PILLON, F. - Ch. Renouvier (introduction) - Félix Hénneguy, René Ménard, alfred Deberle, Louis Ménard (collaborateurs)
Reference : 103211
(1868)
1868 A Paris, Librairie Germer Baillière - 1868 - 1 vol in-12 - Demi basanne brun foncé (dos décoloré), 4 nerfs, titre, auteur et fleurons en doré - 576 pages
Bon état malgré une réparation transversale à l'adhésif sur les 8 premières pages - Un tampon d'ancien propriétaire en page de faux titre - Rares rousseurs
"1904. Paris Cahiers de la Quinzaine 1904 - Broché 13 cm x 19 cm XIII + 284 pages - Texte de Louis Ménard - Bon état"
A.Durel, Librairie 1909, In-8 relié de 182 pages au format 18,5 x 27,5 cm. Elégante reliure demi-maroquin avec pats en papier marbré. Dos rond avec pièce de titre. Couverture non conservées. Double état du portait de l'auteur, gravé à l'eau-forte par G. Noyon, et situé en frontispice. Infimes frottis aux coins. Intérieur frais. Superbe état général. Longue préface inédite de Maurice Barrès à ce recueil de contes, dialogues et poèmes, teintés de mysticisme philosophique, mettant en scène Dieu et le Diable. Exemplaire nominatif sur chine, non justifié, spécialement imprimé pour René Ménard, frère de l'auteur. Le tirage de cette ouvrage étaient limité à 250 exemplaires, dont 20 sur chine. Edition originale de la préface de Maurice Barrès. De toute rareté.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
1863 paris charpentier 1863 format in 12 reliure demi basane 252 pages deuxieme édition augmentée ouvrage en bon état
Un ouvrage de 230 pages, format 130 x 200 mm, relié cartonnage, publié en 1911, Georges Crès et Cie Editeurs (Paris) bon état
Edition définitive, augmentée de lettres et de pièces inédites et précédée d'une étude sur l'auteur par Rioux de Maillou
Phone number : 04 74 33 45 19
Paris, Georges Crès et Cie, Editeur, 1911, in-8, demi-parchemin, plats marbrés, dos orné, 227 pages. Couverture conservée. Ex-libris collé et manuscrit de Camille Cé. Portrait en frontispice. Bon état.
Éditions Les mauvais jours, 2016, broché, 174 pages.
État neuf
Phone number : 04 96 21 81 64
Georges Crès and Cie, Paris 1911, 12x19cm,broche Edition définitive en partie originale car augmentee de lettres et de pièces inédites. En frontispice, un portrait de l'auteur par René Ménard.
bon etat
Paris : Léon Fremont. 1895 In-8, (4)-330 pages. Demi-toile de l'époque, dos lisse orné, plats de couverture conservés.
Louis-Nicolas Ménard, né à Paris le 19 octobre 1822 et mort à Paris le 9 février 1901, est un chimiste et homme de lettres français. Condisciple de Baudelaire au lycée Louis-le-Grand, il entre ensuite à l'École normale (promotion 1842 Lettres). Peu après avoir publié en 1843 Prométhée délivré sous le pseudonyme de Louis de Senneville, il quitte soudainement les études littéraires pour se lancer dans la chimie. Il initie son ami Baudelaire à la confiture verte dans le grenier de l'appartement familial des Ménard, expérience qu'ils renouvellent avec d'autres intimes du grenier en participant sous contrôle médical aux réunions du « club des Haschischins ».À l'occasion de la révolution de 1848, qu'il soutient avec ferveur, il publie "Prologue d'une révolution, février-juin 1848", qui lui vaut d'être menacé de prison et l'oblige à partir en exil à Londres puis à Bruxelles, exil au cours duquel il rencontre Karl Marx. Cette période le ramène à la poésie et à l'étude de l'Antiquité grecque. Revenu à Paris après l'amnistie de 1852, il publie un premier recueil de poèmes en 1855 dans lequel il essaye, comme son ami Leconte de Lisle, de faire revivre l'Antiquité. Conscient de ses limites, il se consacre à des études extrêmement poussées et sérieuses des sociétés et des religions antiques dont il tire deux importants ouvrages : La Morale avant les philosophes (1860) et Le Polythéisme hellénique (1863). Ces ouvrages sont commentés en particulier par les philosophes appartenant au courant du « nouveau criticisme » (Charles Renouvier et Henneguy notamment).Il se fait peintre pendant les années suivantes, et côtoie les peintres de l'École de Barbizon. Ses nouvelles poésies sont cependant publiées dans Le Parnasse contemporain. Bien que se trouvant à Londres en 1871, il n'en défend pas moins avec vigueur la Commune de Paris, sans en être inquiété. En 1876, il publie son livre le plus remarquable, les "Rêveries d'un païen mystique", où se mêlent poésie mystique et philosophie, qui a une grande influence sur certains de ses contemporains qui décrivent Ménard comme l'homme le plus passionnément grec qu'on puisse imaginer (Maurice Barrès l'évoque longuement dans le premier chapitre de son Voyage à Sparte). Il devient en 1887 professeur à l'École des Arts décoratifs, et en 1895 professeur d'histoire universelle à l'Hôtel de Ville. Dans ses dernières années il essaye de réformer l'orthographe en la « simplifiant », et republia ses Poèmes et Rèveries d'un paien mistiqe (sic) en 1896.
Paris : Bureau du Peuple. 1849 (i. e. Cahiers de la quinzaine, 1904 ) In-12, XII-284-(1) pages. Demi-basane rouge de l'époque, dos à nerfs orné.
Réédition de l'édition de 1849, avec note de Daniel Halévy en préface. Louis-Nicolas Ménard, né à Paris le 19 octobre 1822 et mort à Paris le 9 février 1901, est un chimiste et homme de lettres français. Condisciple de Baudelaire au lycée Louis-le-Grand, il entre ensuite à l'École normale (promotion 1842 Lettres). Peu après avoir publié en 1843 Prométhée délivré sous le pseudonyme de Louis de Senneville, il quitte soudainement les études littéraires pour se lancer dans la chimie. Il initie son ami Baudelaire à la confiture verte dans le grenier de l'appartement familial des Ménard, expérience qu'ils renouvellent avec d'autres intimes du grenier en participant sous contrôle médical aux réunions du « club des Haschischins ».À l'occasion de la révolution de 1848, qu'il soutient avec ferveur, il publie Prologue d'une révolution, février-juin 1848, qui lui vaut d'être menacé de prison et l'oblige à partir en exil à Londres puis à Bruxelles, exil au cours duquel il rencontre Karl Marx. Cette période le ramène à la poésie et à l'étude de l'Antiquité grecque. Revenu à Paris après l'amnistie de 1852, il publie un premier recueil de poèmes en 1855 dans lequel il essaye, comme son ami Leconte de Lisle, de faire revivre l'Antiquité. Conscient de ses limites, il se consacre à des études extrêmement poussées et sérieuses des sociétés et des religions antiques dont il tire deux importants ouvrages : La Morale avant les philosophes (1860) et Le Polythéisme hellénique (1863). Ces ouvrages sont commentés en particulier par les philosophes appartenant au courant du « nouveau criticisme » (Charles Renouvier et Henneguy notamment).Il se fait peintre pendant les années suivantes, et côtoie les peintres de l'École de Barbizon. Ses nouvelles poésies sont cependant publiées dans Le Parnasse contemporain. Bien que se trouvant à Londres en 1871, il n'en défend pas moins avec vigueur la Commune de Paris, sans en être inquiété. En 1876, il publie son livre le plus remarquable, les Rêveries d'un païen mystique, où se mêlent poésie mystique et philosophie, qui a une grande influence sur certains de ses contemporains qui décrivent Ménard comme l'homme le plus passionnément grec qu'on puisse imaginer (Maurice Barrès l'évoque longuement dans le premier chapitre de son Voyage à Sparte). Il devient en 1887 professeur à l'École des Arts décoratifs, et en 1895 professeur d'histoire universelle à l'Hôtel de Ville. Dans ses dernières années il essaye de réformer l'orthographe en la « simplifiant », et republia ses Poèmes et Rèveries d'un paien mistiqe (sic) en 1896.
Louis Ménard, Abandonné, Collège de Pataphysique 3 décervelage 89 EP ( 31 décembre 1961 ), broché, E. O. tirée à 777 exemplaires ( celui-ci n° 178 / 222 sur Grand Vélin dichotomique - 2è papier après 22 ex. de tête, 35 pages. Bel exemplaire.
Plus de photos sur demande.
Paris. Librairie de " L'Art Indépendant ", 1895. In-8 br. Quelques dessins. E.O. collective du classique de ce réformateur de l'orthographe que fût Louis Ménard. Cf. le titre de cet ouvrage.
Paris, Durel, 1909 ; in-4 de [3] ff. xxxvi-180 pp., [2] ff., reliure de l'époque maroquin janséniste noisette, doublures de maroquin bordeaux avec filet doré, gardes de soie brochée dorée, doubles gardes, dos à nerfs, tranches dorées sur témoins, couverture (Marius Michel).
Édition de luxe, imprimée par Lahure, en partie originale. Louis Ménard (1822-1901) fut l'ami de Baudelaire ; sa poésie est empreinte de mysticisme et de philosophie hellénique. Maurice Barrès, signataire de la préface, sera durablement influencé par sa pensée : « J'ai bien des fois cherché à comprendre ce véritable scandale qu'est l’échec de Louis Ménard. Comment l'un des esprits les plus originaux de ce temps, à la fois peintre et poète (...) admiré de Renan, de Michelet, de Gautier, de Sainte-Beuve, a-t-il pu vivre et mourir ainsi complètement inconnu du public ? ». Portrait frontispice de l'auteur gravé à l'eau-forte par Georges Noyon. Tirage à 240 exemplaires seulement. Très bel exemplaire, un des 20 sur vieux Japon, celui-ci tiré pour la femme de l'éditeur (Mme A. Durel), avec le portrait en deux états, relié en maroquin doublé de maroquin de Marius Michel. Talvart et Place, XIV, 173.
3 textes reliés en un volume in-12, demi percaline de l'époque, pièce de titre, fer doré (coiffes émoussées, épid.).
Trois livraisons des 'Cahiers de la Quinzaine' réunies en un volume.1- Edition originale. Nombreux tableaux statistiques dans le texte.2- Réédition du rarissime ouvrage paru en 1849 au 'Bureau du Peuple'. Alors jeune poète et chimiste, Louis Ménard participa à la Révolution aux côtés des blanquistes. Il livre un témoignage de première importance, impartial et lucide, "l'un des plus forts sur les journées de juin" (préface de D. Halévy, p. XII).
Phone number : 33 01 47 07 40 60
1895 Paris librairie de l'art independant 1895 In12 relié demi maroquin rouge dos à 5 nerfs 330 pages - Bon état
Ami de Barres, Hérédia, Bertholot, Clémenceau Louis Ménard est surtout connu pour sa tentative de réforme de l'orthographe (voir le titre). Le crime de Sylvestre Bonnard d' Anatole France passe pour une biographie déguisée de Louis Ménard.
[Chez Hugues-Daniel Chaubert, Claude Herissant] - ANONYME ; [ BASCHI marquis D'AUBAIS, Charles de ; MENARD, Léon ; LUETZ, Gabriel de ; PERUSSIS, Louis de ; JOUAN, Abel ; GONDIN, Capitaine ; GAMON, Achille ; GIRY, Etienne ; D'AMBRES, Baron ; FRETON, Louis ; BALTAZAR ; FAURIN ; VIGNOLLES ; BESONS, M. de
Reference : 65288
(1759)
3 vol. in-4 reliure de l'époque plein veau marbré, Chez Hugues-Daniel Chaubert, Claude Herissant, Paris, 1759, viij-136-384-165 pp. ; iii-20-16-56-352-144 pp. ; 2 ff., 24-32-40-68-56-72-48-24-60-214 pp.
Bon exemplaire en pleine reliure d'époque de cet important recueil compilé par le grand bibliophile que fut le Charles de Baschi, Marquis d'Aubaïs (1686-1777) et par l'historien Léon Ménard (1706-1767), célèbre pour son "Histoire civile, ecclésiastique et littéraire de la ville de Nismes". Les titres recueillis et publiés dans ces 3 volumes sont nombreux : "Voyage de Gabriel de Luetz, Seigneur d'Aramon, à Constantinople, en Perse, en Egypte & en Palestine" ; "Histoire des Guerres du Comté Venaissin, de Provence, de Languedoc" par Louis de Pérussis ; "Voyage de Charles IX en France" par Abel Jouan, suivi d'un itinéraire des Rois de France ; "Les exploits de Mathieu Merle, baron de Salavas" par le capitaine Gondin ; "Voyage de l'Amiral de Joyeuse en Gévaudan" ; Mémoires sur les guerre civiles du Haut-Vivarais" par Achille Gamon ; "Histoire de la guerre civile en Languedoc" par un Anonyme ; "Histoire des deux sièges de Sommières" par Etienne Giry ; "Journal de Charbonneau sur les guerre de Béziers" ; "Siège de Sarlat" ; "Mémoires du Duc d'Angoulême sous Henri IV en 1589" ; "Mémoires du Baron d'Ambres" sur les guerres de la Ligue en Languedoc ; "Journal de Faurin sur les guerres de Castres" ; "Commentaire de Louis Freton, Seigneur de Servas" ; "Mémoires de Vignolles : affaire de Guienne" ; "Histoire de la Guerre de Guienne" par Baltazar ; "Jugemens sur la Noblesse du Languedoc" par M. de Besons ; on y trouve aussi des Mélanges. Bon exemplaire bien complet (petits mq. en coiffes sup., qq. coins frottés, interversion de 2 cahiers en tables du tome I, très bon état par ailleurs). Barbier, VI, 890 ; Cioranescu, XVIII, 8649
Paris. Librairie de " L'Art Indépendant ", 1895. In-8 reliure demi percaline à coins, pièce de titre, fleuron, date en pied. Couvertures et dos conservés, signée champs-strorants. Écrivain et chimiste, L. Ménard, ami et condisciple de Charles Baudelaire, soutien la révolution de 1848, ce qui lui doit un exil en Angleterre où il rencontre Karl Marx. Revenu à Paris, il publie de nombreux livres et devient professeur. E.O.
Paris, Administration des Deux Revues, 1891. Plaquette in-8, agrafée, couverture typographique, 39 pages.Edition originale de ce tiré à part de la Revue Bleue. La publication de ce cours, apparemment ignorée des biographes, précède de quatre ans la nomination officielle de Ménard au poste de professeur d'enseignement populaire supérieur à la Ville de Paris chargé de l’« histoire universelle ». Très rare. Important manque de papier au premier plat, sans atteinte au texte, intérieur frais. Tampon sec d’ex-libris.En l’état.
EDITION ORIGINALE
P., L'Art Indépendant, 1895, in-12, demi-chagrin bleu nuit, dos à nerfs rehaussés d'un filet doré, fleurons dorés dans les entrenerfs, non rogné, couv. et dos cons., 330 pp. (M.44)
Édition en partie originale publiée en "orthographe simplifié". Recueil de textes en prose et de poèmes de cet écrivain français (1822-1901), ami de Barrès, Heredia, Berthelot, Clémenceau : "Le Nid de rossignols, Le Banquet d'Alexandrie, Le Diable au café, étonnant pastiche de Diderot, et surtout La Légende de Saint-Hilarion - premier état de la Thaïs d'Anatole France dont Le Crime de Sylvestre Bonnard passe pour une biographie déguisée de Ménard - sont à ranger parmi les plus beaux contes philosophiques du siècle". Ce livre est la deuxième édition des Rêverie (parues en 1876) que Ménard réédite en les faisant précéder de ses poèmes. À la fin de sa vie, gravement obsédé par l'idée de la réforme de l'orthographe, il rend illisibles ses textes. Très bien relié.
Guy Trédaniel Paris 1999 In-8 ( 210 X 140 mm ) de 302 pages, broché sous couverture imprimée. Très bel exemplaire.Traduction complète précédée d'une étude sur l'origine des livres hermétiques par Louis Ménard.
Paris Charpentier 1863 1 vol. relié in-12, demi-chagrin cerise, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre, tête dorée, (4) + XXVIII + 395 + (1) pp. Edition originale. Rousseurs éparses. Bon exemplaire, dans une jolie reliure moderne.
Librairie académique Perrin & Cie, Paris 1886, 12x19cm, broché.
Edition originale de la traduction française établie par Louis-Nicolas Ménard, il n'est pas fait mention de grands papiers. Rousseurs intérieures et sur les plats, une petite déchirure en marge gauche du second plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Guy Trédaniel - Editions de la Maisnie,1979 13,5 x 21,5 cm, 302 pp couverture souple, état convenable, couverture piquée et tranche tachée,
Traduction complète précédée d'une étude sur l'origine des livres hermétiques par Louis Ménard.
Paris, Au Bureau du Peuple, 1849. In-8 de (4)-316 pp., demi-basane fauve, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Publiée une première fois en feuilleton dans le journal de Proudhon, le Prologue d'une Révolution analyse les causes et le déroulement des événements de 1848 et condamne la répression sévère qui suivit l'écrasement des insurgés. Poursuivi pour cet ouvrage, condamné à quinze mois de prison et à une amende de 10'000 francs, Louis Ménard (1822-1901) quitta la France après sa publication et n'y revint qu'en 1852 pour ne plus s'adonner qu'à la peinture, à la poésie et à la critique d'art, mais aussi à la chimie : on lui doit l'invention du collodion. Feuillets légèrement roussis, coiffe supérieure usée et mors supérieur fendu.Bourquelot, V, 362 ; Drujon, p. 315.