Librairie Philosophique J. Vrin , L'Histoire des Sciences, Textes et Etudes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1975 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une figure grand In-8 1 vol. - 322 pages
quelques figures dans le texte en noir 1ere édition de 1975 "Contents, Chapitres : 1. Etude de Patrice Bailhache sur Louis Poinsot, 222 pages - 2. Textes de Louis Poinsot, 100 pages - 1. Introduction - Présentation, historique, les hommes et les uvres - Les démonstrations du principe des vitesses virtuelles vers l'an 1800 - Les motifs de l'édification de la nouvelle théorie de Poinsot - Le contenu démonstratif de la nouvelle théorie de Poinsot - Les notes de Lagrange portées en marge du texte - La démonstration du principe des vitesses virtuelles donnée par Ampère, 1805 - Conclusion - Appendices, bibliographie et index - 2. Textes de Poinsot : Considérations sur le principe des vitesses virtuelles - Sur la théorie générale de la mécanique - Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes - Sur une certaine démonstration du principe des vitesses virtuelles qu'on trouve au chapitre II du livre 1er de la Mécanique céleste de Laplace - Louis Poinsot (3 janvier 1777 à Clermont-en-Beauvaisis - 5 décembre 1859 à Paris) est un mathématicien français connu pour ses contributions à la mécanique rationnelle. - Définitions précises, clarté des raisonnements, réduction systématique des questions à des méthodes géométriques révèlent le style de Poinsot, qui, cette même année, renonce à la carrière d'ingénieur et est recruté comme professeur de mathématiques au lycée Bonaparte. Reconnu à présent par l'Institut, il dépose un mémoire (imprimé ensuite sous le titre de Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes) critiquant le principe des travaux virtuels. Ce principe, parmi d'autres possibles, avait été choisi par Joseph-Louis Lagrange pour axiomatiser la statique dans sa Mécanique analytique (1788). Lagrange, qui était alors le doyen et l'autorité suprême de l'Institut, s'émut de la témérité du jeune auteur. Pourtant, après deux entrevues houleuses, il semble que Lagrange, à défaut d'être convaincu par les arguments de Poinsot, lui reconnut de la rigueur et du courage : il lui obtint la charge d'inspecteur des universités (1808). - Dans son effort pour géométriser la mécanique, Poinsot mit en évidence l'importance de la notion de moment et celle de couple de forces, montrant comment réduire à un torseur un système de forces agissant sur un solide. Dans sa Théorie nouvelle de la rotation des Corps (1834), il démontre que le mouvement d'un solide se décompose en une rotation instantanée autour d'un axe et une translation instantanée parallèle à cet axe ; puis que le mouvement d'un solide autour d'un point fixe (mouvement à la Poinsot), peut être illustré par le roulement d'un cône solidaire du solide, sur un cône fixe. Son étude sur le mouvement du cône généralise celle d'Euler sur la toupie (cône en rotation autour d'un axe fixe). (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie avec quelques rousseurs très discretes, et d'infimes traces de pliures aux coins des plats, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni, quelques rousseurs sur les tranches n'affectent pas l'intérieur, cela reste un bon exemplaire de cette longue étude de plus de 200 pages de Patrice Bailhache sur Poinsot suivie des textes de Louis Poinsot
Librairie Philosophique J. Vrin , L'Histoire des Sciences, Textes et Etudes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1975 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une figure grand In-8 1 vol. - 322 pages
quelques figures dans le texte en noir 1ere édition de 1975 "Contents, Chapitres : 1. Etude de Patrice Bailhache sur Louis Poinsot, 222 pages - 2. Textes de Louis Poinsot, 100 pages - 1. Introduction - Présentation, historique, les hommes et les uvres - Les démonstrations du principe des vitesses virtuelles vers l'an 1800 - Les motifs de l'édification de la nouvelle théorie de Poinsot - Le contenu démonstratif de la nouvelle théorie de Poinsot - Les notes de Lagrange portées en marge du texte - La démonstration du principe des vitesses virtuelles donnée par Ampère, 1805 - Conclusion - Appendices, bibliographie et index - 2. Textes de Poinsot : Considérations sur le principe des vitesses virtuelles - Sur la théorie générale de la mécanique - Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes - Sur une certaine démonstration du principe des vitesses virtuelles qu'on trouve au chapitre II du livre 1er de la Mécanique céleste de Laplace - Louis Poinsot (3 janvier 1777 à Clermont-en-Beauvaisis - 5 décembre 1859 à Paris) est un mathématicien français connu pour ses contributions à la mécanique rationnelle. - Définitions précises, clarté des raisonnements, réduction systématique des questions à des méthodes géométriques révèlent le style de Poinsot, qui, cette même année, renonce à la carrière d'ingénieur et est recruté comme professeur de mathématiques au lycée Bonaparte. Reconnu à présent par l'Institut, il dépose un mémoire (imprimé ensuite sous le titre de Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes) critiquant le principe des travaux virtuels. Ce principe, parmi d'autres possibles, avait été choisi par Joseph-Louis Lagrange pour axiomatiser la statique dans sa Mécanique analytique (1788). Lagrange, qui était alors le doyen et l'autorité suprême de l'Institut, s'émut de la témérité du jeune auteur. Pourtant, après deux entrevues houleuses, il semble que Lagrange, à défaut d'être convaincu par les arguments de Poinsot, lui reconnut de la rigueur et du courage : il lui obtint la charge d'inspecteur des universités (1808). - Dans son effort pour géométriser la mécanique, Poinsot mit en évidence l'importance de la notion de moment et celle de couple de forces, montrant comment réduire à un torseur un système de forces agissant sur un solide. Dans sa Théorie nouvelle de la rotation des Corps (1834), il démontre que le mouvement d'un solide se décompose en une rotation instantanée autour d'un axe et une translation instantanée parallèle à cet axe ; puis que le mouvement d'un solide autour d'un point fixe (mouvement à la Poinsot), peut être illustré par le roulement d'un cône solidaire du solide, sur un cône fixe. Son étude sur le mouvement du cône généralise celle d'Euler sur la toupie (cône en rotation autour d'un axe fixe). (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie, sinon très bon état, intérieur frais et propre, cela reste un bel exemplaire de cette longue étude de plus de 200 pages de Patrice Bailhache sur Poinsot suivie des textes de Louis Poinsot
Catalogue de l'exposition présentée à Bordeaux au Musée d'Art contemporain en 1983 - Un volume 24x32cm broché, de 70 pages abondamment illustrées en noir et en couleurs des oeuvres de l'artiste - Entretien de Baselitz avec Jean-Louis Froment et Jean-Marc Poinsot (14 pages) - bon état -
PARIS, Bachelier - 1830 - 5 ième édition, revue et consiodérablement augmentée - In-8 - Reliure 1/2 chagrin - 4 planches dépliantes in-fine - 412 pages - Envoi rapide et soigné
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Bachelier, imprimeur-libraire à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1837 Book condition, Etat : Bon relié, demi-chagrin à grains fins marron à 5 faux-nerfs, titre doré au dos In-8 1 vol. - 492 pages
7eme édition revue et augmentée,1837 "Contents, Chapitres : Table, avertissement, xii, Texte, 480 pages - 1. Eléments de statique : Composition et décomposition des forces - Composition et décomposition des couples - Des conditions de l'équilibre, exprimées par des équations - Des centres de gravité - Des machines (Du levier, du tour, du plan incliné, de la vis, du coin, des cordes, de la chainette, des poulies et des moufles, des roues dentées, du cric, de la vis sans fin) - 2. Mémoire sur la composition des momens et des aires (pages 341 à 377) - Note sur le double mouvement de la Terre et des corps célestes (5 pages) - 3. Mémoire sur la théorie et la détermination de l'équateur du système du monde, addition au mémoire qui précède (pages 385 à 425) - 4. Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes (Sur un principe de la théorie précédente - Démonstration du principe des vitesses virtuelles), pages 427 à 480. - Louis Poinsot (3 janvier 1777 à Clermont-en-Beauvaisis - 5 décembre 1859 à Paris) est un mathématicien français connu pour ses contributions à la mécanique rationnelle. - Définitions précises, clarté des raisonnements, réduction systématique des questions à des méthodes géométriques révèlent le style de Poinsot, qui, cette même année, renonce à la carrière d'ingénieur et est recruté comme professeur de mathématiques au lycée Bonaparte. Reconnu à présent par l'Institut, il dépose un mémoire (imprimé ensuite sous le titre de Théorie générale de l'équilibre et du mouvement des systèmes) critiquant le principe des travaux virtuels. Ce principe, parmi d'autres possibles, avait été choisi par Joseph-Louis Lagrange pour axiomatiser la statique dans sa Mécanique analytique (1788). Lagrange, qui était alors le doyen et l'autorité suprême de l'Institut, s'émut de la témérité du jeune auteur. Pourtant, après deux entrevues houleuses, il semble que Lagrange, à défaut d'être convaincu par les arguments de Poinsot, lui reconnut de la rigueur et du courage : il lui obtint la charge d'inspecteur des universités (1808). - Dans son effort pour géométriser la mécanique, Poinsot mit en évidence l'importance de la notion de moment et celle de couple de forces, montrant comment réduire à un torseur un système de forces agissant sur un solide. Dans sa Théorie nouvelle de la rotation des Corps (1834), il démontre que le mouvement d'un solide se décompose en une rotation instantanée autour d'un axe et une translation instantanée parallèle à cet axe ; puis que le mouvement d'un solide autour d'un point fixe (mouvement à la Poinsot), peut être illustré par le roulement d'un cône solidaire du solide, sur un cône fixe. Son étude sur le mouvement du cône généralise celle d'Euler sur la toupie (cône en rotation autour d'un axe fixe). Le classicisme de Poinsot l'amena à réfuter la théorie mathématique de l'élasticité alors en plein essor, car celle-ci introduisait, selon lui sans nécessité, des hypothèses supplémentaires à la mécanique du point et des solides rigides. Joseph Bertrand rapporte : ""Curieux de la théorie des corps solides, il <Poinsot> la séparait entièrement de celle des corps élastiques. Ni Navier, ni Poisson, ni Cauchy, ni Lamé, pour lequel il eut toujours une si haute estime, n'ont réussi à lui faire discuter leurs principes. « Ils parlent de pressions obliques, disait-il avec répugnance, cela n'est pas pur, une pression est toujours normale », et éloignant de son esprit cette image et cette locution importune, il reposait aussitôt sa vue sur les corps abstraitement, c'est-à-dire absolument rigides, et terminés par des surfaces géométriques d'un poli tellement parfait, qu'on ne doit pas même en parler. Un poli imparfait, une surface rugueuse, qu'entendez-vous par là, je vous prie, en tant que géomètres ? ». Poinsot pensait que l'on pouvait mathématiser la théorie des corps déformables par des considérations de résultante et de couple entre points matériels. Ses idées influencèrent les frères Cosserat. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, reliure élégante, dos en très bon état, plats également en papier relieur, intérieur en assez bon état, les pages de titre et la suivante ont été consolidées sur le bord droit avec du papier relieur, signature ancienne sur la page de titre, les pages sont propres, mais avec des rousseurs assez accentuées qui viennent brunir quelques pages, la page 16 a été placée entre les pages 2 et 3, le texte reste complet (ouvrage entièrement complet), c'est un bon exemplaire de la 7eme édition revue de 1837 de cet ouvrage très important dans la mécanique du début du XIXe siècle et qui fait suite notamment aux travaux de Laplace ou de Lagrange. NB : IL MANQUE LES 3 PLANCHES, le texte est collationné et complet
, 1810-1859, , deux volumes in-4, chagrin vert, dos à faux nerfs, tête dorée, roulette en bordure des contreplats, Ensemble remarquable compilé avec intelligence par le bibliophile Henri Viellard (1840-1886), ancien élève de l'École Polytechnique et ingénieur en explosifs. Il comprend plusieurs mémoires, notes, rapports du mathématicien Louis Poinsot (1777-1859), en extraits, en tirés à part et en éditions originales, classés en deux volumes : un volume pour l'analyse et la géométrie et un volume sur la mécanique, tomés respectivement I et II. Il ouvre sur des discours de Bertrand et de Mathieu prononcés lors des funérailles de Poinsot et publiés dans le Journal des Mathématiques pures et appliquées (2e série, tome 4, 1859). Parmi ces écrits, on relève notamment : Au tome I : - Le "Mémoire sur les polygones et sur les polyèdres", doublé, sous forme d'extraits, soit : tel que paru dans les Mémoires présentés par divers savants (1811, tome II, p. 552-590) et, en édition originale, dans le Journal de l'École Polytechnique (1810, 10e cahier, tome IV, p. 16-48, une planche dépliante). Poinsot fut le continuateur de Kepler sur la question des polyèdres réguliers ; les quatre polyèdres qu'il découvrit portent aujourd'hui le nom de solides de Kepler-Poinsot. - Mémoire sur l'application de l'algèbre à la théorie des nombres. A Paris, de l'Imprimerie Royale, 1819. 71 pages. - Recherche sur l'analyse des sections angulaires. Paris, Bachelier, 1825. 80 pages. - Réflexions sur les principes fondamentaux de la théorie des nombres. Paris, Bachelier, 1845. [4]-101 pages. Et au tome II : - Théorie nouvelle de la rotation des corps, première, seconde et troisième parties, extraite du Journal des mathématiques pures et appliquées (1851, tome 16, p. 9 à 129 et p. 289 à 336) : il s'agit de l'écrit de mécanique le plus important de Poinsot, dont la première partie a paru à l'origine en 1834. Elle s'accompagne d'une planche dépliante. - Théorie des cônes circulaires roulants. Paris, Bachelier, 1853. Tiré à part, paru à l'origine dans Journal des mathématiques pures et appliquées (tome 18). 30 pages et une planche dépliante. Théorème dynamique qui se présente comme d'un des corollaires de la théorie de la rotation des corps. - Question dynamique sur la percussion des corps (premier et deuxième chapitres). Paris, Mallet-Bachelier, 1857. Tiré à part, paru à l'origine dans Journal des mathématiques pures et appliquées (2e série, tome 2). - Id. (troisième chapitre). Extrait Journal des mathématiques pures et appliquées (1859, 2e série, tome 4). Louis Poinsot fut un moment examinateur à l'École Polytechnique. Il succéda à Lagrange à l'Académie des sciences. Ses travaux concernant la mécanique rationnelle et la théorie des nombres sont souvent qualifiés de remarquables (cf. DSB, XI, p. 61). Ex-libris imprimé d'Henri Viellard et cachet annulé de l'Institut Catholique de Paris. Étiquettes en pied des dos. Couverture rigide
Bon deux volumes in-4
[paris]. [bascans, poinsot, belmontet]. - EXEMPLAIRE unique, RICHEMENT TRUFFE : gravures, LAS, docuMents originaux (1868-1899). - - [MAZE Hippolyte] - [BELMONTET Louis]. -
Reference : 182
Paris, Imprimerie D. Jouaust, sd (1878). - Format : 19 x 12,7 cm. - 16 pages + frontispice, reliure demi chagrin noir à 5 nerfs, couvertures conservées.
ONT ETE AJOUTES, en ouverture et en clôture de l'"Allocution prononcée par M. Hippolyte MAZE, Professeur d'histoire au Lycée Fontanes, Aux obsèques de Madame Bascans" : - 3 eaux-fortes (tirages sur différents papiers du frontispice, portrait de Mme Bascans par Adolphe Lalauze) ; - article de Edouard Hervé sur les funérailles de "Mlle Emilie Bascans, fille de l'ancien gérant de "La Tribune", de l'intime ami d'Armand Marrast" (Extrait du "Journal de Paris" du 26 janvier 1868). - ONT ETE AJOUTES, après la 4e de couverture, dans l'ordre suivant : - avis de décès de Gilbert POINSOT, avocat, ancien avoué, décédé le 13 Avril 1882 ("Neuilly (Seine), le 18 Avril 1882") : - coupure de presse annonçant le décès de "Mme Ferdinand Bascans, veuve de Bascans, le courageux rédacteur de la "Tribune" et du National" sous le gouvernement de Juillet" (ajout manuscrit : "Hippte Maze dans la Revue Bleue") ; - LAS de condoléances, accompagnées de 8 vers inédits, de Louis BELMONTET (1798-1879), à "Très honoré Monsieur Poinsot", datée du "31 janvier 78" ; - carte d'invitation à "l'enterrement de Madame Edmond Poinsot, née Emma Bascans, décédée le 20 octobre 1899". ---- "Madame BASCANS, née Sophie-Victoire LAGUT, le 14 février 1801, à Dôle (Jura), est décédée à Neuilly-sur-Seine le 22 janvier 1878. Sa vie presque tout entière avait été consacrée à l'enseignement.". - Elle épouse, le 2 janvier 1838, Ferdinand Bascans, professeur d'histoire et de littérature au pensionnat de Chaillot, "son excellent mari, le brillant polémiste, le courageux rédacteur de la "Tribune", du "National", de la "Revue républicaine", sous le gouvernement de Juillet" (qui décèdera le 31 décembre 1861). - Sophie Bascans fut la directrice du célèbre pensionnat de jeunes filles de Chaillot (Paris 16e, puis avenue du Roule à Neuilly en 1857) auquel George Sand confie sa fille, Solange Dudevant, en 1841. - Les Bascans et les Dudevant deviendront amis (Sophie Bascans sera la marraine de la seconde fille de Solange Dudevant et d'Auguste Clésinger, Jeanne-Gabrielle dite "Nini", née en 1849). - La première fille de Sophie Bascans, Emilie, née le 4 février 1839, décède le 23 janvier 1868 ; sa seconde fille, Rmma, née le 21 septembre 1842, épouse le 20 août 1862, à Neuilly, Edmond Poinsot, littérateur sous le pseudonyme de Georges d'Heylli ; elle est compositrice sous son nom de jeune fille ou sous le pseudonyme de Frédéric Wald. Elle décède le 20 Octobre 1899 à Tancrou (Seine-et-Marne). Très bon état général (voir photos). - - -
Paris, Bachelier [et] Paris, Mallet-Bachelier, 1834, 1852 et 1857, in-8, 3 ouvrages en 2 volume in-8 de 42 pages ; puis 134, (2) pages et 1 planches ; et 56 pages, plein chagrin vert, dos à 5 nerfs, roulette dorés sur les contre-plats, gardes marbrées et tête dorée, Edition pré-originale, extrêmement rare, de la théorie nouvelle de la rotation des corps de Poinsot au sein d'une luxueuse mise en recueil des deux principaux travaux de géométrie, en particulier de mécanique, de Poinsot. Parmi ses écrits de Mécanique, le plus important est sa Théorie nouvelle de la rotation des corps (1834). Poursuivant l'étude théorique entreprise au XVIIIe siècle par Euler, d'Alembert et Lagrange, Poinsot donne du mouvement une très intéressante représentation géométrique, et montre que l'ellipsoïde d'inertie reste constamment en contact avec un plan fixe (connu aujourd'hui comme mouvement à la Poinsot). Cette théorie a été développée par Sylvester et servit à Foucault pour la mise au point de son gyroscope. Cette remarquable intuition géométrique permit aussi à Poinsot d'élaborer une théorie purement géométrique de la précession des équinoxes. (DSB) Notre texte de la rotation des corps ne compte que 42 pages (et non 56 pages comme dans les exemplaires habituels du tiré à part des Mémoires de l'Académie). Il s'agit ainsi non pas d'un tiré à part mais d'un prospectus imprimé, probablement à très petit nombre, au moment de la lecture du mémoire le 19 mai 1834. Et en outre, la présente mise en recueil contient aussi la troisième, et dernière édition augmentée, publiée en 1852, du texte sur la rotation des corps, avec un hommage anonyme de l'auteur. Un exceptionnel ensemble, réalisé durant la seconde moitié du XIXe siècle par Henri Viellard et richement relié par ce dernier.Fonds institut Catholique de Paris, tampon annulé DSB, XI, page 62. Couverture rigide
Bon 3 ouvrages en 2 volume in-8
Paris, Mallet-Bachelier, 1858.
Tiré à part des Comptes-Rendus de l'Académie des Sciences. Le mathématicien Louis Poinsot (177-1859) succéda à Lagrange en 1813 à l'Académie des Sciences et compta parmi les principaux acteurs du renouveau de la géométrie en France. D.S.B. 11, 62. Une déchirure à la couverture sans manque, bon exemplaire. /// In-4 de 15, (1) pp. Broché, couverture muette de l'époque. //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
1978 Bordeaux et Paris, Centre d’Arts Plastiques Contemporains de Bordeaux et Centre Georges Pompidou, 1978, 220x240mm, 60 p., broché, couverture photographique.Exposition préparée par Jean-Louis Froment et Jean-Marc Poinsot.(103619)
Phone number : +33 1 48 01 02 37
Paris, Bachelier, 1824, in-8, XVI-344 pp, 4 pl, Demi-basane bleu nuit, dos orné en long de fers rocaille, 4 dépliantes gravées sur cuivre. Quatrième édition, revue et corrigée par l'auteur. La première a paru en 1803. "It was in mechanics that Poinsot most effectively displayed his gift for geometry. Although Éléments de statique was merely a manual designed for candidates to the École Polytechnique, the work possessed the great merit of applying geometric methods to the study of elementary problems of mechanics and of introducing the concept of the couple" (DSB). Cachets de l'Institut catholique de Paris sur les planches. Bel exemplaire. Dos restauré. DSB XI, p. 62. Couverture rigide
Bon XVI-344 pp., 4 pl.
Paris, Bachelier, 1851. In-4, VIII-170 pp. et II pl., demi-basane rubis, dos à nerfs sobrement orné (dos légèrement frotté et insolé).
Bien complet des deux planches dépliantes. Daté et signé par Paul Serret sur la page de faux-titre. * Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Mallet-Bachelier, 1857, in-8, de 56 pages, demi-chagrin moderne, dos lisse portant une pièce de titre (ouvertures d'origine conservées), Très rare première édition en volume, avant la publication, en 1858, comme Additions à la Connaissance des Temps. Précieux exemplaire de Charles Hermite, portant sur la première garde son ex-libris manuscrit, qui fut l'un des professeurs et maitres de Henri Poincaré. Couverture rigide
Bon de 56 pages
Paris, Mme Veuve Courcier, libraire pour les sciences, rue du Jardinet-Saint-André des Arcs, 1821. In-8, demi-veau, dos lise fragile, XVI + 328 pages, 4 planches contenant 91 figures, dépliante in-fine. Dos fragile, frottements éparses mais reliure solide, exemplaire satisfaisant.
Paris, Vve Courcier, 1821, In-8° , XVI-328 p., 4 planches dépliantes en fin de volume. Un volume relié. Reliure plein veau d'époque fatiguée, coiffe supérieure manquante, coins usés. Dos lisse très orné, frotté dans sa partie supérieure.