Par la Compagnie des Libraires. 1720. In-12. Relié plein cuir. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos à nerfs, Intérieur acceptable. 516 pages - contre plats jaspés - tranches rosées - ornements dorés autour des contre plats - dos à 5 nerfs - titre, tomaison et caissons dorés sur le dos - coiffe en pied abîmée - épidermures sur les plats - coins frottés - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Tome 8 contenant les exilez. Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
[Curiosa - Cocuage] Marie-Catherine Desjardins, dite Madame de Villedieu
Reference : 002884
Fribourg, s.n., 1695. In-12, 71p. Nouvelle édition de cet ouvrage paru en 1668, ici avec un titre à la sphère. Cette édition se rencontre assez peu. On l'attribue traditionnellement à Madame de Villedieu, mais Cioranescu l'attribue plutôt à Jean Donneau de Visé. Quoiqu'il en soit, il s'agit ici d'un amusant petit ouvrage sur le cocuage. "La plupart des hommes ne sont jaloux que de leur réputation, [pendant] que les femmes ne sont jalouses que de leurs maris." (p.23) Reliure signée Elsa Rambour (moderne), bradel, pleine peau de chevrette blanche, tranches dorées, dos muet. Très bel exemplaire, ouvrage rare sur le cocuage.
VILLEDIEU Marie Catherine Madame de & GRIMAREST Jean léon Le Gallois de
Reference : 66205
(1733)
Chez Abraham L'Enclume, à Amsterdam 1733 - 1706, In-12 (9x16,5cm), (4) 508pp. ; (4) 67pp. (1), relié.
Nouvelle édition après la rare originale parue en 1671. Page de titre en rouge et noir. Le second ouvrage de Grimarest sur la vie de Molière se trouve en édition originale (Chez Jacques Le Febvre et Pierre Ribou, 1706). Reliure en pleine basane brune marbrée. Dos lisse orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Manques en tête. Frottements en coiffes, mors, coins et bordures. Autobiographie galante contée d'une manière légère et pleine d'esprit et qui commence par une tentative de viol et un meurtre. L'héroïne adresse son récit à une altesse qui lui en a demandé l'histoire. Les différents épisodes de sa vie tumultueuse et toujours galante prennent ainsi toujours la voie du bon goût et de la distance. On est là beaucoup plus proche d'une langue classique, bien éloignée des excès baroques du temps de Madame de Villedieu. - Photos sur www.Edition-originale.com -