm) de : [6] ff. (faux titre, titre, privilège, au lecteur) ; 362 pp. ; [1] f. blanc ; [9] ff. (index). Plein veau 19ème, double filet doré sur les plats, roulette sur les coupes, dos à nerfs orné, titre de maroquin fauve.
Édition originale de cet ouvrage en latin sur lHistoire de la Chine dû à Martino Martini (1614-1661), prêtre jésuite, missionnaire en Chine, premier géographe et cartographe moderne de la Chine. Cette Histoire de la Chine constitue la première partie dun projet titanesque que Martini naura malheureusement jamais eu le temps de terminer et fait directement suite à son Novus atlas sinensis (Amsterdam, 1655), son ouvrage le plus célèbre qui fit sa renommée en tant que géographe et cartographe de la Chine. Composé de 17 cartes des différentes provinces de Chine et agrémenté de nombreuses pages de texte, cest la description la plus complète de la Chine connue à lépoque. La qualité de ce travail de Martini est telle que même un siècle plus tard il est toujours le plus complet jusqualors. Après ce travail denvergure sur la Chine de lépoque, lauteur se lance dans la rédaction de sa longue Histoire dont le présent ouvrage concerne la naissance de lempire chinois et ses premiers exploits. Avant cela, Martini avait fait publier sa Grammatica Linguae Sinensis (1653), la toute première grammaire de la langue chinoise réalisée par un européen. Originaire de Trente en Italie, Martini entre dans la Compagnie de Jésus en 1632. Après avoir étudié les mathématiques et lastronomie sous la direction du grand savant Athanase Kircher, il approfondie ses connaissances en théologie à Coïmbre, au Portugal, avant dêtre ordonné prêtre en 1939. Il prend la mer en 1640 puis arrive à Macao en 1642 où il entame son étude du chinois. Ayant élu résidence à Hangzhou, il parcours ensuite les provinces chinoises jusquà Pékin pour recueillir des données scientifiques et surtout géographiques qui lui serviront pour son atlas susmentionné. Suite à linvasion des Manchous en 1644, il nhésite pas à sinvestir dans la défense des populations civiles. Rappelé à Rome dès 1650 afin de défendre lapproche missionnaire inculturée des Jésuites de Chine, il narrive quen 1655 au terme dun long et périlleux voyage passant notamment par les Philippines. Au cours de ce voyage de retour, il passe par Amsterdam, Anvers, Vienne et Munich où il organise limpression de ses ouvrages dès 1653. Lapproche inculturée que Martini est alors contraint de défendre à Rome consiste à accorder un respect tout particulier aux coutumes chinoises nallant pas à lencontre de la foi chrétienne voire même à les encourager. Celle-ci était courante chez les missionnaires Jésuites en Chine mais largement incomprise en Europe, les Franciscains et Dominicains y étaient particulièrement réfractaires. Afin dassurer sa défense, Martini dispose du Brevis relatio de numero et qualitate christianorum apud sinas (Rome, 1654), un long mémoire préparé par les missionnaires jésuites de Chine. A lissue dun long débat, lÉglise tranche en faveur des jésuites en 1656 bien que la controverse subsiste. De retour en Chine à Hangzhou dès 1658 après un voyage de deux ans entaché par la maladie et au cours duquel il est fait prisonnier puis libéré moyennant une rançon, il reprend son travail pastoral. Il meurt du choléra à lâge de 47 ans en 1661. Luvre de Martino Martini est considérable pour lavancement des connaissances européennes sur la Chine. Bien quil nait jamais put achever ce travail sur son Histoire, ses cartes de la Chine et sa grammaire du chinois firent grandement progresser lEurope dans ses relations avec lextrême orient. Bel exemplaire dans sa reliure 19ème. 1 vol 4-to(193 x 154 mm) of : [6] ff. ( half-title, title, privilege, to the reader) ; 362 pp. ; [1] blank f. ; [9] ff. (index). 19th century full calf, double gilt fillet on the boards, roulette on the edges, spine ribbed and decorated, tan morocco title. First edition of this work in Latin on the History of China by Martino Martini (1614-1661), Jesuit priest, missionary in China, first modern geographer and cartographer of China. This History of China is the first part of a titanic project that Martini unfortunately never had the time to complete and follows directly on from his Novus atlas sinensis (Amsterdam, 1655), his most famous work which made his reputation as a geographer and cartographer of China. Composed of 17 maps of the different provinces of China and enhanced with numerous pages of text, it is the most complete description of China known at the time. The quality of this work by Martini is such that even a century later it is still the most complete one. After this large-scale work on China at the time, the author launched into the writing of his long History, of which the present work concerns the birth of the Chinese empire and its first exploits. Before that, Martini had published his Grammatica Linguae Sinensis (1653), the very first grammar of the Chinese language by a European. A native of Trento, Italy, Martini joined the Society of Jesus in 1632. After studying mathematics and astronomy under the great scholar Athanasius Kircher, he deepened his knowledge of theology in Coimbra, Portugal, before being ordained a priest in 1939. He set sail in 1640 and arrived in Macao in 1642 where he began his study of Chinese. Having taken up residence in Hangzhou, he then travelled through the Chinese provinces as far as Peking to collect scientific and, above all, geographical data which he used for his aforementioned atlas. Following the Manchu invasion in 1644, he did not hesitate to get involved in the defense of the civilian population. Recalled to Rome in 1650 in order to defend the inculturated missionary approach of the Jesuits in China, he only arrived in 1655 at the end of a long and perilous journey passing through the Philippines. On his return journey, he passed through Amsterdam, Antwerp, Vienna and Munich where he organized the printing of his works from 1653. The inculturated approach that Martini was forced to defend in Rome consisted in granting special respect to Chinese customs that did not run counter to the Christian faith, and even in encouraging them. This was common among Jesuit missionaries in China, but largely misunderstood in Europe, and Franciscans and Dominicans were particularly resistant to it. In order to ensure his defense, Martini has the Brevis relatio de numero et qualitate christianorum apud sinas (Rome, 1654), a long memoir prepared by the Jesuit missionaries in China. After a long debate, the Church decided in favor of the Jesuits in 1656 although the controversy remained. Back in China in Hangzhou in 1658 after a two-year journey marred by illness, during which he was taken prisoner and then released on ransom, he resumed his pastoral work. He died of cholera at the age of 47 in 1661. Martino Martini's work is considerable for the advancement of European knowledge about China. Although he was never able to complete the work on his History, his maps of China and his grammar of Chinese greatly advanced Europe's relations with the Far East. Beautiful copy in its 19th century binding.
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1659 Amsteldami [Amsterdam], Joannem Blaeu, 1659. In-12 (102 X 158 mm) veau brun, dos cinq nerfs ornés, caissons dorés, pièce de titre maroquin grenat, coupes ornées, tranches mouchetées rouge (Reliure de l'époque) ; 413 pages (dont titre), (1) page et (8) ff. d'index. Coiffe supérieure restaurée, fine déchirure sans manque habilement restaurée aux feuillets A4 et A5 (pp.7/8 et 9/10 de l'avis au lecteur), petite mouillure claire dans l'angle supérieur droit des pages 99 à 303.
SECONDE ÉDITION de l'UNE DES MEILLEURES HISTOIRES ANCIENNES DE LA CHINE. Elle est aussi RARE que la première parue l'année précédente au format in-quarto à Munich chez Lucas Straub. Elle contient également quelques bois gravés dans le texte. Né à Trente en 1614, MARTINI est considéré comme le PREMIER GÉOGRAPHE ET CARTOGRAPHE MODERNE DE LA CHINE. Admis à l’âge de dix-sept ans dans la Compagnie de Jésus. Après avoir fait sa philosophie au collège romain, où il suivit les cours d’Athanasius Kircher, il se rendit à Lisbonne pour y poursuivre ses études, puis s’embarqua pour l’Asie en 1638. Arrivé en Chine en 1643, il s’installa à Hang-Tcheou et devint supérieur de la mission. Pendant son séjour, Martini se consacra à l’étude de la langue et de la civilisation chinoise, ainsi qu’à l’astronomie. Après la conquête mandchoue, il fut traité avec beaucoup d’égards par l’empereur Ming, et put visiter un grand nombre de provinces chinoises. Rappelé à Rome pour y être nommé procureur, il s’embarqua en 1650: la traversée fut mouvementée, et le Père Martini aborda successivement Macassar, l’Irlande, la Norvège, l’Allemagne et la Belgique, très bien accueilli par les savants de ces pays à qui il apportait des renseignements précieux sur la nouvelle dynastie chinoise. Lors de son séjour à Amsterdam, il mit au point son célèbre "Novus Atlas Sinensis", rédigé durant la longue traversée. Son retour en Chine en 1657 fut marqué par une traversée désastreuse durant laquelle le navire fit pris par des pirates, mais Martini put finalement atteindre sa mission de Hang-Tcheou en 1658, où il mourut le 6 juin 1661. UN OUVRAGE IMPORTANT DANS L'HISTOIRE DES ÉTUDES SINOLOGIQUES : divisée en deux parties, cette «première décade», seule parue, traite de l’histoire de la Chine jusqu’à l’an 6 avant notre ère. Martini avait l’intention de la compléter, mais peu après son retour en Chine en 1658 il tomba malade et mourut trois ans plus tard. La plupart des informations contenues dans son ouvrage proviennent de sources chinoises et le livre du Père Martini demeura pour plus d’un siècle la seule histoire sérieuse de la Chine ancienne écrite par un européen. «Dans la première partie de ses Fastes, le Père Duhalde n’a donné autre chose qu’une traduction de l’ouvrage du Père Martini; et c’est encore là qu’ont puisé les auteurs de l’Histoire Universelle. Jusqu’au Père de Mailla, on n’avait rien de mieux, ni même d’aussi bon que Martini.» (Sommervogel). (CORDIER, BS, 580 - « Très bonne histoire des Missions des Jésuites en Chine », CHADENAT, 369 - SOMMERVOGEL, V-650, 10). NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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Trévise, Longo Domenico, s.d. [1914-1915]. 1 vol. (490 x 340 mm) de 90 planches. Bradel demi-percaline violette à coins, dos lisse, pièce de titre (reliure de l’époque). Album unique, composé des lithographies originales de 42 dessins sur papier de chine collé, en double état, soit 84 effrayantes compositions (42 en couleurs avec leur suite, en tirage noir). Toutes les planches sont signées.
Chacune de ces lithographies, au format carte postale (140 x 90 mm), est montée dans un encadrement de filet noir, surmontée d’une couronne impériale sur une feuille de papier vélin pur chiffon filigranée « A.BINDA C. MILAN », avec la mention imprimée : « Tirage unique pour le Prince Laforge de Vitanval » ; chaque planche est signée à la plume par l’éditeur, Longo Domenico, et par l’artiste, Alberto Martini. Ces caricatures satyriques hallucinatoires sont de l’artiste et illustrateur italien Alberto Martini (1876-1954), qui produit en 1915 une série de cartes postales de propagande alliée inspirées de la « danse macabre » médiévale. Les artistes, dans tous les pays qui ont participé au conflit, se sont attachés à glorifier leur patrie et à moquer et déshumaniser les troupes ennemies, en les représentant comme des bouchers, des violeurs et avec des traits difformes et grotesques. C’est dans ce contexte que Martini conçoit et réalise la série de cartes postales Danza Macabra Europea avec l’éditeur Longo de Trévise. Publié entre octobre 1914 et les premiers mois de 1916, le projet de l’œuvre prévoyait initialement 36 lithographies à la plume qui, vu leur succès, furent divisées en 3 séries de 12 cartes postales, puis une quatrième série qui n’en comporte que 6. Les séries sont vendues sous enveloppe avec un dépliant explicatif à l’intérieur et des légendes en italien et en français au recto. Le succès des lithographies incita l’éditeur à imprimer par la suite deux nouvelles séries, en août 1915, mais uniquement avec les légendes en italien. Alberto Martini, peintre et graveur lithographe, est considéré comme un précurseur du surréalisme. Il côtoiera les membres du mouvement, et vivra à Paris à Paris à partir de 1928. On lui doit des portraits d’André Breton, de Francis Picabia de Max Ernst, ou encore de Miró. En excellent caricaturiste, Martini vilipende ici l’inhumanité de la guerre, par des charges surréalistes contre l’empire austro-hongrois. Le succès fut tel que le tirage alla jusqu’à 450 000 exemplaires. Exemplaire unique, composé spécialement pour « Le Prince Laforge de Vitantval ». Il contient les quatre séries, complètes, qui furent imprimées entre octobre 1914 et février 1915 : les dessins de Martini y sont reproduits en lithographies et contrecollés sur une planche de papier vélin, comportant une justification imprimée et, pour chaque planche, la signature de l’artiste. Un album unique, composé pour un personnage des plus extravagants : Dom Léon Prince Laforge de Vitanval. De son vrai nom Léon Laforge, né à Honfleur en 1873, le gentilhomme, fils du directeur de la raffinerie de sucre de la ville, fréquentait les cercles aisés de la région. Beau parleur, il quitte la Normandie pour Paris, où il s’invente une vie de prince. Érudit, féru de sciences (inventeur de l’aérofrein pour avion militaire et d’une baïonnette à fusil); il signa plusieurs livres d’histoire (dont un Mac-Mahon, chevalier sans peur et sans reproche chez Mame en 1890), de littérature (il signe ses poèmes « Babilas de La Briche à Retors »), avant de se parer de titres, de distinctions et d’honneurs ; il crée l’ordre des « Avocats de Saint Pierre », les « Palmes académiques du Saint Siège » et après avoir, parait-il, obtenu la bénédiction du Pape Léon XIII, crée l’Ordre princier des « Chevaliers de Saint Léon ». Véritable caméléon, il endosse tous les costumes possibles, arrêté plusieurs fois pour port illégal de l’uniforme. En 1901, quelques aristocrates floués, flairant l’imposture et sans humour, le firent arrêter : il sera puis condamné à six mois de prison pour port illégal de décorations et escroqueries (il monnayait fort cher les colifichets, diplômes et autres rubans honorifiques). Libéré, il parcourut l’Europe du Nord, l’Italie, l’Espagne, reprit ses titres, séduit une multitude de comtesses, conçut de subtiles friponneries d’ingénieries militaires avec de fausses brochures imprimées à l’appui, afin d’obtenir des fonds, publics ou privés. L’éditeur italien Domenico Longo, l’éditeur des cartes de Martini, tomba sous le charme du Prince, et accepta de lui publier un livret sur une de ses « inventions », l’avion de grand combat Vitanval. En affaires avec l’excentrique, il lui composa avec grand luxe cet album unique, faisant surmonter chaque lithographie de la « couronne impériale de Vitanval ». Après la guerre, le prince se fait roi de Transcaucasie sous le nom de Louis Ier : il en informe les grandes puissances en demandant l’admission de son royaume à la Société des nations : le tribunal de Nice l’expédie une nouvelle fois à l’ombre pour usurpation d’identité. On ignore si ses jours se terminèrent à l’asile ou en prison… Extraordinaire et unique réunion des 42 premières séries, complètes, en double état (couleur et noir), toutes légendées et signées par l’artiste. On trouve en tête de chaque partie une notice commentée et descriptive, légendant et numérotant chaque carte, sur un feuillet interfolié avant chaque série. Une page de titre a été spécialement réalisé pour cet album.
Paris: Librairie centrale des Beaux-Arts, 1878. Grand in folio (36 x 49 cm); [2f.], 21p., et 38 planches gravées. Reliure d’époque en demi-maroquin aubergine, tranche supérieure dorée. Bel exemplaire de parfaite fraîcheur, bien complet malgré la mention de 40 gravures sur la page de titre.
Bel ouvrage précédé d’un historique des principaux monuments, les planches étant tirées sur les cuivres originaux gravés par Martini au début du XVIIIème siècle.
MORTON, Richardi - Caroli Leigh - Harris Gualtero - Gulielmi Cole - Martini Lister - Thomas Sydenham.
Reference : 109898
Genevae, Sumptibus Perachon & Cramer, 1727, 13 textes médicaux reliés en 1 volume in-8 de 230x175x70 mm environ, avec 2 tableaux dépliants, 1. 1f.blanc, titre en rouge et noir avec vignette de titre-8ff.(catalogue, titre, epistola, ad lectorem, Elenchus Librorum & Capitulum)-155 pages-// 2.-47 pages. // 3.-14ff.(titre, ad lectorem, Elenchus Capitum)-163 pages-2ff. (index), avec 2 tableaux dépliants. // 4.- 15ff.(titre, epistola dedicatoria, Elenchus tractatus) 207 pages-4ff. (index). // 5. -36 pages (le feuillet Ad lectorem est placé entre les pages 8 et 9). // 6. - 4ff. ( titre, dedicacio, praefatio), 60 pages. // 7.-32-2ff.( Elenchus Rerum). // 8. -23 pages. // 9.- 4ff. (titre, epistola, praefatio)-95 pages (erreur de pagination sur les derniers feuillets, 103 pages au lieu des 95 annoncées)-2ff.(Elenchus Capitum et Rerum). // 10.-6ff.(titre, epitre, praefatio, Elenchus, capitum)-72 pages. //11.-4ff. (titre, ad lectorem, Elenchus rerum), 100 pages. // 12.- 40 pages. // 13.- 4 ff.(titre, amice lector, index), 44 pages, 1f.blanc, reliure plein veau granité fauve, dos à 5 nerfs portant titres dorés sur pièce de titre brune, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrées, tranches rouges. Des rousseurs et pages brunies, quelques erreurs de pagination sans manque, petits défauts de marge, un tampon de bibliothèque sur la première page de titre, petits manques de cuir sur les coins coupes et coiffes, frottements et petites épidermures sur le cuir.
Richard Morton (1637-1698) était un médecin anglais qui fut le premier à affirmer que les tubercules étaient toujours présents dans la maladie tuberculeuse des poumons. À l'époque de Morton, cette maladie débilitante était appelée consomption , ou par son nom grec de phtisie . La reconnaissance des nombreux symptômes possibles de cette infection appartenant à une même maladie ne se fit que dans les années 1820 et c'est JL Schönlein en 1839 qui introduisit le terme "tuberculose". Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Genève, Société Anonyme des Arts Graphiques, s.d., avant 1907, 70 x 41 cm, (par feuille), 7 feuilles ensemble.
1) Vue prise des Charmettes. 2) Vue prise de la Tour du Dürrenbühl. 3) Vue prise des hauteurs de la Poya. 4) Vue prise du Schönberg. 5) Vue prise de la terrasse de l’ancien Hôtel Zaehringen. 6) Vue prise de l’Hôtel de la Ville. 7) Plan de Martin MARTINI, (Martinus): Vraye et véritable Pourtraict de l’illustre et catholique Ville et République de Frybourg en Uchtland, l’an du Seigneur 1606. Reproduction réduite des 8 planches assemblées du ‘Plan Martini’ (Nachdruck (20. Jhd.) der berühmten Ansicht: Warhaffte und eigentliche Abconterfactür der berühmbten catholischen Eidtgenossischen Statt Fryburg in Uchtlandt sampt irer Gelegenheit. Anno 1606). Image disp.
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1966 Affiche offset signée en haut à droite, imprimerie Thiviller, 1966, 59.5 x 39 cm.
Le Trophée Martini "Vitesse" était attribué au pilote ayant accompli le tour le plus rapide sur ces 6 circuits. Petits plis, marques de colle au dos.
Partitions sur la Politique et gouvernement Tournayre Louis 1913 approx.
Bon état Petit format
Partitions sur la Justice Tournayre Louis 1912 approx.
Il en faut ! Bon état Petit format
Paris. Librairie centrale des Beaux-Arts. A. Lévy. 1878. 1 volume grand in-folio (36x49 cm), demi-maroquin brun, dos à nerfs, tête dorée. (2) ff. ; 21 pp. ; (1) p. bl. ; (1) f. bl. ; 38 pl.
Édition illustrée de 38 planches gravées.Bel ouvrage précédé d’un historique des principaux monuments, les planches étant tirées sur les cuivres originaux gravés par Martini au début du XVIIIème siècle. Bel ouvrage bien complet malgré la mention de 40 gravures sur la page de titre.
Tournayre Louis 1920 approx.
Bon état Petit format
Herpin 1925 approx.
Jeunes et vieux Bon état Petit format
Museum für Kunst und Geschichte Freiburg, 1970, Plano, (les feuilles ca. 78x53 cm), 1 Bl. (in-Folio: Übersicht d. 8 Tafeln) + 4 Bl. (Titelbl. + Einführung v. Michel Terrapon + Übersetzung v. Arno Aeby + Namenverzeichnis) auf handgeschöpftem Papier + 8 Blatt von den Original-Kupferplatten abgezogene Kupferstiche + 1 Bl. (Kolophon / l'ensemble des 8 feuilles forment la magnifique ‘Vue de la ville de Fribourg’ dit le ‘Plan de Martini’, la mesure totale est aprox. 87.5 x 156 cm. Eins von 15 Exemplaren in deutscher Sprache. Nummer III. Lose im Orig.-Mappe. /Wasserfleckig
Colophon: ‘Die Blätter der vorliegende Ausgabe sind von Daniel Divorne, Kupferstecher in Genf, auf einer Hand-presse abgezogen worden. Er hat dazu die Originalkupfer von Martin Martini benutzt, die im Museum für Kunst und Geschichte in Freiburg aufbewahrt werden. Die Schrifttype Centaur, 24 und 36 Punkte, ist von Etienne Braillard, Buchdruckermeister in Genf, eigens für diese Veröffentlichung gegossen worden. Der handgesetzte Text ist auf seinen Pressen gedruckt worden. Das Papier ist reines Hadernpapier Zerkall (Überlebt unserem Komputerzeitalter ohne weiteres) die Schutzmappe ist nach einem Entwurf von Jean-Christophe Aeby in Freiburg von der Firma Vuille in Freiburg hergestellt worden. Die Auflage ist beschränkt auf 85 nummerierte Exemplare in französicher Sprache (Nummern 1 bis 85) und zwanzig unverkäufliche Exemplare (Nummern HC I bis HC XX), dazu kommen noch 15 Exemplare in deutscher Sprache. (Nummern I bis XV). Sie sind alle auf reines Hadernpapier Zerkall gedruckt worden. Dieses Exemplar trägt die Nummer III.Réimpression de l'édtion originale de 1606, éditée par le musée d'art et d'histoire, en utilisant les plaques originales. Graf, Bibliogr. der Schweiz. Landeskunde II/351.
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Venise, Venetis 1754 ex typographia Remondiniana Full-Leather
Martini Bonacinæ Mediolanensis sacræ theologiæ et J.U.D. Uticensis episcopi ... Opera omnia : in tres tomos distributa : nedum variis eiusdem auctoris tractatibus, folio, full leather and condition fair, 3 parts in two volumes, v. (lvi, 544+; [8], 474, [2]; [8], 332 p.), [1], bindings in good condition, good copy
Phone number : +32(0)496 80 81 92
Milano, Casa Editrice Sonzogno 1936 2 volumes. In-4. Reliures demi-toile havane, piéces de titre cuir fauve, 847-111 pp., 503-381 gravures, texte sur 2 colonnes. Reliures légèrement frottées.
Texte en italien. La Bible d’Antonio Martini (1720-1809), archevêque de Florence, fut largement répandue en Italie pendant plus de deux cents ans. Bon état d’occasion
Collectif - Paroles de Marsollier, Henri second, Marc Constantin, Jeaure, Marmontel, Favart, Poinsinet, Cahuzac, Monvel, Comte de Ségur, Baurans, Quinault etc.- Musique de Nicolas Dalayrac, Grétry, Gluck, Werer, Shubert, Boieldieu, Paisiello, Piccinni, Madame Gail, Mehul, Monsigny, Martini, Phildor, Cimarosa, A. Pilati, Rameau, Dezède, Salieri, Haydn, Pergolèse
Reference : 30318
(1830)
A Paris, aux Bureaux de la Chanson du Jour illustrée, sans date (vers 1830) . Album relié demi-toile rouge au format 27 x 18 cm, 30 livraisons de "Conservatoire Populaire du Chant", 4 pages chacune ayant paru "tous les samedis" (première série. Il ne semble pas y avoir eu d'autres séries au même titre). Oeuvres présentes : Adolphe et Clara, Gulistan ou le Hulla de Samarcande, Colinette à la cour, Alceste, Cosi fan Tutte, Obéron, Adieu, Vivre loin de ses Amours, La Molinara, Didon, Les deux jaloux, la Dot de Suzette, Gulnare, Camille ou le souterrain, Les Maris garçons, Les deux aveugles, La fausse magie, La belle Arsène, Annette & Lubin, Ariodant, Ernelinde, L'italienne à Londres, L'attente, Zoroastre, Blaise & Babet, Les Danaïdes, Nina, La création, La servante maitresse, Persée, - Puis 18 numéros de "La Chanson du jour", aux Bureaux de la Chanson illustrée dont les titres sont : Oui ! j'aime à rire, Mon chien fidèle, Aux fleurs la brise, Rose & marguerite, Le compagnon maçon, Le printemps, Légende de l'ange gardien, La dernière pensée du Christ, Les deux Pierrots, L'écaillère, La fête-Dieu, Que dites-vous ?, La réponse de Rosette, Grandis mon fils, Les rêves au pays breton, Le bon pasteur, Le loup & le chien, Page & chatelaine, Puis 24 numéros de "Les Chants de la Maison" (recueil bi-mensuel dirigé par M. Alberty, chez Amand Chevé, sans date, vers 1840).- Revues peu courantes dont les textes sont de Marsollier, Henri second, Marc Constantin, Jeaure, Marmontel, Favart, Poinsinet, Cahuzac, Monvel, Comte de Ségur, Baurans, Quinault etc.- Musique de Dalayrac, Grétry, Gluck, Werer, Shubert, Boieldieu, Paisiello, Piccinni, Madame Gail, Mehul, Monsigny, Martini, Phildor, Cimarosa, A. Pilati, Rameau, Dezède, Salieri, Haydn, Pergolèse etc.- 710g.- Très bon état.
P., Glyphe, 2010, 3 vol. gr. in-8°, 415, 387 et 437 pp, qqs photos dans le texte et à pleine page, brochés, couv. illustrées, sous emboitage cartonné, bon état
Michel Martini, est né le 8 février 1925 à Paris. Chirurgien de l'hôpital d'Orléansville, Algérie (1955). Mis en résidence surveillée à Letourneux (juillet 1956) et écroué à la Prison civile d'Oran (septembre 1956). Condamné à cinq ans de réclusion avec sursis par le Tribunal des Forces Armées d'Oran (août 1957). Expulsé d'Algérie, se réfugie en Tunisie. Rentre en Algérie en juillet 1962. Carrière hospitalo-universitaire à Alger. Chef du service de chirurgie générale de l'hôpital Parnet, Alger (mars 1968). Professeur de chirurgie orthopédique et traumatologique et chef du service de chirurgie orthopédique et traumatologique de l'hôpital de Douera (1972). Vit en France depuis sa retraite (novembre 1987). — Fils d’un banquier parisien, Michel Martini est né le 8 février 1925 à Paris. Après des études secondaires brillantes, il s’inscrit à la faculté de Médecine où il passe son 1er concours d’internat à l’âge de 21 ans. En octobre 1946 il accompagne son père venu visiter une de ses succursales à Alger. Ce premier séjour en Algérie lui fit découvrir un monde totalement différent du sien : il visite Alger, Constantine, Biskra, Touggourt et Ouargla. Il revient en France pour continuer ses études de médecine et est nommé interne en 1949. Il choisit la chirurgie. Son deuxième séjour en Algérie aura lieu en mai 1954 où il vient remplacer pour un mois le docteur Hamida Bentami, chirurgien à l’hôpital de Miliana. Après ce remplacement, il retourne à Paris terminer son internat à l’Institut Gustave Roussy puis passe le concours de chirurgien-adjoint des hôpitaux de 2ème catégorie d’Algérie et prend le poste d’Orléansville (actuellement Chlef). Il s’installe ainsi à Orléansville et c’est là qu’il fit la connaissance de Germaine Tillion et de plusieurs membres du parti communiste algérien (PCA), lui même étant un ancien du PCF. Ces connaissances vont influencer son engagement pour la révolution algérienne puisqu’il accueillit clandestinement dans son service plusieurs membres du PCA. Cette activité en faveur de la révolution algérienne naissante sera à l’origine de son arrestation et son assignation à résidence à Sidi Mahdjoub près de Médéa par la DST le 5 juillet 1956. Il sera écroué par la suite à la prison d’Oran (septembre 56-août 57) puis condamné à cinq ans de prison avec sursis et expulsé d’Algérie. Il se réfugie alors en Tunisie où il arrive le 1er octobre 1957. Il travaille alors au service de chirurgie de l’hôpital de Sfax (octobre 57-février 58)... Il rentre en Algérie en juillet 1962 et débarque à l’hôpital Mustapha où il procède à la réouverture du service de chirurgie “Sedillot”, fermé depuis plusieurs semaines après le départ de la plupart des médecins français... Au cours de l’année 64, il obtient la nationalité algérienne pour avoir milité au cours de la révolution algérienne. Il prend sa retraite en novembre 1987 à l’âge de 62 ans et quitte l’Algérie pour la France où il vit actuellement. Il a publié un ouvrage en quatre tomes sur ses années passées en Algérie : “Chroniques des années algériennes”. (www.santemaghreb.com/algerie)
Paris, Brunet, s.d. (1784). 1 vol. petit in-folio, demi-vélin vert, pièce de titre en maroquin rouge. Reliure de l'époque usée et très défraîchie, coins cassés avec manque. (2) ff. (titre et dédicace gravés), et 200 pp. de musique gravée.
Edition originale de la partition d'orchestre de cet opéra comique composé par Martini sur un livret de Desfontaines. Devriès-Lesure, 350.
Phone number : 02 47 97 01 40
Genève, Société Anonyme des Arts Graphiques, s.d., vers 1910, 70 x 41 cm, reproduction réduit des 8 planches assemblées du ‘Plan Martini’, en une feuille.
Nachdruck des. 20. Jhd. des berühmten ‘Plan Martini’: Warhaffte und eigentliche Abconterfactür der berühmbten catholischen Eidtgenossischen Statt Fryburg in Uchtlandt sampt irer Gelegenheit. Anno 1606. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Rome Stamperia Perigio Salvioni 1823 in 12 1 volume relié pleine basane foncée mouchetée de l' époque, dos lisse muet, orné de fers dorés spéciaux (symboles de métiers?), XII et 595 pages. Bel exemplaire. Photographie sur demande
Très bon Cuir
Milano, Federico Motta Editore, 2003. 34,5x29 cm. 383 p., 1 p. Avec de nombreuses illustrations en couleurs. Reliure pleine toile, jaquette et étui.
Très bel exemplaire.
Schott Frères brochure Couverture Illustrée Bruxelles 5 pages en format 27 - 33 cm
Etat D'usage
Desclée De Brouwer Broché D'occasion état correct 13/06/2007 85 pages
Desclée de Brouwer Broché D'occasion état correct 01/10/1991 150 pages