4 books for « marchal charles jacob »Edit

‎Lettres et propositions sur le choléra par le docteur Marchal (de Calvi).‎

‎Paris P. Asselin 1866 In-8 (h. 22,5 cm.) 560 pp. broché. ‎

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‎Exemplaire non coupé. Quelques piqûres à la couverture sinon bon exemplaire. Charles Jacob Marchal né à Calvi (Haute-Corse), le 4 juillet 1815, mort à Paris en 1873. Médecin, il devient professeur agrégé d’Hygiène à la faculté de Paris et il obtient la chaire d’anatomie et de physiologie à l’hôpital militaire du Val-de-Grâce. (source BNF) Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.‎

‎Question de l'embaumement ‎

‎Paris J.-B. Baillière 1843 in-8 dérelié ‎

‎titre, IV pp., 29 pp. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF, à l'Académie de médecine, et à la BIUM. Il s'agit de l'une des pièces de la controverse opposant le célèbre Jean-Nicolas Gannal (1791-1852) à ses confrères, médecins ou embaumeurs, sur la paternité de l'embaumement par injection de sulfate d'alumine dans les artères carotides. Un jugement de 1844 lui fit au demeurant perdre le monopole de cette pratique, dont le brevet avait pourtant été déposé en 1837.Charles-Jacob Marchal (1815-1873) était professeur d'anatomie pathologique et de physiologie au Val-de-Grâce ‎

‎Lettre autographe signée‎

‎[Corse] Charles Jacob Marchal dit Marchal de Calvi (1815-1873), médecin, titulaire de la chaire d'anatomie et de physiologie du Val de Grâce, républicain. L.A.S., Paris, 30 décembre 1862, 1p in-8. Lettre amicale à un « inspecteur », probablement du Val-de-Grâce, qui lui a prêté des livres. [277-2] ‎

‎Né à Calvi. 1815-1873. Médecin français. Il obtient une chaire d'anatomie et de physiologie à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce. L.A.S. "Marchal de Calvi" à une dame. S.l., 30 janvier 1870. 2/3 page in-8‎

‎ 30/01/1870 Surchargé de travail, Marchal de Calvi n'a pu répondre plus tôt à la gracieuse lettre de sa correspondante. Elle devait probablement l'inviter car le médecin ajoute ... J'aurais été très heureux que ma Jeanne eût pu en profiter, mais figurez-vous qu'elle souffre en ce moment d'une grosse engelure qui l'empêche de se chausser et que je n'ai pas voulu guérir (...) Tâchez donc de penser tous les jours à votre huile. C'est le meilleur moyen de me voir qu'en ami...‎