A Paris, Les Editions de l'Ibis, 1965 / 1969. chaque édition comprend 2 vol. au format pt in-4 (258 x 190 mm) non paginés.Un vol. sous reliure d'édition de pleine basane brune, plats ornés de filets en noir, décor en relief de fleurons et d'entrelacs de filets, premier plat occupé par une plaque ciselée imitant l'ivoire à décor figuratif, dos à nerfs orné de filets en noir, titre doré, tête dorée, gardes moirées. Un vol.de texte sous reliure éditeur de demi-basane glacée havane. L'ensemble, sous coffret crème d'édition, dos lisse, titre frappé or en long, gardes moirées. Ensemble complet de ses deux volumes. Un des exemplaires numérotés du tirage sur vélin chiffon de Lana. Le premier volume s'agrémente de délicates compositions en couleurs d'André Hubert, dont lettrines et larges frises en couleurs sertissant le texte d'après l'incunable de Jehan du Pré. Compositions dont la mise en couleurs a été réalisée à la main. Le second volume donne à lire la traduction du Roman de la rose dans la traduction de Pierre Marteau, d'après l'édition d'Orléans de 1878,sur papier bible. Ce livre se présente comme une conversation plaisante et instructive, de caractère philosophique, avec des interlocuteurs successifs divers (dont l'abominable personnage de La vieille, qui raconte .Bon Etat, exemplaires numerotés 725 /1000 sur velin de chiffon de lana, tres belles miniatures.On joint l'autre version de Jehan De Meung avec des illustrations differentes,édité en 1969,de meme facture,plaque differente ,les 2 portant le meme numéro : 725 ,textes et illustrations differents.............Guillaume de Lorris (parfois de Loris) est un poète français du Moyen Âge né vers 1200 et mort vers 1238.Protégé du comte de Poitiers, il est l'auteur de la première partie du Roman de la rose, environ 4 000 vers, qu'il laisse inachevé et que Jean de Meung terminera une quarantaine d'années plus tard.
Infimes frottements affectant les angles des coffrets. Nonobstant, belle condition.Rare série.Ce livre se présente comme une conversation plaisante et instructive, de caractère philosophique, avec des interlocuteurs successifs divers (dont l'abominable personnage de La vieille, qui raconte par le menu comment une femme doit toujours extorquer autant d'avantages matériels qu'elle le pourra de ses amoureux et amants successifs - ce qu'elle a toujours fait - et qu'agir autrement n'est que folie conduisant à se retrouver démunie une fois disparue la beauté de la jeunesse).