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‎ANDRE Marie-Sophie, BEAUFILS Christophe,‎

Reference : 19494

(1995)

‎Papus biographie. La belle époque de l'occultisme.‎

‎Paris, Berg internationaléditeurs, "Faits et représentations", 1995. In-8°, 354 pp, intérieur frais. Br., couv. ill. Bon état général.‎


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EUR35.00 (€35.00 )

‎DIODORI TARSENSIS (Diodorus Tarsensis), Jean-Marie Olivier (ed.),‎

Reference : 19028

(1980)

‎Commentarii in Psalmos I-L (Corpus Christianorum Series Graeca 6 - CCSG-PB 6).‎

‎Turnhout, Brepols, 1980. In-8°, cxxv-320 pp. (div. mentions d'app.). Intérieur frais, pages non coupées. Br., couv. lég. passée, bon état général..‎


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‎HERBOULET Marie-Louise,‎

Reference : 18153

(1949)

‎La loi de Wronski appliquée à l'astrologie.‎

‎Garches, Éditions du Nouvel Humanisme, 1949. In-8°, xxiii-166 pp., photo du buste de Wronsky hors-texte, figures n&b dans le texte (annotations et soulignements à l'encre bleue dans l'Introduction uniquement, intérieur ien frais hormis les 10 dernières pages lég. tachées). Broché, couv. titrée en rouge et noir (couv. us.).‎


‎Lettre-Préface de Gilbert Caslan. Introduction par J. Duvivier, Licencié ès Lettres. La couverture porte en sous-titre:"Théorie - Technique - Interprétation".‎

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‎GOICHON Anne-Marie,‎

Reference : 17946

(1951)

‎La philosophie d'Avicenne et son influence en Europe médiévale. Forlong lectures 1940.‎

‎Paris, Librairie d'Amérique et d'Orient Adrien-Maisonneuve, 1951, 2e éd. revue et corrigée. In-8° carré, xxi-137 pp., entièrement non coupé (très léger faux-pli au coin inf. des 1ères pages). Broché, bon état général (pet. rouss., qqs très petites traces d'us.).‎


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‎RAGON Jean-Marie (de Bettignies),‎

Reference : 11751

(1992)

‎Rituel d'apprenti 1859. (FACSIMILE).‎

‎Rouvray, éditions du Prieuré, 1992. Reprint de l'édition de Teissier In-8°, 108 pp. Broché, très bon état.‎


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‎RAGON Jean-Marie (de Bettignies),‎

Reference : 11752

(1992)

‎Rituel de maître 1859. (FACSIMILE).‎

‎Rouvray, éditions du Prieuré, 1992. Reprint de l'édition de Teissier In-8°, 80 pp. Broché, très bon état.‎


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‎BENJAMIN Jean-Marie,‎

Reference : 11633

(1991)

‎Le document du moine d'Aïn Karem. (Terre sainte, A.D. 1688-1691).‎

‎Paris, Fayard, 1991. In-8°, 206 pp., une carte en frontispice. Broché, bon état général.‎


‎ Pèlerinage d'un moine fransiscain d'Aïn Karem en Terre sainte de 1688 à 1691 où il raconte des faits merveilleux, nous livre ses méditations sur les mystères, retrace les grands moments de l'histoire de la Rédemption par le Fils de Dieu et livre le message de l'Ange.‎

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‎HOOG Pierre-Marie,‎

Reference : 11044

‎Les récits dans l'évangile selon saint Jean (Chapitre i à xxi).‎

‎(Paris), Église Saint Ignace, s.d. 2 vol. in-4°, 182, 204 pp. Br., bon état.‎


‎ Regroupement de "causeries" exégétiques données entre 1995 et 1997, retranscrites à partir de cassettes par Françoise Garnier et mise en page par Anne Gautier. "La méthode de lecture mise en uvre ici, s'appuie sur la déclaration finale que fait Saint Jean :"Je vous raconte pour que vous croyiez" (20, 31). Autrement dit, les récits qu'il fait sont des provocations qu'il lance au lecteur pour le mettre en route vers le mystère. Ce mystère, c'est au lecteur de le découvrir".‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎LOYOLA Marie (R. Mère),‎

Reference : 10642

(1914)

‎L'accueil - Méditations eucharistiques pour servir avant et après la Sainte communion.‎

‎Paris, Ancienne librairie Poussielgue, 1914. 3e éd. In-12°, xii-388 pp. Rel. pleine percaline noire, titre doré au dos lisse. Bon état.‎


‎Traduit de l'anglais par Mme la Baronne Auguste de Nexon. Préface de M.J. Guibert. ‎

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EUR15.00 (€15.00 )

‎JANIER Marie-Gabrielle,‎

Reference : 866

(1992)

‎A la Découverte du Mystère divin par le Décryptage des Symboles religieux de la Géométrie sacrée et des Archétypes universels.‎

‎Paris, éditions Alain Brêthe, coll. "Tradition et Modernité". 1992. In-8°, 244 pp., nombr. fig. Br., bon état. Peu courant.‎


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EUR39.00 (€39.00 )

‎DE BROSSES Marie-Thérêse,‎

Reference : 9752

(1966)

‎Entretiens avec Raymond Abellio.‎

‎Paris, éd. Pierre Belfond, coll. "Entretiens", 1966. In-12°, 218 pp. Br. (couv. lég. défr., bon état).‎


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EUR8.00 (€8.00 )

‎CHAUVET Louis-Marie,‎

Reference : 8993

(1988)

‎Symbole et sacrement.‎

‎Paris, Edition du Cerf, Collection "Cogitatio Fidei" dirigée par Claude Geffré, 1988, 582 pp. Br., (couv. lég. us. et griffée, sinon bon état).‎


‎Une relecture sacramentelle de l'existence chrétienne. ‎

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‎[Librairie Le Minotaure] - ‎ ‎CHRISTIN, Anne-Marie ; CLERC, Philippe ; JACNO, Marcel ; LAZAREVSKY, Danièle ; SUBLET, Jacqueline ; TORHOIT, Marie-Noëlle‎

Reference : 53978

(1974)

‎L'Immédiate (Du numéro 1 de novembre 1974 au numéro double 28-29 été-automne 1981 : Complet des 29 parus) [ Détail des 29 numéros ] N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎

‎29 numéros (dont 4 doubles) en 24 vol. in-4 br. (thermocollés), Librairie Le Minotaure, 1974-1981. Détail des numéros : N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎


‎Très rare série parfaitement complète des 29 numéros (dont 4 doubles) publiés. Créée par le professeur Anne-Marie Christin (1942-2014), normalienne et agrégée de lettres classiques, cette revue interroge en profondeur les relations entre l'image et l'écriture. Bon ensemble (accroc en couv. du numéro 1, bel état par ailleurs) pour cette série introuvable ainsi bien complète.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,550.00 (€1,550.00 )

‎[Marie Laurencin] - ‎ ‎Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON. ‎

Reference : AMO-4511

(1922)

‎EVENTAIL, dix gravures de Marie Laurencin accompagnées de poésies nouvelles de Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.‎

‎Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).‎


‎Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

Phone number : 06 79 90 96 36

EUR5,800.00 (€5,800.00 )

‎MARIE-THÈRESE d'Autriche et MARIE-ANTOINETTE.‎

Reference : 121335

(1933)

‎Correspondance entre Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Présentée et annotée par Georges Girard.‎

‎ Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, imprimé sur alfax Navarre, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état‎


‎Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard) ‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎MARIE-THÈRESE d'Autriche et MARIE-ANTOINETTE.‎

Reference : 117275

(1933)

‎Correspondance entre Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Présentée et annotée par Georges Girard.‎

‎ Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état‎


‎Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard) ‎

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EUR45.00 (€45.00 )

‎[Institut Sainte Marie] - ‎ ‎Collectif ; Société de Marie ; Marianistes‎

Reference : 29372

(1901)

‎Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du premier numéro de Mai-Juin 1904 au numéro de Juillet-Septembre 1987 de la Revue "Présence Marianiste", Nouvelle série de l'Apôtre de Marie, en 45 volumes reliés )[ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎

‎48 vol. reliures diverses en demi-percaline bordeaux ou marron ou demi-toile rouge, (Messager de la Société de Marie, Apôtre de Marie, Marianiste et Présence Marianiste), couvertures conservées, Institut Sainte Marie, Nivelles, puis Paris et Colmar, 1904-1987 ;Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du n° 1 de Mai-Juin 1904 au dernier numéro n° 398 de Août-Octobre 1958 puis série suivi complète de "Marianistes", Nouvelle série de l'Apôtre de Marie, du n°1 de Novembre 1958-janvier 1959 au dernier numéro n° 54-55 d'août-décembre 1969, puis série complète de "Présence marianiste" du n° 1 de janvier-février 1970 au n°52 de numéro de Juillet-Septembre 1987, en 45 volumes reliés ) [ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎


‎La Revue "l'Apôtre de Marie", qui fait suite aux 3 tomes de la revue "Le Messager de la Société de Marie", laquelle fut interrompue par les expulsions de 1903, se consacre plus particulièrement à la présentation de l'oeuvre missionnaire des marianistes. "Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie" puis "Organes des Missions et des Oeuvres", elle propose un panorama tout à fait remarquable et passionnant des développements de ces missions dans le monde entier : par exemple au Mexique (Durango...), en Europe (Autriche, Espagne, Belgique, Italie, Suisse...), avec une prédilection pour l'Amérique et l'Asie. On remarque ainsi les nombreux articles consacrés aux missions d'Asie, celles de Chine et surtout aux missions du Japon (Urakami, Tokyo, ...) ainsi qu'aux missions développées aux Etats-Unis (Dayton, Cleveland, Colombus, Erie, Chicago, Honolulu aux Iles Sandwich futur Hawaï, etc.). Les comptes-rendus de mission, ou les visites pastorales des supérieurs en Asie ou en Amérique sont souvent illustrés et font l'objet d'articles du plus grand intérêt. La revue devient "Marianiste" de 1959 à 1969 puis "Présence Marianiste" à partir de 1970. Etat très satisfaisant (dos frottés et qq. petits accrocs sur certains dos n'affectant pas le texte, anciens cachets et cotes de bibliothèques religieuse en dos) pour cet ensemble très rare, rassemblant l'intégralité de cette impressionnante série suivie des numéros du "Messager de la Société de Marie" et de la revue 'l'Apôtre de Marie" de 1897 à 1987. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎Marie-Hélène Corbiau, Baudouin Van den Abeele, Jean-Marie Yante, Anne-Marie Bultot-Verleysen (eds)‎

Reference : 65427

‎route au Moyen Âge. Réalités et représentations‎

‎, Brepols, 2021 Paperback, vi + 316 pages, Size:160 x 240 mm, Illustrations:7 b/w, 23 col., 4 tables b/w., 7 maps b/w, Language: French. ISBN 9782390370048.‎


‎Summary Qu'elles soient politiques, commerciales, religieuses ou culturelles, les routes structurent et dynamisent les paysages et témoignent de l'appropriation humaine de ceux-ci. Fréquemment, l'existence d'un réseau médiéval a été, sinon niée, en tout cas largement sous-estimée. Des travaux des dernières décennies conduisent à relativiser la pérennité longtemps affirmée de l'héritage romain. Les hommes l'ont adapté aux nécessités et priorités du moment, ont hissé au rang de voies majeures des diverticula et autres liaisons secondaires, et ont emprunté des tronçons de facture incontestablement ou vraisemblablement médiévale. Résolument pluridisciplinaire, associant archéologues, historiens, histo- riens de l'art, spécialistes de la littérature et toponymistes, le colloque organisé par l'Institut d'études médiévales de l'Université catholique de Louvain, à Louvain-la-Neuve, livre des regards croisés et une stimulante confrontation des méthodes. Sous-titrées « Réalités et représentations », ces journées ont été soucieuses de scruter la perception de la route et du réseau viaire chez les contemporains, tant dans des oeuvres littéraires que dans des productions artistiques. Succédant à une approche historiographique assortie de perspectives de recherches et à une orientation bibliographique, la douzaine de contributions émanant de chercheurs au recrutement international s'articulent autour de trois thématiques. La première partie est dédiée à quelques enquêtes historiques relatives à des aspects politiques et fonctionnels. Suit l'éclairage particulier de recherches consacrées à l'apport des mots et des textes concernant le sujet. Une dernière partie regroupe quelques témoignages archéologiques et iconogra- phiques illustrant plus concrètement la matérialité de la route. Il serait difficile et quelque peu présomptueux de tenter pour l'heure un bilan des connaissances. Bien des secteurs demeurent à investiguer, des sources à repérer, à critiquer et à mettre en oeuvre. Le présent volume a par contre l'am- bition de révéler des approches inédites, de dégager des pistes de recherches, de susciter de nouvelles enquêtes. C'est à ce prix seulement que la route médiévale retrouvera la place qui était sienne dans le vécu et l'imaginaire des contem- porains. La publication réunit les contributions de Jean-Marie Cauchies (Bruxelles), Pierre-Henri Billy (Paris), Franck Brechon (Perpignan), Olivier Bruand (Clermont- Ferrand), Marie-Hélène Corbiau (Namur), Wolfgang Haubrichs (Saarbrücken), Perrine Mane (CRH-CNRS), Franco Morenzoni (Genève), Jacques Paviot (Paris), Georges Raepsaet (Bruxelles), Thomas Szabó (Göttingen), Jean-Claude Vallecalle (CIHAM), Jean-Marie Yante (Louvain-la-Neuve). TABLE OF CONTENTS Avant-propos par Marie-Hélène CORBIAU et Jean-Marie YANTE La route au Moyen Âge. Historiographie et perspectives de recherche par Jean-Marie YANTE La route au Moyen Âge. Orientation bibliographique par Jean-Marie YANTE ENQUÊTES HISTORIQUES Populations, pouvoirs et réseau routier en Gaule du nord entre le VIIe et le Xe siècle par Olivier BRUAND Attelages et convois en Lorraine et dans le Luxembourg. L'apport des comptes de péages (XVe-XVIe siècles) par Jean-Marie YANTE La route dans la législation des communes italiennes par Thomas SZABÓ Les routes en Vivarais au Moyen Âge : structuration et fonctionnement d'un réseau viaire par Franck BRECHON APPORT DES MOTS ET DES TEXTES La terminologie routière dans la toponymie et l'hodonymie germanophones entre Meuse, Moselle et Rhin par Wolfgang HAUBRICHS Les noms de chemins au Bas Moyen Âge : essai de typologie par Pierre-Henri BILLY La route entre imaginaire et réalité dans la prédication du XIIIe siècle par Franco MORENZONI La route dans les récits de pèlerinage et de voyage (XIIe-XVe s.) par Jacques PAVIOT La route dans l'imaginaire épique et romanesque (XIIe-XIVe siècles) par Jean-Claude VALLECALLE DE L'ARCHÉOLOGIE À L'ICONOGRAPHIE Routes et véhicules dans l'archéologie médiévale : quelques découvertes récentes et anciennes par Marie-Hélène CORBIAU La technologie du charroi de l'Antiquité au Moyen Âge. Quelques brèves réflexions par Georges RAEPSAET Routes et chemins dans les enluminures médiévales par Perrine MANE CONCLUSIONS Chemins pour des hommes, hommes sur les chemins par Jean-Marie CAUCHIES Index des noms de lieux‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR48.00 (€48.00 )

‎DUFLOS (Pierre) et DUFLOS (Marie).‎

Reference : 46405859

(1779)

‎Recueil de 45 portraits publiés en 1780 par livraisons pour former un Recueil d’estampes représentant les grades, les rangs et les dignités, suivant la coutume de toutes les nations existantes.‎

‎À Paris, chez Duflos le jeune, graveur, croître Saint Benoît près de la rue Saint Jacques, À Paris, chez Duflos le jeune, graveur, croître Saint Benoît près de la rue Saint Jacques(1779-1784) ; in-4, demi-chevrette verte, fil. dor. au dos, plats de papier vert gaufré. Superbe ensemble de portraits en pied gravés, coloriés à l’aquarelle avec des détails rehaussés d’or, chacun dans un encadrement de listel doré. Pierre Duflos, fils de Simon Duflos, est un graveur en taille-douce né à Lyon en 1742. Il s’installe à Paris en 1771 et se marie en 1780 avec Marie Thibault, elle aussi graveur à l’eau-forte. Marie a exclusivement travaillé avec son mari. Les planches de ce recueil sont le premier travail en collaboration des époux Duflos. Voir Inventaire du Fonds Français XVIIIe, tome VIII p. 91. pour Marie Duflos et p. 96 pour Pierre.Cette publication très ambitieuse fut annoncée dès 1778 dans un prospectus pour les souscripteurs. Chaque mois devait paraître un cahier de 12 estampes coloriées. La publication a été interrompue après les livraisons de 264 planches. Colas 2508 - Brunet II, 862 - Cohen 334 - Lipperheide 38.Le présent recueil renferme les 45 planches suivantes : ROBERT SORBON (Fonds Français Marie Duflos 1) - OLIVIER DE CLISSON (Fds. F. Pierre Duflos 106) - MICHEL DE L’HOPITAL (id. n° 110) - JEAN GERSON (id. 115) - PIERRE RAMUS (id. 116) - ANCIEN CHEVALIER DE L’UNIVERSITÉ DE PARIS (Marie D. n° 7) - ANNE DE MONTMORENCI (id. n°3) - HENRI DE LA TOUR D’AUVERGNE (Pierre D. n° 108) - JEAN DOUJAT (id. n° 119) - DOMINIQUE DE LA ROCHEFOUCAULD (id. n° 101) - ACHILLE DE HARLAY (Marie D. n° 5) - LOUIS PHILIPPE D’ORLÉANS (Pierre D. n° 99) - CHARLES ROLLIN (id. n° 114) - MAURICE DE SAXE (id. n° 109) - HENRY F. DAGUESSEAU (id. n° 111) - JEAN-JACQUES POUPAR (id. n° 104) - CHRISTOPHE DE BEAUMONT (id. n° 102) - OLLIVIER CROMWEL (id n° 165) - GUILLAUME LAUD (id 161) - THOMAS WOLSEY (Marie Duflos n° 24) - THOMAS HOWARD (P. Duflos 164) - EDOUARD CLARANDON (id. 171) - EDOUARD COKE (id. 173) - EDOUARD ZITTLETON (M. Duflos 26) - THOMAS CRAMER (P. Duflos 162) - LEICESTRIE (Marie Duflos 18) - GEORGE ZZELPCHINY archiprêtre hongrois (Marie Duflos 140) - ALBANAIS (id. 197) - DAMES D’INDOSTAN (id. 210) - HYDER-ALI Roy des Marattes (id. 209) - ROI DE BRAMA (Pierre D. 211) - ROI D’ANGOLA (Marie D. 239) - ROI DE BRAMA (Pierre D. 211) - NOBLE du royaume de Juida (Marie D. 241) - FAVORITE du Roy de Juida (Marie D. 37) - AMAR Roi de Juida (id. 36) - NOBLE INDIEN de la nation Ottawa (id. 41) - ALKMEY Roi de Guinée (Pierre D. 240) - CHEF DES HONDURAS (id. 253) - AKASINI Roi Dissini (id. 237) - NYAI Roi de Barsilly (id. 248) - ROI DE LA FLORIDE (id. 256).‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

Phone number : 03 86 50 05 22

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎"HAMSUN, MARIE.‎

Reference : 31989

(1942)

‎Maskinskrevet brev m. egenhændig underskrift og tilføjelse i pen til ""Frau Marie Hamsun/ Grimstad/ Norwegen"" fra ""Dr. Knapp"", Verlag Albert Langen - Georg Müller Derlay, München. (Maschine-written letter w. autograph signature and four handwritten lin... - [MARIE HAMSUN OG NAZISTERNE]‎

‎Dat. ""10.3.1942"". 1s. 4to. Skrevet på forlagets brevpapir. Brevet er en anmodning fra Dr. Knapp på vegne af en skoleklasse i Tyskland, som ønsker en autograf fra Knut Hamsun på et billede af ham. Brevet slutter således: ""Im allgemeinen suchen wir ja solche belästigungen Herrn/ Knut Hamsun möglichst fern zu halten, aber in diesem rührende/ Fall wollten wir doch eine Ausnahme machen./ Wir danken Herrn Knut Hamsun und Ihnen im voraus herzlich für/ die Erfüllung der kindlichen Bitte./ Mit verehrungsvoller Begrüssung und/ Heil Hitler!/ Ihr sehr ergebener/ Albert Langen - Georg Müller Derlay [stemplet]/ Dr. Knapp [håndskrevet]."" Efter de ca. 15 maskinskrevne linier følger fire håndskrevne linier i Dr. Knapps hånd, hvoraf fremgår, at der alligevel ikke sendes et billede med, som Knut Hamsun kan signere, men en stor plakat. (1p. 4to. Written on paper w. letterhead from the publisher. The letter is a request from Dr. Knapp on behalf of a school-class in Louise, Germany, who wish for an autograph by Knut Hamsun on a photograph. The letter ends: ""Im allgemeinen suchen wir ja solche belästigungen Herrn/ Knut Hamsun möglichst fern zu halten, aber in diesem rührende/ Fall wollten wir doch eine Ausnahme machen./ Wir danken Herrn Knut Hamsun und Ihnen im voraus herzlich für/ die Erfüllung der kindlichen Bitte./ Mit verehrungsvoller Begrüssung und/ Heil Hitler!/ Ihr sehr ergebener/ Albert Langen - Georg Müller Derlay [stamped]/ Dr. Knapp [handwritten]."" Following the ab. 15 machine-written lines is a four lines handwritten notice in the hand of Dr. Knapp, stating that a photograph of Knut Hamsun for him to sign has not been sent with the letter after all, but a large poster. ‎


‎Meget interessant brev fra Nazitidens Tyskland, der både belyser, hvor vigtig Hamsun blev opfattet af tyskerne, og hvilken rolle Marie Hamsun har spillet i hendes mands forhold til nazisterne. Der er ingen tvivl om, at Knut Hamsun var velvilligt indstillet over for nazismen under krigen, men der er ligeledes heller ingen tvivl om, at hans syn på nazismen, eller det, han vidste om den, var noget mere nuanceret end hans kones. ""Sagt mere forenklet: Havde Hamsun oprindelig rakt Marie en tyskvenlig lillefinger, forvandlede hun den i disse år til en fremstrakt naziarm."" (Thorkild Hansen, Processen mod Hamsun, Bd. 2, pp. 76-77). Den aldrende Knut Hamsun var under krigen nærmest døv, og havde utroligt svært ved at følge med i, hvad der foregik i verden, da han ikke kunne høre radio. Han var således fuldstændig udleveret til sin kone og det, hun fortalte ham om, hvad der gik for sig i Tyskland. Marie meldte sig ind i NS og fastholdt sine nazistiske synspunkter til sin dødsdag, Knut tog kategorisk afstand fra nazismen, da det endelig gik op for ham, hvori dens sande karakter bestod. Han vedholdt ikke at have meldt sig ind i NS, og det er betegnende, at det er Marie, der står for stort set hele Hamsun-korrespondencen med nazisterne. Det er hende, der tager på adskillige propagandature i Tyskland i alle krigsårene, og det er hende, der tager rundt og læser op af Knuts bøger for nazisterne, ikke ham. Det er betegnende, at brevet er stilet til Marie og ikke Knut, når det nu er hans autograf, de ønsker, -den gamle mand var nok døv, men han kunne stadig læse, -kontakten gik altid gennem Marie, og det må nok siges at være hende, der sidder tilbage med en stor del af ansvaret for verdens opfattelse af, at den store digter bekendte sig fuldstændigt til nazismen. ""Nu fik hun [Marie] oprejsning for de mange ydmygelser. Hun havde endelig fået overtaget, hun havde ikke alene børnene bag sig, hun havde hele den tyske værnemagt i Norge! Hamsun beklagede sig til fru Stray over, at hun ""trak tyskerne til Nørholm""... Marie var ikke mere bare ""Norges første litterære dame"", hun var også blevet noget i kraft af sig selv... Hans rolle var udspillet. Katastrofen var indtruffet og kærligheden død... I stedet for den lydige selvopofrende hustru havde han fået en ond ånd, der bestemte alt og politiserede løs i hans navn."" (Thorkild Hansen, Processen mod Hamsun, Bd. 2, pp. 78-80). Gennem sin rolle som den store digters hustru, tilkæmpede Marie sig sin egen status, -tyskerne placerede hende atter i rampelyset og lod hende igen hylde af et bifaldende publikum. ‎

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‎[EGOROFF (Marie)] POUCHKINE.‎

Reference : 14337

(1898)

‎Rouslane et Ludmile. Poème traduit du russe par Vera Starkoff. Illustrations de Marie Egoroff.‎

‎ 1898 P., Librairie de lArt Indépendant, 1898, 1 vol. in-4°, reliure à la Bradel, 1/2 chagrin noir, plats de papier gris-noir avec effet de matière, titre en long au palladium sur le dos, étui bordé (BOICHOT), couvertures conservées, plat supérieur entièrement illustré dune lithographie en noir et blanc de Marie Egoroff, de XIV pp. (faux-titre, titre, Notes sur Pouchkine par Vera Starkoff) (1) f. (dédicace) 112 pp.Versos des pages dillustration brunis, très bel exemplaire dans une belle reliure contemporaine de Thomas Boichot. ‎


‎Malgré un tirage assez conséquent à 500 exemplaires non numérotés, très rare édition originale de la traduction française donnée par Vera Starkoff. Il y a eu une précédente traduction française donnée par H. Dupont dans les uvres choisies de A. S. Pouchkine, (Pétersbourg, 1847). Mais celle-ci a été considérée comme « médiocre » en son temps (cf. la Revue des Deux Mondes : "Le traducteur français des uvres de Pouchkine a échoué pour n'avoir point compris les exigences de sa tâche")5 illustrations symboliques de Marie Egoroff, flirtant avec le mysticisme (Couverture, frontispice et 3 hors-textes reproduits sur papier couché).Vera Starkoff, pseudonyme de Teresa Paula Efron, née le 1er avril 1867 en Pologne alors dans l'Empire russe et morte le 19 mars 1923 à Paris 14e, est une libertaire féministe, traductrice et franc-maçonne. Elle est une des premières dramaturges, créatrice d'un "théâtre de combat" qu'elle représente lors des Universités populaires à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.Marie Egoroff, artiste russe, femme du peintre et céramiste russe, Evdokim Egorov. "Son mari la laissa veuve, après avoir souffert pendant dix-huit ans dune cruelle paralysie. Dès lors, elle vécut, recluse volontaire, dans son deuil. Son mari ne lui avait pas permis dapprendre le dessin. Il lui consentait de faire des ouvrages dart décoratif. Avec beaucoup de goût, elle exécutait des décorations de faïence, des ouvrages de ciselure, des cuirs repoussés, etc. () Jamais elle navait dessiné une figure." (Bloc-Notes parisien in Le Gaulois, du mardi 4 décembre 1894), jusquà 1894, où elle exécute une série de 13 dessins symbolistes, exposés au 5, rue de la Paix, à Paris, qui ont donné lieu à une publication de catalogue. "Ce que lon veut nous faire savoir, cest que lauteur de ces dessins, Mme Egoroff a obéi à une force inattendue, supérieure à sa volonté, étrangère à sa vie passée, une force non intérieure, mais extérieure, obligeant lêtre à agir inconsciemment. Nous sommes, pour employer la formule habituelle, en plein spiritisme". (Gustave Geffroy, Notre Temps in La Justice, du jeudi 6 décembre 1894).**********************************************English translation :[EGOROFF (Marie)] - POUCHKINE - Ruslane and Ludmile. Poem translated from the Russian by Vera Starkoff. Illustrations by Marie Egoroff.P., Librairie de l'Art Indépendant, 1898, 1 vol. in-4°, Bradel binding, 1/2 black chagrin, gray-black paper boards with material effect, long title in palladium on the spine, lined slipcase (BOICHOT), covers preserved, top cover entirely illustrated with a black and white lithograph by Marie Egoroff, of XIV pp. (faux-titre, title, Notes sur Pouchkine par Vera Starkoff) - (1) f. (dedication) - 112 pp.Versos of illustration pages browned, a very fine copy in a fine contemporary binding by Thomas Boichot.Despite a fairly substantial print run of 500 unnumbered copies, this is a very rare first edition of the French translation by Vera Starkoff. There was an earlier French translation by H. Dupont in uvres choisies de A. S. Pushkin, (Petersburg, 1847). But this was considered mediocre in its day (cf. Revue des Deux Mondes: Le traducteur français des uvres de Pouchkine a échoué pour n'avoir point compris les exigences de sa tâche).5 symbolic illustrations by Marie Egoroff, flirting with mysticism (cover, frontispiece and 3 hors-texts reproduced on coated paper).Vera Starkoff, pseudonym of Teresa Paula Efron, born on April 1, 1867 in Poland, then part of the Russian Empire, and died on March 19, 1923 in the 14th arrondissement of Paris, was a libertarian feminist, translator and freemason. She was one of the first playwrights to create a combat theater, which she represented at the Universités Populaires in the late 19th and early 20th centuries.Marie Egoroff, Russian artist, wife of the Russian painter and ceramist Evdokim Egorov. Her husband left her a widow after eighteen years of cruel paralysis. From then on, she lived in mourning, a voluntary recluse. Her husband had not allowed her to learn drawing. He allowed her to make decorative works of art. With great taste, she executed earthenware decorations, chasing works, embossed leathers, etc. (...) She had never drawn a figure. (Bloc-Notes parisien in Le Gaulois, Tuesday, December 4, 1894), until 1894, when she executed a series of 13 symbolist drawings, exhibited at 5, rue de la Paix, Paris, which gave rise to a published catalog. What they want us to know is that the author of these drawings, Madame Egoroff, obeyed an unexpected force, superior to her will, foreign to her past life, a force not interior, but external, forcing the being to act unconsciously. We are, to use the usual expression, in the midst of spiritualism. (Gustave Geffroy, Notre Temps in La Justice, Thursday December 6, 1894). ‎

Bouquinerie Aurore - Belmesnil
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EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎ANDRE Patrick / ANDRIEUX Jean-Yves / BALCOU Jean / BEAUCHESNE Geneviève / BOUGEARD Christian / BOULAIRE Alain / BUISSET-PLESSIX Christiane / CARIOU Marie-Pierre / CARLUER Jean-Yves / CASSARD Jean-Christophe / CASTEL Yves-Pascal / CHAPALAIN-NOUGARET Christine / CHEDEVILLE André / CINTRE René / CLOITRE Marie-Thérèse / COLLET Daniel / CROIX Alain / DANIEL Chantal et Tanguy / DELOUCHE Denise / DENIS Michel / DEVAILLY Guy / DIZERBO A.-H. / DROGUET Alain / DUPUY Roger / DUVAL Michel / ESTIENNE René / EVEN Nicole / EVEN Pascal / EVRARD Guy / FAGNEN Claude / FERRIEU Xavier / FRELAUT Bertrand / GLORENNEC Hervé / GOURMELEN Joëlle / GUILLOTEL Hubert / GUILMAULT Colette / GURY Jacques / HENWOOD Annie / HENWOOD Philippe / HICK Daniel / ISBLED Bruno / JONES Michael / JORET Eric / LAURENT Catherine / LEBEL Anne / LEBRUN François / LECLERC Guy / LE FLOC'H Jean-Louis / LEGUAY Jean-Pierre / LE MENN Gwennole / LE PAGE Rémy / LUCAS Maurice / MARECHAL Michel / MASSIET DU BIEST Brigitte / MAUGER Michel / MENIER Marie- Antoinette / MEVELLEC Annick / MONANGE Edmond / MORIN Mari-Renée / MUSSAT Marie-Claire / NEANT Hubert / NIERES Claude / NOUGARET Roger / PENNEC Alain / PICHOT Daniel / PINOT Jean-Pierre / POUILLIAS Marie-Thérèse / RENOUARD Michel / REYDELLET Chantal / ROBERT Marie-José / ROUDAUT Arlette / ROUDAUT Fanch / SCHNAPPER Bernard / SENTILHES Armelle / TAILLEMITE Etienne / TANGUY Bernard / THOMAS G.- M. / VEILLARD Jean-Yves / WILSDORF Christian‎

Reference : 25761

(1991)

‎Charpiana - Mélanges offerts par ses Amis à Jacques Charpy‎

‎ 1991 Fédération des sociétés savantes de Bretagne, 1991 - In-8 , 16,5x24,8 cm.- Cartonnage skyvertex vert de l'éditeur - Illustration en première de couverture sur vignette contrecollée - Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte et hors texte - Bibliographie des travaux de Jacques Charpy - 843 pages - Très bon état.‎


‎ - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

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EUR35.00 (€35.00 )

‎MARIE-ANTOINETTE (Reine de France), SONNENFELS (Josef von), RIVALS (Pierre-Alexandre de) traducteur‎

Reference : 38239

(1781)

‎Premier discours prononcé par M. de Sonnenfels, Conseiller, après la mort de Marie-Thérèse, traduit de l'original allemand par M. de Rivals, ancien Garde-du-Corps & Pensionnaire du Roi. (RELIURE AUX ARMES DE MARIE-ANTOINETTE).‎

‎ 1781 In-8 (191 x 120 mm), plein maroquin rouge de l'époque, dos lisse entièrement orné d'une guirlande de fleurons dorés, plats encadrés de triples filets d'encadrement avec fleurons d'angle, armes de Marie-Antoinette dorées au centre, roulette sur les coupes, dentelle sur les chasses, tranches dorées, 24 p., (1) f. blanc. A la Haye; et se trouve à Paris, chez Esprit, libraire, au Palais Royal, 1781.‎


‎Précieux exemplaire aux armes de Marie-Antoinette: léloge funèbre de sa propre mère larchiduchesse dAutriche, dont la reine de France était lune des seize enfants.Fille aînée de lempereur Charles VI, Marie-Thérèse dAutriche (Vienne, 1717-1780) est entrée dans la mémoire collective comme lune des grandes monarques de son siècle.Lauteur de cet éloge est le juriste et homme de lettres Joseph von Sonnenfels (1732-1817). Issu dune famille juive convertie au christianisme, il est lun des principaux représentants autrichiens de la doctrine du despotisme éclairé. Il avait amorcé une triple carrière denseignant, dhomme de lettres et de juriste sous Marie-Thérèse, qui le nomma au Conseil de Bohême, puis à la Cour dAutriche et au Conseil détude et de censure.Le traducteur Pierre Alexandre de Rivals, ancien Garde du Roi, devint sous-lieutenant de Maréchaussée de Bourgoin en Dauphiné en 1789.(Cf. M.-A. Arnould, "Les oraisons funèbres de Marie-Thérèse" in "Bulletin de la Classe des lettres et des sciences morales et politiques", T. 66, 1980, p. 455-486).WorldCat ne recense que 5 exemplaires de cet ouvrage dans le monde: un à Harvard, quatre à la BnF. Un de ces exemplaires de la BnF possède une reliure aux armes du comte de Vergennes, dédicataire de cet ouvrage.Les armes frappées ici figurent à lidentique sur les reliures de plusieurs exemplaires appartenant à Marie-Antoinette conservés au château de Versailles dont : Les Lacunes de la philosophie, par François Louis dEscherny (1783), reproduites sur le site du château.Quelques infimes épidermures.Superbe exemplaire. ‎

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EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎Marie Dubas‎

Reference : DMI-256

‎Lettre autographe signée de 3 pages à la comédienne Berthe Cerny de la Comédie Française‎

‎Marie Dubas, lettre autographe signée à la comédienne Berthe Cerny, en-tête Grand Hôtel / Toulon (Var), sans date, 1 double f., 3 p., 17,5x12,6cm. La chanteuse Marie Dubas (1894-1972) s'excuse auprès de son amie, la comédienne Berthe Cerny, depuis le Grand Hôtel de Toulon, de ne pouvoir répondre favorablement à son invitation à chanter à l'occasion du Bal de Claridge puisqu'elle doit se produire à Niort à cette date. Elle propose à la sociétaire de la Comédie Française de faire déplacer "le jour retenu" et lui indique se produire à l'Eldorado de Nice du 22 au 27 puis à Paris le 29. Très beau document de 3 pages de la grande chanteuse Marie Dubas, idole d'Edith Piaf, Colette, Sartre et Simone de Beauvoir. * ** Hélène-Lucie de Choudens, dite Berthe Cerny, a fait ses premières armes auprès de Gustave-Hippolyte Worms au Conservatoire dont elle sort en 1885 avec un premier prix de Comédie. Engagée à l'Odéon, puis au Vaudeville, puis sur d'autres scènes, elle fait pendant vingt ans une brillante carrière sur les boulevards et se fait remarquer dans les pièces de Paul Hervieu, Marcel Prévost, Georges de Porto-Riche. Elle entre à la Comédie-Française en 1906, demandée par Maurice Donnay dont elle crée Paraître. Elle s'impose dans le répertoire classique en interprétant Célimène, Suzanne, Alcmène, mais aussi dans La Parisienne de Becque et atteint l'apogée de son succès avec son interprétation d'Araminte des Fausses confidences de Marivaux. Dans la comédie moderne, elle incarne à merveille les héroïnes passionnées d'Henri Bataille (parmi lesquelles la baronne Irène dans Maman Colibri), de Paul Géraldy, François de Curel, etc. Elle se retire, en 1930, et est aussitôt nommée sociétaire honoraire. Elle a été la compagne de Raoul William Johnston, Aristide Briand et Paul Reynaud. * ** Marie Dubas est une comédienne et chanteuse française née le 3 septembre 1894 à Paris 15e et morte le 21 février 1972 à Paris 16e. Fille d'Isaac Dubas, caoutchoutier, et de Pauline Muschkat, la jeune Anna Marie fait ses débuts en 1908 au théâtre de Grenelle, à peine âgée de 14 ans. Se destinant à une carrière au théâtre lyrique et à l'opérette, elle suit en parallèle des cours de danse, de chant et de comédie au Conservatoire d'art dramatique). Elle connaît rapidement un succès croissant et se retrouve en tête de distribution de plusieurs opérettes en vogue. Elle participe notamment à la création de L'Amour masqué (1923), opérette de Sacha Guitry et André Messager, aux côtés d'Yvonne Printemps. Mais en 1926 (elle a alors 32 ans), une défaillance des cordes vocales la prive d'une partie de ses moyens, réduisant irrémédiablement l'étendue de son registre. Se croyant perdue pour le chant, Marie Dubas traverse une période douloureuse, jusqu'à ce que Pierre Wolff, qui donne des conférences sur l'histoire de la chanson, lui propose d'illustrer celles-ci en interprétant des thèmes du folklore. Repartant ainsi sur de bases techniques différentes, elle s'oriente alors vers le tour de chant et entame officiellement sa nouvelle carrière le 23 septembre 1927 sur la scène de l'Olympia de Paul Franck. S'inspirant d'Yvette Guilbert, elle commence à chanter dans les petits cabarets de Montmartre dans un registre fantaisiste. En mars 1928, elle participe à la Revue Wagram pour l'inauguration des Folies-Wagram avec Ruth Virginia Bayton comme partenaire. En quelques mois la voilà reconnue comme l'une des reines du music-hall. Elle inaugure en 1932 la formule du « récital » (deux heures sur scène, sans micro). Enchaînant ses passages dans les plus grandes salles, elle établit une sorte de record en étant cinq fois à l'affiche de l'ABC au cours de la seule saison 1935-36. Elle est également en tête d'affiche au Casino de Paris et à Bobino. Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre assistent régulièrement à ses spectacles, qu’ils prisent fort, tenant Marie Dubas pour une « anarchiste ». Exploitant à fond les multiples facettes de son talent et jouant sur plusieurs registres à la fois, pour mieux mélanger les genres établis, elle passe en un instant de la fantaisie à l'émotion et du drame à la futilité. Chantant, dansant, mimant ses textes, parfois jusqu'à la caricature, jouant des hanches, des yeux, de sa frange brune ou des intonations aiguës de sa voix, qu'elle fait mine de rattraper d'un geste de la main, lorsqu'elle se lance dans une parodie d'opérette, Marie Dubas occupe toute la scène avec une vitalité et une jubilation communicatives. Ce qui fit écrire à Michel Georges-Michel : « Avec elle, le sujet ne compte plus. Le texte et la musique même s'effacent. C'est Marie Dubas que l'on regarde, que l'on écoute ; rien d'autre. » Sa chanson la plus célèbre est Mon légionnaire (sur des paroles de Raymond Asso et une musique de Marguerite Monnot), qu'elle enregistre en 1936. Elle crée également Le Doux Caboulot (sur le poème de Francis Carco), Le Tango stupéfiant (« Je me pique à l'eau de Javel / Pour oublier celui que j'aime / Je prends ma seringue / Et j'en bois même »), et interprète en 1933 La Prière de la Charlotte de Jehan Rictus. Sa popularité et sa renommée, qui lui valent d'être à l'affiche des plus prestigieux casinos, lui permettent également de faire une tournée aux États-Unis en 1939. Bien que mariée à un noble ayant servi dans l'aviation[réf. nécessaire], elle doit s'exiler durant l'Occupation à Lausanne en raison de ses origines juives ; elle y restera jusqu'à la fin de la guerre. À son retour elle apprend que sa sœur a été exécutée et son neveu envoyé en camp de concentration[réf. nécessaire]. Elle remonte sur les planches en 1954 à la réouverture de l'Olympia. Mais, atteinte de la maladie de Parkinson, elle doit se retirer en 1958. Elle meurt à Paris en 1972 et est inhumée au Père Lachaise (36e division). Marie Dubas, « cette grande comédienne de la chanson aujourd'hui tombée dans l'oubli », fut la principale inspiration d'Édith Piaf (de 21 ans sa cadette) : « Je dois beaucoup à Marie Dubas. Elle a été mon modèle, l'exemple que j'ai voulu suivre ; et c'est elle qui m'a révélé ce qu'est une artiste de la chanson… ». Elles avaient trois chansons en commun à leurs répertoires : Mon légionnaire, Le Fanion de la légion et Monsieur est parti en voyage.‎


Lettre autographe signée de 3 pages à la comédienne Berthe Cerny de la Comédie Française. Marie Dubas Lettre autographe signée de 3 pages à la comédienne Berthe Cerny de la Comédie Française. Marie Dubas Lettre autographe signée de 3 pages à la comédienne Berthe Cerny de la Comédie Française. Marie Dubas
Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

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EUR99.00 (€99.00 )

‎HENRIETTE-MARIE de FRANCE.‎

Reference : 115936

(1884)

‎Lettres inédites de Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre. Publiées par le comte de Baillon.‎

‎ P., Didier et Cie, 1884, in-12, vi-257 pp, 2e édition revue, un fac similé dépliant hors texte, broché, qqs rares rousseurs, bon état‎


‎Henriette-Marie est la fille de Henri IV et l'épouse de Charles Ier d'Angleterre. Elle naquit au Louvre le 25 novembre 1609, soit un an avant l'assassinat de son père. Elle était la sixième enfant et la troisième fille d'Henri IV et de Marie de Médicis. Elle épouse sur la volonté de son frère Louis XIII, en 1626, Charles Ier d'Angleterre qui était le petit fils de Marie Stuart. Ce fut Buckingham qui vint chercher la jeune reine à Paris pour la présenter à son mari le roi d'Angleterre qui n'avait pas pu se déplacer. C'est au cours de cette cérémonie qui eut lieu au Louvre que se tissèrent les liens mystérieux entre le duc de Buckingham et Anne d'Autriche, raconté à sa façon par Alexandre Dumas dans “Les trois mousquetaires”. La première partie de la vie d'Henriette-Marie, dont le portrait se trouve à l'ambassade d'Angleterre à Paris, fut assez mouvementée, jusqu'au moment où elle fut obligée de fuir l'Angleterre à cause des rivalités entre son mari et Cromwell qui finira par le faire exécuter. Henriette-Marie, qui a donné son nom à un état des États-Unis, le Maryland, sera obligée de quitter l'Angleterre avec ses deux enfants dont l'un Charles, deviendra Charles II, pour échapper aux poursuites de Cromwell. C'est auprès de son frère Louis XIII, qu'elle vivra cette période chaotique de l'Angleterre qui le fut également pour la France, puisque ce fut celle de la Fronde. C'est un miracle pour elle de survivre à l'assassina de son mari, s'assumer la protection de ses enfants, bravant le dénuement le plus complet. Son fils put gagner l'île de Jersey puis l'Écosse et l'Irlande et réussit après la mort de Cromwell à regagner son trône. Mais ceci ne facilita pas la vie d'Henriette-Marie qui malgré la sollicitude d'Anne d'Autriche, était tiraillée entre les tensions de la cour de France notamment au moment de la Fronde. La mort de Cromwell le 13 septembre 1758, va changer sa destinée et le 29 mai 1660 Charles revient triomphalement à Londres, date coïncidant avec le mariage de Louis XIV avec l'infante d'Espagne, Marie-Thérèse. Henriette-Marie se décide alors, accompagnée de sa fille Henriette à rejoindre son fils à Londres. Elle vécut encore pendant dix ans entre Londres et Paris, assez peinée de voir les dilapidations des finances du royaume d'Angleterre par son fils Charles II. Elle devait mourir le 3 août 1669 à l'âge de soixante ans, un deuil général fut ordonné dans toute l'Angleterre et quarante huit heures plus tard, Bossuet montra en chaire pour prononcer l'oraison funèbre d'Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre. ‎

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