Editions Sociales, 1947. Edition originale posthume. In-16 broché (15 x 12 cm), 61 pages, portrait en frontispice. Présentation de Louis Aragon. Texte de Gabriel Péri : ma vie, suivi de Lettre d'adieu.- Bon état, rare.
Grand livre du mois 1997 14x23x7. 1997. reliure editeur+ son coffret souple. 584+505 pages. Comme neuf
ARAGON (Louis). LETTRE AUTOGRAPHE SIGNÉE [À PIERRE MAISON]. [Septembre 1915], 11 pages sur trois bifeuillets à en-tête du Grand Hôtel Bellevue et de la Plage, Étables (Côtes-du-Nord), 21 × 13,5 cm. Exceptionnelle très longue lettre intime, en 1915, l'année des dix-huit ans d’Aragon. Les témoignages de cette époque sur ce dernier sont d'une très grande rareté. Ce document, adressé à son ami d'enfance Pierre Maison, modèle initial du personnage d'Anicet, apporte un éclairage particulièrement précieux sur sa formation, sa sensibilité et ses préoccupations d'adolescent. Aragon, dans les « clés » d’Anicet — rédigées à l'intention de divers collectionneurs et bibliophiles ; le roman avait paru en 1921 —, écrivait notamment : « Dans l’abord, Anicet était, non l'auteur comme il le devint par la suite, mais mon ami Pierre Maison, qui venait de mourir pour la France, comme on dit (18 octobre 1918) » (Pléiade, Œuvres romanesques complètes, I, page 167) ; « Quant à Anicet, mettons que c'est moi et n'en parlons plus. Je rappelle qu'il était au début mon ami Pierre Maison, qui mourut en octobre 1918 au service de la France, dont il paraît qu'alors nous étions tous les domestiques » (id. page 172). Ce document a été étudié par Michel Apel-Muller dans « Aragon : jeunesse, genèse, 1915 et 1921 », article publié dans L'Humanité en février 2008 et disponible à l'adresse https://louisaragon-elsatriolet.fr/wp-content/uploads/sites/37/2013/04/Apel-Muller_Aragon_1915_1921.pdf. Il s’y trouve qualifié d'« immense lettre confidence », « éclair[ant] une relation que l'on ne connaissait jusqu'ici que par Anicet », celle avec l'« ami aimé et admiré » que fut Pierre Maison, « pilotis du personnage d'Anicet », mort de la grippe espagnole en 1918 après avoir survécu à la guerre. Cette lettre contient de plus une remarquable description poétique de paysage à laquelle se mêlent des réflexions, d'une maturité singulière, reflétant l'éclosion de la sensation du caractère irréversible du vieillissement et de la fuite du temps. On y lit même, sous la plume d’un Louis Aragon de dix-huit ans, ce qui peut apparaître comme une première version de « Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard ». Des passages entre crochets dans la transcription ci-dessous rétablissent quelques lettres manquantes — voir la fin de la présente notice. « Cher ami Quels remords ! Ne t'avoir pas écrit plutôt [sic] ! (Ne fais pas attention à l'écriture, j'ai une plume effroyable !) Je suis de plus cyniquement sans excuses : plusieurs pages de confusion ne suffiraient certes pas à réparer mes torts et par conséquent je m'abstiens de te les écrire, dans l'assurance où je suis que ta magnanimité consentira à m'absoudre. Donc avec l'absolution de tes benoîtes mains toutes de crottin parfumées, je passe à un autre chapitre, et je mets à la ligne. L'en-tête du papier t'apprend que je perche pour l'instant à l'Hôtel Bellevue, Étables, Côtes du Nord (c'est mon adresse). Si tu avais bon souvenir, tu t'étonnerais sans doute, mais je suis dans la plus absolue certitude que tu [ne] te rappelles pas le moins du monde le nom [du p]atelin pour où je t'avais dit partir. Mais [je] suis bête ! Tu dois déjà connaître pa[r Va]llet mes pérégrinations. Partis pour Villervill[e (C]alvados) [...] Coutrot, nous ne n[ous y p]lûmes pas (mince de parfait défini !), [et] filâmes (remince !) sur la Bretagne à [Er]quy (Côtes-du-[Nord) puis [?]] là pas plus qu'à Villerville nous ne [nous] plûmes. Ceci nous met au premier septembre, date depuis laquelle nous sommes ici, où (enfin !) nous nous plaisons. Tu as sans doute su par Vallet que j'ai eu, que nous avons eu, Tréfouël et moi le plaisir de le voir deux fois au cours de deux excursions en bécane. D'Alexandre pas de nouvelles, sauf par Vallet, mais des nouvelles de quinze jours. Tu dois en avoir. De Guéret des nouvelles : il est à Landerneau, mais te l'a sans doute écrit. Malheureusement j'ai bien des remords à son sujet : voilà presqu'un mois que je traîne dans ma poche une lettre inachevée à son intention ! D'Etevenon pas de nouvelles, bonnes nouvelles, n'est[-ce p]as ? Je lui ai écrit hier douze page[s] dans l'intention de déclancher [une] modeste réponse. Je ne sais [quelles [?]] délices perverses ont pu lui fair[e] oublier tout ici bas (tout ici bas, da[ns l']espèce, c'est moi), mais ce doivent être de[s] délices non pareilles à coup sûr ! et je ne sais s'il faut lui en vouloir ! (J'ai, n'est-ce pas ? quelque toupet de me demander ainsi devant toi, s'il faut en vouloir aux paresseux de la plume !) Oh ! Devine qui j'ai aperçu sur la plage d'Hennequeville à côté de Trouville ? Boisard en chapeau melon qui avait l'air de s'embêter ! Il ne m'a pas vu, je me suis sauvé de toute la vitesse de mes jambes ! J'ai rencontré ici des gens intelligents. Entre autres un jeune homme qui prépare le professorat de lettres à la Sorbonne : je crois qu'il veut écrire une thèse sur Nietzsche, ça ne manque pas de crânerie en ce moment ! Il était d'une conversation très séduisante, je dis : "était" car il est ma[lh]eureusement rentré hier à Paris. Nous avo[ns r]ompu des lances en faveur de la musique [al]lemande, et j'ai pensé à nos bonnes [disc]ussions d'autrefois. Le souvenir m'est rev[enu co]mme je défendais Wagner, du jour où nou[s avions] ensemble descendu le cours de la Seine en parlant du Vaisseau Fantôme, et les mots que tu me disais [a]lors, en objections, me remontaient à la bouche et j'en réfutais l'argumentation. C'est un peu avec toi que j'ai discuté ce soir là, revivant notre promenade d'un dimanche de printemps. T'en souviens-tu ? Il faisait beau, mais le soleil avait quelque chose d'indéfinissablement triste, et le printemps nouveau ressemblait à un automne. Quand nous nous sommes arrêtés, sur la berge, passé Javel, le soleil était déjà bas quoi qu'il ne fut [sic] pas encore cinq heures. Ses rayons déjà affaiblis et horizontaux arrivaient de derrière la colline lointaine où s'accrochent les maisons des bords de la Seine qui disparaissait rapidement en un coude. Malgré la masse vert sombre des arbres de la berge opposée, courbés sur l'eau courante, toute chose semblait couverte d'une imperceptible teinte de rouille : on eut [sic] dit l'emprise poussiéreuse sur la campagne de la grande ville toute prochaine. [Ici Aragon passe d'une encre noire à une encre bleue.] Sur l'eau rougie dont les touches sombres décelaient par ci, par là la profondeur, le long du bord, les pontons lavoirs, comme parsemés eux aussi d'une poussière de brique, s'échelonnaient jusqu'au tournant. Pas un passant en vue : l'activité humaine se révélait en tas de pierres posées au fond, en bel ordre. Une maison flanquée d'une cheminée d'usine et de quelques baraquements noirs dressait d'angle la silhouette imprévue de son toit marqué d'un ressaut. Et par derrière, dans une buée vespérale, s'étageaient les côteaux de Meudon, avec leurs bois recéleurs de tonnelles et de guinguettes. Ce paysage morne, animé du seul mouvement de la Seine, vit encore intensément dans ma mémoire. Je l'ai revu une fois depuis : c'était en allant te voir à Versailles. Du train, on aperçoit le coin, par delà la rangée des maisons et des usines. [Je] l'ai montré, fugitif, à Coutrot et à Vallet par la portière. Et nos fronts collés aux vitres, nous lisions les majuscules des réclames dont s'ornent les usines : le nom de Ripolin en lettres blanches, énormes, passa, et je me souvins que nous avions passé devant l'usine, ensemble, ce jour là. Puis le train fila. Meudon ! Ces côteaux, de là bas entrevus dans la brume, nous les avons gravis pour aller vers toi, en ce Versailles, où nous t'allions visiter un peu comme en exil, avec le sentiment de quelque étonnante anomalie. Et tous ces souvenirs, Meudon, ses côteaux, la route de Versailles, Versailles et la caserne, ta chambre avec son balcon, toute la vision de ta nouvelle vie, sont pour moi étroitement liés à ce paysage des bords de la Seine qui nous avait un jour frappé [sic], et j'en garde le souvenir vivace avec l'aide du dessin que tu en as fait. Ce dessin ! c'est mon meilleur souvenir de l'année, et il restera tel pour moi — il évoquera nos causeries, nos promenades et tout cet adorable et paresseux laisser aller de flânerie et de révâsserie qui fut ma vie de tout un an, en votre compagnie, en la tienne, et comme je n'en trouverai sans doute plus jamais, ce doux farniente où je me complaisait [sic], à en oublier parfois les circonstance[s —] et qui fera que je garderai toujours de la guerre un double souvenir, qui, comme une tête de Janus me montrera deux faces, l'une menaçante et horrible, l'autre toute souriante et mélancolique, l'une qui me dira : "Marche !" et l'autre : "Carpe diem". Et dans ce passé souriant et nostalgique, ton image reste à mes côtés, comme celle du rêveur que tu étais, jeune socialiste à idées ! avant que du jour au lendemain la réalité ne se fût dressée devant toi, dans une nudité qui, comme celle d'une femme d'un certain âge, perdait à la crudité du grand jour. Mais je ne veux pas croire que cette vie nouvelle ait pu considérablement te changer. "Abruti !" résumais tu, aux premiers jours, tes impressions de caserne. Je lisais, il n'y a pas encore longtemps, un mot de toi à Vallet où tu te servais à nouveau de ce terme. Oui, je le crois, le service te réduira, car tu as la ferme volonté de le bien faire, à l'état passif de machine, pendant un certain temps, pendant le temps nécessaire. Mais ta vraie nature n'en sera en rien entamée. Tu seras, tu es déjà, j'en suis sûr un bon soldat (même un bon sous-off ?), mais toujours en toi, subsistera comme une veilleuse cette faculté d'imagination qui t'emportait parfois et dont je te plaisantais — mais que j'espère bien maintenant te retrouver un jour, et qui te faisait ériger en système universel les moindres impressions d'une sensibilité vagabonde. Mathématicien poétique ! La belle antithèse ! et que tu la réalisais bien, toi qui de l'enthousiasme où te plongeait la solution élégante d'un problème passait presque sans intermédiaire à la fougue de la discussion philosophique ou même à celle d'un désir plus matériel. Le même intérêt t'attachait à la solution d'une question de géométrie ou à l'énigme de deux beaux yeux entrevus dans la rue. Te souvient-il de cette femme qui avait les yeux verts et profonds, au coin du Boulevard Malheserbes et de la rue Jouffroy et que nous avons perdue Avenue de Villiers ? Et cette belle fille qui méprisait le type en casquette qui l'accompagnait et te glissait des sourires complices, un jour, dans le tramway jaune de Suresnes ? Et d'autres, qui fixaient ton attention pour un détail, un roulement des hanches, une poitrine ferme, une marche souple, l'élancement d'un corps, une lèvre trop rouge ou des yeux trop cernés ? Et ces sœurs dont tu ne parlais qu'avec émotion ? Tout cela n'était qu'enfantillages, soit, mais quels bons enfantillages ! Tout cela est passé, bien passé, fini ! et à le constater, n'y a-t-il pas quelque amertume, comme la sensation d'avoir en peu de temps vieilli plus qu'il n'eut [sic] fallu ? Presqu'au point d'en soupirer : "Ah ! Jeunesse" à dix-huit ans — C'est loin, loin et nous sommes loin aussi l'un de l'autre, avec la nostalgie d'être tous séparés. Tu souris, et tu penses que la nostalgie est une chose bonne pour les gens qui prennent des bains de mer à Étables (Côtes du Nord). Mon vieux, mon bon vieux, tu ignores ton bonheur. Toi tu peux, si tu le veux, t'abrutir, ne pas penser. Et tu sens que tu fais un travail utile vers un but qui t'est cher. Moi je suis condamné à penser et à ronger mon frein. Je ne puis pas m'abrutir. J'ai essayé d'y parvenir par le sport. J'ai réussi une fois, deux fois, mais je n'ai pu prendre le pli. Et toujours la lancinante idée de mon inutilité revient me hanter. Depuis que je suis oisif, c'est une idée fixe, et n'ayant plus d'autre occuppation [sic], je suis possédé de la pensée de la guerre. J'ai sans cesse l'impression à la bouche d'un relent de tabac refroidi, il me semble m'être réveillé d'un beau rêve, j'ai l'amertume de l'inconscience où pendant un an de classes je sens que j'ai vécu, et de cette honte subite est né un grand désir d'agir. Mais on fait ce qu'on peut. Agir ! Il faudrait en avoir la force. Mon pauvre vieux, il n'y a pas de plus grande tristesse que ça, ne pas se sentir la force, être une âme qui voudrait et un corps qui ne peut pas. Cependant, toujours en moi, j'ai l'espérance sourde que cela n'est pas irréparable, qu'avec de l'exercice... mais je n'ai pas la force de volonté pour prendre cet exercice là moi-même. Alors, s'il faut m'y obliger, le régiment ! Oh ! oui, le régiment, je le veux ! Et je fais tout ce que mes forces peuvent pour cela. Mais que peuvent-elles vraiment quand elles ne trouvent d'autre obstacle qu'une muette désolation et les pleurs d'une mère que l'on aime et que l'on sait malade assez pour avoir une attaque ? L'effroyable courage qu'il faut avoir pour déchirer ceux que l'on aime et peut-être irréparablement ! Mon vieux, mon vieux, si cela était fait, quel soulagement de pouvoir s'abrutir à la caserne, comme une brute, quel bonheur d'être de corvée ! Faire des travaux grossiers ! être une machine ! s'abrutir ! Je n'eus [sic] jamais cru souhaiter cela un jour. Je bavarde, et ma bougie s'est entièrement brûlée, la flamme est pour l'instant à l'intérieur du bougeoir. Je m'aperçois que j'ai noirci bien du papier, et si tu as lu mon épître en entier, j'ai dû bien t'ennuyer. Je ne sais pas trop ce que j'ai dit, et je ne veux pas le savoir. Je ne me relirai pas. Aussi tant pis s'il y a des fautes d'orthographe ! Tu feras semblant de ne pas les voir, et de ne pas baîller [sic]. Il est une heure indûe [sic]. Je te quitte : je t'envoie ma missive rue Jouffroy d'où on te la fera suivre, car j'ai peur de me tromper dans tes numéros. En réponse à ma lettre, et pour m'en accuser réception, tu me ferais plaisir si (je ne te demande pas de m'écrire) tu m'envoyais simplement ton adresse exacte sur une carte, sans plus, car je sais bien que tu n'as pas de temps à toi. Tes quelques loisirs te permettent cependant, j'espère, de lire ? Je regrette de n'avoir pu avant mon départ te revoir et t'apporter les bouquins que je t'avais promis. Je t'indique en passant, si tu as le temps, les titres de deux bouquins de Paul Hervieu de la collection à 0f,95cm : "L'Armature" et "Peints par eux-mêmes" qui sont très remarquables. Bien cordialement à toi, ton vieil ami qui pense bien souvent à toi dans son trou de Bretagne quoiqu'il ne te l'écrive pas souvent. Louis Aragon » Pierre Maison, né le 3 septembre 1897, avait devancé l'appel. À l'époque de la rédaction de cette lettre, il effectuait ses classes à Versailles dans un régiment d'artillerie. Jacques Tréfouël, autre ami de jeunesse d'Aragon, devint directeur de l'Institut Pasteur. Michel Apel-Muller ignorait si Boisard avait été condisciple ou professeur d'Aragon. Sur Alexandre, Coutrot et Vallet, il renvoie au dossier « Aragon et Robert Alexandre », présenté par Agnès Alexandre-Collier et Hervé Bismuth, publié depuis dans le numéro 15 de « Recherches croisées Aragon / Elsa Triolet ». Sur Etevenon et Guéret, Apel-Muller écrivait ne rien savoir. La « mère » dont Aragon évoque les pleurs et la muette désolation, Claire Toucas, était en réalité sa grand-mère. Mouillure ayant entraîné des trous avec atteinte au texte sur les deuxième, troisième et quatrième pages du premier bifeuillet. La pliure centrale verticale de ce dernier est fendue. L'encre autour des parties manquantes est délavée. La même mouillure affecte, de façon beaucoup moins marquée, le deuxième bifeuillet, où seules quelques lettres sont délavées. Le troisième est complètement épargné. Nous reconstituons le texte manquant entre crochets dans notre transcription sur la base de celle faite par Michel Apel-Muller dans l'article cité ci-dessus. La transcription de ce dernier n'est toutefois manifestement pas complète, et postérieure aux dommages subis par le document, lesquels semblent anciens. En guise d'exemple, signalons seulement qu'entre « Calvados » et « Coutrot » figurent davantage de mots que le simple « avec » présent dans la transcription d'Apel-Muller. Autrement, papier un peu fatigué sans gravité, traces de pliures et petites taches parfaitement acceptables. Également disponible, sur demande : le manuscrit autographe signé du premier poème connu d'Aragon, daté de 1915, dont cette lettre éclaire les circonstances de la composition (cf. l'article de Michel Apel-Muller dont l'adresse électronique figure au début de cette notice).
Editions Spartacus / Supplément à Masses de Février / L'Intelligense Servile - Collection " Les Egaux " n° 2 de 1947. Plaquette In-16 agrafée de 16 pages au format 13,3 x 9,2 cm. Couverture illustrée. Plats et intérieur frais, malgré une petite étiquette collée au coin supérieur droit de la couverture. Violent pamphlet contre Louis Aragon suivi de " Il nous faut un Guépéou " et de l'acte de rupture de Paul Eluard avec Louis Aragon. Caricature anonyme de Louis Aragon in texte. Etat proche du neuf. Rare édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Editions Spartacus / Supplément à Masses de Février / L'Intelligense Servile - Collection " Les Egaux " n° 2 de 1947. Plaquette In-16 agrafée de 16 pages au format 13,3 x 9,2 cm. Couverture illustrée. Plats et intérieur frais. Violent pamphlet contre Louis Aragon suivi de " Il nous faut un Guépéou " et de l'acte de rupture de Paul Eluard avec Louis Aragon. Caricature anonyme de Louis Aragon in texte. Etat proche du neuf. Rare édition originale.
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[Louis ARAGON] - Pierre BEARN - [Bucarest 1902 - Paris 2004] - Poète français
Reference : 34563
4 pages in4 - bon état - On joint les feuillets imprimés de l'article paru aux Lettres Françaises? -
Il s'agit de l'état définitif des corrections de cet article écrit à propos d'une série de 5 émissions consacrées à Aragon sur Antenne 2 avec une présentation de Jean Ristat - "Aragon n'était plus que le fantôme de lui-même" - Une réponse: "L'écriture automatique? Eh bien, c'est très simple - C'est lorsqu'on écrit si rapidement qu'on n'a pas le temps de réflêchir" - On y joint le brouillon tapuscrit avec corrections autographes d'une lettre de Pierre Béarn à Louis Aragon datée du 13 mai 1968 et concernant les événements de mai, en particulier celui du 6 mai 1968 rue Monsieur le Prince ou un étudiant fut roué de coups sur le trottoir - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Editions Surréalistes / Paris 1932. Plaquette in-8 agrafée de 30 pages au format 13,5 x 21,5 cm. Couverture avec titre imprimé et petite tache au bas. Quelques noms surlignés dans la liste située au verso du 1er plat. Cette plaquette consacrée à la publication par Louis Aragon de son poème " Front rouge ", qui l'exposa à une inculpation. André Breton dans cette publication prend la défense de Louis Aragon, mais ce dernier se désolidarisera avec André Breton, provoquant une rupture définitive entre eux. Cela déclenchera ce qui sera nommé " l'Affaire Aragon ". Très bel état général. Rare édition originale d'un des quelques exemplaires tiré sur papier Bible.
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Editions Surréalistes / Paris 1932. Plaquette in-8 agrafée de 30 pages au format 13,5 x 21,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Minuscule tache au en haut du 1er plat et au 4ème plats. Bords des plats légèrement insolés. Intérieur frais. Plaquette consacrée à la publication par Louis Aragon de son poème " Front rouge ", qui l'exposa à une inculpation. André Breton dans cette publication prend la défense de Louis Aragon, mais ce dernier se désolidarisera avec André Breton, provoquant une rupture définitive entre eux. Cela déclenchera ce qui sera nommé " l'Affaire Aragon ". Très bel état général. Rare édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Editions Gallimard 1959. Fort in-8 broché de 594 pages au format 20,5 x 4 x 14 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré, insolé. Plats et intérieur frais malgré des mors un peu brunis. Exemplaire non coupé. Deuxième édition en superbe état général. Précieux exemplaire enrichi d'une cordiale dédicace autographe, signée, de Louis Aragon.
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Editions la Bibliothèque Française 1949. In-12 broché de 364 pages au format 18,5 x 12 cm. Couverture marron avec titre imprimé en blanc. Dos carré avec minuscules frottis. Plats et intérieur frais. Exemplaire non coupé. Infimes frottis aux mors et au bord du 4ème plat. Un des exemplaires du service de presse, noté " S.P " au bas du 4ème plat. Superbe état général. Edition originale avec amicale et belle dédicace autographe, signée, de Louis Aragon au grand chef d'orchestre Roger Désormière. Provenance idéale.
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Editions Gallimard 1964. In-12 broché de 178 pages au format 12 x 18,5 cm. Dos resté carré, légèrement bruni. Plats et intérieur frais. Contient les entretiens suivants : Le Fou d'Elsa - L'écoulement du temps - La ponctuation - L'équivoque - Le réalisme - Le roman - Elsa et autres sujets. Bibliographie en fin d'ouvrage. Exemplaire du service de presse. Edition originale en très bel état général. Précieux exemplaire enrichi d'une superbe double dédicace autographe, signée de Louis Aragon et Francis Crémieux, malheureusement le nom du destinataire a été découpé.
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Editions la Bibliothèque Française 1949. In-12 broché de 265 pages au format 18,5 x 12 cm. Couverture bleue avec titre imprimé en blanc. Dos carré avec petit frottis et manque de trois centimètres au bas. Plats avec petits frottis aux mors et un infime manque en bord de couverture. Intérieur frais. Un des exemplaires du service de presse, noté " S.P " au bas du 4ème plat. Etat correct. Edition originale avec amicale dédicace autographe, signée, de Louis Aragon au grand chef d'orchestre Roger Désormière. Provenance idéale.
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Editions la Bibliothèque Française 1951. In-12 broché de 298 pages au format 18,5 x 12 cm. Couverture violette avec titre imprimé en blanc. Dos carré avec infimes frottis. Plats et intérieur frais. Un des 35 exemplaires hors commerce, numérotés, du service de presse ( n° 524 ), noté " S.P " au bas du 4ème plat. Superbe état général. Edition originale avec magnifique et affectueuse dédicace autographe, signée, de Louis Aragon au grand chef d'orchestre Roger Désormière. Provenance idéale.
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Louis Aragon - Yves Robert - Danièle Delorme - François Périer - Serge Reggiani.
Reference : 81
(1948)
Editions Gallimard 1948. In-12 broché de 252 pages au format 12 x 18,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré. Plats et intérieur frais. Minuscule fente au mors inférieur du 1er plat. Réédition en superbe état général. Précieux exemplaire enrichi d'une cordiale dédicace autographe, signée, de Louis Aragon et de le signature d'Yves Robert et Danièle Delorme en page de titre. L'ancien propriétaire à collé les signatures autographes de François Périer et Serge Reggiani, sur la page en regard de celle de titre.
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Editions Gallimard 1974. Fort in-8 broché de 446 pages au format 21,7 x 3,5 x 15 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Dos carré, légèrement insolé. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes brunissures et trois microscopiques taches en couverture. Exemplaire du service de presse. Edition originale en très bel état général. Exemplaire orné d'une cordiale dédicace autographe, signée de l'auteur : " A Camille Ollivier. Sympathiquement. Aragon. ".
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[Louis ARAGON] - Pierre BEARN - [Bucarest 1902 - Paris 2004] - Poète français
Reference : 34562
4 pages in4 - bon état - On joint les feuillets imprimés de l'article paru aux Lettres Françaises? -
Il s'agit du premier état des corrections de cet article écrit à propos d'une série de 5 émissions consacrées à Aragon sur Antenne 2 avec une présentation de Jean Ristat - "Aragon n'était plus que le fantôme de lui-même" - Une réponse: "L'écriture automatique? Eh bien, c'est très simple - C'est lorsqu'on écrit si rapidement qu'on n'a pas le temps de réflêchir" - Le magasin est fermé jusqu'au 6 avril - Nous verrons vos commandes ensuite - Merci -
Louis ARAGON. Servitude et Grandeur des Français. Scènes des années terribles. 1945, La Bibliothèque Française, Paris. 1 vol. in-12 à marges, broché, couverture imprimée. Édition originale, un des 535 exemplaires numérotés de tête. (Seul grand papier). Bon état. Très bon
Editions Les Lettres françaises et Tous les Arts sans date ( 1951 ). In-4 agrafé de 12 pages au format 21,5 x 27 cm. Couvertures crème avec titres imprimés. Dos pincé avec frottis et infimes manques. Petit manque angulaire au mors inférieur du 1er plat. Intérieur assez frais. Violent pamphlet intitulé " Peindre a cessé d’être un jeu ", relatif au scandale du Salon d'Automne de 1951. Louis Aragon attaque vertement le gouvernement de l'époque, qui fit dépendre 7 toiles exposées au Salon d’Automne, jugées " anti-françaises ". Reproductions en noir des œuvres incriminées. Rarissime édition originale relative au scandale du Salon d'Automne en 1951.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Editions Gallimard 1948. In-12 broché de 54 pages au format 12 x 18,5 cm. Préface de Louis Aragon. Couverture avec titre imprimé. Plats avec petites rousseurs et insolations aux bords. Dos carré insolé, avec tout petit manque au bas. Intérieur frais, malgré un papier jaunissant. Mention fictive de 3ème édition avec bon achevé d'imprimer du 7 juin 1948. Edition originale en bel état de fraicheur. Précieux exemplaire dédicacé par Paul Eluard à Paulette Graux, qui fut institutrice, militante syndicaliste et militante communiste. Provenance idéale.
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FOULADVIND, Hamid ; JOUFFROY, Alain ; Photographies de William KAREL choisies par Louis ARAGON
Reference : 92110
(1993)
1993 Editions du Rocher - 1993 - Grand In-8 cartonnage de l'éditeur -101p
Bon état - couverture un peu frottée
ANNALES DE LA SOCIÉTÉ DES AMIS DE LOUIS ARAGON ET ELSA TRIOLET (LES).
Reference : 1369165
Rambouillet, Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet, in-8, br. (L62) Le volume :
Nous avons : - n° 1. 1999 - 3 inédits. Elsa Triolet - Philippe Soupault - P. Rhodes. 256 pp. - n° 3. 2001 - Autour des voyageurs de l'impériale. 296 pp. - n° 4. 2002 - Discours d'Aragon au Comité central du PCF en 1958. Cinq études sur Le Paysan de Paris . Maïakovski à Paris -Philippe-Auguste Jeanron. 295 pp.
"Lens Editions de La Tribune des Mineurs sans date - Agrafé 12 cm x 18 cm 43 pages - Texte de Louis Aragon - Préface d'Auguste Lecoeur - Bon état"
( Beaux-Arts ) - Louis Aragon - Gyula Halász dit Brassaï - Pablo Picasso.
Reference : 8422
(1960)
Editions Maison de la Pensée Française 1950. In-8 broché de 34 pages au format 22 x 16 cm. Couverture avec illustration de Pablo Picasso et photographie de Brassaï. Dos carré, muet, légèrement insolé. Plats avec bords un peu brunis. Intérieur frais. Préface de Louis Aragon. Catalogue d'exposition avec reproductions d'illustrations en noir de Pablo Picasso, ainsi que des photographies de Gyula Halász dit Brassaï et de la galerie Louise Leiris. Rare édition originale en bel état général.
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