Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, Editions Robert Laffont 1947, reliure demi basane rouge ( très légère petite tâche peu visible sur le premier plat: voir photo ), coins supérieurs très légèrement frottés, plats marbrés, tranche supérieure dorée, couverture conservée, 16 pages comportent quelques légères jaunissures ( voir exemple en photo ) sinon l'intérieur est propre. Ouvrage illustré de 10 eaux-fortes de Marie Laurencin, 1 / 230 exemplaires sur pur fil Marais ( celui-ci: n° 191 ), 205 pages. Bel exemplaire.
Plus de photos sur demande.
Paris, Michel Lévy Frères, 1860. 2 volumes in-8°, demi-chagrin noir, dos à nerfs, caissons encadrés de filets à froid (reliure de l'époque). [2] ff. - XXVI pp. - [1] f. - 462 pp. ; [2] ff. - 582 pp. - [1] f. (erratum).
Edition publiée par la nièce de Madame Récamier, dix ans après sa mort. Dans ses dernières volontés, elle avait ordonné la destruction de ses Mémoires. Mais dans le reste de ses papiers, on a retrouvé quelques fragments, notamment ceux dont Chateaubriand s'était servi pour la rédaction des Mémoires d'outre-tombe et quelques lettres à celui-ci et à Mathieu de Montmorency. Madame Récamier (1777-1849) avait accueilli dans son salon, du Directoire jusqu'à la fin de la Monarchie de Juillet, tous les grands esprits de son temps dont le jeune Prosper de Barante. "Etre protégé par Madame Récamier fut pendant plus de trente ans la plus infaillible des recommandations." disait Sainte-Beuve.(Tulard, n° 1214 ; Bertier de Sauvigny, n° 853).Bon exemplaire.
Amsterdam, aux dépens de l'Auteur, [puis] aux depens de l'Editeur, 1755-1756. 15 tomes en 8 volumes in-12, veau marbré, triple filet en encadrement des plats, fleur de lys en écoinçon, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Edition originale.Un titre gravé et deux portraits de Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon, en frontispice des tomes I et III, gravés par G. Sibelius et C.F. Frihsch. Liste des souscripteurs en déficit.Le livre fut mis à l'index et valut à La Beaumelle (1726-1773) un séjour à la Bastille. Il publia, un an après, la correspondance de Madame de Maintenon.(Bourgeois et André, S.H.F., II, 1188 ; Quérard, La France littéraire, t. IV, p. 330 ; Barbier, III, 242, Brunet, III, 1321-1322).Le tome VIII contient les Lettres de Messire Paul Godet des Marais , Evêque de Chartres, à Madame de Maintenon, recueillies par M. l'abbé Berthier. Bruxelles, Ant. Bruyn, 1755. XIV-300 pp. Mgr Godet des Marais (1647-1709) était le confesseur de Madame de Maintenon et un des directeurs spirituels de la Maison de Saint-Cyr."De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l'obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d'un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l'âge mûr, quel roman que cette vie !" (Françoise Chandernagor, L'allée du roi. Paris, Julliard, 1981).Défauts d'usage : trois mors fendillés, accroc aux coiffes ; insolation au premier plat du t. VIII.Bon exemplaire en reliure uniforme.
Madame De Staal De Launay, Mémoires, Editions Jouaust 1890, 2 volumes, reliure demi basane brune, plats marbrés, dos 5 nerfs ( petit manque sur le haut du dos du vol. 2 ), titre doré, ouvrage orné de 41 eaux-fortes par AD. Lalauze dont un frontispice, 203 p. et 211 p., bel exemplaire.
SILLERY-BRULART Madame de ( Gouvernante de Mademoiselle d'Orléans ).
Reference : AL744
Madame Sillery Brulart, Leçons d’une gouvernante à ses élèves, A Paris chez Onfroy 1791, 2 volumes reliés demi basane rouge, plats marbrés, dos à faux nerfs décorés or et noir, 371 p. et 580 p., bel exemplaire.
Photos sur demande.
Madame Marie, Carnet de bord des pensionnaires sous les bombes, Poulet-Malassis 1949, préf. de M. Lebas, photo. h. t., 237 p., qq. lég. rous. sur la couv. et sur qq. pages, bon ex.
Paris, librairie française et étrangère 1847. Traduit du suèdois par Melle R. du Puget. In 8° broché de 561 pages. Couverture déchirée avec manque n'affectant pas le texte, petites étiquettes anciennes sur le dos, mouillure claire, marginale en début et en fin de volume, papier blanc.
Paris, Charavay Frères, Éditeurs, 1882. In-8°, demi-percaline bleu à coins à la Bradel, chiffre estampé en pied du dos, couvertures conservées (Paul Vié). LXXXIV-188 pp.
Portrait d'Henriette d'Angleterre, gravé à l'eau-forte par Boulard fils, en frontispice. (Vicaire, IV, 867).Bel exemplaire au chiffre de l'écrivain et critique d'art Philippe Burty (1830-1890), avec un envoi d'Anatole France.
Paris, Bossange Frères ; Imprimerie de Firmin Didot, 1826. 4 volumes in-8°, demi-veau glacé havane, dos lisses ornés, tranches marbrées (reliure de l'époque). II-482 pp. ; 448 pp. ; 486 pp. ; 540 pp.
Edition originale de cette importante correspondance sur les affaires d'Espagne, entre Mme de Maintenon et Marie-Anne de La Trémoille (1642-1722), princesse des Ursins, dame de compagnie de la reine d'Espagne, épouse de Philippe V, le petit-fils de Louis XIV. Saint-Simon disait de la princesse des Ursins qu'elle avait "beaucoup d'ambition, mais de ces ambitions vastes fort au-dessus de son sexe et de l'ambition ordinaire des hommes, et un désir pareil d'être et de gouverner. C'était encore la personne du monde qui avait le plus de finesse dans l'esprit sans que cela parut jamais."Bel exemplaire.
1900 Paris, Felix Juven éditeur et chez l'auteur, 1900. In 8° (230 X 165) relié en percaline, pièce de titre de cuir fleuron sur le dos. 4 ff., 1 frontispice (photographie légendée d'une main) , 279 pp. et des photographies et croquis à pleine page hors-texte. Couvertures conservées avec de menus défauts, un manque angulaire en queue au premier plat, une petite déchiruer sans manque au deuxième. Long et bel envoi autographe de l'auteur à une amie sur un feuillet blanc en tête.
1859 Paris, Hachette 1859. In 12° broché de 172 pp. + 4 pp. du catalogue de la bibliothèque des Chemins de fer. Couverture imprimée avec la locomotive au deuxième plat, manques de papier au dos.
Paris, Librairie Paul Ollendorff, 1899. In-8°, demi-veau grenat, dos à nerfs orné d'un fleuron doré (reliure de l'époque). 329 pp.
Quatrième édition de ces souvenirs des milieux légitimistes, proches du comte de Chambord, sous la Restauration et le Second Empire. (Bertier de Sauvigny - Fierro, n° 578).Ex-libris manuscrit de Victor Reille, descendant du général d'Empire.Dos passé néanmoins bon exemplaire.
1927 Paris, Calmann-Lévy, éditeurs. 1927. Préface de P. - L. COUCHOUD. In 8° broché de 237 pages. Edition originale. Fente au dos, bon état par ailleurs.
Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1818. 12 volumes. - Mémoires de M. de Coulanges, suivis de Lettres inédites de Madame de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges, d’Arnauld-d’Andilly, d’Arnauld de Pomponne, de Jean de La Fontaine… Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1820. 1 volume. Soit 13 volumes in-12, maroquin bleu nuit à grain long, roulette à fond perlé sertie de filets droits autour des plats, dos lisses ornés d’un décor doré à fond criblé, damiers dorés en pied, chaînette intérieure dorée, doublures et gardes de tabis parme, tranches dorées. Riche reliure de l’époque signée Lefebvre. 162 x 98 mm.
Précieuse édition collective originale de format in-12 des « Lettres de Madame de Sévigné ». Première édition critique des Lettres de Madame de Sévigné, établie par Louis-Jean-Nicolas Monmerqué (1780-1860). Parues en 1818, en 10 volumes in-8, chez J.J. Blaise, celui-ci en donna la même année cette édition en 12 volumes in-12. Les Mémoires de M. de Coulanges parurent simultanément en 1820 dans les deux formats. Tchemerzine loue grandement la première édition critique de Monmerqué imprimée en 1818. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe siècle. La première édition critique est celle de Monmerqué [Paris, Impr. De P. Didot l’aîné : J.J. Blaise, 1818-1819, 10 vol. in-8] ; elle contient près de cent lettres inédites et plus de trois cents fragments également inédits. » (Tchemerzine, V, 829). « L’édition Monmerqué de 1818 est la meilleure que l’on eût jusqu’alors de cette immortelle correspondance (elle est ornée ici de 4 portraits, 6 fac-similé et une planche de monnaie). Il est convenable de réunir à cette édition le volume intitulé : Mémoires de M. De Coulanges ; suivis de Lettres inédites de Mme de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges… Paris, Blaise, 1820, in-8 ». Brunet. Ces deux volumes sont ici réunis. « M. de Monmerqué a fait jouir le public du véritable texte de madame de Sévigné, par une édition augmentée de quatre-vingt-quatorze Lettres inédites, de deux cent quarante-six Lettres auxquelles il a restitué des passages également inédits, et de deux cent cinquante-six Lettres, ou qui n’avaient pas été réunies à la collection, ou dans lesquelles il a été rétabli des passages imprimés en 1726, en 1734, mais retranchés ensuite par des considérations qui n’existent plus. En conférant les diverses éditions originales, en méditant les mémoires du temps, il a rétabli une foule de passages omis ou altérés, et il a résolu des difficultés sans nombre. Les avantages d'un travail aussi précieux sont développés par l’éditeur dans une Notice bibliographique ; et M. de Saint-Surin y a joint une Notice fort étendue sur madame de Sévigné, sur sa famille et ses amis. Cette édition est le résultat de tant de recherches, qu’on peut la considérer comme la source où puisent avec plus ou moins de liberté tous ceux qui réimpriment les Lettres de notre inimitable épistoliaire ». Le dernier volume est terminé par une table analytique et alphabétique. Quelques exemplaires de luxe furent imprimés sur papier vélin. Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Neveu par alliance de Jean-Claude Bozérian, Lefebvre travailla un temps avec son oncle, avant de reprendre son atelier lorsque celui-ci se retira vers 1810. Il exerça jusque vers 1831. Le vocabulaire ornemental utilisé ici est d’un grand raffinement, en particulier le damier doré repris en pied de chaque volume. Exposition : Culot (P.), Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, Bibliotheca Wittockiana, 16 sept. 2000 - 10 févr. 2001, Bruxelles, n°85, avec reproduction.
Exemplaire de présent royal. Paris, Panckoucke, Hôtel de Thou, 1779-1780. 4 tomes reliés en 5 volumes in-8. Plein maroquin citron, somptueuse dentelle dorée aux oiseaux et à la lyre autour des plats, dos lisses ornés du fer aux oiseaux, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Superbes reliures parisiennes de l’époque attribuables à Derôme le Jeune réalisées selon les instructions de l’auteure. 200 x 128 mm.
Exemplaire de présent royal. Édition originale de la première œuvre d’éducation moderne tournée vers le vrai, le réel et le beau de l’une des femmes de lettres les plus célèbres du XVIIIe siècle, à laquelle la « Biographie universelle » de Michaud ne consacre pas moins de 23 pages in-folio. Barbier, IV, 686 ; Solleinne, Bibliothèque dramatique, II, 2254. « Le ‘Théâtre à l’usage des Jeunes personnes’ fut célébré dans l’Europe entière ; l’œuvre fut traduite immédiatement en Russie et en Allemagne. Madame de Genlis reçut les félicitations de plusieurs souverains européens et de l’ensemble de gens de lettres, avec une mention particulière pour les éloges appuyés de D’Alembert, Marmontel et Fréron. La marquise de Saint-Aubin, mère de madame de Genlis (1746-1830), eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité de Genlis donnait son récital. Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité de Genlis rencontra Charles-Alexis Brûlart, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité qui cherchait un mari aisé et bien portant sauta sur l’occasion. Les jeunes gens se marièrent en 1763 mais monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la Cour deux ans après son mariage. En 1772, elle accepte d’être dame d’honneur de la duchesse de Chartres. Grâce à sa culture, à son charme, à ses talents musicaux, le ton va changer au Palais-Royal. Elle règne dans ce milieu, habile à diriger et à organiser. En 1776, elle voyage en Italie avec la duchesse de Chartres. Sur le chemin du retour, Ferney, pour une visite à Voltaire. En août 1777, elle s’installe dans un pavillon que contient l’enclos du couvent des dames de Bellechasse. Elle va se consacrer à l’éducation des enfants du duc de Chartres, une éducation fondée sur des idées libérales. On s’est étonné qu’elle se retire ainsi du monde. En réalité, elle trouvait dans cette retraite une plus grande tranquillité et surtout elle se soustrayait aux ragots de la Cour. Elle recevait d’ailleurs beaucoup : Buffon, Marmontel, Rulhière, Bernardin de Saint-Pierre, La Harpe, parfois d’Alembert. Et naturellement le duc d’Orléans, le duc de Chartres, Lauzun. Le duc de Chartres la nomma « gouverneur » de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, roi des Français, qui lui voua toute sa vie une adoration. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère. Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et notamment par son célèbre « Théâtre à l’usage des jeunes gens » imprimé en 1779-1780. Elle rencontra Rousseau et Voltaire et fut l’amie de Charles-Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque cent quarante volumes. Son premier essai ‘Théâtre à l’usage des jeunes personnes’ reçut les éloges de Marmontel, d’Alembert et Fréron. De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave. Tour à tour adulée, honnie, admirée, calomniée, Madame de Genlis demeure une des figures les plus intéressantes de cette période troublée. On lui a prêté beaucoup de liaisons, beaucoup d’ambition ; on lui a reproché de mettre « les vices en actes et les vertus en préceptes ». Elle avait une forte personnalité qui tranchait dans ce milieu versatile où les hommes n’avaient pas toujours des caractères bien trempés. Excellente pédagogue, inventeur de l’éducation moderne tournée vers le vrai et vers le réel autant que vers le beau, soucieuse d’éveiller les jeunes esprits, elle a mérité ce jugement de Stendhal qui la considérait comme « une femme d’infiniment d’esprit ». Dans ses Mémoires sur Joséphine, publiés sous le voile de l’anonyme en 1829, du vivant de madame de Genlis, sa tante, mademoiselle Ducrest dit beaucoup de bien de celle-ci. Dans un parallèle entre madame de Staël et madame de Genlis, tout l’avantage est à sa tante. « Le mot aimable, dit-elle, semble avoir été fait pour la conversation de madame de Genlis. » Rien de plus vrai ; car, jusqu’à la fin, l’auteur du « Théâtre à l’usage des Jeunes personnes » exerçait sur ceux qui la voyaient dans le monde cette puissance de fascination qui lui a fait tant d’admirateurs. « (D.R.R). Exceptionnel et merveilleux exemplaire de présent, comptant parmi les rares imprimés sur grand papier vélin, somptueusement relié en maroquin citron de l’époque à large dentelle ornée, selon les instructions de Madame de Genlis, de lyres – l’instrument qui lui avait permis d’entrer à la Cour – et de couples d’oiseaux destiné vraisemblablement à son royal élève, le futur Louis-Philippe alors âgé de sept ans. Cet ouvrage fut l’un des fleurons du catalogue Martin Breslauer n°110 avec reproduction en couleurs sur double page porté au prix de 32 000 $ en décembre 1992 il y a près de trente ans (n°151).
MAYNE REID- LABADYE Albert de – Madame VATTIER – France Jeanne et MAGNIER Achille- Madame COLETTE –HAMEAU louise- GRANDMAISON madame- BOURON des CLAYES
Reference : 12818
d’éditeur 1 ) MAYNE REID les naufragés de la Calypso traduit de l’anglais par Madame Gustave DEMOULIN 20 gravures dans le texte et hors-texte par PRANSHNIKOFF In 8 cartonnage rouge à décor passe partout. Faux titre, titre, 188 page, 1 page de table. Paris librairie Hachette & Cie 1888. Tranches dorées, très bon état. 2) LABADYE Albert de. Les deux caractères ou avarices et générosité. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, frontispice, titre 165 pages 1 page de table. Illustrations hors texte. Tours Mame & fils éditeurs 1894 3) Madame VATTIER. Rose FREMONT ou un cœur reconnaissant. Amitié de frères et sœurs. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, A. Mame & Fils éditeurs 1893. Illustrations hors-texte, très bon état. 4) Sur mer. Cartonnage à décor passe partout.5) France Jeanne et Achille MAGNIER La leçon d’une sœur suivie d’une mission d’honneur- les deux noëls. In 12 cartonné rouge à décor passe partout doré. Faux-titre, frontispice, titre 70 pages illustrations en noir hors texte. Librairie nationale d’éducation et de récréation. 6) Madame COLETTE deux cousines. In 12 reliure éditeur pleine toile rouge à décor passe partout doré, faux-titre, frontispice, titre 239 pages, tranches dorée illustrations dans le texte. Tours Alfred MAME et Fils 1896. 7) HAMEAU Louise Une enfant sans mère troisième édition revue et corrigée. In 8 pleine toile rouge de l’éditeur, titre et caissons dorés ; Faux-titre, titre, 234 pages, tranches dorées. Illustrations dans le texte et hors texte. Paris Librairie Charles DELAGRAV 1888 ? Rousseurs claires, plus concentrées en début et fin de volume. 8) GRANDMAISON Madame Vaillante Mère In 8 cartonnage rouge à décor passe partout de l’éditeur. Faux-titre, frontispice, titre, 156 pages, 1 page de table des chapitres. Paris société française d’édition d’art L. Henry MAY- G. MANTOUX (1899 ?) 9) BOURON-DES-CLAYES Gamine. In 8 cartonnage de l’éditeur a décor passe partout. De Paul SOUZE. Faux-titre, titre, 235 pages, 25 illustrations hors-texte de L VAUZANGES. CHARAVAY, MANTOUX, MARTIN Librairie d’éducation de la jeunesse Paris sans date (1900)
Lettres de Madame de Sévigné de sa famille, et de ses amis, avec les notes de tous les commentateurs, 12 tomes COMPLET chez Sautelet, Libraire-Éditeur en 1826. Le livre est illustré de 2 frontispices. Le livre mesure 14x21 cm et pèse 6,700 kg (c) pour 255 463 460 464 462 462 462 463 464 455 471 395 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs claires peu présentes.
AVERTISSEMENT. Après un grand nombre d'éditions, ce n'est que très récemment que les Lettres de ma dame de Sévigné ont été imprimées dans toute leur intégrité, et que les endroits susceptibles de mettre en défaut la pénétration du lecteur ont été éclaircis par des notes intéressantes, fruit de longues et judicieuses recherches. Le talent épistolaire de madame de Sévigné fut d'abord révélé au public par un petit nombre de lettres à son cousin Bussy, insérées dans les mémoires et dans la correspondance de ce dernier, qui parurent en 1696 et 1697. Elles furent remarquées des gens de goût; Bayle particulièrement en porta le jugement le plus favorable. Trente ans après, un des fils de Bussy fit paraître à La Haye, en deux volumes in-12, d'après un recueil manuscrit que lui avait remis madame de Simiane, une suite de lettres écrites par madame de Sévigné à ma dame de Grignan, sa fille. On en publia dans la même année (1626) deux autres éditions, l'une à Rouen, l'autre à La Haye. Madame de Simiane n’avait probablement pas eu l'intention de livrer au public la correspondance domestique de son aïeule. Dans sa famille, on voulait, disait-elle, avoir de l'esprit impunément. Ces deux volumes furent lus avec avidité; mais un grand nombre de réclamations s'étant élevées sur plusieurs passages de ces lettres, qui présentaient soit des faits soit des opinions peu favorables à quelques personnes très connues, madame de Simiane s'empressa de désavouer cette publication. Le succès croissant d'une autre édition, donnée en 1733, en trois volumes in-12, détermina la famille de madame de Sévigné à en faire paraître une nouvelle, où d'importantes augmentations compensaient en quelque sorte la suppression des passages qui avoient excité des plaintes. On y retranchait aussi quelques phrases qui donnaient lieu de penser que l'harmonie n’avoir pas constamment régné entre la mère et la fille. Cette édition, préparée par le chevalier de Perrin, vit le jour en 1734, en quatre volumes in-12. Elle fut augmentée de trois volumes en 1737. En 1754, après la mort de madame de Simiane, le chevalier de Perrin en donna encore une en huit volumes in-12, qui offrait à-la-fois des additions et des suppressions nou...
"1883. Bruxelles Henry Kistemaeckers Ed. 1883 - Demi-bradel 23 cm x 14 cm 277 pages -1/2 reliure à coins légèrement frottée dos à 5 nerfs avec titre fleurons et filets dorés - Couverture conservée - Tirage limité à 222 exemplaires provenant de la bibliothèque de A. t'Serstevens avec un double ex-libris - Causerie-Etude d'Octave Uzanne ; Correspondance de Madame Gourdan ; Lettre sur Madame Gourdan sur une femme de condition arrêtée chez elle ; procès singulier à cette occasion ; anecdotes etc. ; Lettre sur la maison de Madame Gourdan et les diverses curiosités qui s'y trouvent ; Oraison funèbre de très-haute et très-puissante Dame Madame Justine Pâris grande-prêtresse de Cythère Paphos Amathonde etc. prononcée le 14 novembre 1773 par Madame Gourdan sa coadjutrice en présence de toutes les nymphes de Vénus - Bon état"
Paris, de l'Imprimerie de Fain Jeune, An XII, 1804. "12 x 20, 5 volumes, xxiii-424 + 414 + 426 + 374 + 370 pages, portraits de Madame de la Fayette et de Madame Tencin (en frontispice des tomes 1 et 4), reliure dos/coins cuir, tranches mouchetées, dos orné de fleurons et de guirlandes, bon état (reliures état d'usage; dos bien conservés; peu de rousseurs dans l'ensemble; cachets du collège jésuite Saint Stanislas à Mons)."
"Edition complète en 5 volumes; nouvelle édition, revue, corrigée, précédée de notices historiques et littéraires, et augmentée de la Comtesse de Tende, par Madame de La Fayette, de la Correspondance de Madame de Tencin avec M. de Richelieu, de la Comtesse de Savoie et d'Aménophis, par Madame de Fontaines, etc."
[S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY] Achille GUIBOURG - Auguste Gaudichot-Masson, dit Michel MASSON - Baron FORTUNÉ DE CHOLET
Reference : 24647
Nantes - Paris Imprimerie C. Merson - dentu - L.-F. Hivert 1832 - 1833 -in-8 demi-basane 3 oeuvres d'auteurs différents sur le sujet de la Duchesse de BERRY reliés en un volume, reliure demi-basane (half binding sheepskin) violet in-octavo (21,2 x 13,5 cm), dos long (spine without raised band), décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or" (gilt title) avec un filet "or" de part et d'autre du titre, 4 filets "or" en place des nerfs avec un filet à froid fumé et un filet perlé à froid de part et d'autre, filet "or" et filet perlé "or" en tête et en pied, papier marbré marron, crème et vert aux plats(cover with marbled paper), trés légère épidermure au dos, toutes tranches lisses (all smooth edges), la 1ERE OEUVRE : "Relation fidèle et détaillée de l'arrestation de S. A. R. Madame, duchesse de Berry"(Note : Par M. Achille Guibourg, d'après de Manne) est ornée d'une grande planche hors-texte dépliante : "Intérieur et plan de la mansarde ou S.A.R. la Duchesse de Berry à été arrêtée"d'aprés un dessin de PLOUAYS DE CHANTELOU, lithographié en noir par Charpentier à Nantes, 40 pages, Novembre 1832 Nantes Imprimerie C. Merson Editeur -EDITION ORIGINALE - La 2EME OEUVRE : "QUATRES EPOQUES DE LA VIE DE S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY, suivies des protestations et adresses de toutes les villes de france en faveur de son altesse royale". 2e édition, par Michel Masson, sans illustrations (no illustration), 128 pages, 1833 Paris Chez dentu Libraire Editeur + 3EME OEUVRE : "MADAME, NANTES, BLAYE, PARIS.", par le Baron Fortuné de Cholet, orné de 2 lithographies hors-texte en noir : "vue du Château de Nantes, la cachette et l'Hôtel DU GUINY" + "Vue de la Citadelle de Blaye" par DE LIGNY + un plan hors-texte en noir du logement de son altesse royale à la Citadelle de Blaye, IV + 376 pages, 1833 Paris : L.-F. Hivert - Dentu Editeurs - EDITION ORIGINALE-
livre acquis le 31 Janvier 1976, à la vente de la bibliothèque de René RICHELOT (un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine) à Rennes, expert : DURAND-NOËL, N° 418 au Catalogue.......RARE...en bon état malgré le léger défaut signalé (very good condition in spite of the light defect indicated). bon état
[CHEVREUSE (Madame de) et HAUTEFORT (Madame de)]. COUSIN (Victor).
Reference : 1351497
P., Didier, 1856, in-8, demi-chagrin vert Empire, dos à nerfs rehaussés de pointillés dorés, filets dorés, double filet doré formant caissons, tr. mouchetées, X-447 pp., portrait-frontispice. (L24)
Madame de Chevreuse. Nouvelles études sur les femmes illustres de la société du XVIIème siècle.Très bien relié.
[CHEVREUSE (Madame de) et HAUTEFORT (Madame de)]. COUSIN (Victor).
Reference : 1351498
P., Didier, 1856, in-8, demi-chagrin vert Empire, dos à nerfs rehaussés de pointillés dorés, filets dorés, double filet doré formant caissons, tr. mouchetées, 510 pp., portrait-frontispice. (L24)
Madame de Hautefort.Nouvelles études sur les femmes illustres et la société du XVIIème siècle.Très bien relié.
Les lettres de Madame de Sévigné sont une collection de lettres écrites par Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, à sa fille, Françoise-Marguerite, entre 1675 et 1696. Ces lettres sont célèbres pour leur style épistolaire élégant et leur contenu riche en observations sur la vie à la cour de Louis XIV, les événements de l'époque, les personnalités de la noblesse française, et la vie quotidienne. Les "Voyages 1675-1696" font référence à une période particulière de la correspondance de Madame de Sévigné pendant laquelle elle relate ses voyages et ses séjours dans différentes régions de la France et de l'Europe. Elle était une observatrice aiguisée et ses lettres fournissent un aperçu précieux de la société et de la culture de son temps. Parmi les événements notables de cette période figurent les déplacements de Madame de Sévigné entre Paris et ses différentes résidences en France, ainsi que ses voyages à Vichy, en Provence et en Bretagne. Elle a également écrit sur des événements historiques majeurs, tels que la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697). Les lettres de Madame de Sévigné sont aujourd'hui considérées comme une œuvre littéraire précieuse et un témoignage historique important de la France du XVIIe siècle. Elles sont également appréciées pour leur style et leur vivacité, ce qui en fait un exemple classique de la correspondance épistolaire en français. Tome III ( dernier), comprenant une jolie carte des environs de Vitré, pour servir de séjour de Madame de Sévigné aux rochers. vol. petit in-12, 130x90, relié pleine basane époque, accrocs, solide, 230pp Paris, chez Mademoiselle Charaux, An XI. ( 1803)
Précieux et bel exemplaire imprimé sur papier d’Angoulême revêtu d’une élégante reliure au chiffre de Pauline Bonaparte et orné de 2 portraits en frontispice, 4 portraits hors texte et l’écriture de l’auteur. Paris, Bossange, Masson et Besson, 1806. 8 volumes in-8 de : I/ (2) ff. 6 portraits, xxxv pp., (1) f., clxiv pp., 334 pp., II/ (2) ff., 479 pp., III/ (2) ff., 478 pp., IV/ (2) ff., 494 pp., V/ (2) ff., 480 pp., VI/ (2) ff., 447 pp., VII/ (2) ff., 527 pp., VIII/ (2) ff., 536 pp., (1) f. d’errata general. Plein veau brun raciné, roulette aux pampres de vigne encadrant les plats avec le chiffre P frappé or au centre, dos lisses très richement ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque portant l’étiquette de Baudet Relieur. 199 x 120 mm.
Edition en grande partie originale et la première classée par ordre chronologique. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe ». Tchemerzine, V, 829. Aux Lettres imprimées dans les précédentes éditions, Grouvelle en a ajouté d’autres : celles de Madame de Grignan et du marquis de Sévigné. Celles de Bussy-Rabutin, de Coulanges, de Corbinelli, forment, par les différences de leur style, des contrastes piquants et une agréable variété. L’idée d’avoir classé dans l’ordre de dates où elles furent écrites toutes les Lettres indistinctement, qui jusqu’alors formaient autant de recueils séparés, qu’il y avait de correspondances particulières, est très-heureuse ; elle ôte les lacunes où, pendant la réunion de la mère et de la fille, on les perdait totalement de vue ; mais par ce moyen, depuis l'âge de 22 ans jusqu'au moment de sa mort (car on a recueilli sa dernière, que l'éditeur nomme ingénieusement le chant du cygne), on suit tous les instants de cette femme intéressante, et le recueil de ses Lettres devient presque l'histoire de sa vie. C'est à l'ancien bibliothécaire de Napoléon et du conseil d'État, A.-A. Barbier, que Grouvelle était redevable du plan de son édition ; notre érudit bibliographe avait indiqué ce plan dans le Magasin encyclopédique. Une autre idée non moins heureuse est celle d'avoir fait graver quelques fragments d'une de ces lettres d'après un original qu'à force de soins on est parvenu à se procurer : l'imitation exacte des caractères nous met pour ainsi dire en plus intime connaissance avec l'auteur. » Les notes sont beaucoup plus exactes que celles des précédentes éditions ; elles servent de complément à ce que les lettres ne laissent quelquefois qu’entrevoir, et elles lèvent l’anonymat des noms qui n’étaient auparavant indiqués que par des initiales, une amélioration non moins importante est une table des matières très étendue. Précieux et bel exemplaire imprimé sur papier d’Angoulême revêtu d’une élégante reliure au chiffre de Pauline Bonaparte et orné de 2 portraits en frontispice, 4 portraits hors texte et l’écriture de l’auteur. Pauline Bonaparte (1780-1825), née Maria-Paoletta, est la seconde fille de Charles Bonaparte et de Letizia Ramolino. Sa beauté remarquable lui vaut de nombreux prétendants dès son adolescence, tels le controversé commissaire extraordinaire du Directoire Stanislas Fréron ou le général Duphot. Mais c’est au brillant général Victor-Emmanuel Leclerc que Napoléon décide de la marier en 1797. Lorsque celui-ci est nommé commandant en chef de l’expédition de Saint-Domingue en octobre 1801, avec pour mission de réprimer l’insurrection de l’île, son épouse et leur fils Dermide (né en 1798) l’accompagnent. Quoiqu’elle ne fasse pas preuve d’une grande fidélité conjugale, Pauline est profondément affectée par la mort de son mari un an plus tard, lors de l’épidémie de fièvre jaune qui fauche une grande partie du corps expéditionnaire. Bien avant d’adopter une politique matrimoniale destinée à fédérer le nouvel Empire d’Occident, Napoléon, obligeamment secondé par sa sœur, va faire d’elle un instrument de conquête diplomatique en la mariant au prince Camille Borghèse, chef d’une des plus grandes familles romaines, en novembre 1803. Princesse, elle ne cesse pas pour autant d’être une aventurière sentimentale, et le couple va vivre séparé la plus grande partie de son existence, Pauline résidant à Paris tandis que Camille poursuit une carrière militaire sans éclat dans l’armée impériale. La plus belle victoire que celui-ci apporte à Napoléon lui est particulièrement douloureuse : c’est celle de la vente à l’État français de sa collection d’antiquités, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses d’Europe, en novembre 1807. Il y a été contraint par de graves difficultés financières, dues à la conjoncture politique autant qu’au train de vie de Pauline, et par les pressions de l’Empereur lui-même. D’abord flatteuse, l’alliance qu’il a contractée avec le clan Bonaparte s’avère ruineuse pour l’héritier des Borghèse. Il reçoit certes en compensation la concession des rentes du fief de Lucedio dans le Piémont. Napoléon le nomme par ailleurs gouverneur général des départements au-delà des Alpes, avec Turin pour siège du gouvernement, notamment dans l’espoir de voir Pauline lui revenir. Mais le rapprochement ne se fera qu’après la chute de l’Empire, après que la sœur de Napoléon aura dû abandonner l’espoir de l’accompagner dans son exil. La grande beauté de Pauline lui vaut une place à part dans la galaxie des napoléonides. Si elle jouit sans réserve du pouvoir que son physique et son charme lui permettent d’exercer sur les hommes, c’est sans autre but que de satisfaire son désir de liberté. Elle ne renonce pas aux aventures amoureuses en se soumettant aux volontés matrimoniales de Napoléon. Si elle met sa personne au service des desseins politiques de son frère, c’est par manque d’ambition personnelle, mais surtout en raison d’une affinité élective comparable à celle qu’Élisa partage avec Lucien. Son besoin d’exclusivité, qui trouve son origine dans les attentions que Napoléon lui a très tôt prodiguées, a d’ailleurs engendré des conflits avec Joséphine ainsi qu’avec Marie-Louise, dont elle se sent concurrente. Étrangère aux enjeux du pouvoir et sincèrement attachée à sa famille, Pauline est un agent de liaison entre ses frères et réussit parfois à les réconcilier. Elle est cependant la seule, Madame Mère exceptée, à partager le sort de l’Empereur au moment de sa chute, quand les autres napoléonides s’accrochent à leur couronne. Elle l’accompagne en exil sur l’île d’Elbe, lui envoie ses diamants quand elle le croit financièrement embarrassé au moment de son retour, et veut être à ses côtés à Sainte-Hélène. C’est néanmoins à Florence, près de son mari avec qui elle s’est réconciliée, qu’elle meurt le 9 juin 1825.
A Glascow aux dépens des libraires associés.. 1756. In-16. Relié plein cuir. Etat d'usage, Coins frottés, Dos à nerfs, Intérieur acceptable. 340 pages - contre plats jasps - annotation sur la page de titre - tranches rosées - dos à 5 nerfs - titre, tomaison et caissons dorés sur le dos - plats légèrement frottés.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle