Paris, Servier, 1826. In-12 de (2) ff., xj-(1 bl.)-108 pp.; cartonnage de papier marbré vert, pièce de titre rouge, couverture imprimée conservée, non rogné (reliure moderne).
Edition originale de la traduction française par le baron Auguste-Louis de Staël-Holstein. Le 28 février 1825, un vaisseau de la Compagnie anglaise des Indes, le Kent, rencontra un violent coup de vent dans le golfe de Gascogne. Le navire, qui avait quitté l'Angleterre 9 jours plus tôt pour se rendre au Bengale, transportait plus de 650 personnes, dont une centaine de femmes et d’enfants. Pendant la tempête, un violent incendie se déclara à bord. Le feu se propagea avec une extrême rapidité dans tout le navire et menaçait d'atteindre la soute aux poudres. Le brick anglais Cambria, alerté par le pavillon de détresse du Kent, parvint à s'approcher du navire. Malgré les opérations de transbordement, rendues dramatiques par la tempête, il y eut de nombreuses victimes. Bon exemplaire. Piqûres.
Paris Chez Servier 1826 in-12 de 2 ff.n.ch., xj-108 pp. demi-veau blond, pièce de titre noire, couv. grises impr. (rest.) cons. [Rel. moderne]
Édition originale de la traduction française du récit du naufrage du Kent, début mars,1825, qui sombra lors d'un incendie dans le golfe de Gascogne alors qu'il cinglait vers les Indes sous le commandement du capitaine Henry Cobb. Traduit en français par le baron Auguste-Louis de Staël-Holstein, le fils de Mme de Staël.Cet épisode a été repris par Alexandre Dumas en 1853 dans ses Drames de la mer