, Bruxelles, Les éd. de la librairie encyclopédique 1977, in-8, br., 315p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Bruxelles, Les éd. de la librairie encyclopédique 1977, in-8, br., 315p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Lyon, Université Lyon II 1971, in-8, agrafé, 15p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Paris, P.U.F. 1966, in-8, br.., bon état, 11p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Paris, Assoc. nat. des docteurs en droit 1960, in-8, br.., bon état, 3p.
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, Paris, Seuil 1976, in-8, br., bon état, 224p.
Phone number : 01 43 29 46 77
, Paris, VveRegnard / Demonville 1770, 2 vol. in-12, pl. veau fauve raciné d’époque, tit. et tom. dorés sur pc. de maroquin blond, dos à 5 nerfs ornés de caissons avec fleurons, dentelles et fers dorés, tr. marbrées, Ex-Libris manuscrit « Joanes », (couv. et rel. frottées avec épidermures, coins et bords légt émoussés, or passé, pc. de maroquin du t.I partiellement arraché), int frais, [11ff.]-558-[2ff.] / XII-596p.-[3ff.].
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, Paris, Éd. du C.N.R.S. 1971, in-folio, rel. toile beige, neuf, XV-648p.
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, Paris, Éd. du C.N.R.S. 1976, in-folio, rel. toile beige, neuf, 592p.
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, Dijon, Bernigaud & Privat 1935, in-8, débr., 167p.
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[SCULPTURE]. [STATUAIRE]. - Ensemble de 7 photographies originales d'OEUVRES DE GASTON DUMONT. - DUMONT, Gaston. -
Reference : 192
Ensemble de 7 photos originales (dont 1 en couleurs)contrecollées et légendées sur 2 feuillets (25 x 19 cm), avec tampon de l’artiste : GASTON DUMONT « STATUAIRE » 7 impasse Nansouty Paris XIVe. - Provenance : « book » de l’artiste sculpteur. .. - Très bon état (voir photos). -
Gaston DUMONT Statuaire. Sculptures, bas-relief, monument. - « L’Ondine, fontaine. Propriété Ville d’Orange. Architecture Dumont » ;« Portraits Mad. D., Propriété Ville de Paris » ;« « Ile de France », « Maquette » exécution, propriété de l’Etat (Architecte Danis) » ;« Mt Carignan (Ardennes), Le Gisant, soutenu par la Renommée et la Gloire, Archit. Renard » (dont 1 avec intéressant photomontage d’un couple de cinéma pour en indiquer les dimensions ; « « Quiétude », Propriété particulière, Archit. Thouvenin » (de style Art Déco). ---- Gaston-André (ou Gaston Aimé) Dumont (Beaumont en Argonne (Ardennes) 1899-1984).Certaines de ses œuvres se trouvent dans les collections publiques : « L’Ondine », achat par commande à l’artiste en 1938, collection CNAM, en dépôt à la Mairie d’Orange ; Le « Portrait de Mme D. » aurait été acquis le 29.10.1952 par le Musée d’Art moderne de Paris (inventorié comme « Tête de jeune fille »).La photo du gisant soutenu par la Renommée et la Gloire serait l’ébauche grandeur nature du monument aux morts de Carignan dans les Ardennes (architecte Robert Renard) qui a été reproduit en cartes postales. Très bon état (voir photos). - - -
[Paris, 1833]. 343 x 240 mm.
Portrait en buste de Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville à bord de l'Astrolabe, lithographié par Lemercier d'après un dessin d'Antoine Maurin, issu du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
Revue de Géographie - Ludovic Drapeyron ed. - H. Monin sur Aristide Dumont - J. Carlus - Ad. F. de Fontpertuis - R. Cortambert - P. Jourdan
Reference : 80834
(1880)
Editions Ch. Delagrave et Institut Géographique de Paris , Revue de Géographie Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1880 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte grand In-8 1 vol. - 80 pages
1 grande carte dépliante du canal d'irrigation du Rhône, des roches de Condrieu à Béziers, dressée par l'ingénieur Aristide Dumont 1ere édition, 1880 "Contents, Chapitres : Paginé 81 à 160 (80 pages) - H. Monin : Le canal d'irrigation du Rhône de Condrieu à Béziers, projet d'Aristide Dumont (pages 81 à 97, avec la grande carte dépliante) - J. Carlus : Les Sérères de Sénégambie (fin) - Ad. F. de Fontpertuis : La ville de Hérat et son territoire (Afghanistan) - R. Cortambert : Le mouvement géographique - P. Jourdan : L'enseignement de la topographie, son utilité, son avenir - Correspondances et comptes rendus critiques des Sociétés de géographie et des publications récentes - Nouvelles géographiques - Aristide Dumont, né le 2 juin 1819 à Crest (Drôme) et mort le 25 juillet 1902 à Moulins (Allier), est un ingénieur des ponts et chaussées. Sorti de l'École polytechnique en 1836, Aristide Dumont devient ingénieur des ponts et chaussées en 1841. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur en 1848. Il réalise l'usine des eaux de Saint-Clair à Caluire-et-Cuire en 1854. (source : Wikipedia) - Selon le site Internet Nemausensis : ""Aristide Dumont, ingénieur en chef des ponts et chaussées conçut la première idée d'un canal dérivé du Rhône aux roches de Condrieu. Ce canal présentait déjà dans la pensée de son auteur, une utilité considérable. Mais depuis cette époque il s'est produit dans l'état agricole, commercial et industriel de plusieurs départements du midi des événements si graves et des changements si malheureux que ce canal soit devenu, comme nous croyons l'avoir suffisamment démontré, absolument nécessaire. Le but du projet qui fut présenté par M. Dumont était l'établissement d'un canal destiné à combattre par la submersion les ravages du phylloxéra dans les départements de l'Isère, de la Drome, de Vaucluse, de l'Ardèche, du Gard et de l'Hérault, et à servir à des distributions d'eau continues dans les localités traversées. """ couverture propre, avec d'infimes pliures sans gravité, legeres petites déchirures sans manques sur le bord du plat inférieur, le papier dépasse au niveau du plat supérieur (défaut sans doute d'édition, sans gravité), l'intérieur est sinon propre, le papier est à peine jauni, bien complet de la grande carte dépliante sur le canal d'irrigation, elle est à peine jaunie sinon propre, et doit mesurer près de 75 cms de longs
[Paris, 1833]. 581 x 429 mm.
Belle carte figurant l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, avec la partie nord de l'île du Sud, dressée entre janvier et mars 1827, et montrant en pointillés la route suivie par la corvette l'Astrolabe. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Petite restauration à la pliure centrale.
[Paris, 1833]. 430 x 585 mm.
Belle carte figurant l'archipel des Îles Fidji, dont l'île de Viti Levu, la plus grande de l'archipel. La carte a été dressée par l'enseigne de vaisseau Gressien, entre mai et juin 1827, et est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. En carton, carte des Îles de la Loyauté situées à l'est de la Nouvelle-Calédonie, levée et dressée par l'enseigne de vaisseau Guibert en juin 1827, et carte de l'archipel des Tonga. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Pliure centrale restaurée, sinon bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 250 x 350 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 302 x 460 mm.
Belle carte figurant la partie nord de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, où se trouvent la Baie des Îles ou Bay of Islands, et la rivière Hokianga, ici appelée Shouki-Anga. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 220 x 335 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Antoine Maurin, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 202 x 380 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Villain, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 427 x 580 mm.
Belle carte figurant l'île de Tongatapu, dans l'archipel des Tonga, dressée entre avril et mai 1827. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Très légères rousseurs.
[Paris, 1833]. 250 x 330 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
JEAN-PIERRE GEAY MARCEL DUMONT à la croisée des regards Sauveterre-du-Gard, Éditions La Balance, novembre 1987 225x145 mm - [48 pages] en feuilles - couverture imprimée à rabats Magnifique livre d'artiste comprenant un ensemble hétéroclite de textes (essais, poèmes) de Jean-Pierre Geay sur les artistes Zao Wou Ki, Jean Bazaine, Joan Miro, Hans Arp, Camille Bryen, Marcel Dumont, Yves Mairot, Émile Compard, Roger-Calixte Poupard, Robert Droulers, Jean le Moal, André Masson, Pierre-André Benoit (PAB), Jacques Hérold, Jacques Le Roux, Patrice Pouperon, Nathalie Dasseville, Henri Goetz ; et, ce qui est unique, une gravure de Marcel Dumont en regard du texte qui lui est consacré. Tirage : 150 exemplaires comprenant 100 exemplaires sur Arches Ingres MBM et 50 exemplaires de tête sur Vélin d'Arches avec une gravure de Marianne Dubois (absente des exemplaires sur Arches Ingres MBM). Exemplaire 82/100 unique enrichi d'une gravure de Marcel Dumont en regard du texte qui lui est consacré Superbe exemplaire de ce livre d'artiste tiré à petit nombre. Aucun défaut à signaler. Envoi soigné et sécurisé.
Chez l'auteur, Paris 1765, In-folio (25x34cm), relié.
Edition originale de ce recueil de 75 planches dont 4 titres gravés : Manière d'accoupler les colonnes et pilastres de l'ordre dorique (un titre et 11 planches - le catalogue in fine annonce 6 planches) ; Parallele de grands entablements et de charpentes à l'italienne (un titre et 8 planches - le catalogue in fine en annonce 9) ; Suite de croisée des plus beaux palais de Rome (un titre en 8 planches) ; Les Eglises des stations de Rome (un titre et 10 planches) ; Suite de ruines d'architecture (33 planches, le catalogue en annonce 24). Les différents exemplaires présents dans les collections publiques ou sur le marché sont tous différents et ne contiennent pas les mêmes parties, et parfois pas le même nombre de planches par parties. Dumont proposait à son domicile plusieurs recueils dont l'ensemble est proposé à la fin du volume, soit 230 planches contenues dans 14 collections. Les amateurs choisissaient donc certains titres et en écartaient d'autres et constituaient ainsi leur propre volume. En outre, certains titre de ce volume ne sont pas présents dans le catalogue. La suite de ruine d'architecture contient dans cet exemplaire 33 planches alors que la table en annonce 24. En fin de compte cette partie contient aussi Vases et fontaines de feu M. Challes avec 3 planches, cette caractéristique est partagée avec l'exemplaire de la bibliothèque nationale. Les planches en sus proviennent d'autres titres du catalogue, et si on considère plusieurs exemplaires différents on constate que les planches étaient vendus avec un certain désordre. Cet exemplaire contient une partie avec un frontispice et 10 planches dont le titre n'est pas présent dans le catalogue et dont l'auteur n'est plus Dumont lui-même mais Israel Henriet, intitulé : Les Eglises des stations de Rome. On ne peut savoir si ce recueil était vendu par Dumont ou si l'amateur le possédait déjà en l'intégrant aux titres de Dumont. Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Manques aux mors en tête. Mors inférieur ouvert en queue. Frottements. Estafilades sur les plats. Une large tache sombre sur chacun des plats. 2 coins émoussés. Timbre sec sur les 2 premières pages de titre : G. Lageat. Architecte à Lannion.Certains recueils, notamment les premiers ont les planches au format paysage, les autres au format classique. L'ensemble des planches est constitué d'eaux-fortes et de burins sur cuivre, gravées par Dumont, Charpentier et Germain, les planches des Eglises des stations de Rome par Israel Henriet. De nombreuses planches portent la date de 1765. Les eaux-forte de la partie Ruines d'architecture sont particulièrement belle et très proches dans l'esprit des planches de Piranese. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Mélanges Fernand Dumont – LANGLOIS (Simon) et Yves MARTIN (dir.).
Reference : 109441
(1995)
Les Presses de l'Université Laval, Québec, 1995, gr. in-8°, 556 pp, broché, couv. illustrée, bon état. 39 contributions érudites
Fernand Dumont est né à Montmorency le 24 juin 1927. Après ses études secondaires au Séminaire de Québec, il a obtenu la maîtrise en sociologie de la Faculté des sciences sociales de l'Université Laval. Durant les deux années suivantes, il a poursuivi à la Sorbonne, à Paris, des études de psychologie et a reçu le titre d'élève titulaire de l'École pratique des Hautes Etudes. Il est docteur en sociologie de la Sorbonne et docteur en théologie de l'Université Laval. Professeur au Département de sociologie de l'Université Laval de 1955 à 1994, Fernand Dumont a axé son enseignement sur la théorie sociologique générale, la théorie de la culture, la sociologie de la connaissance et l'épistémologie des sciences humaines. Il a été cofondateur, avec Jean-Charles Falardeau et Yves Martin, de la revue Recherches sociographiques et directeur-fondateur de l'Institut supérieur des sciences humaines. Il a par ailleurs été directeur d'études associé à l'École des Hautes Études en Sciences sociales de Paris en 1965 et professeur invité à la Faculté de philosophie de l'Université de Montréal, au Département d'histoire de l'Université du Québec à Montréal, à la Faculté de théologie de l'Université d'Ottawa et à l'Université du Québec à Trois-Rivières. Fernand Dumont a été le premier président de l'Institut québécois de recherche sur la culture et il en a assumé la direction de 1979 à 1991. "L'horizon de la culture" rend hommage au professeur, au savant, à l'écrivain, à l'homme, au moment où Fernand Dumont vient à peine de mettre un terme à sa carrière active d'enseignant à l'Université Laval, consacrant désormais tout son temps à la réalisation de nouveaux projets d'écriture.