Paris, Imprimerie Cadart, [1872]. In-folio, 8 planches, composition : 11,5 x 7,6 cm. sous couverture brune illustrée d'un cuivre (manque le deuxième plat de la couverture).
8 eaux-fortes constituant un petit conte philosophique où texte et dessin se mêlent. De toute rareté, aucun exemplaire en bibliothèque.* Maurice Delestre Commissaire-Priseur, Catalogue des oeuvres de Martial-Potémont (...), 14 Décembre 1894.* Voir photographies / See pictures. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
Paris, Cadart, 1871. 12 planches numérotées de 28 x 40 cm) sous chemise illustrée de l'éditeur.
Suite complète des 12 eaux-fortes gravées par Martial montées sur Chine. « Paris est le grand sujet d’Adolphe Martial Potémont, dit Martial. On y devine déjà deux notes personnelles : la nostalgie et un rapport intime à cette ville où il est né en 1828, où il a passé sa vie – à l’exception d’un séjour à La Réunion de 1847 à 1857 –, où il est mort en 1883. Martial a été l’élève de Léon Cogniet et de Félix Brissot de Warville, pour apprendre l’art du paysage urbain qui fut sa spécialité. Il débute la gravure vers 1840 et son premier succès dans ce domaine arrive en 1864 avec la publication des trois cents eaux-fortes qui constituent L'Ancien Paris . Toutefois, la qualité du travail n’est pas négligée et on trouve sévère aujourd’hui le propos de Beraldi à son sujet, qui déclare: «comme exécutant, rien de particulier à en dire ». Martial a été membre de la Société des aquafortistes en 1862 et fait partie des artistes édités par Alfred Cadart, gage d’un talent reconnu. Il pousse même la virtuosité jusqu’à graver ses propres textes dans les notes qui accompagnent les gravures. Sa maîtrise de l’eau-forte le conduit à rédiger un Traité sur la gravure à l'eau-forte pour les peintres et dessinateurs publié par le même Cadart en 1873. Bel exemplaire, sans rousseur.