Genève, Imprimerie Atar, 1940. In-8 broché de 40 pages, couverture imprimée.
Portrait de Guillaume Favre en frontispice. "Guillaume Favre (1770-1851) s'est adonné successivement à l'étude de la minéralogie et de l'antiquité. Durant quelques années, il fréquenta le cercle de Coppet sans abandonner pour cela son domicile à Genève. Bibliophile, Guillaume Favre a constitué une bibliothèque pour laquelle il fit construire une aile à la Ville La Grange, propriété familiale. Cette belle collection est aujourd'hui administrée par la Bibliothèque de Genève" [Bibliothèque de Genève].
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que le pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai le maître. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention des catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siège ; Nomination d'un ambassadeur à Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des évêques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des Affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des Affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siège, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-percaline bordeaux à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron et d'un double filet doré en queue (rel. de l'époque), pt trace de mouillure au coin des 10 premiers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que Je pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai je maitre. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention dus catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siége ; Nomination d'un ambassadeur a Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des éveques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siége, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Jules Favre recommande chaleureusement Mademoiselle Montpellier auprès d'un ministre ...Je suis heureux de pouvoir donner à Mademoiselle Montpellier un témoignage spécial de l'intérêt que je lui porte en vous disant par ces quelques lignes qu'elle appartient à une honorable famille qu'elle soutient par son travail, elle est aussi distinguée par son talent que recommandable par son caractère, elle a déjà obtenu des travaux du département des beaux-arts, aujourd'hui elle vous serait très reconnaissante si en lui en accordant vous pouviez l'envoyer en Italie...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.(*) Jules Favre fait peut-être référence à l'artiste peintre Albertine Montpellier qui exposa des portraits au Salon de Paris en 1868 et 1870.
Jules Favre explique pourquoi il n'a pu rendre visite à son ami ...J'attendais, j'attends encore d'être officiellement relevé de la fonction de plus en plus pénible où me laisse mon colonel. Il me promet que ce sera demain, alors je serai sorti de la position fausse où je suis retenu. [...] Mais je ne veux pas tarder à vous dire combien je vous suis reconnaissant d'être resté au ministère - vous y êtes en croix, et moi grâce à dieu je suis au tombeau... Jules Favre revient ensuite sur le contexte politique ...Je pousserai la gauche à provoquer une solution dans le sens que vous connaissez, nous avons déjà trop attendu. L'humanité, le droit et l'intérêt crient ensemble, restés sourds serait manquer de conscience et de bons sens... Il ajoute ensuite ...une vieille amie à moi m'a apporté dimanche de beaux vers, de très beaux vers, faits par un vieil ami à elle. Elle voudrait les lire à la cérémonie du 6, car il parait qu'il y a un festival pour ce jour-là, ces vers sont une attaque véhémente à la commune ! (...) dites moi donc si vendredi dans la matinée ou dans l'après-midi, Madame Nelly (Marie Dupuy) pourrait aller vous faire cette lecture qui durera 10 minutes et vous fera certainement plaisir...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules FAVRE prie le maire de ...vouloir bien vous trouver aujourd'hui 20 janvier à deux heures au ministère des affaires étrangères pour affaires urgentes...Deux jours avant la date de ce courrier, dans la galerie des Glaces au château de Versailles, le roi de Prusse est proclamé empereur des Allemands. Le 20 janvier, le gouvernement se résout à demander un armistice qui sera finalement signé une semaine plus tard. C'est sans doute pour cette réunion que Jules Favre convoque son correspondant. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
(Paris), De l'Imprimerie de P. de Lormel, s.d. (1789), in-8, 61 pp., dérelié.
Voie dissonnante dans la Révolution bourgeoise de 1789, l'abbé de Favre prend la défense du peuple laborieux, dénonce les injustices dont sont victimes les ouvriers et propose une solution inédité : que les ouvriers invalides bénéficient de l'oblat, vieux droit dont bénéficiait les soldats estropiés d'être accueillis dans les abbayes et prieurés.On peut reconnaitre dans les idées de l'abbé de Favre les débuts d'un véritable catholicisme social, que l'on peut d'ailleurs rattaché à une tradition plus ancienne, mais qui est relativement isolé en ces débuts de Révolution.Ce texte a été réimprimé par les éditions EDHIS, ce qui est en soi un signe de l'importance et de la rareté du document. M. & W., 13253. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Jules Favre accuse réception des renseignements adressés par son correspondant ...sur le département de l'Oise et les demandes de mutations de différents Maires et Adjoints de ce dept... Il en a donné connaissance au Commissaire du gouvernement près de ce département. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre informe son ami ...J'ai été très souffrant cette nuit et le suis encore, on me défend de sortir cependant j'irai je l'espère ce soir au conseil. Mais je serais bien aise de causer avec quelques instants avec vous. Si cela ne vous dérange pas, je vous propose de me tenir voir à 5 h. J'avertis Emmanuel et Picard...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851. Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre propose une invitation à son ami ...Si vous êtes libre aujourd'hui à une heure après midi, je vous serais très reconnaissant de venir me voir, je voudrais causer quelques instants. Vous touverez Picard...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre fait le point avec son ami quant à leur prochain rendez-vous ...Ferry et Arago viennent chez moi entre onze heures et midi. J'écris à Garnier Pagès, Picard est prévenu. Si vous pouviez amener Pelletan dont j'ignore l'adresse le gouvernement serai au complet moins le général qui est retenu par son service...Après la capitulation de Napoléon III en septembre 1870 et l'abolition de l'empire, le gouvernement provisoire de défense nationale poursuit la guerre en ce mois de janvier 1871, Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre retourne à son ami ...le programme que vous nous avez apporté. Combien je vous suis reconnaissant de nous avoir aidés dans notre oeuvre de conciliation et quelle joie sincère je ressens du succès de cette oeuvre...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décebre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Il l'informe : ...nous nous réunissons de soir à 5 h. chez le gouverneur voulez-vous bien prévenir Pelletan, Magnin et Dorian nos autres collègues étaient présents hier soir lorsque le général nous a donné ce rendez-vous...Après la capitulation de Napoléon III en septembre 1870 et l'abolition de l'empire, le gouvernement provisoire de défense nationale poursuit la guerre en ce mois de janvier 1871. C'est Pierre Frédéric Dorian qui fut chargé, avec Jules Favre, d'ouvrir des négociations avec Bismarck relative à la capitulation de Paris.Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
S.l.n.d. : ...Nous avons lu votre remarquable consultation et nous venons vous remercier d'avoir donné la formule légale des répugnances que ressent et qu'exprime si justement la population Parisienne contre la mutilation d'un jardin qui ne choque pas moins les convenances municipales que les principes de notre droit public...11 janvier 1871 : Jules Favre vient de recevoir une communication d'Angleterre qui l'oblige à prendre immédiatement un parti. Il demande à jules Simon ...Je vous prie donc d'en venir délibérer avec moi aujourd'hui à 6 heures au Ministère des Affaires Etrangères... Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre recommande Monsieur Hyppolite Peut qui souhaite obtenir un poste dans le département de l'Yonne : ...Je connais M. Peut de l'enfance. Je sais qu'il n'y a pas d'homme plus honnête, plus ferme, plus généreux, plus passionné pour la cause qui vient de triompher, il mérite votre appui, et je serais bien heureux que cet appui en fit l'un des missionnaires de notre république...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Commune de Chêne-Bourg, 1979. In-8 broché, couverture photographique. Illustrations in-texte en noir.
Observations de l'entreprise du Grand tunnel du Gothard au rapport publié par M. le Commissaire fédéral sur la grève de Goeschenen - Lettre de Louis Favre - Convention relative à l'exécution du Grand tunnel du Gothard - Convention entre la Suisse et l'Italie, convernant la construction et l'exploitation d'un chemin de fer par le Saint-Gothard - Mémoire de l'entreprise - Dialogue de Louis Favre. * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin décembre - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
En vente chez l'auteur à Roquemaure (Gard), 1876, 1 broché, titre dans un encadrement doré. in-8 de XL-400-(3) pages ;
Précédé d'une notice sur l'abbé Ferdinand Fabre.A la suite de "Le siège de Caderousse", "Le sermon de monsieur Sistre" (né à Vauvert (Gard) et prieur de Saussan (Hérault). Et "Poésies languedociennes-françaises": Une nuit du Mercredi des Cendres à Avignon ou le procés de Carmentran et grande lutte de Carnaval, de Carmentran et de Carème. - A mes amis Mistral & Roumanille. - Le roi de la fève. Etc...In-fine: Appendice au siège de Caderousse.L'abbé Jean-Baptiste Favre est né à Sommières (Gard). Il fut vicaire d'Aubais, curé de Vic-la-Gardiole, près de Montpellier, de Castelnau-le-Lez, Crès, Saint-Michel de Montels, Cournonterral et prieur de Celleneuve ou il y meurt en 1783.
Phone number : 06 80 15 77 01
Ed. Payot 1925. Bel exemplaire relié, reliure demi toile, dos avec étiquette, in-8, 222 pages + planches.
Evangélisation populaire, Missions, Croix-Bleue, Comité universel des Unions chrétiennes.
Sumptibus Petri Borde, Johannis & Petri Arnaud 24 x 37 Lugduni 1681 In-folio, reliure plein veau de l'époque, dos à six nerfs surlignés d'une dentelle dorée, entre-nerfs ornés de caissons et de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin rouge, titre doré, tranches rouges, dentelle sur les coupes, gardes à la coquille, titre noir et rouge, vignette de titre "Semina fortunae geminat, cum tempore virtus", culs-de-lampe et bandeaux, 8 ff., 1124 pp., sur deux colonnes, 39 ff. Important recueil de décisions du Sénat de Chambéry commentées et ordonnées selon le système du code Justinien, dont la première édition date de 1606. Antoine Favre (Bourg-en-Bresse, 1557- Chambery, 1624), juriste savoisien réputé, originaire de la Bresse, fut d'abord avocat à Chambéry, puis entra au service du duc Charles-Emmanuel 1er. Il devint premier président du Sénat de Savoie en 1610. Notons que l'intérêt du Codex réside également dans le premier titre du liber primus ""De summa Trinitate & fide Catholica", dont l'auteur est le savoyard et évêque de Genève, François de Sales (1567-1622), très proche d'Antoine Favre et canonisé en 1665. Ce texte, non signé, qui est en quelque sorte l'introduction du Codex, lui avait été demandé par le sénateur Favre. Saint François de Sales y réfute les erreurs des luthériens et des calvinistes. Seule l'approbatio cite François de Sales "Episcopo Gebennensi" et son écrit "adversus pestilentes nostri temporis sectatorium errores..." Le texte se présente comme un exposé complet de "l'erreur protestante". Bonne reliure, coiffe supérieure abimée et inférieure fragile, épidermure au plat inférieur, deux coins usés, rousseurs.(FontB65) Ex-libris gravé de la "Bibliothèque de Charles Delzons Président du Tribunal" [1838-1930, Président du Tribunal d'Aurillac en 1887, arrière-petit-fils du juriste et député du Cantal, Antoine Delzons, 1743-1816].(FontB76) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Genève, imprimerie Atar, 1937. In-8 broché de 47 pages, couverture imprimée.
Portrait d'Alphonse Favre en frontispice. Le grand géologue genevois, vu par son fils. Peu courant.
1883 Paris J. Lemonnyer, Libraire-editeur 1883,grand in8,broché,à grandes marges non rognées,reedition de l'édition de Paris : J.-F. Bastien, 1779,dos cassé avec manques,petit manque et leger accroc 1er plat couverture,,84p,numéroté sur hollande(122), tirage à petit nombre,4 gravures ht,frontispice et vignettes,
texte frais,
Paris : J. Hetzel, (1880),In-18, XL-385 p.,reliure demi basane,qques rousseurs,
Niort, Favre, s.d. (1875), 1 br., manques sur la 1ère de couverture. in-8 de 16 pp.
La Curne De Sainte-Palaye, né à Auxerre en 1697, membre de l'Académie Française, il a consacré la plus grande partie de son existence à réunir les matériaux d'un dictionnaire historique de l'ancien langage français. Son modèle est Du Cange. L. Favre, est l'éditeur du glossaire De La Curne De Sainte-Palaye, dans cette plaquette, il répond à M. Paul Meyer qui critique l'édition de cet ouvrage.
Phone number : 06 80 15 77 01
Lyon, Imprimerie du Salut Public, 1888. 15 pages. (23x15,5 Cm). Broché, couverture imprimée. Quelques taches. Publié en 1888 à Lyon par l'Imprimerie du Salut Public, cet ouvrage d'A. Favre présente une étude novatrice sur le daltonisme, une condition alors peu comprise. À travers ses "Recherches Cliniques sur la fausse appréciation des couleurs", Favre explore la possibilité de corriger le daltonisme congénital par des exercices spécifiques, une approche révolutionnaire pour l'époque. Les observations détaillées sur les jeunes patients traités offrent un aperçu précieux des théories et pratiques médicales de la fin du XIXe siècle, tout en jetant les bases pour les recherches futures sur les troubles de la vision des couleurs. Traces de plis.
2 livraisons en 1 vol. Neuchâtel, J. Sandoz. 1869. 4°. Titre, page 5 - 53, 1 p.n.ch. Table des matières, 47 p., 1 p.n.ch. Errata. 41 lithographies en couleurs d'après les dessins de Marie et Louis Favre-Guillarmod, marqués "Chromolith. H. Furrer, Neuchâtel". Reliure demi parchemin d'époque. La couverture illustrée d'une lithographie en couleurs conservée.
HBLS 3, 125, 5. - Brun SKL 1, 445. - Rare monographie régionale qui ne se trouve pas dans les bibliographies comme Nissen, Pritzel e.a.- Louis Favre (1822-1904), directeur du Gymnase de Neuchâtel, est un des fondateurs du Musée Neuchâtelois, biographe ami et illustrateur des oeuvres de Louis Agassiz, Edouard Desor (Les Palafittes) e.a. - Quelques rares taches de main. Nom autographe sur la page de garde. Couverture abîmée. Bel exemplaire.