Lithographie originale encadrée sous verre, signée au crayon dans la marge. Dimensions de l'image seule 49 x 44 cm ; dimensions totales cadre compris, 68 x 55 cm. Remise en main propre de préférence, possibilité d'envoi via colissimo mais sans le verre pour raisons de sécurité, 15
Né dans une famille d'orfèvre, Marcel-Lenoir se rend à Paris en 1889. Il y fréquente l'École des arts décoratifs, et les cours du fresquiste Paul Baudoüin à l'École nationale supérieure des beaux-arts, puis découvre les artistes du Moyen Âge français et italiens au musée de Cluny puis au musée du Louvre. Passionné par le symbolisme, il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix, il découvre dans le même temps les uvres du Suisse Arnold Böcklin, de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes. Il abandonne le symbolisme vers 1902-1903 pour une inspiration plus proche de la nature : la matière de ses uvres devient plus empâtée, les teintes plus vives, la perspective se déforme progressivement, la couleur est posée en à-plat avec un effet d'étagement vertical de la composition, audaces formelles imaginées par les Nabis vingt ans auparavant. Puissant coloriste dont les effets de matière évoquent les Fauves notamment d'Europe centrale. En recherche perpétuelle de nouvelles solutions stylistiques, son uvre est une recherche d'un âge d'or qui ne cesse de parcourir la peinture française depuis la fin du xixe siècle. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
S.n., s.l. circa 1900, 49x40,5cm, une feuille sous marie-louise encadrée.
Croquis et dessins à la plume représentant des nus masculins et féminins, seuls ou en couple. Signature de l'artiste dans le bas de la feuille. Le dessin est consigné dans un cadre en bois brut. Marcel-Lenoir, pseudonyme de Jules Oury (1872-1931) est un peintre français.Passionné par le symbolisme, il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix, il découvre dans le même temps les uvres du Suisse Arnold Böcklin, de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes. Alberto Giacometti avait une immense admiration pour lui et disait : «Pour moi, c'était à l'époque le plus grand, ... il avait une manière de peindre par facettes qui n'était qu'à lui. Il faisait sur moi une profonde impression». - Photos sur www.Edition-originale.com -