Anonyme [M.D.T.], fin 18ème, 2p in-4. Poème grec avec sa traduction française en regard, publié en 1791 dans L'Almanach des Muses de 1791 et dans L'Esprit des Journaux d'avril 1791, signé M.D.T. (Monsieur de T*** ?). Il est alors titré : L'avare bon calculateur. Un avare explique à son fils pourquoi il ne faut pas donner d'argent au curé : s'il est condamné, c'est « argent perdu », s'il est sauvé, c'est un « secours de trop ». « Mais supposons enfin le Purgatoire, mon père [réponds le fils]. Oh dans ce cas, dans ce cas j'attendrais ». Sous le texte grec, quelques notes du traducteur. Premier feuillet sali. Ce texte sera à nouveau publié en 1848 (Petit trésor de poésie récréative) et en 1876 (L'aimable compagnon).