6 books for « madame manson »Edit

‎Mémoire de Madame Manson explicatifs de sa conduite dans le procès de l'assassinat de M. Fualdès ; écrits par elle-même et adressés à Madame Enjalran, sa mère‎

‎Paris, Pillet, 1818. In-8 (205x130mm) relié en demi-cuir brun, dos droit avec pièce de titre rouge ; XXXII - 190 p. Plusieurs marques de tampon dans les marges de tête. Très bon état intérieur malgré quelques rousseurs. Reliure frottée au coin et mors fendu sur 4.5 cm en pied. L'état général en reste néanmoins plus que correct.‎

‎Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le procès de l'assassinat de M. Fualdès- écrits par elle-même et adressés à Mme Enjalran, sa mère‎

‎Chez Pillet. 1818. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Papier jauni. xxxij+190 pages. Couverture très défraîchie. Coins frottés. Accrocs au dos. Fortes mouillures. Salissures. Nombreuses rousseurs. Partiellement déboîté. Portrait, vignettes et fac-similé en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎ Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

‎Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le Procès de l'Assassinat de M. Fualdès ; écrits par elle-même et adressés à Madame Enjalran, sa mère [ Avec : ] Mémoires de M. Clémandot, en réponse à ceux de Mme Manson [ Avec : ] Confidences de Victoire Redoulez, femme-de-chambre de Mme Enjalran, et Nourrice de Mme Manson, en réponse aux Mémoires de M. Clémandot‎

‎1 vol. in-8 cartonnage de l'époque : Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le Procès de l'Assassinat de M. Fualdès ; écrits par elle-même et adressés à Madame Enjalran, sa mère , avec portrait, vignettes et fac simile, septième édition, Chez Pillet, Paris, 1818, 190 pp. et 1 f. [ Avec : ] Mémoires de M. Clémandot, en réponse à ceux de Mme Manson, Troisième édition, Chez Ladvocat, et chez Alexis Eymery, Paris, 1818, 1 f., 107 pp. [ Avec : ] Confidences de Victoire Redoulez, femme-de-chambre de Mme Enjalran, et Nourrice de Mme Manson, en réponse aux Mémoires de M. Clémandot, Chez Plancher, Paris, Avril 1818, 84 pp.‎

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‎Bon exemplaire (ex-libris Jos. Mar. Ama. Correard) réunissant 3 titres relatifs à la très fameuse affaire Fualdès, qui défraya la chronique dans les années 1817-1818.‎

‎Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le procès de l'assassinat de M. Fualdès ; écrits par elle-même et adressés à Madame Enjalran, sa mère, avec portrait, vignettes et fac simile. 3eme éd.‎

‎ 1818 br. couv. imprimée (manque partie du dos). in-8, portrait, XXXII-190pp. (1f.), fac-simile, P. Pillet 1818,‎

‎Deux vignettes sur bois representent l'auteur dans la prison des Capucins et son fils. ‎

‎Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le procès de l'assassinat de M. Fualdés, écrits par elle même et adressés à Madame Enjalran, sa mère.‎

‎ Pillet A Paris, chez Pillet, 1818. In-8 relié demi basane brune à petits coins, dos lisse à filets et fleurons dorés.XXXII + 190 pages. Avec portrait en frontispice, vignettes et fac similé dépliant. Une page présente une déchirure en marge sans manque ni atteinte au texte, quelques brunissures ou rousseurs. Bon exemplaire. ‎

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‎Mémoires de Madame Manson, explicatifs de sa conduite dans le procès de l'assassinat de M. Fualdès; écrits par elle-même et adressés à Madame Enjalran, sa mère.‎

‎Paris, Pillet, 1818. In-8 de XXXII, 190 pages et 1 feuillet de catalogue du libraire Pillet. Avec un portrait frontispice, des vignettes et un fac- simile. Seconde édition. Beau demi-veau vert d'époque, dos lisse très orné, pièce de titre rouge.‎

‎LAffaire Fualdès est une affaire judiciaire qui défraya la chronique judiciaire de 1817 à 1818 dans la France de la Restauration et na cessé par la suite de susciter les passions. En effet, lancien procureur impérial Fualdès a été égorgé dans la nuit du 19 au 20 mars 1817 à Rodez, puis son corps fut jeté dans les eaux de lAveyron. Cest la France tout entière, puis lEurope et même lAmérique qui bientôt se passionnent pour cette énigme de province appelée à devenir une des plus célèbres affaires judiciaires du xixe siècle. Il sy mêlaient des considérations politiques puisque lassassiné était accusé dêtre bonapartiste, que ses agresseurs étaient au contraire dans la mouvance royaliste et que le premier procès les condamnant à mort fut cassé à la fin de lannée 1817. Victor Hugo en parle au chapitre 169 des Misérables et Balzac y fait également allusion. ‎