Diagraphe et pantographe Gavard Paris, 1838-1849, Tirage sur beau papier vélin, format de la feuille : 45 x 32 cm. Gravure sur acier. Timbre à sec du ministère de la guerre. Louise de Lorraine-Vaudémont, ou Louise de Lorraine (née le 30 avril 1553 au château de Nomeny - morte à Moulins le 29 janvier 1601), est issue de la branche de Vaudémont, branche cadette de la maison de Lorraine. Cousine des Guise et du duc Charles III de Lorraine, elle a été reine de France de 1575 à 1589 et reine de Pologne et grande-duchesse de Lituanie en 1575, à la suite de son mariage avec Henri III de France.
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV.
Reference : 013790
Jean Delorme (1547?-1637), médecin, docteur de l'université de Montpellier en 1577, médecin du duc de Lorraine Charles III, conseiller et médecin ordinaire du roi Henri IV, médecin ordinaire puis premier médecin du roi Louis XIII, premier médecin de Louise de Lorraine (épouse d'Henri III), premier médecin de la régente Marie de Médicis, père de Charles Delorme, l'important premier médecin de Louis XIII. Il aurait été aussi brièvement premier médecin d'Henri IV. P.S. avec note autographe, [1615], 1p in-4 oblong. Sur parchemin. Document avec le recto signé « Delorme » et une note autographe « Po[u]r la somme de iiiiC L l[ivres] t[ournois] ». Au dos une note d'une autre main « pour servir de quittance. » (4 lignes). Le document n'a pas été rempli ensuite au dessus de la signature mais devait concerner les 450 livres d'appointements en tant que conseiller et médecin ordinaire pour l'année 1615. [280-2]
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27/08/1830 BELLE ET LONGUE LETTRE SUR SON VOYAGE DE RETOUR, APRÈS UN SÉJOUR À VIENNE :...Nous voilà arrivé heureusement ici depuis hier soir à 8 1/2 et mon premier soin ce matin en méveillant est de vous écrire mon bon ami (...). Jespère quici vous me trouverez une correspondante plus exacte car jaurai moins de visites de ma famille et de mes amis dont jai laissé la plus grande partie à Vienne. Jaurois bien voulu voir le beau feu dartifice que vous avez fait en mon honneur le jour de ma fête, peut-être que nous pourrons le répéter un autre jour cet hyver (...). Je me figure que vous serez maintenant déjà à Gênes, et je me réjouis de lire ce que vous mécrirez sur limpression que vous a fait cette belle et grande ville. Pourvu que vous ayez meilleur tems que nous, il pleut averse et jai bien peur que lentrée solennelle naura pas lieu, ce dont je serai faché puisque ce seroit au moins un petit moyen pour couper lennui de ce séjour. Jai encore diné hier à Schonbrunn mais chez moi pour faire plus vite, et suis partie à 3 heures avec un tems épouvantable... Après avoir dépassé Schwechat près de Vienne, elle a pu admirer le ...Neugebaüde ancien vieux château fort où sont à présent les poudrières et qui est fameux dans lhistoire pour lentrevue qui y eurent Jean Sobieski et lEmpereur Leopold après le siège de Vienne. Plus loin il y a le gros village de Kaiser Ebersdorf où se trouve la grande caserne de lartillerie. Le pays pendant les trois premières postes (...) est dune horrible monotonie. (...). Après Riegelsbrunn on découvre derrière des bois les tours du château dOrst grande possession patrimoniale de la Couronne, qui appartient à mon Père et à tous mes Oncles. A une demie heure de là on voit a droite une antiquité romaine qui ressemble à une potence, et a gauche limmense parc de Petronell appartenant a la comtesse Trann on dit que son château a 305 fenêtres, nous vimes ici quatre rayons darc en ciel a la fois... Arrivée à Presbourg la nuit tombée, elle ne put voir ...quun pont de bateau... sur le Danube, ...dans peu de jours je vous ferai la description de mon nouveau séjour. Jhabite dans la maison de la vieille comtesse Charles Esterhazy et suis assez mal logée car jai entre ma chambre à coucher et mon salon une espèce de grande antichambre où jai mon clavecin et où tout le monde peut entrer chez moi du corridor. Mlle Bianchi est dans une autre maison à une lieue de moi et avec cette boue hongroise ce nest pas une bagatelle (...). Si ce nétoit que pour un ou deux jours on en riroit mais pour un séjour de plus de trois semaines cest par trop fort (...). Je finis car il fait si obscur que je ny vois rien dans cette rue si laide et sale... Après la fin de lEmpire et labdication de Napoléon, Marie-Louise revient à Vienne, où elle sinstalle à Schönbrunn avec quelques rescapés de la cour des Tuileries.Devenue duchesse de Parme en 1816, lex-impératrice sinstalle en Italie, laissant son fils le roi de Rome à Vienne. Elle épouse à Parme le comte Niepperg après la mort de Napoléon.
MEDICIS (Catherine de) - ESTIENNE (Henri), BEZE (Théodore de), SERRES (Jean de)], CONTI (Louise-Marguerite de Lorraine princesse de), AUBIGNE (Théodore Agrippa d'),
Reference : 32448
Ensemble de 2 ouvrages reliés en un volume in-12 (126 x 70 mm) , plein parchemin ivoire de l'époque.
Ce recueil rassemble les pamphlets majeurs qui ont contribué à façonner la légende noire du machiavélisme et du despotisme de Catherine de Médicis dans l'imaginaire collectif. Cette perception a perduré durant des siècles avant d'être largement remise en cause à partir de la seconde moitié du XXe siècle.1- Attribué par ses contemporains à Henri Estienne, ce pamphlet pourrait également avoir pour auteur Jean de Serres, Théodore de Bèze ou Innocent Gentillet."Pamphlet très violent, écrit pendant la régence de 1574 contre la tyrannie et les vices de Catherine de Médicis, histoire des guerres de religion où les responsabilités sont rejetées sur la reine. L'auteur, qui se donne comme un catholique modéré, semble être un huguenot apparenté au Parti des Politiques" (Sources de l'Histoire de France, n°2240). (Cf. Renouard, Estienne, 142-143, n°8. Brunet, II, 751).2- Recueil de pamphlets visant aussi bien Henri III quHenri IV. Contient :I. "Journal du règne de Henry III" [par Servin, avocat général au parlement de Paris].II. "L'Alcandre, ou les amours du Roy Henry le Grand" [Chronique scandaleuse attribuée à la Princesse de Conti].III. "Le Divorce satyrique, ou les amours de Reine Marguerite de Valois" [Pamphlet extrêmement virulent contre Marguerite de Valois, attribué à P.-V. Palma Cayet].IV. "La confession de M. de Sancy" par L.S.D.A., auteur du Baron de Feneste [Théodore Agrippa d'Aubigné].L. Brouillant (dans 'Pierre du Marteau', p. 179) précise que ce dernier recueil, publié sous une fausse adresse à Cologne, aurait en réalité été imprimé à La Haye par Adrian Vlacq, comme le précédent. (Brunet, IV, 1146).Bon exemplaire, relié à l'époque.
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