Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers.
Reference : 013739
Raimond Arlot (?-ap.1708), docteur de la faculté de Montpellier, conseiller du roi, premier médecin de Mademoiselle [i.e.] Anne-Marie-Louis d'Orléans, duchesse de Montpensier, médecin ordinaire de Monsieur [le duc d'Orléans], puis premier médecin de S.A.R. Madame [i.e.] Elisabeth-Charlotte de Bavière [duchesse d'Orléans, la princesse Palatine], apothicaire de Madame. Il était originaire de Moustiers. P.A.S., 18 juin 1696, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance, entièrement autographe, pour le paiement de sa rente. [278-2]
Marie-Thérèse Rodet Geoffrin dite Madame Geoffrin (1699-1777), salonnière, ami des philosophes.
Reference : 015052
Marie-Thérèse Rodet Geoffrin dite Madame Geoffrin (1699-1777), salonnière, ami des philosophes. P.S. « Marie Thérese Rodet Geoffrin », Paris, 31 décembre 1775, 1p in-8 oblong sur parchemin. Document pré-imprimé à trous servant de reçu pour une rente du duc d'Orléans au profit de madame Geoffrin, se montant à 3300 livres pour six mois. Peu commun. [367]
Sarah Jane Layton-Walker dit Madame Charles Cahier (1870-1951), chanteuse d'opéra américain, contralto.
Reference : 014069
Sarah Jane Layton-Walker dit Madame Charles Cahier (1870-1951), chanteuse d'opéra américain, contralto. P.A.S., 24-27 avril 1913, 1p in-8 oblong. « alle Kunst ist Trost / Madame Charles Cahier » et daté. Au dos une signature du compositeur Fritz Steinbach (1855-1916). [129]
Dominique [Domenico] Amonio (1653-1721), conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIV, médecin de madame de Sévigné, italien naturalisé par Louis XIV.
Reference : 013737
Dominique [Domenico] Amonio (1653-1721), conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIV, médecin de madame de Sévigné, italien naturalisé par Louis XIV. P.S., 27 janvier 1696, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de sa rente. Amonio avait accumulé une fortune considérable. Sévigné parle de lui ainsi dans une lettre : « Ma chère, c'est un homme de 28 ans dont le visage est le plus beau et le plus charmant que j'aie jamais vu ; il a les yeux comme madame de Mazarin et les dents parfaits, le reste du visage comme on imagine Rinaldo, de grandes boucles noires qui lui font la plus agréable tête que vous ayez jamais vue ». Le docteur Le Paulmier a publié sa biographie en 1893. [278-2]
Pierre Le Jeune (XVe), docteur en médecine et médecin de madame la comtesse d'Angoulême [i.e.] Marguerite de Rohan (ca.1425-1496), grand-mère de François 1er.
Reference : 013838
Pierre Le Jeune (XVe), docteur en médecine et médecin de madame la comtesse d'Angoulême [i.e.] Marguerite de Rohan (ca.1425-1496), grand-mère de François 1er. P.S., 26 avril 1471, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. « Je, Pierre Le Jeune, docteur en medecine, medecin de madame le comtesse d'Angoulesme, confesse avoir eu et receu de maistre Robert Bassart, tresorier et receveur general de toutes les finances d'icelle dame, la somme de cent dix solz tournois qui deus m'estoit pour ma robe de cuirée de l'esté mil IIIIc LXVIII, à moy ordonnée par madicte dame, de laquelle somme de CX s(olz) t(ournois) je suis content et bien paié, et en quicte ledict tresorier et tous autres.Tesmoing mon seing manuel cy mis le XXVIe jour d'apvril l'an mil CCCC soixante et unze. P LeJeune ». Si on ne trouve pas la trace de ce Le Jeune, on trouve la trace de Robert Bassart plusieurs documents de 1464 et 1471 cités dans l'Annuaire du conseil héraldique de France (1905, 18e année, p.193-194). Rare témoignage d'un médecin du XVe siècle. [329-2]
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Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1818. 12 volumes. - Mémoires de M. de Coulanges, suivis de Lettres inédites de Madame de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges, d’Arnauld-d’Andilly, d’Arnauld de Pomponne, de Jean de La Fontaine… Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1820. 1 volume. Soit 13 volumes in-12, maroquin bleu nuit à grain long, roulette à fond perlé sertie de filets droits autour des plats, dos lisses ornés d’un décor doré à fond criblé, damiers dorés en pied, chaînette intérieure dorée, doublures et gardes de tabis parme, tranches dorées. Riche reliure de l’époque signée Lefebvre. 162 x 98 mm.
Précieuse édition collective originale de format in-12 des « Lettres de Madame de Sévigné ». Première édition critique des Lettres de Madame de Sévigné, établie par Louis-Jean-Nicolas Monmerqué (1780-1860). Parues en 1818, en 10 volumes in-8, chez J.J. Blaise, celui-ci en donna la même année cette édition en 12 volumes in-12. Les Mémoires de M. de Coulanges parurent simultanément en 1820 dans les deux formats. Tchemerzine loue grandement la première édition critique de Monmerqué imprimée en 1818. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe siècle. La première édition critique est celle de Monmerqué [Paris, Impr. De P. Didot l’aîné : J.J. Blaise, 1818-1819, 10 vol. in-8] ; elle contient près de cent lettres inédites et plus de trois cents fragments également inédits. » (Tchemerzine, V, 829). « L’édition Monmerqué de 1818 est la meilleure que l’on eût jusqu’alors de cette immortelle correspondance (elle est ornée ici de 4 portraits, 6 fac-similé et une planche de monnaie). Il est convenable de réunir à cette édition le volume intitulé : Mémoires de M. De Coulanges ; suivis de Lettres inédites de Mme de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges… Paris, Blaise, 1820, in-8 ». Brunet. Ces deux volumes sont ici réunis. « M. de Monmerqué a fait jouir le public du véritable texte de madame de Sévigné, par une édition augmentée de quatre-vingt-quatorze Lettres inédites, de deux cent quarante-six Lettres auxquelles il a restitué des passages également inédits, et de deux cent cinquante-six Lettres, ou qui n’avaient pas été réunies à la collection, ou dans lesquelles il a été rétabli des passages imprimés en 1726, en 1734, mais retranchés ensuite par des considérations qui n’existent plus. En conférant les diverses éditions originales, en méditant les mémoires du temps, il a rétabli une foule de passages omis ou altérés, et il a résolu des difficultés sans nombre. Les avantages d'un travail aussi précieux sont développés par l’éditeur dans une Notice bibliographique ; et M. de Saint-Surin y a joint une Notice fort étendue sur madame de Sévigné, sur sa famille et ses amis. Cette édition est le résultat de tant de recherches, qu’on peut la considérer comme la source où puisent avec plus ou moins de liberté tous ceux qui réimpriment les Lettres de notre inimitable épistoliaire ». Le dernier volume est terminé par une table analytique et alphabétique. Quelques exemplaires de luxe furent imprimés sur papier vélin. Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Neveu par alliance de Jean-Claude Bozérian, Lefebvre travailla un temps avec son oncle, avant de reprendre son atelier lorsque celui-ci se retira vers 1810. Il exerça jusque vers 1831. Le vocabulaire ornemental utilisé ici est d’un grand raffinement, en particulier le damier doré repris en pied de chaque volume. Exposition : Culot (P.), Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, Bibliotheca Wittockiana, 16 sept. 2000 - 10 févr. 2001, Bruxelles, n°85, avec reproduction.
Exemplaire de présent royal. Paris, Panckoucke, Hôtel de Thou, 1779-1780. 4 tomes reliés en 5 volumes in-8. Plein maroquin citron, somptueuse dentelle dorée aux oiseaux et à la lyre autour des plats, dos lisses ornés du fer aux oiseaux, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Superbes reliures parisiennes de l’époque attribuables à Derôme le Jeune réalisées selon les instructions de l’auteure. 200 x 128 mm.
Exemplaire de présent royal. Édition originale de la première œuvre d’éducation moderne tournée vers le vrai, le réel et le beau de l’une des femmes de lettres les plus célèbres du XVIIIe siècle, à laquelle la « Biographie universelle » de Michaud ne consacre pas moins de 23 pages in-folio. Barbier, IV, 686 ; Solleinne, Bibliothèque dramatique, II, 2254. « Le ‘Théâtre à l’usage des Jeunes personnes’ fut célébré dans l’Europe entière ; l’œuvre fut traduite immédiatement en Russie et en Allemagne. Madame de Genlis reçut les félicitations de plusieurs souverains européens et de l’ensemble de gens de lettres, avec une mention particulière pour les éloges appuyés de D’Alembert, Marmontel et Fréron. La marquise de Saint-Aubin, mère de madame de Genlis (1746-1830), eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité de Genlis donnait son récital. Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité de Genlis rencontra Charles-Alexis Brûlart, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité qui cherchait un mari aisé et bien portant sauta sur l’occasion. Les jeunes gens se marièrent en 1763 mais monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la Cour deux ans après son mariage. En 1772, elle accepte d’être dame d’honneur de la duchesse de Chartres. Grâce à sa culture, à son charme, à ses talents musicaux, le ton va changer au Palais-Royal. Elle règne dans ce milieu, habile à diriger et à organiser. En 1776, elle voyage en Italie avec la duchesse de Chartres. Sur le chemin du retour, Ferney, pour une visite à Voltaire. En août 1777, elle s’installe dans un pavillon que contient l’enclos du couvent des dames de Bellechasse. Elle va se consacrer à l’éducation des enfants du duc de Chartres, une éducation fondée sur des idées libérales. On s’est étonné qu’elle se retire ainsi du monde. En réalité, elle trouvait dans cette retraite une plus grande tranquillité et surtout elle se soustrayait aux ragots de la Cour. Elle recevait d’ailleurs beaucoup : Buffon, Marmontel, Rulhière, Bernardin de Saint-Pierre, La Harpe, parfois d’Alembert. Et naturellement le duc d’Orléans, le duc de Chartres, Lauzun. Le duc de Chartres la nomma « gouverneur » de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, roi des Français, qui lui voua toute sa vie une adoration. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère. Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et notamment par son célèbre « Théâtre à l’usage des jeunes gens » imprimé en 1779-1780. Elle rencontra Rousseau et Voltaire et fut l’amie de Charles-Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque cent quarante volumes. Son premier essai ‘Théâtre à l’usage des jeunes personnes’ reçut les éloges de Marmontel, d’Alembert et Fréron. De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave. Tour à tour adulée, honnie, admirée, calomniée, Madame de Genlis demeure une des figures les plus intéressantes de cette période troublée. On lui a prêté beaucoup de liaisons, beaucoup d’ambition ; on lui a reproché de mettre « les vices en actes et les vertus en préceptes ». Elle avait une forte personnalité qui tranchait dans ce milieu versatile où les hommes n’avaient pas toujours des caractères bien trempés. Excellente pédagogue, inventeur de l’éducation moderne tournée vers le vrai et vers le réel autant que vers le beau, soucieuse d’éveiller les jeunes esprits, elle a mérité ce jugement de Stendhal qui la considérait comme « une femme d’infiniment d’esprit ». Dans ses Mémoires sur Joséphine, publiés sous le voile de l’anonyme en 1829, du vivant de madame de Genlis, sa tante, mademoiselle Ducrest dit beaucoup de bien de celle-ci. Dans un parallèle entre madame de Staël et madame de Genlis, tout l’avantage est à sa tante. « Le mot aimable, dit-elle, semble avoir été fait pour la conversation de madame de Genlis. » Rien de plus vrai ; car, jusqu’à la fin, l’auteur du « Théâtre à l’usage des Jeunes personnes » exerçait sur ceux qui la voyaient dans le monde cette puissance de fascination qui lui a fait tant d’admirateurs. « (D.R.R). Exceptionnel et merveilleux exemplaire de présent, comptant parmi les rares imprimés sur grand papier vélin, somptueusement relié en maroquin citron de l’époque à large dentelle ornée, selon les instructions de Madame de Genlis, de lyres – l’instrument qui lui avait permis d’entrer à la Cour – et de couples d’oiseaux destiné vraisemblablement à son royal élève, le futur Louis-Philippe alors âgé de sept ans. Cet ouvrage fut l’un des fleurons du catalogue Martin Breslauer n°110 avec reproduction en couleurs sur double page porté au prix de 32 000 $ en décembre 1992 il y a près de trente ans (n°151).
MAYNE REID- LABADYE Albert de – Madame VATTIER – France Jeanne et MAGNIER Achille- Madame COLETTE –HAMEAU louise- GRANDMAISON madame- BOURON des CLAYES
Reference : 12818
d’éditeur 1 ) MAYNE REID les naufragés de la Calypso traduit de l’anglais par Madame Gustave DEMOULIN 20 gravures dans le texte et hors-texte par PRANSHNIKOFF In 8 cartonnage rouge à décor passe partout. Faux titre, titre, 188 page, 1 page de table. Paris librairie Hachette & Cie 1888. Tranches dorées, très bon état. 2) LABADYE Albert de. Les deux caractères ou avarices et générosité. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, frontispice, titre 165 pages 1 page de table. Illustrations hors texte. Tours Mame & fils éditeurs 1894 3) Madame VATTIER. Rose FREMONT ou un cœur reconnaissant. Amitié de frères et sœurs. In8 cartonnage rouge à décor passe partout, doré. Faux titre, A. Mame & Fils éditeurs 1893. Illustrations hors-texte, très bon état. 4) Sur mer. Cartonnage à décor passe partout.5) France Jeanne et Achille MAGNIER La leçon d’une sœur suivie d’une mission d’honneur- les deux noëls. In 12 cartonné rouge à décor passe partout doré. Faux-titre, frontispice, titre 70 pages illustrations en noir hors texte. Librairie nationale d’éducation et de récréation. 6) Madame COLETTE deux cousines. In 12 reliure éditeur pleine toile rouge à décor passe partout doré, faux-titre, frontispice, titre 239 pages, tranches dorée illustrations dans le texte. Tours Alfred MAME et Fils 1896. 7) HAMEAU Louise Une enfant sans mère troisième édition revue et corrigée. In 8 pleine toile rouge de l’éditeur, titre et caissons dorés ; Faux-titre, titre, 234 pages, tranches dorées. Illustrations dans le texte et hors texte. Paris Librairie Charles DELAGRAV 1888 ? Rousseurs claires, plus concentrées en début et fin de volume. 8) GRANDMAISON Madame Vaillante Mère In 8 cartonnage rouge à décor passe partout de l’éditeur. Faux-titre, frontispice, titre, 156 pages, 1 page de table des chapitres. Paris société française d’édition d’art L. Henry MAY- G. MANTOUX (1899 ?) 9) BOURON-DES-CLAYES Gamine. In 8 cartonnage de l’éditeur a décor passe partout. De Paul SOUZE. Faux-titre, titre, 235 pages, 25 illustrations hors-texte de L VAUZANGES. CHARAVAY, MANTOUX, MARTIN Librairie d’éducation de la jeunesse Paris sans date (1900)
Lettres de Madame de Sévigné de sa famille, et de ses amis, avec les notes de tous les commentateurs, 12 tomes COMPLET chez Sautelet, Libraire-Éditeur en 1826. Le livre est illustré de 2 frontispices. Le livre mesure 14x21 cm et pèse 6,700 kg (c) pour 255 463 460 464 462 462 462 463 464 455 471 395 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs claires peu présentes.
AVERTISSEMENT. Après un grand nombre d'éditions, ce n'est que très récemment que les Lettres de ma dame de Sévigné ont été imprimées dans toute leur intégrité, et que les endroits susceptibles de mettre en défaut la pénétration du lecteur ont été éclaircis par des notes intéressantes, fruit de longues et judicieuses recherches. Le talent épistolaire de madame de Sévigné fut d'abord révélé au public par un petit nombre de lettres à son cousin Bussy, insérées dans les mémoires et dans la correspondance de ce dernier, qui parurent en 1696 et 1697. Elles furent remarquées des gens de goût; Bayle particulièrement en porta le jugement le plus favorable. Trente ans après, un des fils de Bussy fit paraître à La Haye, en deux volumes in-12, d'après un recueil manuscrit que lui avait remis madame de Simiane, une suite de lettres écrites par madame de Sévigné à ma dame de Grignan, sa fille. On en publia dans la même année (1626) deux autres éditions, l'une à Rouen, l'autre à La Haye. Madame de Simiane n’avait probablement pas eu l'intention de livrer au public la correspondance domestique de son aïeule. Dans sa famille, on voulait, disait-elle, avoir de l'esprit impunément. Ces deux volumes furent lus avec avidité; mais un grand nombre de réclamations s'étant élevées sur plusieurs passages de ces lettres, qui présentaient soit des faits soit des opinions peu favorables à quelques personnes très connues, madame de Simiane s'empressa de désavouer cette publication. Le succès croissant d'une autre édition, donnée en 1733, en trois volumes in-12, détermina la famille de madame de Sévigné à en faire paraître une nouvelle, où d'importantes augmentations compensaient en quelque sorte la suppression des passages qui avoient excité des plaintes. On y retranchait aussi quelques phrases qui donnaient lieu de penser que l'harmonie n’avoir pas constamment régné entre la mère et la fille. Cette édition, préparée par le chevalier de Perrin, vit le jour en 1734, en quatre volumes in-12. Elle fut augmentée de trois volumes en 1737. En 1754, après la mort de madame de Simiane, le chevalier de Perrin en donna encore une en huit volumes in-12, qui offrait à-la-fois des additions et des suppressions nou...
"1883. Bruxelles Henry Kistemaeckers Ed. 1883 - Demi-bradel 23 cm x 14 cm 277 pages -1/2 reliure à coins légèrement frottée dos à 5 nerfs avec titre fleurons et filets dorés - Couverture conservée - Tirage limité à 222 exemplaires provenant de la bibliothèque de A. t'Serstevens avec un double ex-libris - Causerie-Etude d'Octave Uzanne ; Correspondance de Madame Gourdan ; Lettre sur Madame Gourdan sur une femme de condition arrêtée chez elle ; procès singulier à cette occasion ; anecdotes etc. ; Lettre sur la maison de Madame Gourdan et les diverses curiosités qui s'y trouvent ; Oraison funèbre de très-haute et très-puissante Dame Madame Justine Pâris grande-prêtresse de Cythère Paphos Amathonde etc. prononcée le 14 novembre 1773 par Madame Gourdan sa coadjutrice en présence de toutes les nymphes de Vénus - Bon état"
T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette.
Reference : 79375
(1888)
Paris, Alphonse Lemerre, 1888, in-8, demi-chagrin marron, caissons décorés, 409, 467, 413, 473p. Ouvrage présentant une notice et un choix de pièces pour chaque poète. Intérieur de toute fraîcheur, sans rousseurs, tant pour le texte que pour les gravures. Légers frottements sans gravité aux reliures hormis une épidermure plus prononcée en pied du tome 4. (voir photo). T1 : André Chénier, Marie-Joseph Chénier, Jean-Baptiste Legouvé, Arnault, Chateaubriand, Chênedollé, Désaugiers, Nodier, Béranger, Millevoye, Guttinguer, Pierre Lebru, Soumet, Madame Desbordes-Valmore, Lamartine, Émile Deschamps, Casimir Delavigne, Mme Amable Tastu, Jean Reboul, Barthélemy et Méry, Alfred de Vigny, Antoni Deschamps, Victor Hugo, Auguste Brizeux, Sainte-Beuve, Amédée Pommier, Auguste Barbier, Daniel Stern,Félix Arvers, Dovalle, Aloïsius Bertrand, Ernest Legouvé, Gérard de Nerval, Gustave Mathieu, Pétrus Borel, Napol le Pyrénéen, Jules Lacroix , Théophile Gautier, Hégésippe Moreau, Alfred de Musset, Auguste de Châtillon,Xavier Marmier Victor de Laprade, F. de Gramont, Joseph Autran, Louis Veuillot, L. Ackermann , Alfred des Essarts, Anaïs Ségalas, Charles Coran , Auguste de Belloy, Joséphin Soulary, Arsène Houssaye, L. de Ronchaud. T2 Leconte de Lisle, Amédée Rolland, Alfred Busquet, Auguste Vacquerie Édouard Grenier, Gustave Levavasseur, Émile Augier, Auguste Lacaussade, Charles Reynaud, Charles Baudelaire, Pierre Dupont, Gustave Nadaud, Ernest Prarond, Henry Murger, André Lemoyne, Louis Bouilhet, Maxime Du Camp, Théodore de Banville, Eugène Manuel, Léon Laurent-Pichat, Jules Barbier, Charles Monselet, Henri de Bornier, Claudius Popelin, Dionys Ordinaire, Louis Ratisbonne, Jules Breton, Valéry Vernier, Marc Monnier, Francis Pittié, Octave Lacroix, Léopold Laluyé, Émile Chevé, Philoxène Boyer, Philippe Gille, Alexandre Piedagnel, André Theuriet , André Lefèvre, Édouard Pailleron, Camille Delthil, Léon Cladel Madame Blanchecotte, Armand Renaud, Madame de la Roche-Guyon, Alcide Dusolier, Georges Lafenestre, Félix Frank, Aristide Frémine, Armand Silvestre, Léon Dierx, Achille Millien, Albert Glatigny, Sully Prudhomme, Émile Blémont, Ernest d’Hervilly, Emmanuel des Essarts, Charles Canivet, Saint-Cyr de Rayssac, André Gill Alphonse Daudet, Albert Mérat, Henri Cazalis, Gabriel Marc, Jacques Richard, Léon Valade, Charles Frémine, Villiers de l’Isle-Adam. T3 François Coppée, José-Maria de Heredia, Stéphane Mallarmé, Raoul Lafagette, Charles Cros, Eugène Vermersch, Paul Arène, Charles de Pomairols, Paul Delair, Louis-Xavier de Ricard, Paul Haag, Camille Macaigne, Paul Verlaine , Anatole France, Antony Valabrègue, Paul Demeny, Léon Barracand, Louisa Siéfert, Émile Bergerat, Lucien Paté, Maurice Rollinat, François Fabié, Paul Déroulède, Georges Boutelleau, Edmond Lepelletier, Jean Aicard, Gabriel Vicaire, Jacques Normand, Gustave Rivet, Émile Dodillon, Jean Richepin, Mme Alphonse Daudet, Albert Delpit, Louis Tiercelin, Hippolyte Buffenoir, Guy de Maupassant, Charles Grandmougin, Léon Duvauchel Frédéric Bataille, Henri Chantavoine, Émile Goudeau, Robert de Bonnières, Clovis Hugues, Paul Marrot, Frédéric Plessis, Amédée Pigeon. T4 Paul Bourget, Victor Billaud, Georges Gourdon, Sutter-Laumann, Raoul Gineste, Robert Caze, Jules Lemaître, Paul Harel, Jules d’Auriac, Mme Gustave Mesureur, Maurice Bouchor, Maurice Montégut, Georges Leygues, Fernand Icres, Joseph Gayda, Eugène Godin, Arthur Rimbaud, Louis le Lasseur de Ranzay, Georges Nardin, Jules Truffier, Henri-Charles Read, Auguste Dorchain, Edmond Haraucourt, Tancrède Martel, Félix Jeantet, Laurent Tailhade, Raphaël-Georges Lévy, Jeanne Loiseau, Jean Rameau, Félicien Champsaur, Victor d’Auriac, Gaston de Raimes, Eugène le Mouël, Jacques Madeleine, Jules Forget, Pierre de Nolhac, Georges Payelle, Paul Manivet, Joseph Germain-Lacour, Marie de Valandré, Stanislas de Guaita, Émile Michelet, Henri Bernès, Henri Beauclair, Paul Mariéton, Émile Peyrefort, Abel Hermant, Victor Pittié, Jules Boissière, Maurice Vaucaire, Jean Ajalbert, Marcel Collière, Louis Marsolleau, Henri de Régnier, Pierre Quillard, Rodolphe Darzens, Victor Margueritte Éphraïm Mikhaël, Georges Rodenbach, Émile Verhaeren, Albert Giraud, Juste Olivier, Frédéric Monneron, Henri-Frédéric Amiel, Eugène Rambert, Philippe Godet, Jules Cougnard, Henri Warnery, Jules Carrara, Alice de Chambrier, Ernest Bussy, Adolphe Ribaux, Charles Fuster, Hélène Vacaresco, Stuart Merrill, Francis Vielé-Griffin, Louis Fréchette. Portraits à l'eau forte en hors texte sur papier fort de : M. Desbordes-Valmore, Lamartine, A. de Vigny, V. Hugo, Brizeux, A. de Musset, Soulary, Leconte de Lisle, C. Baudelaire, A. Lemoyne, L. Bouilhet, T. de Banville, G. Theuriet, Sully-Prudhomme, L. Daudet, F. Coppée, P. Arène, A. France, M. Rollinat, J. Richepin, Mme A. Daudet, P.Bourget, J. Lemaître, A. Dorchain, Mlle J. Loiseau, R. Darzens, G. Rodenbach, A. Ribaux. Figurent 2 inédits en édition originale d'Arthur Rimbaud.
Paris, de l'Imprimerie de Fain Jeune, An XII, 1804. "12 x 20, 5 volumes, xxiii-424 + 414 + 426 + 374 + 370 pages, portraits de Madame de la Fayette et de Madame Tencin (en frontispice des tomes 1 et 4), reliure dos/coins cuir, tranches mouchetées, dos orné de fleurons et de guirlandes, bon état (reliures état d'usage; dos bien conservés; peu de rousseurs dans l'ensemble; cachets du collège jésuite Saint Stanislas à Mons)."
"Edition complète en 5 volumes; nouvelle édition, revue, corrigée, précédée de notices historiques et littéraires, et augmentée de la Comtesse de Tende, par Madame de La Fayette, de la Correspondance de Madame de Tencin avec M. de Richelieu, de la Comtesse de Savoie et d'Aménophis, par Madame de Fontaines, etc."
14,5 x 17,5 1806 "Combien je suis touchée Monsieur de vos bontés pour le jeune le Blanc [?], il en est pénétré et je partage sa reconnaissance. Je prends un tel intérêt à lui qu'il n'y a point de démarche que je ne sois prête à faire pour lui être utile. Daignez être toujours son protecteur, il a bien du zèle et d'excellente qualité. Il se rendra digne de vos bontés. Recevez Monsieur mes sincères remerciements et l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très humble et très obéissante servante. D. Genlis, de l'Arsenal 26 avril 1806." Au dos "A Monsieur Monsieur de la Borde", trace de cachet avec déchirure. Contrainte à l'exil, Madame de Genlis (1746-1830) rentra en France en 1800 et se rallia à Napoléon. Elle reçut en pension en 1802 un logement à l'étage noble de la bibliothèque de l'Arsenal. Elle y recréa rapidement un salon qui accueillit le tout Paris politique, littéraire et artistique. Le destinataire de ce billet est vraisemblablement le jeune Alexandre de Laborde (1773-1842), qui jouissait déjà en 1806 d'une réputation de diplomate et d'archéologue. Il avait en effet accompagné Lucien Bonaparte à Madrid en 1800 et avait paraître une étude de la mosaïque de la Villa Italica, près de Séville en 1802. Bon musicien, il fut proche de Madame de Genlis et lui dédia en 1806 une "Lettre à Madame de Genlis sur les sons harmoniques de la harpe", où il loue les talents de Casimir, l'enfant adoptif de Madame de Genlis. Il continua à être une des personnalités en vue sous l'Empire, la Restauration et la Monarchie de Juillet. Après bien des démêlés avec Ameilhon le bibliothécaire de l'Arsenal, Madame de Genlis fut contrainte de quitter l'Arsenal en 1811. Deux taches de rousseurs en tête, marques de pliure, bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
[S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY] Achille GUIBOURG - Auguste Gaudichot-Masson, dit Michel MASSON - Baron FORTUNÉ DE CHOLET
Reference : 24647
Nantes - Paris Imprimerie C. Merson - dentu - L.-F. Hivert 1832 - 1833 -in-8 demi-basane 3 oeuvres d'auteurs différents sur le sujet de la Duchesse de BERRY reliés en un volume, reliure demi-basane (half binding sheepskin) violet in-octavo (21,2 x 13,5 cm), dos long (spine without raised band), décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or" (gilt title) avec un filet "or" de part et d'autre du titre, 4 filets "or" en place des nerfs avec un filet à froid fumé et un filet perlé à froid de part et d'autre, filet "or" et filet perlé "or" en tête et en pied, papier marbré marron, crème et vert aux plats(cover with marbled paper), trés légère épidermure au dos, toutes tranches lisses (all smooth edges), la 1ERE OEUVRE : "Relation fidèle et détaillée de l'arrestation de S. A. R. Madame, duchesse de Berry"(Note : Par M. Achille Guibourg, d'après de Manne) est ornée d'une grande planche hors-texte dépliante : "Intérieur et plan de la mansarde ou S.A.R. la Duchesse de Berry à été arrêtée"d'aprés un dessin de PLOUAYS DE CHANTELOU, lithographié en noir par Charpentier à Nantes, 40 pages, Novembre 1832 Nantes Imprimerie C. Merson Editeur -EDITION ORIGINALE - La 2EME OEUVRE : "QUATRES EPOQUES DE LA VIE DE S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY, suivies des protestations et adresses de toutes les villes de france en faveur de son altesse royale". 2e édition, par Michel Masson, sans illustrations (no illustration), 128 pages, 1833 Paris Chez dentu Libraire Editeur + 3EME OEUVRE : "MADAME, NANTES, BLAYE, PARIS.", par le Baron Fortuné de Cholet, orné de 2 lithographies hors-texte en noir : "vue du Château de Nantes, la cachette et l'Hôtel DU GUINY" + "Vue de la Citadelle de Blaye" par DE LIGNY + un plan hors-texte en noir du logement de son altesse royale à la Citadelle de Blaye, IV + 376 pages, 1833 Paris : L.-F. Hivert - Dentu Editeurs - EDITION ORIGINALE-
livre acquis le 31 Janvier 1976, à la vente de la bibliothèque de René RICHELOT (un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine) à Rennes, expert : DURAND-NOËL, N° 418 au Catalogue.......RARE...en bon état malgré le léger défaut signalé (very good condition in spite of the light defect indicated). bon état
Léontine Lippmann, madame Arman de Caillavet (1844-1910), salonnière, maitresse d'Anatole France.
Reference : 014744
Léontine Lippmann, madame Arman de Caillavet (1844-1910), salonnière, maitresse d'Anatole France. C.A., sd, R°V°, 12 lignes. Remerciements à son correspondant pour ce qu'il a fait pour « le jeune et aimable Brousson », i.e. Jean-Jacques Brousson (1878-1958) qui a été le secrétaire d'Anatole France de 1905 à 1909. [358]
Jean-Baptiste Bontemps (1584-1659), chirurgien, premier chirurgien de Louis XIII, premier valet de chambre ordinaire de Louis XIII, anobli par Louis XIV, père d'Alexandre Bontemps (1626-1701), le plus célèbre des premiers valets qui fut témoin du mariage de Louis XIV avec madame de Maintenon. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII.
Reference : 013756
Jean-Baptiste Bontemps (1584-1659), chirurgien, premier chirurgien de Louis XIII, premier valet de chambre ordinaire de Louis XIII, anobli par Louis XIV, père d'Alexandre Bontemps (1626-1701), le plus célèbre des premiers valets qui fut témoin du mariage de Louis XIV avec madame de Maintenon. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.S., 3 avril 1637, 1p in-4. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages,, contresigné par deux notaires. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013763
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. Il fut signataire du rapport d'autopsie de Louis XIII. P.A.S., 7 janvier 1645, 1p in-4. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de « plusieurs médicamens et autres marchandises » pour les officiers domestiques du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1644 et pour un montant de 4500 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant
Reference : 013764
Abel Brunyer ou Brunier (1573-1665), médecin, docteur en médecine de l'université de Montpellier, botaniste, conseiller et médecin ordinaire du roi Louis XIII, médecin des fils d'Henri IV, premier médecin du duc d'Orléans [i.e. Gaston d'Orléans, Monsieur, frère du roi] et de « Madame » [la duchesse d'Orléans, Marguerite de Lorraine], directeur du jardin botanique du château de Blois (jardin dont il fit une description), protestant, natif d'Uzès d'une famille du Vendômois originaire du Dauphiné (son père, Claude, converti au protestantisme, s'était retiré à Uzès en 1572). Il négocia avec succès avec les protestants de Montpellier puis de Montauban pour le compte de Louis XIII mais fut proscrit en 1631 pour avoir suivi Gaston d'Orléans avant un retour en grâce en 1635. P.A.S., 3 janvier 1647, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Intéressante pièce certifiant la livraison de médicaments pour les officiers d'écuries du duc par Claude Souart (1577-1664) pour l'année 1646 et pour un montant de 700 livres. Souart était apothicaire du duc d'Orléans et de la reine. Si l'orthographe habituellement retenue est « Brunier », il signe bien « Brunyer » sur notre document. [279-2]
Jean-François Carrère (XVIIe-ap.1718), premier chirurgien de S.A.R. Madame, i.e. Marie de Médicis.
Reference : 013768
Jean-François Carrère (XVIIe-ap.1718), premier chirurgien de S.A.R. Madame, i.e. Marie de Médicis. P.S., 22 novembre 1691, 1p in-8. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de sa rente, contresignée par deux notaires. [279-2]
Julien Clément (1659-1728 ou 1729), chirurgien natif d'Arles, accoucheur à la cour de France, accoucheur de madame la Dauphine. Toutes les princesses du sang et les dames de cour ne voulaient que lui comme accoucheur, il fit aussi trois voyages en Espagne pour aider la reine d'Espagne à accoucher. Il fut anobli en 1711
Reference : 013778
Julien Clément (1659-1728 ou 1729), chirurgien natif d'Arles, accoucheur à la cour de France, accoucheur de madame la Dauphine. Toutes les princesses du sang et les dames de cour ne voulaient que lui comme accoucheur, il fit aussi trois voyages en Espagne pour aider la reine d'Espagne à accoucher. Il fut anobli en 1711 P.S., 2 janvier 1703, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Quittance pré-imprimée pour le paiement d'une rente pour lui et ses enfants mineurs (et mentionnant sa défunte femme). Certains le disent membre de l'Académie royale de chirurgie, créée en 1731. Il était probablement plutôt membre de la Communauté des chirurgiens de Saint Côme et Saint Damien, une confrérie né au XIIIe siècle et qui sera dissoute à la création de l'Académie. Cette dernière a d'ailleurs pris possession de l'amphithéâtre d'anatomie qui avait été érigé pour la communauté. [280-2]
Balthazar Fabry (?-1584?), médecin ordinaire des rois Henri II (et ses enfants), François II, Charles IX et Henri III, médecin ordinaire de madame la Connétable, probablement le fils de Nicolas Fabry, médecin de la reine Catherine de Médicis.
Reference : 013802
Balthazar Fabry (?-1584?), médecin ordinaire des rois Henri II (et ses enfants), François II, Charles IX et Henri III, médecin ordinaire de madame la Connétable, probablement le fils de Nicolas Fabry, médecin de la reine Catherine de Médicis. P.S., 17(?) janvier 1580, 1p in-8 oblong. Sur parchemin. Reçu pour le paiement de ses gages pour les quartiers de juillet et octobre 1578. [281-2]
Hierosme ou Jérôme de Varade ou Varades (?-ap.1575), libraire juré en 1522, docteur en 1530, conseiller et médecin ordinaire du roi, premier médecin de Madame [Catherine de Médicis], notaire et secrétaire du roi, médecin des rois François 1er, Henri II, François II et Charles IX, médecin de Marie-Elisabeth de France (fille unique de Charles IX), médecin de l'Hôtel Dieu, doyen de la faculté de médecine, chirurgien. Il était encore sur l'état de la maison d'Henri III en 1584, élu échevin de Paris en 1568. Il est aussi le fils de Jean-Pierre de Varade, libraire dont le successeur est Michel de Vascosan, élevé par Jacques de Varade (frère de Jérôme) qui sera aussi libraire juré en 1528.
Reference : 013883
Hierosme ou Jérôme de Varade ou Varades (?-ap.1575), libraire juré en 1522, docteur en 1530, conseiller et médecin ordinaire du roi, premier médecin de Madame [Catherine de Médicis], notaire et secrétaire du roi, médecin des rois François 1er, Henri II, François II et Charles IX, médecin de Marie-Elisabeth de France (fille unique de Charles IX), médecin de l'Hôtel Dieu, doyen de la faculté de médecine, chirurgien. Il était encore sur l'état de la maison d'Henri III en 1584, élu échevin de Paris en 1568. Il est aussi le fils de Jean-Pierre de Varade, libraire dont le successeur est Michel de Vascosan, élevé par Jacques de Varade (frère de Jérôme) qui sera aussi libraire juré en 1528. P.S., 1er juillet 1575, 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Quittance pour le paiement de la rente de ses neveux dont il est tuteur. Celle-ci fut payée par François de Vigny, receveur des finances de la ville de Paris, l'ancêtre d'Alfred de Vigny qui fut anobli. [331-2]
Madame Dariot (XIXe), habile tireur au fusil, de Puligny, Côte d'Or.
Reference : 013476
Madame Dariot (XIXe), habile tireur au fusil, de Puligny, Côte d'Or. Photographie cdv originale par Capron, datée 1865 au crayon au dos. Etonnante photographie de cette dame avec un fusil. On trouve sa trace dans le Moniteur belge du 6 juillet 1865 qui rapporte que le dimanche 2 juillet, lors de l'inauguration du tir régional de Bourgogne, à Dijon, Mme Dariot fut l'héroïne du jour par la précision de son tir. Très bel état, un peu éclaircie. [187]
1864 Paris, Hachette, 1864, 2 volumes in-12 reliés demi basane marron chocolat, 429 et 360 pages, dos lisse à 5 faux nerfs dorés, bon état
Manon Roland, plus connue sous le nom de Madame Roland, née le 17 mars 1754 et guillotinée à Paris le 8 novembre 1793, fut une des figures de la Révolution française et joua un rôle majeur au sein du parti girondin. Elle anima un salon qui devint le rendez-vous de nombreux hommes politiques influents, Brissot, Pétion, Robespierre et dautres élites du mouvement populaire dont notamment Buzot. Elle fut arrêtée en mai 1793, lors de la proscription des Girondins, Elle fut jugée le 8 novembre 1793 et exécutée le soir même.
Bourdin de Dreux puis Bourdin sous la révolution, commis à la direction des ports en 1790, sous-chef de l'administration générale des ports & arsenaux en 1792. Il fut aussi secrétaire du conseil de M. Le Comte d'Artois et huissier du cabinet de Madame Sophie dans les années 1780.
Reference : 012201
Bourdin de Dreux puis Bourdin sous la révolution, commis à la direction des ports en 1790, sous-chef de l'administration générale des ports & arsenaux en 1792. Il fut aussi secrétaire du conseil de M. Le Comte d'Artois et huissier du cabinet de Madame Sophie dans les années 1780. L.A., 21 mai 1790, 1p in-4. A Jean-Jacques Isle de Beauchaine (1747-ap.1792), officier de marine. Concernant l'envoi de deux lettres au chevalier Isle et d'une autre à Antoine-Louis Chaumont de la Millière (1746-1803) alors à Cherbourg. [340]