P., Plon, 1958, in-8, br., jaquette éd., II-562 pp., 14 cartes in-texte. (GD4B)
Dos décoloré.
P., Payot, 1929, in-8, br., non rogné, 156 pp., 8 cartes, 18 gravures hors-texte et une annexe. (CN4)
Deuxième édition postérieure de quelques jours à l'édition originale imprimée aussi en février 1929. Collection de Mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la Guerre mondiale. Joint prière d'insérer avec extraits de presse (7-29).Envoi du maréchal Pétain : "À la chère Madame Vignat dont l'affection vigilante est toujours prête à saisir les occasions de se manifester. Ph. Pétain - 25-2-31".
P., Émile-Paul, 1923, 3ème éd., in-8, br., non rogné, 414 pp., portrait-frontispice, index. (GF4A)
Colligées et annotées par le capitaine Tattet et publiées par Mademoiselle Feray-Bugeaud d'Isly. Marque d'appartenance manuscrite. Ex-libris Fr-Ch. Montet. Dos bruni.
MARMONT (Auguste-Frédéric-Louis Viesse De, Maréchal Duc De Raguse)
Reference : 829
(1857)
Deuxième édition. ÉDITION ORIGINALE avec titre de relais. Portrait frontispice du Duc de Raguse, 1 portrait en couleurs du Duc de Reichstadt, 4 fac-similés dépliant, 2 cartes gravées dépliantes, 1 tableau dépliant. Reliure demi-chagrin vert foncé. Dos à nerfs ornés de fleurons et de filets dorés. Trois tranches mouchetées. Intérieur avec quelques rousseurs.Nous joignons : LAURENT DE L'ARDECHE : Réfutation des Mémoires du Maréchal Marmont, Duc de Raguse devant l'histoire. ÉDITION ORIGINALE. H. Plon, 1857. In-8 demi-chagrin vert pomme, dos à nerfs, 444 pp.
Paris Perrotin 1857 In-8 Reliés 10 volumes Tulard, 963: "De premier ordre pour la jeunesse de Bonaparte, mais seulement pour cette période. Marmont ne déclare-t-il pas admirer le jeune officier et mépriser l'Empereur ? Ces mémoires très détaillés sur toutes les campagnes du duc de Raguse, appellent donc bien des réserves non seulement en raison du caractère tardif de leur rédaction mais aussi de leur volonté de présenter constamment l'auteur sous un jour favorable par rapport à Napoléon. Ce plaidoyer fut réfuté par Laurent de l'Ardèche en 1857".Ex-libris du Baron Charles d'Huart. Ex-libris d'Edward et Gertrude Blount.
Reliure demi-basane olive glacé. Dos à faux nerfs ornés de fleurons dorés. Intérieur avec rousseurs éparses. Orné de 3 portraits, 2 héliogravures et 1 fac-similé. Dos frottés.
Paris Plon 1895-97 Tome 1: 477 pp. Tome 2: 515 pp. Tome 3: 418 pp. Tome 4: 440 pp. Tome 5: 452 pp. In-8 Reliés Bel ensemble. Bien complet. 5 volumes Tome premier: 1804-1823. Tome deuxième: 1823-1831 Tome troisième: 1831-1847. Le portrait frontispice est détaché. Tome quatrième: 1847-1853. Troisième édition. Tome cinquième: 1853-1862. Troisième édition.
s.n.l. 1632 6 fascicules en 1 volume. In-12 19,5 x 14,5 cm. Reliure fin XVIIe, début XVIIIe s., plein veau havane, dos lisse ornés de fers dorés, pièce de titre maroquin grenat, 24-62-83-67-[4]-78-34 pp. Coiffes arrachées, mors fragilisés, coins émoussés et frottés, restaurations marginales. Ensemble de documents d’une relative rareté.
Le procès de Louis de Marillac (1572-1632), maréchal de France, est resté célèbre comme le procès irrégulier par excellence ; procès aux enjeux nombreux et aux rebondissements multiples, qui durera presque deux années. Arrêté aux lendemains de la Journée des Dupes comme l’un des membres du parti dévot, condamné pour le crime de péculat lorsqu’il était gouverneur de Verdun, Marillac est décapité en place de Grève le 10 mai 1632. Contient : Requêtes présentées à messieurs les commissaires de la chambre souveraine établie par le roi au lieu de Ruel, par le maréchal de Marillac,... avec les arrêts du conseil intervenus sur lesdites requêtes. (18-22 mars 1632.) - Pour ajouter au factum du procès du maréchal de Marillac, et pour servir à messieurs les commissaires d'éclaircissement sur les points d'accusation qui regardent sa conduite sur le peuple et sur les gens de guerre ; à l'emploi et ménage des deniers revenants bons. A la dépense et fourniture du pain de munition, et celles d'aucuns de ses gens. En des quittances prétendues fausses touchant le pain de munition et payements de cavalerie Factum du procès du maréchal de Marillac, à messieurs les commissaires députés par le roi - Discours de droit sur le factum du procès de monsieur le maréchal de Marillac employé en sa production - Discours de droit sur le factum du procès de monsieur le maréchal de Marillac employé en sa production - Relation véritable de ce qui s'est passé au jugement du procès du maréchal de Marillac, prononciation, et exécution de l'arrêt contre lui donné par les commissaires de la chambre établie à Rueil, et de ses dernières paroles et actions, devant et sur le point de sa mort (Fillotte) - L'esprit bienheureux du maréchal de Marillac à l'esprit malheureux du cardinal de Richelieu (par Mathieu de Morgues, d'après Donald A. Bailey ("Les pamphlets de Mathieu de Morgues", Revue française d'histoire du livre, 1978)) Bon état d’occasion
1929 Paris Payot 1929 In8 broché 154 pages illustrations photographiques dans le texte
On joint : - Les messages du Maréchal édition du secrétariat général de l information et de la propagande 96 pages (décembre 1941)- L'oeuvre du Maréchal 60 pages (décembre 1941)- Ouvrier ! connais les droits que le Maréchal t'a donnés par sa charte du travail signée le 4 octobre 1941 16 pages- Le Maréchal de France Philippe Pétain chef de l'état français 44 pages illustrations photographique- Henri Bordeaux Images du maréchal Pétain Sequana paris janvier 1941 126 pages- André Billard philippe Pétain chef de guerre chef d'état martyr et saint de France 1958 31 pages- André Billard Le Maréchal de France Philippe Pétain chef de guerre chef d état martyr et saint de France (4eme édition augmentée 1961) Illustrations- Maréchal Pétain la France nouvelle principes de la communauté suivis des appels et messages 17 juin 1940 17 juin 1941 fasquelle éditeurs 1941
MARECHAL SOULT [SOULT, Jean de Dieu, duc de Dalmatie, maréchal de France] - SIEUR LENOBLE, COMMISSAIRE ORDONNATEUR
Reference : 17328
(1806)
1806 une page, format : 23,3 x 36 cm, en-tête pré-imprimée en noir (les mots : Grande Armée 4ème Corps - au Quartier Général - Le - an - LE COMMISSAIRE ORDONNATEUR EN CHEF - A - ), écriture manuscrite à l'encre brune, sur beau papier velin de Hollande, ligné, filigrané "VAN DER LEY" , petite déchirure en haut de la lettre sur 2 cm, mais sans atteinte au texte, signature manuscrite de LENOBLE ( Pierre-Madeleine ) , successivement commissaire -ordonnateur des guerres, et intendant-militaire, Vu par le Maréchal d'Empire commandant en chef le 4ème corps d'armée.. Signature manuscrite du Maréchal d'empire SOULT, Commandant en chef du 4ème Corps d'Armée (Campagne de Prusse) fait à A PASSAU (CAMPAGNE DE PRUSSE) LE 22 JUILLET 1806,
le Texte de La LETTRE est le suivant . :............ Grande Armée 4ème Corps...Au Quartier-Général à Passau (allemagne), le 22 Juillet an 1806 Le Commissaire Ordonnateur en chef Provisoire...Ayant été chargé à Boulogne de la police Générale du Campement et de l'Habillement, comme Commissaire des Guerres, Certifie que lorsqhe le IVème Corps est parti de Boulogne, les Régiments ayant dû rremettre leurs effetsle jour même du départ et les apporter en magasin, il y eût impossibilité de faire la Recette d'aprés les formes prescrites par le Règlement du 12 Brumaire an 12. Son Excellence, Monseigneur le Maréchal Soult, ayant même appris que le départ de la troupe était retardé par l'opiniatreté du Garde-Magasin à exigé une remise régulière, se transporta au magasin et donna l'ordre au commissaire des Guerres de faire exécuter la Remise pour chaque Division, dans une Heure. Il fallut déposer par Régiments les Effets dans la rue et les reconnaitre précipitamment, en présence d'un officier de chaque Corps. Les Conseils d'Administrations ne pouvaient se former pour donner les autorisations exigées par le Réglement. Le Garde-Magasin a sans doute, écrit aux régiments et il n'y a pas de sa faute s'ils ont négligé l'envoi des pièces qu'on réclamait....Le Soussigné croit devoir déclarer que le Sieur Bayart Garde Magasinmérite des éloges pour avoir su conserver les effets au milieu de la précipoitation qu'il fallut mettre dans la Remise des effets de Campement de 40, 000 hommes, il se plait à certifier que pendant les 18/ Mois que le Sieur Bayart a été sous sa Police, il l'a reconnu pour un des meilleurs Employés de l'Armée; aussi, Lorsqu'il a appris que la Réforme des Employés de l'Habillement de la Grande Armée, le laissait sans place, Il Lui a offert une Place de Secrétaire dans ses Bureaux...Signé LENOBLE(commissaire -ordonnateur des guerres, et intendant-militaire).....Vu par le Maréchal d'Empire commandant en chef le 4ème corps d'armée.. Signé SOULT..........................document unique....en bon état (very good condition).
WACQUANT (Général baron de) Maréchal d'Empire (1754-1844) au service de l'Autriche de 1771 à 1844. Le baron de Wacquant, né en 1754 à Briey en Lorraine, fut un des généraux de l'Europe du XIXème siècle, qui a obtenu le plus de décorations, dont plusieurs sur le champ de bataille, où il fut présent. D'abord contre les turcs, ensuite contre les français. Il fut également un remarquable négociateur pour des missions de la plus haute importance auxquelles il prit part, en particulier en 1805, dans le traité avec Bernadotte, en 1807 dans « les affaires » de Braussan, en 1809 à la frontière de Salzbourg et de la haute Autriche, en 1814 dans la démarcation des frontières entre la France et l'Allemagne. Soixante quinze années de sa carrière militaire figurent dans ces 2 ouvrages. Mis en retraite en 1836. Il débute en 1771 sa carrière, dans le corps d'artillerie des Pays-Bas et la terminera comme "Feldzengmestre" en 1836. Tous les Diplômes des Grandes décorations ainsi que son parcours militaire sont présents dans cet important ensemble.
Reference : 114C27
Volume I. Le premier document daté de 1777, est signé de Bruxelles, par le général comte Joseph Jean de Ferraris (1726-1814). Officier général au service de l'Autriche, il fut un cartographe reconnu pour sa carte des Pays-Bas autrichiens, établie à cette date. De Wacquant servit sous ses ordres pendant cette période en particulier pour la « levée » de cette nouvelle carte. Jean de Ferraris sera à plusieurs reprises, l'officier qui validera les compétences du jeune soldat sur plusieurs autres documents. On trouve à la suite également de nombreux certificats signés par un grand nombre d'officiers autrichiens avec pour chacun apposé, le cachet de cire rouge de leurs armes : general major Stanislas Mikovényi de Breznobanya (1728-1802), Johan Graf Benedikt Nobili (1758-1823), Karl Nikolaus von Steinmetz (1719-1788), baron Bydeskuti von Ipp (1751-1799), général Karl von Batschek (1715-1802), Heinrich-Johann de Bellegarde (1757-1845), le comte Joseph Kinsky, (1731-1804) etc. La plupart des documents sont relatifs aux missions, aux conflits et à plusieurs batailles. (Prise de Sabatsch en 1788, action d'éclat à Galgenberg, attaque réussie à Seckenheim, siège de Valenciennes, etc.). Concernant le conflit avec la France, sur un même document deux minutes des lettres du général Chancel (1753-1794) figurent dans ce recueil. L’une est adressée à S.A.S le prince de Cobourg et la seconde à S.A.S Ferdinand duc de Wurtemberg. Ce témoignage historique relate la résistance de Condé. Il est daté du 23 mai 1793, pendant le siège. Le général Chancel rend réponse à l'offre de capitulation proposée par le prince de Cobourg. « Je n'en accepterai jamais que de cette nature. En conséquence, jaloux de mériter l'estime de votre A. S. et celle de mes concitoyens, je déclare que je conserverai jusqu'à la dernière extrémité la forteresse de Condé à la République française [....] Au dessus de tout intérêt personnel j'ai combattu loyalement et je combattrai de même jusqu'a la mort pour soutenir les droits sacrés de l'humanité et pour défendre la souveraineté de ma nation... ». Quant au prince Ferdinand de Würtemberg qui sera le grand vainqueur de Condé, il ajoute : « … S’il est jamais question de capituler, ce qui n’arrivera pas avant que tous mes moyens de défense soient épuisés, ce sera alors une consolation pour moi, et pour ma brave garnison d’avoir à traiter avec un général qui aura appris à nous estimer, et qui connait aussi bien que moi les lois de l’honneur. ». De Schwezingen, le 23 octobre 1797, Charles Louis d’Autriche lui recommandera d’être prudent pour s’emparer des portes de la ville du Wurzbourg afin de ne pas froisser « le Prince Evêque ». (Georg Karl von Fechenbach, 1749-1808). Pièce signée. Un an plus tard, le 21 décembre 1798, il signera l’ordre pour la rectification des limites de Wurzbourg. Pièce signée. Il sera le signataire de plusieurs autres documents, avril 1807, 1810. Faisant suite à la bataille d’Austerlitz, Ferdinand Charles Joseph Victor d’Autriche- Hesse (1781-1850) donnera le 10 décembre 1805, du quartier général de Steken « plein pouvoir » à de Wacquant pour « traiter avec l’officier major des troupes impériales françaises, que désignera à cet effet Monsieur le Maréchal d’Empire Bernadotte afin de déterminer en conformité de l’article 1er de l’armistice conclu le 6 décembre, la ligne de démarcation depuis Tabor jusqu’à Luiz. ». Pièce signée en français. Le 17 décembre suivant, il lui indique que « les prisonniers bavarois faits dans la journée du 5, avaient été mis sur le champ en marche sur Prague ; j’ai écris le 8 que je faisais arrêter cette marche ; le 9 décembre a été conclu, entre Monsieur le général de division Berthier et le lieutenant général Comte de Hohenzollern une convention par laquelle je m’engage à rendre ces prisonniers […] Un engagement pris en mon nom par mon chargé de pouvoirs devait ce me semble suffire à Monsieur le Maréchal… ». Pièce signée en français. 23 décembre 1805, il lui indique la conduite à tenir « il ne faut céder en rien » et le charge d’en informer Bernadotte. « Les nouvelles prétentions que forme le Maréchal Bernadotte et qu’il appuye sur des paroles du prince Jean de Lichtenstein ou sur un ordre du Maréchal Berthier sont entièrement opposés au terme précis de l’armistice, qui détermine d’une manière positive l’Est de la route, comme ligne de démarcation et Mr le Maréchal n’a pas plus le droit d’exiger au-delà de cette ligne, que je n’ai celui de lui céder d’avantage ; la lettre de l’armistice doit être notre règle commune de conduite… ». Pièce signée en français. On trouvera à la suite plusieurs documents signés en allemand par Ferdinand. (Certificats de bonne conduite et recommandations). En 1810, le comte de Vaublanc (1756-1845) alors Préfet de Moselle, adressera une lettre au baron de Wacquant, datée du 23 novembre, pour lui indiquer qu'il a écrit au ministre de l'Intérieur afin de faire annuler l'arrêt prononcé contre lui, pour avoir porté les armes contre la France postérieurement en septembre 1804, et « n'avoir pas profité de l'amnistie ». Lettre signée. Pendant les Cent-Jours, la Suisse étant appelée à veiller à la sureté de ses frontières, le baron d’Andlau (1766-1839) adresse d’Arlesheim, le 23 mars 1815, une lettre au baron de Wacquant, alors commandant général du corps autrichien et gouverneur de la forteresse de Mayence. Il lui exprime en réponse, ses idées dans les circonstances difficiles. « Le cas où nous devons nous trouver dans le plus grand embarras, menace déjà d’approcher. Plusieurs villes du voisinage en France ont arboré le drapeau tricolore et on suspecte le Maréchal Suchet de vouloir suivre l’exemple de son collègue Ney et se déclarer pour Napoléon, qui, d’après les nouvelles qui m’arrivent dans ce moment vient d’entrer à Paris. Comme les troupes Autrichiennes, trop faibles pour résister avec succès, se trouvent exposées par les bouleversements à quelque coup de main qui les fasse prisonnier ou du moins leur coupe la retraite en Allemagne par Basle si la gorge d’Aesch, éloignée de Huningue fut occupée, j’ai engagé Mr le commandant Maleck de se concentrer à Delémont situé à une distance assez considérable des frontières de la France, aussitôt que le danger approcherait… ». Lettre signée. 21 Juillet 1815. Frédéric Xavier de Hohenzollern, (1757-1844) délivrera un « plein pouvoir » au baron, pour traiter avec le général Rapp, alors encore en résistance aux assauts ennemis, après la défaite de Waterloo. Lettre autographe signée. Volume 2. Liste des décorations par ordre chronologique Brevets de sous-lieutenant, lieutenant, et de lieutenant capitaine, signés par le feld maréchal comte Pellegrini (1779, 1785, 1789). Brevet de chambellan du roi de Bavière. Pièce signée par Maximilien (1797). Brevet de colonel. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1800). Brevet de l'ordre de Marie-Thérèse. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1800), contresignée par Klemens Wenzel von Metternich (Metternich-Winneburg). Brevet de colonel du régiment d'infanterie de Iellachich. Pièce signée par François 1er d'Autriche. Brevet de colonel feldvachneister. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1805), contresignée par Charles Louis d’Autriche. Brevet de général-major-brigadier. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1807). Brevet de lieutenant feldmarschal. Pièce signée par François 1er d'Autriche (1809) contresignée par le comte de Heinrich- Johann de Bellegarde. Brevet de nomination en tant que colonel du régiment de Iellachich (1810). Décret de chambellan de S. M. Impériale (1812). Brevet de commandeur de l'ordre de Maximilien Joseph de Bavière. Pièce signée par Maximilien 1er de Bavière. Nomination de commissaire habilité à signer tous actes relatifs au traité de paix signé à Paris, le 30 mai 1814 avec le roi de France, et d'intervenir à la commission de démarcation qui va se réunir en exécution du traité. (Le traité de Paris du 30 mai fixe les frontières de la France après la défaite de Napoléon Ier qui est exilé à l’île d'Elbe) Pièce signée par François 1er d'Autriche, le 22 septembre 1814, contresignée par Klemens Wenzel von Metternich,, alors ministre d'Etat. Pièce en français. Nomination de commissaire habilité à signer tous actes pour délimitation de frontières. Pièce signée par François 1er d'Autriche, le 8 février 1816, contresignée par Klemens Wenzel von Metternich, alors ministre d'Etat. Pièce signée par Klemens Wenzel von Metternich (1773-1859) document relatif aux félicitations de l'Empereur pour cette mission. Pièce signée 12 juillet 1816. Brevet de chevalier Grand Croix de l'ordre de St Vladimir, brevet donné pour sa présence près des troupes russes contre les français en 1813 et 1814. Pièce signée par Alexandre 1er de Russie (1819) en russe et en français. Nomination pour la baronne de Wacquant (sa deuxième épouse, née Marie-Anne de Wolff) comme dame d'honneur près de la reine de Bavière, signée Maria-Amélia. Brevet de confirmation comme dame d'honneur près de la reine de Bavière, signée Maria-Amélia. Nomination en tant que Président du Conseil supérieur de la guerre (1833). Brevet de Grand croix de l'ordre de Hesse. Pièce signée par Louis II de Hesse. Avis de Brevet de Feldzengmeister (1835). Attestation relative à la bataille d'Arperne. Pièce signée le 14 avril 1836 par le comte de Heinrich-Johann de Bellegarde. (Un des principaux généraux des armées autrichiennes pendant les guerres napoléoniennes. il fut gouverneur de la Galicie et du Milanais. Brevet d'admission à la retraite (1839). Brevet du grade de Feldzengmeister. Pièce signée par l'Empereur Ferdinand 1er. Un précieux recueil d'évènements et témoignages pour l’histoire de l'Autriche.
Un lot de 6 documents, revues et disques concernant le Maréchal Pétain : - N° 124 - 4 août 1951 de "Paris Match" : "Le Maréchal Pétain cahier spécial" (le reportage complet de ses obsèques, les meilleures photographies de sa vie, sa dernière lettre). - N° Hors série (1965) de "Le Monde et la Vie" : "Pétain vingt ans après serait acquitté". - Portrait officiel cartonné du Maréchal Pétain (245 x 335 mm) couleurs avec support de fixation. - disque 33 tours "Philippe Pétain Maréchal de France" (collection XSERP "Hommes et Faits du XXe siècle". - N° 5096 (9/11/1940) et 5101 (14/12/1940) de l'Illustration avec à la une de chacun le Maréchal Pétain : "L'entrevue historique du 24 octobre 1940" et "Le Maréchal Pétain visite deux grands ports Méditerranéens".
6 documents, portraits, disques, revues
Phone number : 04 74 33 45 19
[De l'Imprimerie D'Everat] - DUPIN ; MARECHALE BRUNE ; [ VEUVE du MARECHAL BRUNE, Angélique ]
Reference : 66581
(1819)
1 brochure in-4, De l'Imprimerie D'Everat, rue du Cadran [ Paris ], s.d. [ 1819 ], 12 pp.Requête de Mme la Maréchale Brune au Roi [ Edition originale ] "Sire, …Un horrible attentat a été commis sous le règne de Votre Majesté. Un des grands officiers de la Couronne, un Maréchal de France, a été lâchement assassiné ; et, depuis près de quatre ans, ce crime, si public, si notoire, si révoltant, n'a pas été puni […] Pourquoi, à l'insu de Votre Majesté, dans son propre palais, la mort du Maréchal a-t-elle reçu une sorte de ratification ? On a craint apparemment que son image resté dans le salon des Maréchaux ne vous rappelât le forfait, et qu'en traversant cette salle pour aller prier Dieu qui protège la France, il ne vous vint à l'esprit de faire punir les coupables…. [ ... ] Je demande justice, Sire : Justice du meurtre de mon époux ; Justice de l'outrage fait à son cadavre ; Justice de l'insulte faite à sa mémoire par ceux qui ont osé l'accuser de suicide [... ]"
Le Maréchal Brune avait été tué par la foule à Avignon le 2 août 1815, mais la presse repris l'hypothèse infâmante du suicide. Son épouse, défendue par le célèbre avocat Dupin, obtint du roi le droit de poursuivre les assassins, la reconnaissance que le maréchal n'avait pas porté la tête de la princesse de Lamballe comme on l'en accusait injustement et le retour de son portrait parmi la galerie des Maréchaux de l'Empire. Etat très satisfaisant (dos et couv. frottés avec petites mouill., bon état par ailleurs).
Tapuscrit de 5 feuillets dactylographiés recto verso (10 pages) avec dédicace manuscrite à Madame la Maréchale Pétain «en témoignage de fidélité et de / dévouement à la mémoire de son mari / avec l’expression de mon plus profond respect / R.D. Payolle/ Décembre 51 » Ce document relate les manifestations qui eurent lieu, 48 h durant, à l’Arc de Triomphe, en hommage au Maréchal, décédé le 23 juillet. A partir du 25 juillet, vers midi, «des centaines de personnes se pressent déjà … chaque nouvel arrivant apportant des fleurs…La dalle disparaît sous les bouquets ...L’émotion, une émotion collective s’est abattue sur nous … Ce n’est plus la tombe du Soldat Inconnu qui est devant nous…C’est la tombe du Maréchal! Et voici qu’une voix a entonné la Marseillaise… Oh quelle étrange, quelle bouleversante Marseillaise fut balbutiée là, à votre adresse, Monsieur le Maréchal! Elle ne pouvait sortir des gosiers … Des femmes sanglotaient à petit bruit...» Jusqu’au soir du 26 juillet, la foule afflue. L’auteur relève et cite plusieurs inscriptions figurant sur les bouquets de fleurs déposées sans interruption. Il est le témoin des prières et des Marseillaises entonnées par tous. Le souvenir lui revient du Maréchal le 28 avril 1944 devant l’hôpital Bichat:«A sa sortie, la foule a rompu les barrages … Une pauvre femme s’est avancée; elle tient dans ses bras un petit garçon de 3 à 4 ans, et lui prenant la main elle lui fait toucher l’étoffe de la tunique étoilée.» Le 27 juillet à 7h30, «les drapeaux sont rassemblés … La manifestation… a été la grandeur du Disparu … C’est le commencement… nous continuerons… L’histoire fera le reste.» Emouvant témoignage.
[Librairie Administrative de Paul Dupont] - LOUIS XV ; NOAILLES, Maréchal de ; (RANDON, Maréchal Comte ; ROUSSET, Camille)
Reference : 53474
(1865)
2 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chagrin rouge, dos à 5 nerfs orné, couvertures conservées, Librairie Administrative de Paul Dupont, Paris, 1865, CCXL-240 pp., 421 pp.. Rappel du titre complet : Correspondance de Louis XV et du Maréchal de Noailles (2 Tomes - Complet) [ Exemplaire annoté par Sainte-Beuve ] publié par ordre de Son Excellence Le Maréchal Comte Randon d'après les manuscrits du dépôt de la Guerre, avec une introduction par Camille Rousset [ Exemplaire annoté par Sainte-Beuve ]
Exceptionnel exemplaire de Charles-Augustin Sainte-Beuve, enrichi des notes manuscrites autographes du célèbre critique (avec de nombreux traits légers au crayon en marge devant les passages intéressants, l'essentiel des notes manuscrites au crayon, de son écriture bien reconnaissable, étant reporté au recto de la seconde couverture conservée dans chaque tome, une annotation manuscrite précisant Notes de M. Sainte-Beuve) ; Sainte-Beuve publiera le compte-rendu du présent ouvrage dans ses fameux "lundis", le lundi 31 juillet et le lundi 11 août 1865. Etat très satisfaisant (dos un peu frotté, un coin plié, très bon état par ailleurs)
PARIS, Plon, 1932 - 2 vol. in-8 br - frontispice, 491 pages & frontispice, 468 pages - 42 gravures & 21 cartes in-txt et planches h.t - grande carte dépliante à la fin de chaque volume - Beaux Ex - envoi rapide et soignéAutre Exemplaire - Avec Mention "Exemplaire de l'Edition Originale" - Comme neuf - en partie non coupé - Très bel exemplaire : 60
"... Il est de notoriété publique que le maréchal avait confié le soin de la rédaction à deux officiers, à qui il remettait ses archives privées ; bien que le texte ait été revu par le maréchal, ces souvenirs ont un tour moins personnel que tant d'autres, et, si la préoccupation de mettre en lumière le point de vue de l'auteur n'en est, certes, pas absente, au moins la polémique est-elle plus modérée. C'est la direction générale des opérations dans tous ses aspects qu'évoquent ces mémoires. Les relations avec le gouvernement français et les commandements alliés, la question des effectifs et de l'armement, celle des « théâtres extérieurs » d'opérations y tiennent une large place. Par contre, le détail des opérations y est traité avec discrétion : il est significatif que les Mémoires passent très rapidement sur les attaques locales, inutiles et sanglantes, des premiers mois de 1915 et que le maréchal, bien qu'il reconnaisse l'insuccès total de ces opérations, semble avoir jugé superflu de répondre aux critiques qui lui ont été adressées à ce sujet. Les rédacteurs mettent l'accent sur tous les faits, sur toutes les initiatives qui peuvent montrer comment le maréchal Joffre, grâce à son prestige personnel, parvenait à exercer dans la conduite de cette guerre de coalition une influence prépondérante et comment il était en train de réaliser, au moment où il allait être contraint d'abandonner son commandement, une cohésion sérieuse entre les alliés. Au moins ces mémoires, parce qu'ils citent des documents, des comptes-rendus d'entretiens et des précisions numériques, sont-ils, pour l'histoire de la guerre, une contribution beaucoup plus importante que ceux du maréchal Foch." (Pierre Renouvin, Revue Historique, 1937) - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, Collin, 1807 ; in-8, demi veau brun du XIXè s. 1 f. n. ch., 382 pp., portrait hors-texte"EDITION ORIGINALE. ""Dans le livre De la vertu, il y a du Pascal après les découvertes de Herschell… Singulière rencontre du janséniste et du francmaçon. L'œuvre de S. Maréchal peut être figuré par le triangle maçonnique ; aux trois pointes il nous suffit d'inscrire : Athéisme, Egalité, Vertu... Bon nombre de ces maximes se présentent sous l'enveloppe d'images fortes et saisissantes... Il va quelquefois chercher des images chez les orientaux... J. J. Rousseau est ici présent comme dans tous les ouvrages de Maréchal"" Fusil. S. Maréchal ou l'Homme sans dieu p. 262. La Notice sur S. Maréchal (pp. 1 à 72) est de Madame Gacon Dufour. Le livre de tous les ages (pp. 273-378) avait déjà paru en 1778. Ce sont des quatrains commentés, dans le style de Pibrac. Dommanget. S. Maréchal l'égalitaire pp. 465-66" Un plat détaché
P., Plon, 1963, in-8, br., 240 pp., 32 cartes in-texte. (SC79)
Traduit de l'anglais par René Jouan.
CONVERSATIONS DU CHEVALIER DE MERE AVEC LE MARÉCHAL DE CLERAMBAULT (LES) - 1669.
Reference : 1324986
P., Stock, 1929, pet. in-12, br., couv. rouge rempliée, 190 pp. (SC44)
Petits manques de papier au dos.
P., Les Îles d'or, 1947, in-4, br., non coupé, 36 pp. (GC15B*)
Préface du général Weygand.
P., Plon, 1953, in-8, br., non coupé, VI-410 pp., 17 ill. h.-t., 3 fac-similés. (SA64B)
Le soldat. L'homme. Le politique.
P., Plon, 1957, in-8, br., 192 pp. (SC43)
Annotations et soulignures au stylo bille vert.
P., Fayard, 1961, in-8, br., jaquette éd., 314 pp., 7 cartes. (DD4)
Lettres et documents inédits rassemblés par Walter Gorlitz. Avant-propos d'Ernst Alexander Paulus.
P., Avalon, 1986, in-8, toile éd., 168 pp., ill. in-t., cartes. (SC67)
Préface de Me Isorni.
P., Payot, 1941, in-8, br., 156 pp., 8 cartes, 18 reproductions hors-texte. (S5B15)
Lyon, Lardanchet, 1941, in-12, br., non coupé, non rogné, XXII-256 pp. (GB22A)
Messages et écrits 1934-1941