P; RENE 1841.tome 1,337p;& T2.391p.,broches,en feuilles a relier,texte frais,sans couvertures,a relier
dans l’etat,complet des 2 premiers volumes
Bernstein 1946
Bon état Petit format
P., Librairie Nouvelle, 1854, in-12, (vi)-314 pp, reliure demi-toile havane, dos lisse avec fleuron et double filet doré en queue, pièce de titre basane fauve, tranche sup. rouge (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état
Edition parue la même année que l'originale posthume (qui se présente en trois volumes). Il s'agit du journal intime tenu dans sa prison par la célèbre Marie Fortunée Capelle, connue sous le nom de Marie Lafarge (1816-1852), condamnée le 19 septembre 1840 aux travaux forcés à perpétuité pour l'empoisonnement de son mari Charles Lafarge, 28 ans. L'affaire Lafarge, assez romanesque, avait passionné l'opinion dans les années 1840, et elle a parfois été présentée, sans grande crédibilité, comme une des « sources » de Madame Bovary : Marie Lafarge avait été condamnée, sur des preuves incertaines, pour avoir empoisonné son mari. Durant toute la durée de son emprisonnement, elle écrivit un journal intime d'une grande qualité littéraire, publié sous le titre « Heures de prison ». Ce n'est qu'après l'affaire Lafarge, en 1846, qu'une ordonnance royale va intimer l'ordre de présenter au pharmacien (et non plus à l'épicier) une prescription émanant du corps médical pour obtenir ces drogues : « La vente des substances vénéneuses ne peut-être faite, pour l'usage de la médecine, que par les pharmaciens et sur la prescription du médecin, chirurgien, officier de santé, ou d'un vétérinaire breveté. Cette prescription doit être signée, datée et énoncer en toutes lettres la dose desdites substances, ainsi que le mode d'administration du médicament. » (Codex).
8 pages in-8 (210 x 136 mm). "En prison", [Montpellier, 1843].
Importante lettre manuscrite autographe de Marie Lafarge (1816-1852). Le retentissement de l'affaire a été considérable. Le milieu social de Marie Capelle-Lafarge et son probable cousinage avec Louis-Philippe, sa personnalité, l'énigme de l'empoisonnement, y contribuèrent.Accusée davoir empoisonné son mari, son procès eut un grand retentissement. Longue lettre commentant les circonstances de sa propre condamnation. Marie Lafarge sindigne du livre 'Les Femmes en prison de Joséphine Mallet' (1843); elle revient sur les analyses supplémentaires demandées au Dr Orfila et sur le réquisitoire qui mit laccent sur le principe dégalité devant la loi. Son admiration pour le style et la compassion de lauteur ne lempêche pas de relever avec fureur "une page cruelle sur les faveurs quobtiennent les grandes dames empoisonneuses et sur légalité devant la loi! Légalité devant la loi! (). À la pauvre femme du peuple menée devant le prétoire, on demande compte de ses actions, cest-à-dire de faits à la portée des hommes qui vont la juger! à la grande dame on demande compte de ses pensées, des battements de son cur, des élans de son âme et cette vie intime qui ne relève que de Dieu, cette vie on la fait juger par des négociants, par des industriels qui réduisent tout en chiffres, qui voyent des mystères dinfamie dans tout ce quils ne comprennent pas et qui à la crainte dêtre dupes préfèrent le remord dêtre bourreaux!" Elle poursuit sa diatribe: "On dresse un procès-verbal dautopsie, il ny a pas darsenic, il ny a pas de lésions, doù les médecins concluent pour la pauvre femme quil ny a pas empoisonnement pour la grande dame, que les symptômes sont naturels, que la mort ne lest pas. On sadresse à la chimie une première fois lexpérience manque le tube se casse le résultat est nul mais les médecins qui veulent avoir de la conscience et ne pas se laisser influencer par la position de linculpée, déclarent unanimement que dun résultat nul il résulte les preuves de lempoisonnement. Dautres chimistes () ne trouvent pas de poison!... Mais un procès célèbre ne peut pas sarrêter ()". Lexhumation a lieu. Labsence darsenic rend une pauvre femme à sa famille, à lhonneur et à la vie, mais "pour une grande dame ce nest pas assez que deux expériences négatives ce nest pas assez de onze chimistes qui nont quun mérite de province et dhonnête homme. Il faut mander le prince de la science !" Et on parle dégalité devant la loi! Cependant elle ne condamne pas ses juges: "On leur a dit par la voix des magistrats et par la voix de la presse que jétais un monstre dautant plus dangereux que je possédais le génie de lhypocrisie. () On leur a montré mes défauts ils en ont fait des vices hideux. On leur a offert la femme de quelques pauvres petites qualités ils ont reculé deffroi comme devant une embâcle ". On joint une autre L. A. S. "M. C." à M. Espagne réclamant une cuillérée de potion de Heim: "Jai des crampes destomacs à me tordre. Jai pris de léther, du laudanum rien ne me fait, je souffre le martyre".Plus une L. A. S. de Marie de Léotaud (la victime du vol de diamants dont Madame Lafarge fut accusée).
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Librairie nouvelle, 1856 in-12, [2] ff. n. ch., VI pp., pp. 7-311, demi-basane cerise, dos lisse orné de filets dorés, tranches mouchetées de bleu (reliure de l'époque). Légères épidermures au dos.
L'originale avait été publiée en 1854 (soit deux ans après la mort de Marie Lafarge), et se présentait en trois volumes in-8 ; mais simultanément était donnée une version abrégée, qui est le texte reproduit ici. Différent des Mémoires de l'inculpée du Glandier (parus en 1841 en deux volumes in-8), le texte reproduit partie du journal intime tenu dans sa prison par la célèbre Marie-Fortunée Capelle, connue sous le nom de Marie Lafarge (1816-1852), et condamnée le 19 septembre 1840 aux travaux forcés à perpétuité pour l'empoisonnement à l'arsenic de son mari Charles Lafarge, âgé de 28 ans. Ce fut l'une des affaires judiciaires les plus célèbres de la Monarchie de Juillet, en partie instruite sur dénonciation de la belle-mère de Marie Lafarge. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rare. Nouvelle édition. Paris, Michel Lévy Frères - 1875 - 314 pages.Reliure demi chagrin bleu de l'époque. Dos à faux nerfs filetés à froid et titre doré. Bords frottés. Pas de rousseur. Bon état. Format in-8°(18x12).Marie Fortunée Cappelle, connue sous le nom de Marie Lafarge est condamnée en 1840 aux travaux forcés à perpétuité pour le meurtre de son époux, Charles Pouch-Lafarge, 28 ans. Elle est censée être l'arrière-petite-fille présumée de Philippe Égalité, et de Félicité de Genlis. Coup monté, erreur judiciaire, crime parfait, L'affaire Lafarge restera pour l'opinion publique une des plus grandes énigmes judiciaires.
Paris, Librairie Nouvelle, 1854. In-12, demi-chagrin vert, dos à nerfs orné, 390 pp.
Marie Fortunée Capelle, connue sous le nom de Marie Lafarge, née à Paris le 15 janvier 1816, morte à Ussat dans le département de l'Ariège le 7 septembre 1852, a été soupçonnée et reconnue coupable par la justice de l'époque d'avoir empoisonné son époux, Charles Lafarge. Qq rouss. pâles, dos lég. passé. Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Michel Lévy, Librairie Nouvelle, 1874. In-12, rel. de l'époque en demi-basane noire, dos titré orné de doubles filets dorés, plats granités, tranches mouchetées, VI-311pp.
Marie Fortunée Capelle, connue sous le nom de Marie Lafarge, née à Paris le 15 janvier 1816, morte à Ussat dans le département de l'Ariège le 7 septembre 1852, a été soupçonnée et reconnue coupable par la justice de l'époque d'avoir empoisonné son époux, Charles Lafarge. Coupures sur deux ff. (titre et faux-titre) restaurées, l'intérieur est propre (rares rousseurs marginales), bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, A. René et Cie, 1843 2 vol. in-8, 337 pp. et 391 pp., broché. Petits manques au dos.
Mémoires rédigés en prison par l'infortunée Marie Cappelle (1816-1852), et qui donnent sa version des mystérieux évenements du Glandier : comme l'on sait, cette très célèbre affaire d'empoisonnement à l'arsenic (?) passionna non seulement le public de la Monarchie de Juillet, mais aussi la postérité jusqu'à nos jours. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
" Paris, A. René et Cie., Imprimeurs Editeurs, 1843, in-8°, 20,5 x 13 cm, 2 tome in-8°, relié en un vol., 337 pp ; 391 pp. Reliure d'époque en demi-chagrin brun, Dos à quatre nerfs, avec titre doré. Bon exemplaire de la troisième édition. Livre rare. Bon exemplaire d'une édition du dixneuvième siècle. Marie Cappelle était inculpée d'avoir empoisonné son marie avec de l'arsénic.."
1867, Michel Lévy frères. 314 pages. Reliure demi-cuir marron, plats marbrés. Dos à 5 nerfs, filets, fleurons, titre, année édition dorés.
Contour des plats un peu usé, légère usure sur la coiffe, inscription légère au crayon sur la page de garde. Intérieur en bon état.
LAFARGE ALAIN- MARIE HELENE LANDRIEU- PESSES A.
Reference : RO20259524
(1977)
ISBN : 2218038552
HATIER. 1977. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 95 pages. . . . Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français
Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français
Darmont Marie,Piquet Robert,Michel Marianne,Pasdoc André,Verrières Jacques,Dolène Lucie,Donald Claudette,Hervé Josyane - Lafarge Guy - Pado Dominique
Reference : 6786
(1953)
Partitions sur Paris Paname Métropolitaines 1953
Bon état Petit format
LAFARGE Madame, née Marie CAPELLE (Villers-Hellon 1816 - Ussat 1852).-
Reference : ORD-17202
Nouvelle édition. Paris. Michel Lévy. 1875. In-12 (120 x 185 mm) broché, couverture verte imprimée, 2ff., 314 pages. Etat très moyen.
Lafarge Alain, Landrieu Marie-Hélène, Pessès A.
Reference : RO30322402
(1977)
ISBN : 2218038552
Hatier. 1977. In-4. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Fortes mouillures. 95 pages. Fortes mouillures n'altérant pas la lecture, mais page un peu collées.. . . . Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français
Classification Dewey : 372.6-Livre scolaire : français