Angers, Edition du Martinet, 2002. 330 g In-8 broché, 222-[2] pp., illustrations.. Seconde édition corrigée et augmentée.
Paris, Librairie Magnin, Blanchard et Compagnie, 1859. 455 g In-12, demi basane brune, [2] ff., 338 pp.. Frottements. Dessins amateurs au crayon sur les gardes. . (Catégories : Humour, )
MAISON ST-MARTIN , "A ST-MARTIN", 33 boulevard St Martin, paris 1856
Reference : 22838
(1856)
Paris 1856 une carte de visite avec nom et adresse et la déclinaison de ce que la MAISON ST-MARTIN , "A ST-MARTIN", 33 boulevard St Martin, Paris vend et peut fabriquer, imprimée en noir sur papier bristol crème et orné d'une vignette représentant "Saint-Martin fendant son manteau pour le donner à un pauvre" au centre en noir, médaillon en haut à gauche avec le profil de napoléon III gravé en noir, noté Exposition Universelle Paris, médaillon en haut à droite (côté pile) gravé en noir noté : "Mention Honorable 1855", et illustré sur l'envers d'une gravure de la vitrine du magasin gravée en noir, format : 11,3 x 7,9 cm, sans date (1856 environ), OBERTHÜR Rennes, Maison à Paris Rue des Blancs Manteaux Editeur,
Bel Exemplaire..en trés bon état (very good condition). en trés bon état
P., Imprimerie Schneider et Bouillet, s.d. (1895), gr. in-8°, 404 pp, un portrait de Félix Faure héliogravé en frontispice, 2 autographes en fac-similé, reliure demi-chagrin carmin à coins, dos à 5 nerfs guillochés soulignés à froid, titres, filets et fleurons dorés, frise dorée et à froid sur les plats (rel. de l'époque), rousseurs (assez fortes par endroit), bon état. Très bien relié. Peu courant
Tome I (seul paru). Dans un autre ouvrage paru en 1905, l'auteur annonce comme étant “sous presse” le tome II : Trois ans de Présidence (1895 à 1898), mais il n'est jamais paru. — "La 5e Chambre du Tribunal civil avait à juger hier un petit procès fort amusant d'où il appert que, plus heureux que Louis XIV, M. Félix Faure a eu des historiens même avant d'être... Président. C'était la veille des dernières élections présidentielles de janvier 1895. Pendant qu'un peuple entier, debout, haletant, suivait une à une les péripéties de la course à l'Elysée où tantôt M. Charles Dupuy, tantôt M. Félix Faure tenaient la corde, deux hommes eurent une idée de génie : écrire d'avance les monographies des deux concurrents pour publier, le lendemain, celle de celui qui aurait décroché la timbale ! Ces deux hommes étaient l'un M. Martin-Ginouvier, secrétaire général du Crédit mutuel à prêts gratuits, et l'autre le docteur Genesteix, candidat lui-même aux dernières élections municipales du sixième arrondissement. Tous deux écrivirent donc à la fois une « Vie de M. Charles Dupuy, Président de la République » et une « Vie de M. Félix Faure, également Président de la République ». Et à ce moment, M. Félix Faure n'était encore rien. Le lendemain, on sait qu'il était tout. Aussi MM. Martin-Ginouvier et Genesteix s'empressèrent-ils, après l'élection, de déchirer la «Vie» du blackboulé et de porter chez l'éditeur la «Vie» de l'élu. La brochure fut appelée “Félix Faure devant l'histoire”, avec, pour sous-titre : “De son berceau à l'Elysée, 1841-1895”. Malheureusement, avant la publication, un dissentiment s'éleva entre les deux collaborateurs. Le docteur Genesteix accusa M. Martin-Ginouvier d'avoir fait, en cours d'impression, des retouches à la brochure, retouches personnelles et qu'il jugeait de fort mauvais goût. De quel droit M. Martin Ginouvier avait-il ajouté, par exemple, des phrases comme celles-ci ? “M. Brisson est la pintade du parti radical. ... M. Godefroy Cavaignac apparaît comme l'âne de Buridan des partis avancés.” Cela, au dire du docteur Genesteix, ne regardait en rien Félix Faure et cela pouvait compromettre la vente de l'ouvrage : il y aurait au moins deux acheteurs de moins, MM. Brisson et Godefroy Cavaignac..., sans compter leurs amis. Et le docteur demanda à son collaborateur de supprimer ses retouches. Celui-ci ayant refusé, la discussion tourna à l'aigre et l'on se sépara un peu froidement. La rupture éclata définitivement le soir du vendredi saint. M. Martin-Ginouvier faisait prendre l'air à son chien sur la place Saint-Germain-des-Prés, lorsqu'il crut apercevoir, sortant de l'église avec sa femme, le docteur Genesteix, président, comme on sait, du Comité socialiste du sixième arrondissement et, paraît-il, laïcisateur à outrance. Altercation très vive à la suite de laquelle M. Martin-Ginouvier publia seule la brochure présidentielle. D'où procès devant la 5e Chambre civile, où le docteur Genesteix reprochait hier à M. Martin-Ginouvier de lui avoir enlevé sa part de collaboration et surtout d'avoir supprimé sur la couverture le nom de Genesteix, qui y eût fait si bien. Et pour ce préjudice tant matériel que moral il lui demandait, par l'organe de Me Lemarinier, son avocat, 10,000 francs de dommages-intérêts. Après une très spirituelle plaidoirie de Me Deligand pour M. Martin-Ginouvier, le Tribunal a renvoyé les deux plaideurs dos à dos. Certes M. Martin-Ginouvier a eu tort de ne mettre que son nom sur le livre, au mépris des droits de son collaborateur mais, d'un autre côté, M. le docteur Genesteix n'a éprouvé aucun préjudice, puisque la fabrication de la monographie de Félix Faure (c'est dur à constater) s'est traduite par des pertes et non par des bénéfices, et puisque, en définitive, M. Martin-Ginouvier n'a pas eu plus que le docteur Genesteix le moindre bout de ruban que ces Mécènes eussent pu cependant attendre d'Auguste. Et c'est bien là le côté le plus triste de cet amusant procès : MM. Martin-Ginouvier et Genesteix, oubliés à l'Officiel, en ont été pour leur frais avec leur littérature, et ils n'en ont pas moins été condamnés hier chacun à la moitié des dépens du procès. M. Félix Faure, au nom de son Histoire, leur devrait bien un décret spécial les graciant tous deux de ces malencontreux dépens !" (Le Figaro, 13 février 1897)
Knaur TB 2023 368 pages 12 7x18 9x3 1cm. 2023. pocket_book. 368 pages.
Etat correct
[Charles Martin] - LA FONTAINE, Jean de | MARTIN, Charles (illustrateur)
Reference : AMO-4515
(1930)
Librairie de France, 110, Boulevard Saint-Germain, Paris, 1930 2 volumes grands in-4 (28,5 x 13 cm) brochés de (6)-XXI-249-(6) et (6)-361-(1) et (17) pages d'introduction signée André Fontainas. Avec 64 illustrations hors-texte de Charles Martin dont 32 rehaussées en couleurs au pochoir à l'aquarelle, les 32 autres étant en noir. Les aquarelles originales de l'artiste ont été reproduites par la photogravure (non interprétées donc). Couvertures imprimées en brun et bleu à rabats. Le texte est imprimé en noir avec encadrements, ornements et décors imprimés en bleu ciel. Exemplaire encore protégé par son papier cristal d'origine et dans son emboîtage spécial en papier bleu titré imprimé. Partiellement non coupé (presque entièrement). Petites amorces de fente du papier au dos du premier volume, sans aucune gravité. Beau papier d'Arches fort resté bien blanc sans rousseurs. Le tirage a été de 3.000 exemplaires. Celui-ci est un des 350 exemplaires sur papier d'Arches. Il a été tiré 15 ex. sur Japon, 50 ex. sur Hollande, 350 ex. sur Arches, 1500 ex. sur vélin pur fil Lafuma et 1500 ex. sur vélin d'alfa Navarre. Notre exemplaire porte le numéro CCCXVII. Notre exemplaire contient livré à part la suite des 15 eaux-fortes libres tirées à très petit nombre. Elles sont tirées en noir sur papier d'Arches également. Notre exemplaire contient livré à part la suite complète des 64 hors-texte (32 coloriés et 32 en noir). Enfin, notre exemplaire contient livré à part 8 aquarelles originales ayant servies à l'impression de l'ouvrage (dont une seule est signée et est l'aquarelle définitive ayant servie au clichage pour l'impression) et une esquisse d'une illustration de la suite libre. Soit un total de 9 oeuvres originales de l'artiste présentes avec cet exemplaire.
Inutile de revenir sur le texte des Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, paru pour la première fois entre 1665 et 1671 (sans illustrations) et pour la première fois illustré en 1685. Aquarelle originale monogrammée Aquarelle originale signée (définitive) ayant servi au clichage De nombreux artistes ont illustré ces Contes et Nouvelles en vers, toujours lestes ou grivois, avec ou sans l'inspiration délibérément érotique que chacun a pu y mettre depuis la première édition illustrée de 1685. Aquarelle originale monogrammée Les Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, inspirés de plusieurs œuvres françaises et italiennes des XVe et XVIe siècles, dont le Décaméron de Giovanni Boccace, Orlando furioso de Ludovico Ariosto, le recueil anonyme des Cent Nouvelles Nouvelles et l'œuvre de Bonaventure Des Périers, sont mille fois plus réjouissant à lire que les célèbres Fables dont on a rebattu les oreilles de tout élève en devenir d'être un homme. Les Contes et Nouvelles avaient sans l'ombre d'un doute mille fois plus de raisons pour forger un homme près à affronter son destin croisant celui des dames. Chacun cherche son chat ... Aquarelle originale monogrammée Cette édition est à tort négligée des bibliophiles du fait d'un tirage trop important. Il faut rechercher comme ici les exemplaires de luxe. Aquarelle originale monogrammée Les aquarelles originales de Charles Martin sont très prisées des amateurs. Il fut un des grands illustrateurs de la période Art Déco. Charles Martin est né à Montpellier en 1884 et mort à Paris en 1934 à l'âge de 50 ans seulement. Sa production est très importante. Il a contribué à l'illustration de nombreuses revues d'art et de mode depuis 1912 (Gazette du Bon Ton, Femina, etc). La guerre où il sert comme simple soldat d'infanterie stoppe nette sa carrière mais il continue malgré tout à dessiner et à envoyer ses travaux à la presse, tant qu'il peut. Lors d’une permission, il montre son travail à Lucien Vogel, le créateur de la révolutionnaire Gazette du Bon Ton. Enthousiaste, l’éditeur lui propose d’en tirer un album. Sous les Pots de Fleurs (le terme désigne le casque Adrian qui équipe l’armée française) paraît le 1er décembre 1917. Comme un Laboureur ou un Chas Laborde, Martin refuse de se soumettre à la « culture de guerre ». On ne trouve chez lui aucune des outrances et conventions du dessin naturaliste et de son pseudo réalisme. Il revient de la guerre. Le style de Charles Martin, au trait délicat, excelle dans les techniques de l'eau-forte et du pochoir rehaussé d'un trait typographique. Influencé par le cubisme, son style devient épuré et se caractérise par un trait précis, efficace et joyeux. Il s'oriente rapidement vers le luxe et l'art décoratif. Il exerce son talent dans les domaines les plus variés : mode, flacons de parfumerie, meubles, papiers peints, affiches, etc. Charles Martin a illustré une vingtaine de livres dont les Contes et Nouvelles de La Fontaine que nous présentons ici. Nous soupçonnons par ailleurs Charles Martin d'avoir illustré un clandestin totalement érotique en 1926 dont le trait est vraiment typique de l'artiste (mais ...). Aquarelle originale monogrammée Exceptionnel exemplaire contenant 8 aquarelles originales abouties et 1 esquisse pour une composition libre, une suite libre de 15 eaux-fortes en noir et une suite complète des 64 compositions hors-texte (soit 143 estampes au total). Très bon exemplaire tel que paru.
Phone number : 06 79 90 96 36
Paris chez Giguet et Micha 1804 - An XII 4 volumes in-8, demi-maroquin vert bouteille, plats entièrement recouverts d'une laque rouge foncé et ornés d'un personnage vêtu à l'antique, différent sur chaque plat, traité or et bronze dans un encadrement de deux filets dorés; dos finement recouverts d'or, laissant ressortir en réserve le titre de l'ouvrage, la tomaison, des filets et des arabesques; doublures et gardes de papier marbré, tranches lisses dorées (reliures au vernis Martin).Exceptionnel exemplaire de cette première traduction de l'Enéide par Jacques Delille, publiée en quatre volumes, chacun illustré d'un frontispice gravé sur acier par Pierre-Charles Baquoy, Jean Baptiste Simonet et Jean Louis Delignon d'après Jean-Michel Moreau. L'ouvrage a été relié selon la technique du vernis Martin avec un décor exécuté en partie à l'aide de gravures et les huit plats ont été illustrés d'une composition différente représentant un ou deux personnages antiques traités or et bronze et les dos de maroquin vert ont été recouverts d'or en laissant en réserve une très délicate ornementation. Les reliures au vernis Martin sont extrêmement rares. Très précieux exemplaire portant sur la première doublure l'étiquette du relieur donnant ces précisions: Brevet d'invention. Reliures au vernis sans odeur établies au Grand Châtelet, Quai de la Mégisserie, vis-à-vis le Quai aux Fleurs.Une étude publiée par la Bibliothèque nationale de France, révèle que Théodore-Pierre Bertin (1751-1819) est l'inventeur des reliures au vernis sans odeur, improprement appelé vernis Martin par référence au vernis mis au point à Paris en 1728 par les frères Martin pour imiter la laque orientale décorant les meubles et les objets d'art. Ce procédé fut utilisé jusqu'au XIXe siècle. Le secret des frères Martin consistait à coller des feuilles de papier, à les passer au four pour les durcir, à les peindre de toutes les couleurs, à les vernir à la résine copal et à les glacer à la gomme arabique.Théodore-Pierre Bertin fit breveter ses reliures en vernis Martin en mai 1811.Il semblerait que nos quatre reliures in-8 constituent l'ensemble le plus important parmi toutes les reliures au vernis Martin dépistées et qui sont très souvent d'un format plus petit. Exemplaire d'autant plus remarquable qu'il renferme l'édition originale de la traduction par Delille d'un des grands textes de la littérature.Des bibliothèques Serrigny (ex-libris) et René Descamps-Scrive (ex-libris).
Corrard Pierre Modes et manières d'aujourd'hui Plaque de graveur 1913 "EXCEPTIONNEL ET SANS ÉQUIVALENT ! ""Modes et manières d'aujourd'hui"" est la publication du meilleur de la mode du début du XXe siècle, par les artistes l'ayant faite, au plus haut de leur art. Le projet est porté par Pierre Corrard, écrivain et éditeur de grand talent. Afin d'accompagner la révolution artistique et vestimentaire des années folles, il publie, en 1912, une première chemise, avec des illustrations de Georges Lepape. Devant l'accueil fait à cette première publication, il décide, chaque année, de proposer une chemise identique, avec des auteurs et des artistes différents. Pour la deuxième année, il demande à Nozière et à Charles Martin. Nous proposons ici certaines des plaques de zinc ayant servi à imprimer les compositions de Charles Martin pour la chemise de 1913. Ces 3 plaques ont permis de reproduire 5 des 12 gravures réalisées par Charles Martin (2 présentent deux illustrations, et 1 en présente une seule), à savoir : une plaque pour les planches II (La Neige) et XI (Les Cerises), une pour les planches VIII (Les Lucioles) et IX (La Passerelle), et enfin une pour la planche X (L'Orage). La provenance de cet ensemble est exceptionnelle : il provient directement de la famille Corrard. Nous joignons à ces planches, qui plus est, un bon de commande à l'entête de ""Modes et manières d'aujourd'hui"", vierge, ainsi qu'une carte à l'entête des ""Collections Pierre Corrard"", vierge également. /////// EXCEPTIONAL AND ONE OF A KIND ! “Modes et manières d’aujourd’hui” showcased the best of early twentieth century fashion through artists at the height of their talent. This project was led by Pierre Corrard, author and publisher of great renown. In 1912, in order to promote the revolution of arts and fashion of the Jazz Age, he published a first portfolio containing illustrations by Georges Lepape. Following the enthusiastic reception of this first issue, he decided to release each year an identical portfolio featuring different authors and artists. For the second year, he asked Nozière and Charles Martin. We offer for sale three of the zinc plates used for the reproduction of the works of Charles Martin for the 1913 issue. These 3 plates have been used for the reproduction of 5 of the 12 engravings by Charles Martin (two of them have two distinct illustrations, the third one has one illustration only): one zinc plate for illustrations: II (La Neige / Snow) and XI (Les Cerises / The Cherries), one plate for illustrations: VIII (Les Lucioles / The Fireflies) and IX (La Passerelle / The Walkway), and one plate for the illustration X (L’Orage / The Storm). The provenance of these plates is itself exceptional, as they came to us directly from the Corrard Family. We add to this ensemble an order slip bearing the header of “Modes et manières d’aujourd’hui”, as well as a card with the “Collections Pierre Corrard” header, both blank. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
[Martin Van Maele] - [Martin VAN MAELE] [Charles BAUDELAIRE]
Reference : AMO-4501
(1917)
S.d. (1917) [pour l'éditeur J. Chevrel] 12 planches (frontispice et 11 planches) en deux états soit un ensemble de 24 planches. En feuilles. 29 x 20 ou 20,5 cm pour les feuilles 15 x 10 cm pour les cuivres (mesuré à la cuvette) - 12 planches tirées sur Japon avant la lettre avec remarque. Etat définitif. - 12 planches tirées sur Japon avant la lettre avec remarque. Etat non terminé, eau-forte pure. Le frontispice de l'état définitif est signé au crayon par l'artiste Martin Van Maele (en bas à droite). Chaque planche de l'état définitif est légendée au crayon en bas à droite. - 12 planches tirées sur vergé d'Arches avant la lettre (remarques grattées. Chaque planche, à l'exception du frontispice (ce qui est normal), est légendée à l'encre à la plume par l'artiste. Le tirage courant est sur vélin de Rives. Celui-ci, un des rares exemplaires sur Japon (quelques exemplaires seulement) avant la lettre, état définitif et eau-forte pure, avec remarque. Avec le rare tirage avant la lettre légendée sur Vergé d'Arches.
Cette suite a été faite pour compléter l'édition des Fleurs du Mal donnée par l'éditeur Chevrel en 1917. Les poèmes de Baudelaire illustrés sont les suivants : Litanies de Satan - Femmes damnées - La Beauté - Le Revenant - Un Fantôme - Les Bijoux - Le Léthé - Métamorphose du Vampire - Les deux Bonnes Soeurs - Le Vin de l'Assassin - Une Martyre. Martin Van Maele, alias Maurice François Alfred Martin (1863-1926) est l'un des illustrateurs emblématiques du premier quart du XXe siècle. On lui doit de nombreuses illustrations originales pour la littérature classique comme pour la littérature érotique. Sa carrière jusqu'en 1901 est mal connue. À partir de cette date, il débute en illustrant Les Premiers Hommes dans la Lune d'Herbert George Wells édités par Félix Juven. L'année suivante, Van Maele illustre quelques couvertures d'aventures de Sherlock Holmes publiées par le même éditeur. En 1901 également, il commence à travailler pour l'éditeur érotique Charles Carrington, illustrant des ouvrages sadomasochistes, mais aussi Anatole France et Apulée. Van Maele y publie également, en 1905, un ouvrage plus personnel, La Grande Danse macabre des vifs, quatre séries de dix dessins satiriques et humoristiques, dans lesquels la sexualité s'offre comme premier aperçu de la mort. Après l'expulsion de France de Carrington, en 1907, il travaille pour Jules Chevrel et illustre Choderlos de Laclos, Jules Michelet et Denis Diderot. De 1909 à 1919, Van Maele ne publie que cinq livres. À partir de 1920, il travaille avec Jean Fort et continue à illustrer des classiques de l'érotisme littéraire (l'Arétin, Paul Verlaine, Charles Sorel, etc.), en parallèle à des ouvrages de Pierre Mac Orlan, principalement sadomasochistes, mais laissant aussi place à des pratiques plus rarement évoquées en littérature, comme la klysmaphilie. En 1903, Van Maele s'installe à Varennes-Jarcy avec sa femme, sa mère et sa grand-mère. De 1904 à 1926, ils habitent une maison de la rue de Mandres. Il y meurt en 1926 alors qu'il achevait d'illustrer les Dialogues de l'Arétin. Référence : Luc Binet, Martin Van Maële ou le diable se cache dans les détails, éditions Humus, 2017, page 403 ; à propos de Martin Van Maele lire l'excellente étude publiée par Jean-Marc Barféty, Van Maele, in Une histoire familiale de Jean Genet (en ligne). Cette suite est rare et très recherchée sur papier vélin de Rives ; ce tirage de grand luxe sur papier Japon est pour ainsi dire devenu introuvable. Le tirage sur Arches est également très rare. Excellent état de l'ensemble et rarissime (double) tirage sur Japon complété par la rare suite sur vergé d'Arches avant la lettre. Puissante interprétation graphique des Fleurs du Mal, sublime évocation de l'Eros et Thanatos.
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HISTOIRES, COMPTINES, CHANSONS ET CIE Illustrations de Sylvie Albert, Christel Desmoinaux, Jochen Gerner, Martin Jarrie, Muriel Kerba, Jean-François Martin, Martin Matje, Christophe Merlin, Andrée Prigent et Danièle Schulthess.
Reference : 209259
(1996)
Couverture rigide. Cartonné. 137 pages. Couverture légèrement défraîchie.
Livre. Illustrations de Sylvie Albert, Christel Desmoinaux, Jochen Gerner, Martin Jarrie, Muriel Kerba, Jean-François Martin, Martin Matje, Christophe Merlin, Andrée Prigent et Danièle Schulthess. Editions Nathan, 1996.
Paris, Nouvelle Revue Française, 1913. In-4 (215 x 163 mm), 514 pp., 1 f. n. ch. Maroquin noir, dos à nerfs, auteur et titre dorés, coupes filetées, doublure de maroquin citron, gardes de soie moirée noire, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés, étui bordé (P. L. Martin).
Édition originale. Elle est ornée en frontispice d’une photographie de L’Esclave enchaîné de Michel-Ange, symbolisant pour l'auteur "la vie de Barois, l’homme prisonnier des mythes et qui ne parvient pas à s’évader de ses liens". Un des 30 exemplaires sur vergé d’Arches, seul tirage de tête. Dans un projet de préface, Roger Martin du Gard décrivait ainsi son troisième roman: "L’auteur s’est efforcé de présenter, sous un jour impartial, la courbe psychologique d’une âme qui, façonnée par les croyances de son enfance, s’étant librement développée et dégagée de toute croyance, revient à la fin de sa vie aux espérances consolantes de sa jeunesse." C’est dans la forme que réside une grande part de l’originalité de Jean Barois: l’ouvrage est presque entièrement composé de scènes dialoguées, à la manière du découpage cinématographique. La mise en scène du procès de Zola – une des premières apparitions littéraires de l’affaire Dreyfus – enthousiasma André Gide et Jean Schlumberger. Présenté dans la Nouvelle Revue française en juillet 1913 et publié en décembre, le roman rencontra le succès et fit de Roger Martin du Gard un auteur de premier plan dans la galaxie Gallimard. Pierre-Lucien Martin (1913-1985) fut l’un des artisans les plus remarquables du XXe siècle. Formé à l’école Estienne, il a d’abord travaillé comme ouvrier dans plusieurs ateliers avant de s’installer à son compte après guerre. Ses pleines reliures furent vite remarquées pour leur qualité d’exécution et, encouragé par les bibliophiles, il se lança dans les décors modernes où s’exerça pleinement son talent. Il reçut en 1948 le Prix de la reliure originale. Deux ans après sa mort, la Bibliotheca Wittockiana lui consacra une grande exposition. Ex-libris de Marcel de Merre, un des grands noms de la bibliophilie belge (vente, 2007, n°381). Parfait exemplaire en maroquin doublé de Pierre-Lucien Martin. Talvart & Place, Bibliographie des auteurs modernes…, XIII, p. 196. «Histoire d’un livre : Jean Barois de Roger Martin du Gard» [en ligne sur: www.gallimard.fr]]. Laffont-Bompiani, Dictionnaire des œuvres, III, p. 779. Jean Toulet, «Pierre-Lucien Martin», Encyclopedia Universalis.
Se trouve pour les amateurs à Paris à l'enseigne du nombril de Vénus (1933). Un Album in-folio oblong (310 x 415 mm), en feuilles, chemise toilé à quadruple rabat. Très rare album commandé à Charles Martin par Marcel Valotaire, Jean Beauclair et Georges Cretté, composé d'un titre illustré et de 12 planches très libres, en couleurs et en noir, gravées à l’eau-forte au repérage par Charles Martin. Chaque planche est présentée dans une chemise légendée. Feuillet de justification en fin d'ouvrage. Celui-ci exemplaire J comprenant : La planche de titre en état définitif couleur, état en noir et état avant la lettre ; les 12 COMPOSITIONS LIBRES EN 4 ÉTATS : couleur, noir, eau-forte pure, état avec très importantes remarques. Cet exemplaire est accompagné de : 6 DESSINS ORIGINAUX AU CRAYONS DONT UN REHAUSSÉ DE COULEUR, 8 DESSINS DÉFINITIFS À L'ENCRE DE CHINE (PLUME) DONT UN ENTIÈREMENT AQUARELLÉ, tous au format 310 x 415 mm et un dépliant, et 4 rarissimes "kodatraces" gravés ayant servis au reports sur cuivre des originaux de Charles Martin.
Exemplaire unique et exceptionnel provenant des archives de l'artiste. Rousseurs claires éparses, taches marginales notamment sur certains dessins originaux. Provenance : Archives Charles Martin, collection Yves Plantin (1972). Références : Dutel II, n° 1937.
ELDER (Marc) [TENDRON (Marcel Auguste)] / MARTIN (Antoine-Marius, ill.)
Reference : 390
(1924)
Paris René Kieffer 1924 Grand in-8° (277 x 208 mm) [2] ff. bl. - [3] ff. - 106 pp. - [2] ff. - [1] f. bl. - [107] pl. - [3] f. bl., maroquin vert sapin, dos à 4 faux-nerfs orné mosaïqué, décor à la plaque doré et mosaïqué de maroquins brun, gris bleu et vert sur les plats, charnières cuir, encadrement intérieur avec fleurons en écoinçons, contregardes et gardes de brocard, gardes de papier marbré doré et argenté, tête dorée, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée RENÉ KIEFFER au contreplat supérieur et avec son étiquette dorée estampée à la première garde blanche).
Une reliure éditeur luxe. Exemplaire sur Japon, non numéroté, portant à la justification la mention autographe : « Réservé / à ma bibliothèque personnelle / René Kieffer ». Il est agrémenté d'une suite en noir des 111 bois sur fin japon collé, à l'instar des 50 exemplaires du tirage de tête. Suivent 450 exemplaires sur papier vergé blanc de cuve, pour un tirage total de 500 exemplaires numérotés. Il lui est adjoint un dessin original inédit de Martin au crayon et à l'aquarelle, accompagné d'une note autographe signée : « Le hasard qui amène l'échange de nos exemplaires de La Barque'' me permet de vous offrir ce dessin qui complètera votre documentation sur l'Herbaudière de Noirmoutier. Il reproduit la façade du cabaret du père Raballand - au XXè siècle - dont il est beaucoup question dans l'ouvrage de Marc Elder. / Recevez en même temps, cher Monsieur Kieffer, l'assurance de ma sympathie cordiale. / A. M. Martin / Aubusson, 28 juin 1925 ». L'ouvrage est truffé d'une lettre autographe signée de Marc Elder à Antoine-Marius Martin, louant son travail sur les bois (« Depuis 24h je feuillette vos « bois » et je les trouve sans cesse plus beaux dans leur sobriété, leur pittoresque, leur composition et leur habileté. [...] Peut-être les scènes de la cloche gravées, je crois, les premières, ont-elles moins de sobriété, moins de simplification que les autres. Mais c'est là une misérable chicane. [...] ») et de 3 lettres autographes signées d'Antoine Marius-Martin à René Kieffer (1926-1927) concernant les épreuves qu'il souhaite exposer au Salon d'Automne, sa participation au Salon des artistes décorateurs (encouragée par Kieffer), et la commande de l'illustration pour La Messe de l'Athée. Il est habillé d'une reliure éditeur « luxe » recouverte de maroquin dont le décor à la plaque est doré et mosaïqué. Elle présente en outre des gardes de brocard multicolore à motif végétal. L'exemplaire est décrit par Sanjuan. Première nouvelle du recueil Le Peuple de la Mer (prix Goncourt 1913) illustrée de 111 bois en couleurs par Antoine-Marius Martin (Arles : 1869 - Saint-Rémy-de-Provence : 1955), aquarelliste, graveur, médaillé de bronze à l'Exposition universelle de 1900, expose au Salon des Artistes français, au Salon des Indépendants puis au Salon d'automne. Il devient en 1917 directeur de l'École Nationale des Arts décoratifs d'Aubusson. Pour Le Peuple de la Mer, Martin dessine et grave des bois inspirés par l'imagerie populaire vendéenne, d'une facture volontairement rustique ; les scènes de jour, gravées de manière « traditionnelle », y alternent avec des scènes de nuit représentées par creusage de traits. Il illustrera, dans un style radicalement différent, un second ouvrage pour Kieffer : La messe de l'Athée d'Honoré de Balzac (1928). Monod 4184 ; Sanjuan 49 (planche LXV). Dos insolé
Alexandre Martin, Paris 1865, 6x10,5cm, une feuille.
Photographie en pied de Alphonse de Lamartine à l'albumine au format carte de visite, réalisé par Adolphe Alexandre Martin. Photographie montée sur carton au nom de A. Martin. Publicité du photographe au dos. Belle épreuve. Cette séance de pose chez Martin fournit plusieurs photographies de l'écrivain, à la pose légèrement différente. On trouve cette même photographie au musée Lamartine, l'écrivain dans une pose différente, assis sur le fauteuil que l'on voit en arrière plan, avec un plaid sur les genoux ; le musée d'orsay en possède une, l'écrivain toujours assis, mais sans le plaid. Cette séance de poses est la dernière de Lamartine, elle le montre peu avant son décès. Par ailleurs on ne connait pas exactement la date de la séance chez Martin. Les différentes épreuves que nous avons rencontrées dans des poses différentes possèdent la même adresse au dos : rue Nve Saint Augustin. Adolphe Alexandre Martin fut un pionnier de la photographie, il est l'inventeur du ferrotype en 1853, remplaçant les plaques de verre par des plaques de fer recouvertes d'un vernis au collodion. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Fenelon (François de Salignac de la Mothe) - Louis Aimé Martin, ed.
Reference : 91034
(1811)
Chez Demonville à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1811 Book condition, Etat : Bon relié, pleine basane havane empire, reliure d'époque, dos lisse, orné de fleurons, pièce de titre vert bouteille grand In-8 1 vol. - 484 pages
nouvelle édition de 1811, agrémentée de compléments de Louis Aimé Martin Contents, Chapitres : François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, né le 6 août 1651 au château de Fénelon à Sainte-Mondane (Quercy, aujourd'hui la Dordogne) et mort le 7 janvier 1715 à Cambrai, est un homme d'Église, théologien, pédagogue et écrivain français. Précepteur du duc de Bourgogne, archevêque de Cambrai (1695-1715), il s'opposa à Bossuet et tomba en disgrâce lors de la querelle du quiétisme, et surtout, après la publication de son roman, Les Aventures de Télémaque (1699), considéré comme une critique de la politique de Louis XIV et dont l'influence littéraire fut considérable pendant plus de deux siècles. Fénelon a également écrit plusieurs autres ouvrages concernant la pédagogie ou bien didactiques (Traité de l'éducation des filles, Recueil des fables, Dialogues des morts, notamment). - Démonstration de l'existence de Dieu, tirée de la connaissance de la Nature et proportionnée à la faible intelligence des plus simples (1712), et avec une deuxième partie, 1718, souvent réimprimé, notamment en 1810 avec notes de Louis-Aimé Martin (source : Wikipedia) - Louis-Aimé Martin, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis Aimé-Martin, (né à Lyon en 1782, mort à Paris en 1847) est un littérateur français. reliure d'époque en bon état bien que légèrement frottée par endroits avec de légères rayures sur les plats sans gravité, intérieur propre, ex-libris ancien sur la page de faux-titre, texte propre, papier très légèrement bruni par endroits sans que cela gène la lecture, petit trou de ver au coin inférieur gauche des 20 premières premières pages, cela ne concerne que la marge inférieure, le texte n'étant pas affecté et toujours complet, cela reste un bon exemplaire en reliure d'époque (1811) - NB : Cette édition est largement augmentée de notes de Louis Aimé Martin sur la science en général
MARTIN (Thomas-Henri) - FAUGERE (M.P.) - WOEPCKE (F.) - STEINSCHNEIDER (M.)
Reference : 6799
Un volume in 4 relié en demi-chagrin vert (reliure de l'époque)
---- HUIT mémoires ORIGINAUX relatifs à l'HISTOIRE DES SCIENCES CHEZ LES ANCIENS par T.H. Henri MARTIN, M.P. FAUGERE, F. WOEPCKE et STEINSCHNEIDER publiés entre 1854 et 1868**6799/L6DE
Paris, Société d'édition "Le Livre", Emile Chamontin, directeur, 1927, in-8° de 3 ff. (bl., fx-t., t.)-241 pp.-4 ff. (table, ach., 2 bl.) ; relié pleine basane maroquinée havane, titre or sur dos lisse, vague de 3 forts filets dorés courant d'un plat à l'autre en passant par le dos, contreplat doublé encadrant une plaque illustrée, double garde papier à la colle, tranches dorées, couvertures et dos conservés. Sont incrustées aux contreplats deux grandes compositions traitées à l'encre ou au feutre sur papier vieil or, rehaussées en rouge ou rose à la gouache, non signées, dans un listel mosaïqué gris, et légendées à l'or sur un fond crème, Le Départ pour la fête ; Le Retour de la fête : personnages, gondole et colonne sur fond de décor vénitien. Chemise à petits rabats, titre or sur dos passé, étui cartonné légèrement fané, papier à la colle identique pour la chemise et l'étui. Reliure signée et datée M. Bernard, 1929.
Edition illustrée de 22 compositions de Charles Martin, 13 aquarelles coloriées au pochoir par Saudé dont une en couverture et 9 culs-de-lampe tirés en ocre comme les lettrines. Tirage limité à 530 exemplaires numérotés (20 + 30 + 450, et 30 hors commerce), l'un des 450 sur vélin, le n° 230. Le raffinement et l'élégance des compositions de Charles Martin répondent admirablement à l'atmosphère qui se dégage des contes vénitiens d'Henri de Régnier. Les deux fines compositions qui ornent les contreplats et qui ne paraissent pas attribuables à Martin complètent harmonieusement l'exemplaire. Carteret IV, p. 334 - Monod, 9538.
MARTIN (John). Auguste Jean Baptiste DEFAUCONPRET, translator.
Reference : 4234
(1817)
Paris, Gide Fils and Nicolle, November 1817. 1817 2 vol. in-8° (250 x 125 mm) de : 398 pp. (dont les xxii pp. du début), [1] ff.; 398 pp. Demi-veau d'époque, dos lisse orné, plats recouverts de papier à la colle bleu, tranches jaspées. (Reliure et corps d'ouvrage très frais).
Première édition française du récit de John Martin sur les quatre années de William Mariner aux îles Tonga entre 1806 et 1810, premier récit détaillé de la vie dans ces îles, bien qu'elles aient été découvertes par Schouten en 1616, avec un premier contact avec les Européens lors des voyages de Cook en 1773 et 1777. Cette version française, parue la même année que lédition en anglais, est rare et absente de la plupart des collections (pas dans « Hill » ni « Kroepelien »). Mariner était un jeune marin britannique sur le baleinier « port au prince ». Armé à la course en 1806, il captura deux navires espagnols : le brick « Santa Isidora » et la « Santa Maria », qui furent ensuite envoyés à Port Jackson pour être vendus. Le « Port-au-Prince » visita Hawaii à la fin de 1806, puis navigua avec un équipage en partie hawaïen. A Tonga, l'équipage se mutina, et la plupart des marins furent massacrés par les indigènes. Mariner en réchappât grâce à la protection du roi des Tonga et y vécut comme son fils adoptif pendant quatre ans. L'histoire de Mariner a été citée par Byron comme l'une des inspirations de son poème « The Island, or Christian and his Comrades (1823), un récit romantique sur la mutinerie Bounty. Louvrage comporte une grammaire et un dictionnaire tongan-anglais, avec un autre appendice important "sur les compétences chirurgicales du peuple Tonga", avec des références à des pratiques similaires à celles dHawaii. C'est l'un des premiers récits sur les pratiques médicales indigènes dans le Pacifique. John Martin, était médecin et météorologue. La traduction française est due à Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret, également à lorigine de la première édition française du premier voyage de Sir John Franklin (même éditeur, 1824). Superbe exemplaire, très frais. Martin, "Catalogue d'ouvrages relatifs aux Iles Hawaii", p. 18; Judd, "Voyages to Hawaii before 1860", 117. Forbes, "Hawaiian National Bibliography", 468. 2 vol. 8vo. Contemp. half calf. First French edition of Martin's account of William Mariner's four years in Tonga between 1806 and 1810, which provided the first account of life in the islands , visited by Cook in 1773 and 1777. Published same year as the English, this version is rare ( not in Hill and Kroepelien). Mariner was a young British sailor on board the Port au Prince, a whaler that visited Hawaii in 1806, and then sailed with a number of Hawaiian crew. At Tonga the crew mutinied, and most were massacred by the natives, but Mariner came under the protection of the King and lived there for four years. Mariner's story inspired Byron for his poem The Island, or Christian and his Comrades, a romantic narrative of the Bounty mutiny. The work includes a grammar and a Tongan-English dictionary, with a further important appendix "on the surgical skills of the Tonga people", with references to similar practices in Hawaii. This is one of the earliest accounts of indigenous medical practices in the Pacific. John Martin, Mariner's ghost-writer, was a physician and meteorologist of some note. This French translation was by Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret, who also prepared the first French edition of the first voyage of Sir John Franklin (same publisher, 1824). Fine fresh copy.
Phone number : 06 81 35 73 35
MARTIN Robert / MARTIN Eveline ...//... Robert Martin / Eveline Martin.
Reference : 679
(1973)
Paris, Klincksieck 1973, 1 volume, in-8, cartonnage souple éditeur, 186 p. De la bibliothèque française et romane. Chaque ouvrage cité est analysé, des indices de difficulté sont indiqués à chaque rubrique, plusieurs index. Provient du destockage de l'éditeur, tampon "défraichi" sur la dernière garde, couverture très légèrement jaunie.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
[BENITO, BOUTET DE MONVEL (Bernard), MARTIN (Charles), BRISSAUD (Pierre), DOMERGUE (Jean-Gabriel), DRIAN, DUFY (Raoul), LORIOUX (Félix)] - VOGEL (Lucien), directeur.
Reference : 14268
(1920)
1920 P., Aux Editions Lucien Vogel, 1920, 1 vol. in-8 (258 x 200) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de 10 pp. (sommaire, publicités, paginés LXI à LXX) - 8 pp. "Défense de la Mode", conférence prononcée par M. Paul Poiret au Salon d'Automne - (32) pp. (paginées de 229 à 260) - 8 planches hors-texte - cahier renfermant 4 pl. de croquis de Raoul Dufy. Dos très légèrement insolé avec très légères rousseurs, très bel exemplaire par ailleurs, rare dans cet état.
9 planches hors texte (pl. 56 à 63 & une non numérotée (Publicité illustrée par Félix Lorioux pour l'Essence Mystérieuse Mormy)), coloriées au pochoir, de Bénito, Bernard Boutet de Monvel, Charles Martin (2),Pierre Brissaud (2), Jean-Gabriel Domergue et Drian, pour des créations de Rodier, Becker et fils, Paul Poiret, Worth, Beer, Doeuillet et Jeanne Lanvin + 4 planches de croquis par Raoul Dufy sous cahier titré "Toiles de Tournon, Lampas, Brocarts et Brocatelles dessinés par Raoul Dufy éxécutés par Bianchini et Férier".Les pages publicitaires contiennent : Coiffures par Emile Ltd - Produits du Dr Dys Darcy - Mercie Mc Hardy - Ameublements Mercier Frères (ill. Edouard Halouze) - Barclay - Fourrure de Weil - Mappin & Webb - Verlaine (Chapeaux) - Zanesich Joallier (illustration pleine page non signée mais dans l'esprit de Charles Martin) - Técla 'illustration à pleine page très visuelle signée Charlotte Frappa (?)).Articles illustrés en couleurs: - Voyage autour de mon assiette (texte de Georges Armand Masson - dessins de Jeanne Dubouchet) - La fourrure déguisée (Marcel Astruc - Charles Martin) - Néo-Hellénisme (Robert Burnand - Pierre Brissaud) - Deuil (Roger et Bernard Boutet de Monvel) - Inspirations et Reflets (Célio - Mario Simon) - Pour bercer votre amie ayant le coeur en peine (Eugène Marsan - Borelli-Alacevich) - L'histoire des Favoris (Capitaine George Cecil - Charles Martin) - Vite ! une écharpe (Nicolas Bonnechose - Zinoview). Bien complet du rare supplément de 4 ff. intitulé "Défense de la Mode" par Paul Poiret."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [...] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
Paris, chez Lottin l'Ainé, 1773. In-8 de X-(6)-415 pp. 4 tableaux repliés, basane porphyre, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale. Volume d'une grande rareté. Une deuxième édition fut publiée en 1779.Ce livre est pour une grande partie, composé des planches préimprimées portant les intitulés des sections et sous-sections de la classification des libraires de Paris. Ces étiquettes, destinées à être collées sur des planchettes de bois, devaient matérialiser dans les rayonnages le début des différentes sections de la bibliothèque. si certaines feuilles sont laissées vierges pour être remplies au gré de l’utilisateur.« Le XVIIIe siècle a produit de nombreux manuels et guides à l'usage des détenteurs de bibliothèques : bibliographies choisies, manuels de bibliophilie, guides pour se composer une bibliothèque « peu nombreuse mais choisie » ou une collection thématique (romans, bibliothèque historique, etc.). L'ouvrage ici présenté est d'une tout autre nature... puisqu'il était destiné à être démembré par son propriétaire. Aux dires des auteurs, l'idée leur en vint dans la bibliothèque du comte de Clermont, où les différentes matières étaient séparées les unes des autres par « des titres peints sur un morceau de bois de la hauteur d'un grand in-octavo ». Notre Coup-d'oeil se compose donc d'un peu plus de 400 feuillets présentant au recto des étiquettes imprimées à découper, dont les unes portent des intitulés de sections et sous-sections de la classification « des libraires de Paris » et les autres, vierges, sont à remplir au gré de l'utilisateur. Les versos sont blancs. Les auteurs recommandent de faire découper par un menuisier, des planchettes de sapin de la taille et de l'épaisseur d'un in-8°, ou au besoin dans un format plus grand. Les deux faces de la planchette devaient être recouvertes de papier blanc ou gris de façon à ne pas érafler la couvrure des reliures qui devaient les jouxter. L'étiquette pré-imprimée sera, quant à elle, collée au dos de ce faux volume en vue de matérialiser le début d'une nouvelle section de la bibliothèque. L'ouvrage comporte également cinq feuillets dépliants présentant les cinq grandes catégories de cette classification : théologie, droit et jurisprudence, sciences et arts, belles-lettres, histoire. Destinés à être collés sur un carton ou une toile et mis sous verre, leur place devait être le cabinet du bibliothécaire auquel ils étaient supposés servir de mémento. L'avant-propos se clôt par ce constat : « Si l'on en fait l'usage pour lequel il a été composé, il ne peut tenir sa place dans une bibliothèque qu'après avoir été disséqué et mis en lambeaux : mais c'est précisément dans cet état de démembrement qu'il se flatte d'instruire, ou de remettre sur la voie des connaissances acquises » (Dominique Varry, Paris Capitale des livres, 133).Fils aîné de l'imprimeur-libraire parisien Philippe-Nicolas Lottin, Augustin-Martin Lottin (1726-1793) fut reçu libraire dès le 9 février 1746 ; il continue à travailler à l'imprimerie de Jean-Baptiste III Coignard qui se démet en sa faveur en 1752. Reçu imprimeur le 3 août 1752, il est membre de la Compagnie des usages de Paris. En mars 1766, il enseigne l'art de la typographie au futur Louis XVI. Historien des libraires parisiens et auteur du Catalogue chronologique des libraires et des libraires-imprimeurs de Paris depuis l'an 1470 ainsi que d'autres ouvrages historiques et littéraires. Il abandonne son fonds de librairie à ses créanciers en 1783.Jean-Martin (ou Jacques-Martin) Cels (1740-1806) fut botaniste et pépiniériste. Receveur des fermes à l'octroi de Paris jusqu'à la suppression de sa charge, il se spécialisa dans la culture des plantes rares dans son jardin de Montrouge où Redouté dessinait de nombreuses plantes. Il dirigea les sections "Aménagement des bois et forêts..." jusqu'en octobre 1794 puis "Amélioration des bois et forêts..." de la Commission d'agriculture et des arts (division végétale). Membre du Bureau du Ministère de l'Intérieur et du Conseil d'agriculture, il contribue à la formation des établissements du Raincy, de Sceaux et Versailles et à la rédaction du Code rural.Bel exemplaire. Le faux-titre et le tableau dépliant « Histoire » manquent.
Pour la Science - Pierre Sureau - John Fiddes - Mark Ptashne, Alexander Johnson et Carl Pabo - Franklin Stahl - Jonathan Butler et Aaron Klug - James Hogle, Marie Chow et David Filman - Kai Simons, Henrik Garoff et Ari Helenius - T. Diener - Martin Kaplan et Robert Webster - Hilary Koprowski - Werner Henle, Gertrude Henle et Evelyne Lennette - Robert Gallo - Martin Hirsch et Joan Kaplan
Reference : 101269
(1987)
Belin , Bibliothèque Pour la Science Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1987 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur blanc, illustré du rétrovirus humain responsable du SIDA In-4 1 vol. - 160 pages
très nombreuses illustrations dans le texte en noir et blanc, quelques-unes en couleurs nouvelle édition française, 1987 Contents, Chapitres : Pierre Sureau : Préface - 1. La physiologie virale : John Fiddes : La séquence nucléoditique d'un ADN viral - Mark Ptashne, Alexander Johnson et Carl Pabo : Un commutateur génétique dans un virus bactérien - Franklin Stahl : Pourquoi nous différérons de nos parents - Jonathan Butler et Aaron Klug : L'assemblage d'un virus - James Hogle, Marie Chow et David Filman : La structure du virus de la poliomyélite - Kai Simons, Henrik Garoff et Ari Helenius : Comment un virus entre et sort d'une cellule - T. Diener : Les viroïdes - 2. La diversité du monde des virus : Martin Kaplan et Robert Webster : L'épidémiologie de la grippe - Martin Kaplan et Hilary Koprowski : La rage - Werner Henle, Gertrude Henle et Evelyne Lennette : Le virus d'Epstein-Barr - Robert Gallo : Le premier rétrovirus humain, Le virus du SIDA - Martin Hirsch et Joan Kaplan : Les traitements antiviraux - Index - Auteurs et Bibliographie cartonnage empoussiéré, à peine jauni, coins de la couverture à peine émoussés, sinon en bon état, intérieur propre, papier à peine jauni
[COURSES DU PETIT PORT - NANTES HIPPISME] FRANCE MARTIN : PEINTRE NANTAIS
Reference : 25730
(1950)
NANTES 1950 une aquarelle Originale en couleurs sur papier blanc, réalisé à l'encre de chine et aquarelle, signée F. MARTIN (FRANCE MARTIN) en bas à droite à l'encre noire ( format : 32,5 x 24,7 cm) , représentant au centre : le portrait en buste d'un jocquey + en remarque en bas à gauche : un jockey sur son cheval + en bas à droite en remarque un jockey prés de son cheval + une vue d'un chateau Nantais en haut à droite en remarque (manoir de la Morrhonnière)
FRANCE MARTIN : PEINTRE résident à Tharon-plage (44), médaille de vermeil de la société d'Arts, Sciences et Lettres, membre de l'Association Taylor et sociétaire des Artistes Français, Membre de la Société Artistique de l'Ouest, élève de Jules PONCEAU .......... belle aquarelle Originale d'époque affichée à l'époque au PAVILLON DU PETIT-PORT (SALONS LOQUET) et conservée par l'ancien propriétaire des Salons Loquet - NANTES ..... en trés bon état (very good condition).
[COURSES DU PETIT PORT - NANTES HIPPISME] FRANCE MARTIN : PEINTRE NANTAIS
Reference : 25731
(1950)
NANTES 1950 une Aquarelle Originale en couleurs sur papier blanc, ( avec un sous verre de protection) réalisé à l'encre de chine et aquarelle, signée F. MARTIN (FRANCE MARTIN) en bas à droite à l'encre noire ( format : 31,8 x 24 cm) , représentant au centre : le portrait en buste d'un jocquey + en remarque en bas à gauche : un jockey debout a côté de son cheval + une vue d'un chateau Nantais en haut à droite en remarque (manoir de la Morrhonnière),
FRANCE MARTIN : PEINTRE résident à Tharon-plage (44), médaille de vermeil de la société d'Arts, Sciences et Lettres, membre de l'Association Taylor et sociétaire des Artistes Français, Membre de la Société Artistique de l'Ouest, élève de Jules PONCEAU ..........belle aquarelle Originale d'époque affichée à l'époque au PAVILLON DU PETIT-PORT (SALONS LOQUET) et conservée par l'ancien propriétaire des Salons Loquet - NANTES ..... en trés bon état (very good condition).
[COURSES DU PETIT PORT - NANTES HIPPISME] FRANCE MARTIN : PEINTRE NANTAIS
Reference : 25732
(1955)
NANTES 1955 une gouache en couleurs (gouache noire et craie rose) sur papier blanc, signée F. MARTIN (FRANCE MARTIN) en bas à droite à l'encre noire ( format : 32 x 24,5 cm) , représentant au centre : le portrait en buste d'un jocquey, noté : NANTES CONCOURS HIPPIQUE 1955 en bas à gauche à l'encre noire,
FRANCE MARTIN : PEINTRE résident à Tharon-plage (44), médaille de vermeil de la société d'Arts, Sciences et Lettres, membre de l'Association Taylor et sociétaire des Artistes Français, Membre de la Société Artistique de l'Ouest, élève de Jules PONCEAU ..........belle gouache originale d'époque affichée à l'époque au PAVILLON DU PETIT-PORT (SALONS LOQUET) et conservée par l'ancien propriétaire des Salons Loquet - NANTES ..... en trés bon état (very good condition).