1989 Feurs, Editions Claude Bussy, 1989 in 8° broché, 311 pages ; illustrations in et hors-texte ; couverture illustrée.
Un des 100 exemplaires numérotés et signés par les deux auteurs ; complet du feuillet volant d'errata. ...................... Photos sur demande ..........................
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1989 Feurs, Claude Bussy, 1989, in 8° broché, 311 pages ; nombreuses illustrations.
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P., Bossard (Collection des Chefs-d'Oeuvre Méconnus), 1921, in 8° broché, 237pp. ; des rousseurs.
Tirage limité à 2500 exemplaires numérotés. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Hachette, 1865, in 12, relié demi basane vert boueille, dos à nerfs orné, VII-387 pages ; cachets.
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Lyon, Lugdunum, 1944, in 12 broché, 180 pages ; non coupé ; bande-annonce.
"Les plus spirituelles histoires... de la petite histoire". PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris : Jean du Bray et Pierre Variquet, 1663 Petit in-4, (18)-122-(5) pages. Vélin de l'époque, titre à l'encre au dos. Galeries de vers marginales restaurées.
Ex-libris manuscrit de l'époque sur le contreplat : "Enguehard" (sans doute le médecin Jean Enguehard ou son fils, également médecin, Jean-Baptiste). Inscription manuscrite sur la première garde volante : "Dono auctoris De[...]cenne 1663". Première édition du premier livre écrit en français sur le "charbon du pauvre". Patin a dédié l'ouvrage à son protecteur, le grand magistrat Guillaume Ier de Lamoignon (1617-1677), président du parlement de Paris : "Le soulagement que vous donnez aux Parisiens, & particulierement aux Pauvres, par le moyen des Tourbes, ne sera pas inutile à la gloire de Vostre Nom…" (épître dédicatoire). "La tourbe, quoique très différente et à tous égards très inférieure en qualité au charbon de terre, a néanmoins de temps en temps, comme dans d'autres pays, fixé l'attention du gouvernement français, pour aller au-devant de la cherté et de la disette du bois de chauffage dans la capitale. On voit dans un traité des tourbes, in-4, en 1663, par Charles Patin, […] un brevet du roi, du 30 nov. 1658, et lettres patentes du 18 décembre suivant, portant en faveur du sieur de Chambré, pouvoir, faculté et permission de faire tirer seul, et par ceux qu'il commettra, pendant trente ans, des tourbes à brûler dans l'étendue de vingt-cinq lieues aux environs de Paris." (J. E. Bertrand, Descriptions des arts et métiers, 1781)Fils du célèbre Guy Patin, Charles Patin (1633-1693) est un médecin et numismate précurseur dont la carrière à la Faculté de médecine de Paris fut tôt brisée par Louis XIV pour libertinage érudit et trafic de livres interdits. Ayant pris la fuite avant son arrestation en 1667, il parcourut l’Allemagne et l’Italie avant de s’établir à Padoue, où il occupa successivement les chaires de médecine et de chirurgie. Il fut membre de l’académie des Ricovrati et de celle des Curieux de la nature (Leopoldina). Patin s'occupa également longuement de numismatique et d’archéologie. Kress n° 1116 ; Brunet IV, 438.
Cologne Roterdam Pierre du LaurensReinier Leers 1692-1695 -in-12 plein-veau 5 tomes en 4 VOLUMES RELIURE D'EPOQUE, en 2 sortes de reliures(une reliure pour les 3 premiers volumes et une autre pour le dernier(en 2 tomes) et deux Editeurs différents) : 1ère SERIE : 3 volumes, reliure plein veau brun moucheté (binding full calfskin) in-douze (duodecimo) (16,5 x 10 cm), dos 5 nerfs (spine with raised bands) décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé or (gilt title), pièce de titre sur fond bordeaux avec un filet "or" en encadrement, tomaison frappée "or" avec une roulette "or" de part et d'autre du titre dans un encadrement d'un filet "or", entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement d'un filet "or" avec rinceaux "or" aux angles, roulette "or" en place des nerfs (avec manques de dorure) avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, roulette "or" au dauphin couronné suivi d'une fleur de lis couronnée en pied, plats décorés à froid d'un filet à froid en encadrement, roulettes "or" sur les coupes (fillets on the cuts), toutes tranches lisses, signature EX-LIBRIS manuscrit à l'encre brune en haut de la 1ère page de préface : A.B. ESTEVENON, sans illustrations, (XVIII +308) + (374) +(342) pages, 1692 à Cologne, chez Pierre du Laurens Editeur.......+2ème SERIE : 2 Tomes (Tome 4 et 5) reliés en 1 volume, reliure plein veau brun moucheté (binding full calfskin) in-douze (duodecimo) (15,5 x 8,2 cm), dos 5 nerfs (spine with raised bands) décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé or (gilt title), pièce de titre sur fond bordeaux avec un filet "or" en encadrement, tomaison frappée "or" avec une roulette "or" de part et d'autre du titre dans un encadrement d'un filet "or" avec rinceaux "or" aux angles, entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement d'un filet "or" avec rinceaux "or" aux angles, roulette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, roulette et double filets "or" en pied, trés léger manque de cuir à la coiffe de tête, plats décorés à froid d'un filet à froid en encadrement, roulettes "or" sur les coupes (fillets on the cuts), toutes tranches lisses jaspées rouges, signature EX-LIBRIS manuscrit à l'encre brune en haut de l'avis au lecteur : A.B. ESTEVENON, sans illustrations, (II + 250) + (280) pages, 1695 à Roterdam chez Reinier Leers Editeur,
Guy Patin eut de son vivant une notoriété qui suscita l'édition de sa correspondance dix ans après sa mort. Cet engouement s'explique par la richesse de ses lettres, qui traitent de l'histoire politique de la France (la guerre de Trente Ans, la rébellion de Gaston d'Orléans et la révolte du Languedoc, la succession de Louis XIII, la régence et la Fronde, les ministères de Richelieu et de Mazarin, celui de Colbert, les problèmes soulevés par le jansénisme ), comme des problèmes relatifs aux nouveautés thérapeutiques du temps, auxquelles la Faculté de Paris résista âprement. Cette correspondance fournit aussi de multiples renseignements sur les cercles érudits parisiens, où frayait Guy Patin, ami de Naudé, de Gassendi, de Montmort, de Bochart et de Vossius. (L. Jestaz, Édition critique de lettres de Guy Patin, introduction)....Vingt ans après sa mort, on publia ses Lettres choisies, depuis 1645 jusquen 1672 (Cologne, 1692, 3 vol. in-12). On imprima ensuite un Nouveau recueil de Lettres choisies (1695, 2 vol. in-12),..ces lettres contiennent encore contre le pouvoir, la religion ou nombre de contemporains, des jugements et des traits qui ne pouvaient manquer d'attirer la Censure...(Livres Saisis a Paris Entre 1678 and 1701, De A. Sauvy, Motoko Ninomiya - 1972, La Haye Marinus Nijhoff Editeur).........RARETE....en trés bon état malgré le petit défaut signalé (very good condition in spite of the small defect indicated). en trés bon état
Patin K. Reference book. In two volumes + third (additional). In Russian (ask us if in doubt)/Patin K. Spravochnik.V dvukh tomakh + tretiy (dopolnitel'nyy). Short description: In Russian (ask us if in doubt).A Desktop Book for Staff Chancelleries Directorates Institutions and Institutions. Third Edition supplemented edited by L.Vasilyev. C.-Pb. Editioned by V.Berezovsky Commissioner of Military Training Institutions. 1911. 1358c. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbd11da40c6484a2d0
À Lyon, chez Claude Muguet, 1674, in-12, [12]-273-[1] pp, titre-frontispice, portrait, 1 carte dépl, 5 pl. gravées, Basane havane de l'époque, dos à nerfs et fleuronné, tranches mouchetées, Seconde édition. L'ouvrage a paru à l'origine sous le titre de Quatre relations historiques par Charles Patin, médecin de Paris (A Bâle, 1773). L'ouvrage fait l'histoire des villes européennes du XVIIe siècle : chaque relation a un dédicataire différent. Y sont décrites les villes de Vienne, Salzbourg, Zurich, Prague, Munich, Leyde, Genève, Berlin, etc, avec de nombreuses descriptions de monuments, antiquités et de diverses curiosités. Charles Patin (1633-1693), fils de Guy Patin, était médecin et numismate. Mouillure marginale claire, pages un peu gondolées. Coiffes arasées, mors fendillés, coins usés. Couverture rigide
Bon [12]-273-[1] pp.,
S.n., à Basle 1673, In-12 (9x15,8cm), (8) 3-336p., relié.
Edition originale.un frontispice allégorique, une vignette de titre, une carte dépliante et 5 gravures (ruines romaines, inscription antique, bijoux antiques, sarcophage égyptien) hors-texte dont 2 dépliantes. Le portrait de l'auteur est manquant. Reliure en plein veau brun mouchetée et glacé d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre de veau brun. Restaurations en coiffes, mors et coins. Manque pages de garde marbrées sur les feuillets vierges. Ex libris du XXe : Bibliotheca Altholii doctoris. Relations des voyages en Europe de Charles Patin. La première à Vienne, en Hongrie et en Bohème où Patin visite les cabinets de peinture et d'arts ; la seconde en Allemagne dans les villes d'Ulm, d'Augsbourg, dans le Tyrol italien, puis à Munich et en Bavière. De même, l'auteur visite de nombreux cabinets et collections d'arts. La troisième relation commence à Bâle puis Heidelberg, Manheim, et les villes rhénanes, puis Utrecht, enfin Amsterdam, La Haye. La dernière relation de voyage décrit la Souabe et le wirtemberg, Nieustat, Nuremberg, la Saxe et d'autres provinces allemandes. Chaque fois, Patin visite les collections d'art et de médailles, d'antiques... Chaque relation est composée comme une lettre adressée à un Prince d'Allemagne. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Amsterdam, Steenhouwer & Uytwerf, 1718. 8vo. Two parts bound in one contemporary full calf binding with four raised bands and richly gilt spine. Traces from old paper-label pasted on to top of spine. Light wear to extremities. Annotations in contemporary hand to front free end-paper. Title-page evenly browned, otherwise internally nice and clean. (6), 410, (4), 438 pp.
Later Amsterdam-edition of Guy Patin's correspondence, begun in 1630 and continued until his death. ""D'une correspondance trés importante pour l'histoire de la littérature, de la médicine et des moeurs et usages en France au milieu du XVII siécle."" (i.e. English: ""A very important correspondence for the history of literature, medicine, and customs and practices in France in the mid-17th century"") (Graesse V, 167) Graesse V, 167.
Paris : Firmin Didot. 1843 In-4, 22pages. Broché.
Henri-Joseph-Guillaume Patin, né le 21 août 1793 à Paris où il est mort le 19 février 1876, est un homme de lettres, helléniste et latiniste français.Il est élève en 1811 à l’École normale, docteur en lettres reçu cinquième à l'agréation de grammaire en 1814. Il devient par la suite maitre de conférence à l'École normale de 1815 à 1822 et de 1830 à 1833. Entre-temps, il est professeur adjoint de rhétorique au collège Henri-IV. Il devient ensuite suppléant d'éloquence française à la faculté des lettres de Paris de 1830 à 1832 puis professeur de poésie latine dès 1832 dans cette université, dont il sera aussi le doyen de 1865 jusqu'à sa mort.
Musée Rodin, Paris, 1995. In-4, cartonnage éditeur illustré en couleurs, 215 pp. Monet vient!, par Karin Hellandsjø - "Des effets de neige absolument stupéfiants...", par Sylvie Patin - Peintures exposées - Dessins exposés - 40 photographies de Norvège - Les lettres de Claude Monet de la Norvège - "A propos de Jacques ...
Nombreuses illustrations en noir et 12 planches couleurs en hors texte.Textes en français, norvégien, anglais. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
1689 Rotterdam, chez Reinier Leers, 1689, in-12 de (16)-452 pp., rel. d'ép. de plein veau brun moucheté, dos à nerfs orné de fers dorés, bel ex.
Guy Patin (1601-1672), fut médecin à Paris, et un célèbre épistolier. Ses lettres furent imprimées après sa mort, et lui valurent la reconnaissance posthume de ses contemporains.
1856 ; 1 p., 1/2 in-8 sur papier avec son chiffre.Lettre adressée au directeur d’une revue d’art. Sur la recommandation de son ami le Marquis de Belloy il propose à son correspondant de lui fournir divers articles, l’un sur le célèbre amateur Mariette, un autre sur Charlet. Il donne son adresse à Paris au 12 rue du Havre.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
Paris, Aubry, Paris, Aubry1859 ; in-16, demi-basane rose, filet doré, couverture illustrée (Reliure de l’époque). 2 ff., 106 pp., 1 f.EDITION ORIGINALE rare de cette curiosité sur l’histoire de la mode. Il existe quelques rares exemplaires sur papiers de couleurs.vicaire IV 880 - Colas 1719 - Lipperheide 1731.Ex-libris Emile Miguet.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
[BAUDELAIRE] LA FIZELIERE (Albert Patin de) et DECAUX (G.)
Reference : 46403135
(1868)
Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles, Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles1868 ; in-12, broché. XIII pp., 70 pp.C’est la PREMIERE BIBLIOGRAPHIE DE BAUDELAIRE. “... En recueillant cette liste, aussi complète qu’il nous a été possible de la dresser, nous avons eu le désir de procurer aux curieux, aux délicats, le plaisir par nous éprouvé à connaître et apprécier un écrivain, un poëte, dont le nom ne doit jamais tomber dans l’oubli”.Malassis avait fourni de nombreuses indications à La Fizelière pour ce travail. Il écrira au sujet de ce livre à Narcisse Ancelle : “Vous serez sensible, comme moi, Monsieur, à ce que Baudelaire, du fait de cette publication, soit traité, ainsi qu’il convenait, comme un classique de la littérature française ”. Pichois-Ziegler 611 - Vicaire IV 881.Exemplaire numéroté sur vergé.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
[BAUDELAIRE] LA FIZELIERE (Albert Patin de) et DECAUX (G.)
Reference : 46403136
(1868)
Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles, Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles1868 ; in-12, broché XIII pp., 70 pp.C’est la PREMIERE BIBLIOGRAPHIE DE BAUDELAIRE. “... En recueillant cette liste, aussi complète qu’il nous a été possible de la dresser, nous avons eu le désir de procurer aux curieux, aux délicats, le plaisir par nous éprouvé à connaître et apprécier un écrivain, un poëte, dont le nom ne doit jamais tomber dans l’oubli”.Malassis avait fourni de nombreuses indications à La Fizelière pour ce travail. Il écrira au sujet de ce livre à Narcisse Ancelle : “Vous serez sensible, comme moi, Monsieur, à ce que Baudelaire, du fait de cette publication, soit traité, ainsi qu’il convenait, comme un classique de la littérature française ”. Pichois-Ziegler 611 - Vicaire IV 881.Exemplaire sur vergé, non numéroté.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
STIL (André) - Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède.
Reference : 43477
Le Quesnoy(Nord): Chez André Stil, sans date (1943). 3 doubles feuillets 16x24cm, chacun tiré à 300 exemplaires. Le premier cahier imprimé sur vélin fort Johannot, s’ouvre sur le manifeste «Décentralistation surréaliste» où André Stil en appelle à tous les poètes qui veulent participer à l’effort surréaliste pendant la guerre. Suivent les textes de Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède et André Stil. Une des dernières publications collectives du groupe La main à plume. Bon état.
[Chez Florentin & Pierre Desaulne] - NAUDE, Gabriel ; PATIN, Guy ; [PIGANIOL ; BAYLE ]
Reference : 65979
(1701)
1 vol. in-12 reliure de l'époque plein veau brun, dos à 5 nerfs orné, Chez Florentin & Pierre Desaulne, Paris, 1701, 12-12-120-118 pp., 1 f., 18 pp.
Dans sa "Bibliographie des Ana", Aude signale qu'il s'agit de l'édition originale (collation différente) et indique que cette édition a été publiée par Piganiol et par Bayle. Bon état (petits mq. en mors et coiffes, ancienne mouill. marginale aux ff. en queue). Aude, Ana, 78
Paris, Imprimerie de le normant, 1816. 32 pages. (20x13 Cm). Derelié. Discours par Monsieur Patin, un homme de lettres, helléniste et latiniste français. Lauréat de l’Académie de Rouen en 1816 et de l’Académie française en 1822, 1824, 1827, il a collaboré à de nombreux journaux, dont la Revue des deux Mondes, Le Globe et le Journal des savants. Il est connu tant pour ses traductions du grec et du latin que pour ses Études sur les tragiques grecs, ouvrage qui lui ouvre les portes de l’Académie française. Envois de l'auteur: "Offert par l'auteur à son ami.." sur la page de titre.
1695 Amsterdam. Chez Pierre Mortier. 1695. 1 volume in-12, veau moucheté, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, avec petit manque en coin, coiffes restaurées. (6) pp. ; 272p.
Edition illustrée d'un frontispice, d'un portrait de l'auteur, d'une carte dépliante et de 5 planches hors-texte dont 2 dépliantes. L'édition originale est de 1674. Fils de Guy Patin, Charles est surtout connu comme médecin et numismate, sujet sur lequel il publia de nombreux écrits. Il s'exila pour se soustraire aux effets d'une lettre de cachet lancée contre lui par Colbert et reçut un accueil empressé des princes étrangers. Il visita la plupart des cours d'Allemagne, se fixa à Bâle pendant un moment et finit ses jours à Padoue. Dans une lettre datée 1671, il relate sa visite à Londres, peu de temps après le grand incendie qui détruisit une grande partie de la cité en 1666, impressionné par “la multitude du peuple et l’abondance des richesses”, découvrant avec étonnement les ruines de l’église Saint Paul, le pont de Londres arborant les têtes empalées sur une tour de ces “execrables parricides de la Majesté”. Signature manuscrite Becdeliève.
Librairie Armand Colin 1901
Broché, comme neuf. Librairie Armand Colin (1901)
Sans date. 5 Sylvie Patin - Monet un œil. mais bon Dieu quel œil
Très bon état
, Paris, Éd.Cujas 1965, in-8, rel. éd., portrait du récipiendaire pl. p., (couv. légt fanée), intérieur frais, 772p.
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