Paris, Charpentier, 1891 1 vol. (120 x 185 mm) de 290 p., [1] et 1 f. Broché. Édition originale.Envoi signé : «à ma bonne mère, à ma garde-malade, à qui je dois tout, même de survivre, avec tout mon cœur, Jean Lorrain, novembre 1891».
Une belle correspondance entre Jean Lorrain et sa mère sera publiée par Georges Normandy, en 1925, qui rassemble les nombreux échanges entre 1864 et 1906. Les exemplaires offerts par Jean Lorrain à sa mère sont nettement plus rares. Nous avons pu en dénombrer quatre pour l'heure. En 1880, Monsieur Duval, devant l'entê- tement du jeune Paul, nit par consentir que celui-ci s'installe à Paris pour y ten- ter une carrière littéraire. A une condition cependant : « Tu devrais changer de nom. On ne peut jamais être sûr d'avance : si tu ne réussissais pas... Nous serions seuls à le savoir ». « Les seuls », ce sont Monsieur et Madame Duval. Celui qui ne se fait pas encore appeller Jean Lorrain emménage donc en décembre 1880, au 45 rue d'Au- teuil, dans une petite maison du XVIIIème siècle ("cette jolie et fameuse maison qui, au dix-huitième siècle, appartenait aux demoiselles Verrière", écrit Normandy), située à deux pas du 67 boulevard de Montmorrency, le "Grenier" d'Edmond de Goncourt. Moins de deux ans plus tard, il publie son premier livre, Le Sang des dieux. Dix ans plus tard, c'est au tour de Sonyeuse d'être publié : c'est ce recueil de nouvelles qui consacrera sa renommée littéraire, en 1891. La nouvelle d'ouver- ture est presque un roman (76 pages), qui donne son nom au livre où l'auteur se consacre à l'étude passionnée et amoureusement fouillée de la vie provinciale, dépeignant, la grisaille des petites villes, leur charme éteint, l'isolement des rues « et tant de cloches dans l'air ». Le recueil contient à la suite plusieurs autres contes, courts : [Soirs de province] : Dans un boudoir, La Chambre close, Romance d'automne ! Love's labour lost puis [Soirs de Paris] : L'Inconnue, L'Égrégore, Le Ménage Nauretale, L'Amant des poitrinaires, Conte d'une nuit d'hiver, Dans l'espace, Oraison funèbre et Guide Moral Conty. C'est à la fin de cette même année 1891, à partir d'octobre, que Pauline Duval viendra habiter avec son fils à Paris (le père est mort depuis 5 ans) : « sobre et discrète compagne, in niment digne d'estime, qui rappelle, par instants à son fils, qu'il n'est point tout à fait aussi mauvais qu'il a ecte de le sembler, lui reprochant aussi, doucement, son noctambulisme e réné ». Octave Uzanne dit même qu'on la vénérait : « Le chroniqueur recevait à sa table rue d'Auteuil ses amis et amies dans des déjeuners ou dîners inoubliables, où il prodiguait sans réserve son esprit culbuteur et drolatique d'enfant terrible, tandis que son adorable mère impassible, indulgente, le sourire aux lèvres, avec le charme et la distinction d'une grande dame du siècle de la poudre et de la philosophie aimable, était attentionnée et aux petits soins pour les amis [...] invités par son cher grand gamin » (Jean Lorrain, l'artiste, l'ami, Les Amis d'Edouard n°14, 1913, pp. 48 et 49). Il est intéressant de noter qu'après la mort de son ls, en 1906, sa mère prendra le nom de Duval- Lorrain, réconciliant l'adolescent solitaire et l'homme de lettres, les deux faces de ce ls tant aimé et qui le lui rendit si bien.
Paris, Lemerre, [mai] 1882. 1 vol. (125 x 185 mm) de 2 et [1] f., 153 p. et 1 f. Broché, emboîtage de demi-maroquin noir, dos lisse, titre doré, (Goy et Vilaine). Édition originale. Le premier livre de l'auteur, imprimé à 525 exemplaires. Un des 25 premiers exemplaires imprimés sur papier de Hollande (non justifié). Frontispice en héliogravure de Gustave Moreau, "La jeune fille Thrace portant la tête d'Orphée ". Envoi signé : «à toi, ma très douce et patiente mère, à toi à laquelle est échue cette croix lourde entre toutes d'avoir pour fils un être insupportable entre tous, fou pour les uns, idiot pour les autres, fantasque pour tous... puisqu'on veut bien m'appeler poète... ces vers sont encore plus tes enfants que les miens, puisque tu es leur aïeule, à toi donc le premier enfant de ton sang et du mien et puissé-je un jour à venir te faire oublier tous les mauvais mois et les dures années que t'ont fait et ma cervelle fantasque et les cruels instincts de tout être qui écrit. Ton Jean Paul. Juin 82 ».
Notre exemplaire comporte des corrections autographes de Jean Lorrain (aux pages 26, 37, 39, 42, 95, 101 et 134). C’est plus que dans tous les autres exemplaires rencontrés, qui n’en contiennent que quatre ou cinq. Seuls les exemplaires de son ami de Fécamp Robert Duglé et celui de Gustave Moreau contiennent, à notre connaissance, ces sept corrections. Ils sont eux aussi sur hollande, et, comme le nôtre, ne sont pas justifiés. Très bel exemplaire de ce recueil, salué dans la colonnes de la revue Livre en août 1882 : « Grande variété de rythmes et d’inspirations, abondance de rimes luxueuses, d’images picturales, de mots sonores, d’inversions mélodieuses, M. Jean Lorrain a tout à souhait, et il se hâte, comme font les poètes à leur début, d’essayer les couleurs de sa palette sur tous les murs de l’histoire. Antiquité, moyen âge, temps modernes, viennent tour à tour se réfléchir en ses vers comme en un miroir de Venise aux facettes multiples ; son volume est un véritable panorama d’où l’on sort les yeux las et battus d’un monotone éblouissement », chronique attribuée à Octave Uzanne et citée dans la biographie de Lorrain : « L’on imagine sans peine la joie que causèrent ces lignes au débutant, même de la part d’un jeune critique à peu près inconnu, publiées dans un bulletin lu par un cercle d’initiés : en fait, elles constituaient son acte de naissance de poète dans la République des Lettres, sans nul doute le plus beau parchemin qui soit pour tout aspirant à la littérature » (Thibaut d’Anthonay, Jean Lorrain, Fayard, 2005, p. 127).
Paris, A. Méricant, 1910. 1 vol. (125 x 195 mm) de 287 p. Maroquin janséniste bordeaux, dos à nerfs, titre doré, contreplats ornés d'un large encadrement de filets et arabesques dorés, double filet doré sur les coupes, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés (reliure signée d'Yseux, successeur de Thierry-Simier). Édition originale, ornée d'une couverture illustrée par Rapeno. Un des 6 premiers exemplaires sur japon, justifié et signé par l’éditeur (n° 4). Longue introduction de l’écrivain corse Georges Normandy, datée d’Ajaccio, décembre 1909, apportant, au lendemain de la mort de Jean Lorrain, une contribution décisive sur la personnalité de cet écrivain. « Et personne ne peut nier non plus que Jean Lorrain s’affirme comme le plus magnifique des descriptifs de notre temps. Il voit en barbare, oui, et c’est la seule vision qui puisse être intense en littérature… Il aura été, dans ses derniers trente ans, un des manieurs de mots les plus experts et les plus efficaces dont puisse se vanter notre littérature romantique ».
Poème autographes, avec variantes inédites S.l.n.d. [circa 1897]. 3 p. et 3 f. anopistographes (195 x 300), à l'encre, signé et daté « mars 1883 » pour Soûlerie. Deux poèmes autographes : « Relent d'amour » et « Soûlerie », l'un et l'autre publiés dans L'Ombre ardente (1897), le dernier avec des variantes et sous un autre titre : « La Coupe ».
Cette version manuscrite de « Soûlerie » est plus sombre et moins distanciée que le texte qui sera publié : « mes amers regrets » et « mes anciens regrets » deviennent uniment « tous mes vains regrets ». Lorsqu'il écrit ces textes, Lorrain (1850-1906) vient de publier son premier recueil de poèmes, Le Sang des dieux, chez Lemerre en 1882, avant de faire paraître en 1883 La Forêt bleue, tout en collaborant aux revues Le Chat noir et Le Décadent. Il commence aussi à fréquenter le salon de Charles Buet où il fait la rencontre d'autres jeunes écrivains, comme Léon Bloy, J.-K. Huysmans et Laurent Tailhade, ainsi que de leur aîné François Coppée et de leur maître à tous : Barbey d'Aurevilly. Lorrain ne tarde pas à faire de lui-même un personnage scandaleux, fréquentant le Tout-Paris en même temps que les mauvais garçons. Sa rencontre avec Liane de Pougy le conduira à collaborer au quotidien Le Journal où il publiera bientôt une chronique redoutée, la « Pall-Mall Semaine ». L'une de ses critiques lui vaudra d'ailleurs un duel avec Marcel Proust, dont il avait attaqué Les Plaisirs et les jours, l'année même où il publie son recueil L'Ombre ardente renfermant les deux poèmes manuscrits que nous proposons.
BATAILLE (Henry) - RUYTERS (André) - MARINETTI (F.T.) - LANTOINE (Albert) - LORRAIN (Jean) - DEGRON (Henri) - COQUIOT (Gustave) -
Reference : 42533
Paris : Rue des Ecoles, 1899. Directeurs : Tristan Klingsor et Henri Degron. Un volume 12x18,3cm broché, de 74 pages. Dos fendu avec petits manques en coiffes, rousseurs en couvertures. Exemplaire sous papier cristal.
Instigatrice du mouvement symboliste, La Vogue compte trois séries. La première en 1886 (6 numéros), la seconde en 1889 (trois numéros) dirigées par Léo d’Orfer, Gustave Kahn et Félix Fénéon. Exemplaire de la troisième et dernière série qui compte 24 numéros mensuels parus du 15 janvier 1899 au 15 décembre 1900. Ce numéro comprend notamment Sur l'exposition de Venise, de Marinetti, Arlequin de Jean Lorrain, Robert de Montesquiou, par Henry Bataille.
Librairie Borel, impr. Imprimeries des Nouvelles Collections Guillaume, coll. « Lotus Bleu » 1896 In-18. Reliure bradel crème, dos lisse, pièce de titre cuir vert foncé, tête dorée, 108 pp. Bon exemplaire agréablement relié.
Très bon état d’occasion
Paréiasaure éditions 1998 In-8 broché 21,2 cm sur 14,3. 87 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Paris, Tresse & Stock, 1887 1 vol. (130 x 195 mm) de [2] ff. et 135 pp. Demi-veau havane, dos à nerfs, pièce de titre, fleurons dorés, couvertures conservées (reliure début XXe). Edition originale. Un des 10 premiers exemplaires sur hollande (n° 6).
Les feuillets des poèmes «Premier Sinet» et «Second Sinet» ont été tirés sur papier orangé, avec les faux-titres reliés par erreur avant ces deux feuillets, occurant une erreur de pagination. Il s'agit du quatrième recueil de Jean Lorrain. Ex-libris au faux-titre "Jacques Gérigny", avec la mention "don de Madame Janvier, née Tauveron", avec ex-libris de cette dernière au crayon.
1899 Paris, Fayard, 1899. In-12 (126 X 188) demi-maroquin lilas, dos cinq nerfs, auteur et titre dorés, tête dorée, plats de la couverture conservés (reliure de l'époque); XIV-306 pages. Dos passé. Ex-libris gravé en rouge collé sur le premier contreplat.
ÉDITION ORIGINALE. Il s'agit de chroniques parisiennes constituées de «Pall-Mall» dialogués, faisant suite à ceux de La Petite classe et parus dans L'Écho de Paris en 1898 et 1899. EXEMPLAIRE DE ROBERT DE MONTESQUIOU, contenant un ENVOI AUTOGRAPHE signé à pleine page sur le feuillet de faux-titre: «à Monsieur / Robert de / Montesquiou / cette dernière / erreur d'une jeunesse / un peu prolongée. / Cordialement / Jean Lorrain». RENCONTRE PIQUANTE entre les deux hommes de lettres, qui servirent tous les deux de modèle à Marcel Proust pour le personnage du baron Charlus. Pendant vingt ans, de 1884 à 1904, les chroniques littéraires de Jean Lorrain ne manquèrent pas de lui attirer des haines féroces. Bien que partageant le même goût pour les hommes, Jean Lorrain détestait Robert de Montesquiou qu'il avait surnommé "Grotesquiou" ou "Hortensiou", à cause de son célèbre recueil de poèmes "Les Hortensias bleus" (1896). Il s'était inspiré de l'écrivain pour créer le personnage du comte de Muzarett dans "Monsieur de Phocas" (1901). L'exemplaire figure sous le n°1102 dans la deuxième vente de la bibliothèque de Robert de Montesquiou, lors d'une vacation qui eut lieu à l'Hôtel Drouot en avril 1924. DES ÉCRIVAINS BELLIQUEUX : Jean Lorrain, en raison de son agressivité à l'égard de ses confrères, s'exposait à leur mécontentement. Il se battit ainsi en duel avec René Maizeroy et Marcel Proust, faillit le faire avec Guy de Maupassant pour "Très Russe" (1886) et avec Robert de Montesquiou dont il avait fait sa tête de turc favorite. Cependant, bien qu'agacé par les charges sans nuances dont le gratifie Jean Lorrain, Robert de Montesquiou «ne veut pas entendre les coassements qui montent du marécage Lorrain, sur lequel il jette de temps à autre un regard amusé. Il avait refusé la dédicace d'un recueil que lui offrait vers 1885 cet encombrant personnage et ne daignerait pas croiser le fer avec lui comme vient de le faire Proust. Il faut au petit-neveu de d'Artagnan un adversaire de meilleure qualité.» (Philippe Jullian). Du reste Robert de Montesquiou ne tarda pas à faire montre de son courage en se battant en duel peu de temps après avec Henri de Régnier, qui le blessât à la main. CHARMANT EXEMPLAIRE, qui réunit deux gloires fin-de-siècle, indissociables de l'univers proustien. (Talvart & Place,T. XII, p. 237, n°28 - Robert de Montesquiou,"Bibliothèque, Deuxième vente", n°1102). NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
Phone number : 06 21 78 12 79
Jean Bosc et Cie, éditeurs 1906 In-12. Reliure demi-basane rouge cerise, dos lisse orné de filets dorés, 415 pp. Reliure légèrement frottée, sinon exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion
. 1912-1926-1938-1939. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Papier jauni. Environ 15-30 pages par volume. Pliures. Nombreuses rousseurs. Partiellement désolidarisés. Couvertures de substitutions.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Sommaire: Une correspondance inédite entre Jean Lorrin et François Coppée- Francis Jammes et Jean Lorrain par Georges Normandy-Jean Lorrain, l'homme et la légende par Marc Brésil- Lettres inédites de Jean Lorrain Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Pierre Douville 1906 In-12 demi-basane à coins, dos lisse, filets et dentelles, filets à froid sur les plats, 313 pp. Charnière sup. fragile.
Edition originale sur papier d’édition (après 10 Hollande). Bon état d’occasion Edition originale
Librairie universelle 1904 In-8 demi-basane à coins, dos lisse, filets et dentelles, filets à froid sur les plats, 331 pp. Illustrations hors-texte en couleurs et en noir dans le texte. Infimes frottements. Bon exemplaire.
Edition originale sur papier d’édition (après 25 Vergé). Bon état d’occasion Edition originale
Paris : Ollendorff, 1903 - Huitième édition - Un volume 12x19,5cm cartonnage éditeur imprimée en deux tons avec des motifs végétaux dans le style art nouveau - 335 pages - cachets en page de titre "Fonds Gaëtan Sanvoisin" avec une côte manuscrite en page de titre et des rousseurs éparses sinon bon état -
Borel 1897 “Lotus bleu”. In-18 étroit relié demi-basane chagrinée à coins, dos lisse, couvertures illustrées et dos conservés, tête dorée, 235 pp. Frontispice en noir et en bistre, illustrations en noir dans le texte. Mors sup. et coiffe inf. lég. frottés sinon bon exemplaire.
Edition originale. Bon état d’occasion Edition originale
Borel 1898 “Lotus bleu”. In-18 étroit relié demi-basane chagrinée à coins, dos lisse, couvertures illustrées et dos conservés, tête dorée, 78 pp. Frontispice en bistre, Illustrations in & hors-texte en sépia. Bel exemplaire sur beau papier.
Edition originale. Bon état d’occasion Edition originale
Borel 1896 “Lotus bleu”. In-18 étroit relié demi-basane chagrinée à coins, dos lisse, couvertures illustrées et dos conservés, tête dorée, 208 pp. Frontispice en noir et en bistre, Illustrations dans le texte en noir. Bon exemplaire.
Edition originale. Bon état d’occasion Edition originale
Librairie Nilsson - Per Lamm, coll. « Voie merveilleuse » sd In-12 18,2 x 11,9 cm Reliure demi chagrin, dos à nerfs orné de fers dorés. Reliure légèrement frottée. Table des matières. Sans date. v. 1903 221 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Pierre Douville 1905 In-12 demi-basane à coins, dos lisse, filets et dentelles, filets à froid sur les plats, 318 pp. Dos passé.
Edition originale sur papier d’édition (après 10 Hollande). Bon état d’occasion Edition originale
Ollendorff 1905 In-12 demi-basane à coins, dos lisse, filets et dentelles, roulettes à froid sur les plats, 308 pp. Papier bruni. Une garde en partie déliée.
Mention de septième édition. Bon état d’occasion
Paris : Nilsson (Collection "Voie merveilleuse") sans date (ca 1903) - un volume 12x19,2cm broché de 221 pages sur papier vergé, illustrées de 30 photographies ornées de motifs art nouveau - couverture légèrement poussiéreuse sinon bon état -
Paris : Ollendorff, 1908 - un volume 11,7x18,8cm broché sous couverture illustrée en couleurs, de 282 pages - deux taches sombres (1x1cm) et manque en coin (0,5x0,5cm) en première de couverture sinon bon état -
Paris : Henri Jonquières (Collection "Les beaux romans"), 1928 - un volume 15,7x20,3cm demi chagrin à coins, dos à nerfs, orné de caissons dorés, de pièces de titre et auteur (reliure de l'époque), couverture conservée, 174 pages - 23 bois gravés dans et hors texte par Alexey Brodovitch - tirage limité à 1150 exemplaires, celui-ci sur vélin de Rives, numéroté -
Belles gravures de l'artiste russe Alexey Brodovitch.
Paris : Henri Jonquières, 1928. Un volume broché (15x20,3 cm), 170 pages. Illustré de 23 reproductions de bois gravés d'Alexey Brodovitch. Edition originale : un des 1150 exemplaires sur vélin de Rives. Bon état.