Rulliere avignon 1979 in8. 1979. Broché. 224 pages. réédition Très bon état
Cavaillon, Mistral, 1931 in-12, 301 pp., illustrations in et hors-texte, broché, couverture illustrée.
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Vaison-La-Romaine, Macabet, 1939 in-12, 131 pp., 9 planches, broché. Couverture tachée.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Cavaillon, Imprimerie Mistral, 1964, pt in-8°, 112 pp, préface de Sylvain Gagnière, 15 pl. de gravures hors texte, biblio, broché, couv. en noir et bistre illustrée par Eugène Yvan, bon état
Le pont Saint-Bénézet, couramment appelé pont d'Avignon en dehors d'Avignon, est un pont construit de 1177 à 1185 sur le Rhône, partant de la ville d'Avignon sur la rive gauche. Sur la deuxième de ses quatre arches est édifiée la chapelle Saint-Bénézet, et au-dessus d'elle la chapelle Saint-Nicolas.
Imprimerie Mistral Cavaillon 1931 In-12 ( 185 X 125 mm ) de 301 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale rare enrichie d'un ex-dono autographe de l'auteur.
Avignon, Impr. Rullière-Libeccio, 1979, in-8 br., 218 p., préface de M. Biron, réédition de l'ouvrage de 1931, illustrations (dessins) de P. Thomas, très bon état
Simple village de pêcheurs au confluent de deux rivières, Bédarrides connut une destinée peu ordinaire. Au Xe siècle, le territoire fut donné à l’évêque d’Avignon, Remy. Les pontifes d’Avignon restèrent seigneurs du lieu pendant neuf siècles, jusqu’à la Révolution. Bédarrides connut toutes les vicissitudes de cette région : la croisade des Albigeois, les grandes pestes et les grandes famines, les guerres de religion, etc. Ainsi, en mai 1563, les huguenots prirent la ville qui devint leur centre d’opération, jusqu’à ce que le général Serbelloni, général du pape, vienne la reprendre, en septembre. L’auteur relate scrupuleusement l’organisation communale, celle des impôts, de la justice, des écoles. Le lecteur revivra le passé de ses ancêtres à travers celui des Gaulois, ou des paysans, terrorisés par l’an mille ; il participera à leurs distractions : la grande fête de la Saint-Laurent, les jeux de boules. C’est avec horreur que l’on découvre les épidémies de peste catastrophiques, en particulier celle de 1720. Apportée à Marseille par la Richarde, une marchande de lait de Bédarrides, elle décima toute la région : un tiers de la population disparut. La ville fut de tout temps particulièrement marquée par les inondations suite aux orages, ou à une époque maintenant lointaine, au mauvais entretien des canaux... Voir le sommaire sur photos jointes.